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Ma troisième femme de ménage

Ma troisième femme de ménage



Ma troisième bonne – travaux en cours 😉

Deux expériences ratées, je finissais par me décourager. Lola était partie mais elle nous avait recommandé sa cousine Esmeralda, une jolie jeune femme de 32 ans, divorcée avec deux enfants et, semble-t-il une vie mouvementée.
Esmeralda est encore à mon service aujourd’hui et si je relate le passé c’est aussi pour mieux permettre aux lecteurs et lectrices qui s’intéressent à mon histoire de comprendre où j’en suis aujourd’hui et ce que je cherche à réaliser car je n’y suis pas encore.
Esmeralda travaille chez moi depuis un an et demi. Durant cette période, j’ai appris à la connaître et à savoir qu’une bonne n’est pas un membre de la famille sous peine de prendre des libertés avec les horaires et les obligations; une distance s’impose… Pourtant, dans ma quête inachevée de plaisir et de jeux partagés, la situation est différente. De fait, j’ai appris de mes expériences passées et mon approche est adaptée. En voici le récit, toujours exact.

Après au moins 4 mois durant lesquels j’ai eu à l’égard d’Esmeralda une attitude sans équivoque, purement professionnelle et jamais axée sur le sexe, je me suis décidé à agir, selon des schémas connus mais mieux adaptés, je pense, à la personne et à la situation. D’abord parce que j’ai parlé avec elle, pour comprendre son environnement, son divorce, sa vie et ses difficultés (la culture sud-américaine est très conservatrice pour les femmes et pour celles qui vivent en Europe, l’émancipation est libératrice mais aussi pleine de contradictions).
Elle a un ami, sympa et gentil, des enfants qu’elle élève, une situation normale chez l’employeur que je suis. J’ai eu l’occasion de lui expliquer que je suis très ouvert et sans tabous…sans entrer dans les détails, le tout par touches, subtiles.
La différence aussi, est dans le fait qu’Esmeralda est très jolie, fine, bien galbée malgré des petits seins, de beaux yeux et des lèvres charnues…

Donc me voilà un avant midi dans la maison, seul avec elle… Je lui dis que je me sens stressé et que je vais m’allonger une vingtaine de minutes. « Oui, Monsieur » est sa réponse. À peine arrivé au premier, je me déshabille, pris d’un désir profond et réel. Je bande comme un cerf. Mon sexe est tendu, mes bourses gonflées et très lourdes. J’écoute Esmeralda, occupée dans la cuisine et je commence à me masturber lentement. Elle aussi, tout comme les deux autres, s’arrête et écoute; sans doute les mêmes interrogations s’élevent-elles dans son esprit. Elle s’approche dans le couloir, juste en dessous de moi. Elle écoute puis repars, sur la pointe des pieds. Où est-elle? Je ne le sais. Je crois qu’elle se cache mais je n’en suis pas sûr. Je poursuis mes caresses, de plus en plus excité.

Je l’entends allumer la lumière et entrer dans les toilettes. À mon tour, j’entre, juste au-dessus, dans les toilettes, qui communiquent par le biais de la bouche d’aération. J’écoute. Pas un bruit, or on entend même celui ou celle qui urine en bas d’où je suis. A-t-elle compris? Je reprends ma masturbation et mes soupirs, sincères, se font désormais très clairs, tout comme mes bourses, qui claquent sur l’intérieur de mes cuisses.

L’instant dure longtemps, plus de cinq minutes. Soudain, j’entends la chasse, en bas, et Esmeralda qui quitte les toilettes. Zut! Est-ce à nouveau raté? A nouveau la mauvaise personne? Je me sens vraiment déçu. Je descends quelques minutes plus tard et la trouve dans la cuisine. Aucune expression sur son visage, si, les pommettes légèrement rouges. À peine toutefois. Nous parlons de choses et d’autres, sans bien sûr aucune référence à ce que je viens de faire…

Ce scénario s’est répété six ou sept fois au moins. Sans réaction ni elle ni moi. Durant ces séances, souvent j’ai joui, bruyamment. Rien n’y fit.

Plusieurs fois, elle me parla de ses anciens patrons, avec qui elle gardait de bons contacts, surtout avec Monsieur, qu’elle avait du consoler après une séparation douloureuse, pour elle aussi.

Il y a quelques mois, sans doute lassé de lire toujours les mêmes histoires, j’avais jeté mes magazines érotiques au détriment d’une cassette porno.
J’avais dans l’idée que ce serait intéressant de voir sa réaction à un nouveau scénario. Le salon est bordé d’une grande fenêtre sans vis-à-vis extérieur (merci la campagne). Un poste de télévision y fait face et lorsqu’on est dans la salle à manger ou la cuisine attenante, on peut voir la télévision qui se reflète sur la vitre lorsque les rideaux sont ouverts.

