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Le Mariage de Gregor

Le Mariage de Gregor



Gregor épouse une Comtesse pour lui rendre service. Il ignore tout de ce qui est en train de se passer.

Le Mariage de Gregor est un magnifique roman sadomasochiste.

Extraits :

Gregor oubliant tout, suça le clitoris de sa Maîtresse ; et son visage, ses lèvres bientôt furent trempés par les liqueurs ruisselantes du vagin somptueux qu’il lui était donné de lécher. Tout à coup elle agrippa ses cheveux et serrant ses cuisses puissantes sur la tête de Gregor jusqu’à l’étouffer elle eut des spasmes langoureux en sentant la langue de son chien qui s’agitait toute entière dans son trou.

Elle repoussa ensuite Gregor et posa ses deux pieds, ses deux beaux escarpins noirs sur ses cuisses en lui griffant la peau du bout des talons, et alluma une nouvelle cigarette qu’elle fuma tout en taquinant la queue de Gregor de son talon aiguille. Elle appuyait avec le clou du talon juste sur le gland. De son autre main elle se caressait le clitoris, la sensation de ses doigts gantés se promenant sur le bout de son bourgeon la ravissait d’une manière douce et sensuelle. Elle laissait Gregor regarder, subjugué, la buvant des yeux.

— C’est maintenant le centre de ta vie Gregor.

La Comtesse se leva et lui libéra les bras, détacha la laisse et l’envoya l’attendre dans la chambre de bonne qui était au bout de l’appartement. Gregor entra et découvrit une pièce dénuée de tout ameublement sauf une armoire, une table de nuit et un grand lit dont la tête et les pieds étaient en fer forgé. La Comtesse le rejoignit aussitôt avec quatre sangles de cuir. Elle lui ordonna de s’étendre sur le dos, les bras et les jambes en croix, et lui attacha fermement chacun des membres aux piliers du lit en l’écartelant.

Gregor solidement attaché, la Comtesse s’assit ensuite au bord du matelas et lui fit un garrot sur le bras avec un lien de caoutchouc. Elle tapota du bout des doigts la veine dans le creux du coude de Gregor et sortit de la table de nuit une petite fiole de verre brun et une broîte en fer blanc contenant une seringue.

— Mais, mais qu’est-ce que … essaya-t-il avant de prendre une gifle magistrale.

La Comtesse n’était jamais autant inspirée que dans ces moments-là. Si Gregor comme elle le pensait était né pour obéir aux femmes, et elle pour posséder un tel chien, la Comtesse en dominatrice expérimentée savait aussi qu’il ne fallait lui laisser aucun répit.

Elle allait le dresser, ce qui dans le langage sadomasochiste et selon la Comtesse consistait à mener Gregor à une obéissance si absolue que lui-même ne pourrait plus s’en passer. Il existe certains hommes qui atteignent un point de soumission qui est sans retour, où leur état agit sur eux comme une drogue puissante dont ils ne peuvent plus se défaire. Ces hommes changent littéralement de nature, ne plus obéir à leur Maîtresse ou prendre seul une décision les plonge dans de profondes angoisses et des tourments si insupportables qu’ils demandent eux même à retourner le soir dans leur cage, comme le font les animaux bien dressés. Et la Comtesse savait exactement comment amener Gregor à cet état-là, dans cette cage, comment le dresser. Elle allait en faire son esclave.

Détruire définitivement toute possibilité d’orgueil chez Gregor était son but, plus il serait humilié et plus il deviendrait esclave. Pour la Comtesse le chemin qu’elle traçait à Gregor était clair, d’abord il y avait la déférence, ensuite venait l’abaissement, puis la soumission et enfin l’esclavage.

