J’étais allée garder mon grand-père qui avait fait une chute dans sa maison. Ma mère me l’avait demandé et j’avais dû y aller même si j’avais prévu de faire autre chose ce week-end là.
Mon papy était assoupis dans son fauteuil quand je suis arrivée Je l’ai secoué par l’épaule et je l’ai réveillé. Il m’a reconnue et il m’a demandé ce que je viens faire et je lui ai dit que c’est sa fille qui m’envoie. Il m’a répondu qu’il n’a besoin de personne et il s’est rendormi.
J’étais furieuse contre ma mère qui m’avait gâché mon week-end et je me suis plongée dans le journal mais j’ai fini par m’endormir.
C’et une curieuse sensation sur ma cuisse qui m’a réveillée et j’ai vu que mon grand-père s’était assis à côté de moi. Sa main caressait mon genoux. Il m’a bientôt demandé d’écarter mes cuisses et il a relevé ma jupe pour me caresser la vulve.
C’était si agréable que je n’ai pas eu le courage de protester. Son geste était précis et très efficace et il s’attardait sur mon clitoris au point de me faire mouiller.
– Grand-père, lui ai-je dit au bout d’un moment, on ne devrait pas faire ça !
Il a ri et il m’a dit que je suis la plus belle de ses petites-filles puis il m’a demandé si je suis encore vierge à vingt ans. Bien sûr, je ne l’étais plus.
– Si tu es gentille, je ferai de toi mon héritière, a-t-il ajouté !
Mes parents étaient toujours radins avec moi et si je poursuivais mes études à la fac, je n’avais pas beaucoup d’argent à dépenser et je voyais mes amies sortir en boîte et avoir de belles fringues.
– Un orgasme, ça rend les femmes plus belles, a ajouté mon grand-père en glissant ses doigts sous ma petite culotte !
Il était bien près de m’en donner un quand il m’a demandé si je veux être gentille avec lui.
– Oui, tu veux quoi, lui ai-je demandé ? Tu as soif ? Tu veux que j’aille te chercher quelque chose à boire ?
Il a pris ma main et il l’a posée sur son pantalon.
– Branle-moi, a-t-il ajouté ! Je suis sûr que tu feras ça très bien !
Que pouvais-je faire d’autre ? J’avais déjà branlé mon copain et je me demandais si à son âge, mon grand-père pouvait encore tenir le coup. J’ai ouvert sa braguette et j’ai sorti sa bite qui était fort molle à ce moment-là.
– Suce-moi, a gémi mon grand-père !
Je me suis penché et j’ai commencé à sucer et dans ma bouche, sa bite a commencé à se raidir pour devenir rapidement un beau bâton blanc surmonté d’une jolie fraise.
– Oui, c’est ça, ma fille, a-t-il ajouté au bout d’un moment !
Il m’a hissée sur la table et il m’a écarté les cuisses après m’avoir retiré ma petite culotte puis il m’a déshabillée complètement avant de me faire un cuninlingus. Une de mes copines m’avait déjà fait ça au cours d’un soixante-neuf mémorable, mais mon grand-père n’a pas tardé à m’enfoncer sa bite dans le trou du devant puis il m’a faite mettre à genoux et il a joui dans ma bouche.
Ce n’était pas le premier sperme que j’avalais, mais celui-ci avait une saveur que seul un grand-père peut donner et, pour ne pas être en reste, mon grand-père m’a demandé de me masturber, ce que j’ai fait devant lui.
– Tu aimes le sexe, n’a pas arrêté de me dire mon grand-père ! Est-ce que tu te fais enculer par ton copain ?
– Grand-père, me suis-je étonné !
– Ça fait partie du sexe, a-t-il ajouté ! Les femmes ont trois trous et il faut bien les honorer !
Je lui ai répondu qu’il m’en avait déjà honoré deux. Il a ajouté qu’il faut absolument qu’il honore le troisième mais pour cela, il avait besoin de repos et il m’a demandé de le laisser faire un somme.
– Tiens, regarde dans le second tiroir, c’était à ta grand-mère, a ajouté mon grand-père !
J’ai ouvert le tiroir et j’ai trouvé tout un attirail dont des godes, des plugs et des pinces. Et m-eme une boule que je me suis mise dans la bouche. Une heure plus tard, mon grand-père s’est réveillé. Il avait dormi tout nu dans le fauteuil et sa queue n’avait pas arrêté de se redresser et de s’amollir et ça m’avait fascinée.
– Viens, chérie, je vais te montrer que ça fait du bien de te faire enculer, m’a alors dit mon grand-père !
Je lui ai demandé comment on fait et il m’a dit de me coucher sur la table, jambes pendantes mais il n’était pas assez grand et nous avons fait ça sur le tapis, à quatre pattes. La bite a pénétré mon anus et je dois avouer que je n’avais jamais connu ça. Une fois bien enfoncé, mon grand-père m’a caressé la poitrine. Il m’a pincé les mamelons et c’était très excitant. Il m’a aussi caressé le ventre.
– Tu aimes ça, m’a demandé mon grand-père quand il a été bien au fond de mon anus ?
– Oui, grand-père !
– Tu sais, je suis très heureux de t’initier, ma petite fille ! Est-ce que tu prends la pilule ?
– Non !
– Tu mets un diaphragme ?
– Non !
– Tu ne vas pas être enceinte, au moins ?
– Je ne crois pas !
– Ça me plairait quand même que tu sois enceinte de moi ! Je peux déjà t’imaginer avec ton gros ventre ! Tu serais magnifique ! Si tu es comme ta grand-mère, tu auras aussi des seins magnifiques, de vrais mamelles qui te pendront sur le ventre !
– Oh, grand-père !
Il avait quitté mon anus et il s’était enfoncé dans mon vagin mais, au dernier moment, il a joui sur mes fesses et j’en ai eu jusqu’aux épaules. Je lui ai dit que c’était bien.
– Ta grand-mère n’aimait pas beaucoup le sexe et je devais lui rappeler qu’on était mariés, a ajouté mon grand-père ! Elle était fidèle et je sais qu’elle ne m’a jamais trompé ! Nous deux, je voudrais qu’on recommence mais c’est notre petit secret !
J’ai promis de ne rien dire. Le soir même nous avons refait l’amour et cette fois, il m’a joui sur la poitrine puis nous avons réessayé le lendemain matin mais mon grand-père était vraiment fatigué. Ma mère est venue me prendre en fin d’après-midi et elle m’a remerciée d’avoir bien voulu tenir compagnie à mon grand-père. Son père semblait avoir récupéré. Je l’ai embrassé sur les deux joues et je suis partie avec maman.
Quelques semaines plus tard, j’ai appris qu’il avait été hospitalisé et je me suis demandé s’il avait fait le nécessaire pour faire de moi son héritière.
Après sa mort, le notaire nous a convoqués. Je veux dire ma mère, mon oncle et ma tante et pas moi et quand ma mère est revenue à la maison, elle nous appris que tous ses biens allaient à une œuvre.
– Il ne m’a rien laissé, ai-je hurlé ?
– Pouquoi voudrais-tu, m’a demandé ma mère ?
J’enrageais parce que mon grand-père m’avait sautée gratuitement et je me suis jurée que plus jamais je ne ferai ça sans me faire payer d’avance mais je n’ai pas su me tenir ma promesse et depuis je fais ça gratuitement avec mes différents amants, homme ou femme, tous ceux qui veulent de moi.
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