La première fois que je mis le scénario en place, j’étais nerveux car c’était nouveau. Je plaçai la cassette dans le magnétoscope et je coupai le son du téléviseur, après avoir ouvert les rideaux et en m’étant assurant qu’en desservant la table du petit déjeuner, Esmeralda devait voir ce que je projetai sur le téléviseur…
Je fis mouche. Elle avait vu et regardé plusieurs scènes. Tout en faisant preuve d’un self contrôle tout à fait étonnant! Après vingt minutes, j’arrêtai la projection. Pas un trait de son visage n’avait changé lorsque je lui parlai. Elle faisait semblant de rien, je suppose. J’ai répété ce scénario une dizaine de fois au moins et à chaque fois, sa réaction était identique, même quand je remontais dans ma chambre pour me caresser, après avoir vu toutes ces images qui portent aux sens… Toujours un peu de rose aux joues et pas une remarque.

Je me résolus à en savoir plus sur ses penchants quand je lui annonçai un matin que je devais lui parler. Je lui avouai que j’avais de la littérature érotique dans la chambre d’ami (quel idiot je fis quand je me rendis compte que j’avais tout jeté!). Je plaçai le jour même mon enregistreur vocal et compris tout de suite qu’elle était montée pour fouiller ce dont je lui avais parlé (on ouvre pas tous les tiroirs pour faire les poussières, n’est-ce-pas?).

Je décidai de ne pas aller plus loin dans le plan « magazines pornos »/camescope.

L’occasion d’être l’arroseur arrosé allait m’être donnée quelques semaines plus tard. J’étais à la salle de bain, en train de me caresser (vous finirez par croire que c’est obsessionnel et pourtant non, somme toute ceci n’est qu’une infime partie de ma vie;-) lorsqu’Esmeralda est entrée sans frapper. Je n’ai pu voir son visage et je ne l’ai pas entendue arriver. J’ai fait un bond et je me suis senti tout bête, ennuyé même! Je pris le parti d’en rire et descendis aussitôt pour rejoindre Esmeralda et lui parler.

Je la trouvai dans la cuisine et lui dit en riant: « Maintenant, vous savez que je suis un homme, si vous en doutiez encore! ». Je m’excusai ausssi gentiment et en souriant et elle me répondit: « Ce n’est rien, Monsieur ». Je dois avouer qu’à force de désillusions, sa réponse me fit du bien et, aussi, m’interpella.
Nous n’en parlâmes plus.

Mais je continuai mon petit jeu de masturbation à l’étage. Elle semblait soit s’en lasser soit s’y habituer. Je me dit aussi que l’excitation est inversement proportionnelle à l’habitude et qu’il me fallait trouver autre chose…Aller plus loin. Mais je ne voulais ni la sauter ni même entretenir de relation extra-conjuguale de quelque nature avec elle. Quoique…

A la suite d’un orage malveillant, la maison fut inondée et des travaux de toiture nous obligèrent à déménager dans un appartement de fortune jusqu’à ce que la maison soit réparée. Après quelques jours, j’étais dans mes meubles et la configuration de l’appartement promettait des scénarios intéressants. En effet, ma chambre donne dans un couloir court puis en vis-à-vis direct sur le salon et la salle à manger. Lorsque la porte de la chambre est fermée et la lumière allumée, on voit assez nettement par le trou de la serrure, même à plusieurs mètres de distance. Je m’en suis aperçu très tôt. Mais je ne suis pas le seul.

Alors que j’avais toujours initié les scénarios et toujours tout « organisé », je constatai un beau matin que la donne avait un peu changé. Je me trouvais seul avec Esmeralda dans l’appartement et, tandis qu’elle repassait dans le salon, je décidai de m’isoler dans ma chambre, sans autre idée que de me reposer. Je refermai la porte derrière moi à clé et me déshabillai. Sans doute attiré naturellement par le trou de la serrure (on ne se change pas), j’y regardai et vis Esmeralda qui jetait des regards intéressés vers la porte de la chambre et la serrure en particulier ; oh, pas avec le nez collé à la serrure mais à distance, pendant son repassage.
Je ne sais trop si elle vit mon oeil dans le trou de serrure mais une petite dizaine de fois au moins elle regarda. Ce qui constitua pour moi une invitation au plaisir. Je me plaçai donc au meilleur endroit pour qu’elle puisse me voir au travers de la serrure et lui fit un spectacle à la hauteur de ma virilité. Il faut croire que cela l’intéressait car deux jours plus tard, je recommençai et elle, aussi.

Je compris aussi qu’il ne fallait pas que cela dure trop longtemps, car elle se lassait, semble-t-il. Au fond, peut-être veut-elle autre chose? Peut-être suis-je à ce point aveugle? Je n’ai pas manqué hier de lui faire un gentil compliment sur son corps, auquel elle m’a répondu d’un « Merci, Monsieur ».
Aujourd’hui pourtant, c’est avec un jeans très serré qu’elle est venue travailler…

La suite (sauf si vous en avez ras-le-bol), ce fera en fonction des nouveaux événements 🙂

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