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Avis médical
Après la séance où Pierre m’avait fouettée à foison, j’étais un peu étonnée. Il avait une maîtrise du sujet parfaite. Il était précis, mesuré : j’avais la peau zébrée de partout mais pas une goutte de sang n’avait coulé, par exemple.
Je n’ai pas osé lui demander s’il avait pratiqué avec d’autres que moi. Question à réserver pour l’avenir.
Les marques ont mis beaucoup de temps à s’effacer. Trop pour un problème que je devais gérer : je devais aller chez notre médecin qui allait me renouveler ma Méliane, ma pilule bien utile et qui m’examinait chaque fois avec beaucoup de soin.
J’en ai parlé à Pierre qui connaissait notre médecin depuis longtemps, ils avaient joué au foot ensemble. Il a ri et m’a dit que Michel (le doc) ne serait pas gêné : il était pratiquant SM avec sa femme depuis longtemps. En plus me dit-il, il aime bien mon cul et il adore m’examiner. Je suis atterrée de savoir que mon mari et mon médecin parlent de moi comme femme et pas comme patiente. Je lui demande s’il a des infos sur notre vie privée, il répond qu’évidemment il est au courant de quasi tout. Bref tout va bien. Quand je me retrouve avec les jambes écartées sur un fauteuil gynéco c’est un mec et pas qu’un médecin qui enfonce son doigt…
Jour du rendez-vous. Je me suis habillée sagement, robe, culotte, soutif, bas. Dans le hall, Pierre me demande s’il pourra assister à l’examen. Rassurant et inquiétant à la fois. J’accepte. Pierre me prend dans les bras, il passe sa main dans le dos, agrafe du soutif sautée. Je réagis. Il me coince et me trousse la robe, culotte baissée. Il veut que j’aille nue sous la robe.
Nous sommes dans la salle d’attente. Je voudrais être sous le tapis.
Nous rentrons dans le cabinet. Pierre va s’asseoir. Le doc aussi. Il me demande si je veux bien me débarrasser. Au regard de Pierre, je vois qu’il veut que je n’aille pas derrière le paravent. J’ôte la robe. Je suis toute nue. Le doc nous dit « quel beau travail ». Il se lève et vient près de moi. Il commente en disant et ça, je m’y attendais, qu’il avait bien formé Pierre. Pas de blessures ; bien marquée. J’avais du bien encaisser, rien n’avait été épargné. Il me fait asseoir. Toute nue sur une chaise devant eux, je me sens vraiment nue. Michel, autant l’appeler comme ça, demande à Pierre comment il a opéré, dans les détails. Approbation professionnelle…
Michel me dit que Pierre s’est entraîné sur son épouse. Pierre avait bien appris. Il m’invite à prendre place sur le fauteuil. Je m’installe. Il prend ma tension. J’ai le poul rapide. Ben tiens… Je me retrouve toute ouverte avec Pierre et Michel qui regardent. Michel commence l’examen gynéco. Il insiste bien.
Il commence à commenter ce qu’il fait. Il me pénètre de tous les doigts en disant que l’ai le vagin très souple et pourtant bien serré. Ce n’est plus de la médecine. Il demande si je suis vaginale ou clito. Sans attendre la réponse, il prend mon clito et le fait rouler. Je ne peux faire que gémir.
Il arrête, ouf. Il demande à Pierre s’il peut montrer une technique qu’il a mise au point. Pierre dit oui. Au secours, ils sont fous. Michel arrive avec une seringue et une aiguille. Il explique que pour percer, il remplit la seringue d’alcool à 70°. Il évite ainsi les infections. Il ne faut pas injecter mais simplement laisser l’aiguille remplie d’alcool et retirer la seringue. Tout le parcours a ainsi été protégé. Il demande à Pierre s’il peut le faire. Il me dit de serrer les dents. Il prend mon téton, passe de l’alcool dessus et enfonce l’aiguille. Je ferme les yeux, ça fait mal. Quand je les ouvre, l’aiguille est là, toute seule, ayant percé mon téton de part en part. Il explique comment éviter le canal. Il demande à Pierre s’il veut essayer. Me voilà a****l de labo. Pierre est un peu hésitant mais obtient le même résultat sur l’autre sein. Michel explique que 2 horizontales, deux verticales, par téton c’est un max pour éviter d’abimer les tissus. Michel lui dit qu’il lui montrera à l’occasion comment s’occuper du clitoris qui est très complexe, dit-il. Il enlève les aiguilles.
Réfléchissant, il part chercher un petit pot de crème. Il nous dit que c’est une compo à lui. Il en prend un peu, en met sur les tétons, sur le bord du sexe et sur le clito. Ça ne fait rien, au début. Ils sont repartis s’asseoir pour les papiers et prescription quand je commence à sentir mes tétons gonfler, de même pour le sexe. Toutes les parties touchées se congestionnent. L’impression d’avoir des fraises au bout des seins, fraises qui ne demandent qu’à être consommées. Dans le bas, je suis béante et le bouton sort comme un auriculaire. Je sens que Michel se marre à me voir me rhabiller avec l’air d’avoir un parapluie dans le c..
Nous rentrons, l’effet de la crème persiste.

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