Lorsqu’un homme a suffisamment été rabaissé, il ne peut plus se relever. Lorsque c’est le fait d’une très belle femme qu’il désire alors cela s’imprègne en lui comme une marque indélébile. Que des circonstances lui fassent oublier, et la femme n’a qu’à claquer des doigts pour lui rappeler ce qu’il est. C’est pareil au réflexe de Pavlov où l’on apprend aux chiens, les vrais, à saliver à la seule vue d’une lumière rouge, parce qu’on a allumé une lumière rouge à chaque fois qu’ils mangeaient. Toutes les Dominas le savent. Le chien salive lorsque la lumière rouge s’allume, l’esclave s’abaisse lorsque sa Maîtresse claque des doigts.

La Comtesse tenait le petit carton entre ses mains gantées et jouaient avec après l’avoir lu. Le Britannique toujours debout à côté attendait un signe de sa part, un mot, quelque chose. Mais la Comtesse restait silencieuse les yeux fixés sur le carton.

Un idiot ne la connaissant pas en aurait déduit qu’elle cherchait quelque chose à dire ou peut-être même ses mots. Ç’aurait été mal la connaître. La Comtesse savourait tout simplement l’instant, le plaisir de faire rester debout ce Lord au pied de sa table.

Elle pensait à son esclave attaché par des menottes et assis à même le sol dans l’appartement, sa queue toute dure et gonflée dressée entre ses jambes. Quel plaisir pervers c’était là. Le Britannique attendait toujours. La Comtesse déchira le petit carton en deux et le rendit au Lord sans même le regarder.

Ce dernier fut troublé, se sentant méprisé par cette si belle femme il éprouva à la fois de l’humiliation et de la colère. Il reprit les deux petits bouts de carton d’un geste sec et fit un pas pour s’en aller quand la Comtesse l’interpella.

— À ce moment même monsieur, qu’avez-vous ressenti ?

Il ne répondit rien et s’en alla en haussant les épaules. Qu’importe. La Comtesse connaissait mieux la réponse qu’il ne la connaissait lui-même. Ces hommes-là ne font pas de bons serviteurs, ils fatiguent leurs Maîtresses à force de les obliger à constamment les éduquer. Bien sûr il existe un plaisir certain à l’éducation de tels mâles, le plaisir de la conquête et de la victoire sur l’a****l rétif. Mais il y a des choses qu’on ne peut jamais vraiment leur apprendre.

Gregor, lui, était attaché avec des menottes au pied de son lit pendant qu’elle prenait son apéritif, et il y resterait toute sa vie si elle le décidait. Et parce que cet affreux anglais venait de l’importuner Gregor serait sévèrement puni quand elle remonterait.

Le monde est comme il est se dit la Comtesse. On peut être un Lord aussi futé qu’un cafard, ne rien soupçonner de l’intelligence supérieurement psychologique et sexuelle de certaines femmes. S’il l’avait su, s’il avait été de ce monde, il aurait repris les deux bouts de bristol en tremblant, plein d’humilité, sachant qu’il était là face à une reine, une des plus belles qui soit.

Une reine exceptionnelle dont personne dans cette salle ne pouvait imaginer le secret. Qui donc aurait deviné que cette femme à la beauté stupéfiante, qui buvait délicieusement son apéritif, avait au même moment dans son appartement un homme nu, attaché par des menottes au pied d’un lit, avec la verge tuméfiée et dressée pour elle, le corps marqué des coups de fouet qu’elle lui avait infligé. Un esclave dont elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait, le castrer s’il lui semblait bon.

Lorsque la Comtesse remonta, elle alla voir Gregor qui s’était endormi. Elle lui donna de petits coups de pied sur la verge pour le réveiller.

Assis et attaché sur le grand siège d’acier froid Gregor comprit immédiatement que ce siège était particulier. Son sexe et ses testicules reposaient comme présentés sur une table d’opération. La Comtesse le voyant trembler prit immédiatement la parole.

— Cela ressemble à une table d’opération et c’en est une Gregor. Sais-tu pourquoi les tables d’opérations sont toujours en acier ?

— Répond !

Le Mariage de Gregor est une histoire illustrée avec les magnifique dessins de Gregor…

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