Chapitre 3 : Le retour du père.
J’ai devant moi mon père qui a disparu de ma vie à l’âge de 12 ans sans même un au revoir ou une explication quelconque. L’émotion est tellement forte que je me mets à chialer comme une fontaine. Il me prend dans ses bras et me pousse dans la pièce. Après quelques hoquets je réagis, mais violemment. Je m’arrache de ses bras et je me mets à frapper sa poitrine de mes deux points fermés en le traitant de tous les noms.
– Salaud ! Qu’est-ce que tu fous là ! Fous le camp ! Je n’ai pas besoin de toi !
Il arrive à me maîtriser et il me resserre dans ses bras. Je refonds en larmes et il me garde contre lui en attendant que je me calme.
Au bout de quelques minutes, j’arrête de pleurer et de trembler. Je me sens étrangement bien contre sa large poitrine. J’entends distinctement son cœur qui bat fort et vite, signe que lui aussi ressent une grosse émotion de me retrouver et de m’avoir contre lui, dans ses bras.
Il m’écarte de lui, prend ma tête dans ses mains et la tire vers lui pour m’embrasser sur la joue. Dans un réflexe incontrôlé, je tourne ma tête et ses lèvres se posent sur les miennes.
J’ai une décharge électrique dans ma tête avant qu’il ne s’écarte en s’excusant.
– Pardon mon ange…
Son ange…c’est comme ça qu’il m’appelait quand je me blottissais dans ses bras Ce souvenir me rend toute chaude.
Nous nous asseyons sur le canapé et il me raconte d’où il vient, de l’Australie où il vivait, ce qu’il faisait, avec qui… et il finit par me dire.
– Tu m’as beaucoup manqué ma fille. J’ai toujours pensé à toi. Quand ma compagne est décédée suite à un accident en voiture je me suis retrouve seul, perdu, et je n’arrêtais plus de penser à toi ! J’ai pris l’avion et ta mère a fini par me donner ton adresse.
– Mais…papa… pourquoi tu nous as abandonnées !
– Il le fallait. Je n’avais pas le choix. Peut-être qu’un jour je te raconterais pour quelle raison je t’ai abandonnée. Mais crois-moi c’était pour ton bien.
Je laisse courir pour l’instant mais il faudra qu’il me dise pourquoi il a été absent de ma vie pendant plus de 15 ans.
Pendant notre conversation ses yeux se portent sur ma poitrine et quand je referme un peu mon chemisier pour cacher le haut de mes seins qui débordaient un peu, il sourit et me dit.
– Tu es devenue une très belle femme Manon. Tu avais déjà de très belles formes quand je t’ai quittée mais rien de comparable à aujourd’hui.
– Je suis trop grosse, papa.
– Mais non, Manon. Tu es belle, plantureuse et probablement très courtisée. Tu as un petit ami ?
– Par pour le moment. Je l’ai viré !
– Bon ! Je ne vais pas m’incruster. Il faut que je trouve un hôtel. Tu en connais un pas trop loin ?
Je ne sais pas ce qui me prend mais sans réfléchir je réponds.
– Il est tard. Tu vas rester là cette nuit. Tu coucheras sur le divan et demain on verra ça.
– Je ne veux pas te déranger, mon ange…
Mon ange…je craque…
– Pas du tout papa. Je viens juste de retrouve mon père. Alors ne repart pas encore…
Je lui prépare le canapé avec un drap et une couverture. Je lui dis bonsoir mais il m’attire contre lui et me murmure dans l’oreille.
– Mon ange, Je te remercie pour avoir accepté après tant d’années. Je n’ai jamais cessé de t’aimer. Dors bien.
Et il m’embrasse sur mes joues en serrant longuement mes épaules dans ses mains
Une heure plus tard, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Je me lève pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine et je sors de ma chambre très doucement pour ne pas réveiller mon père.
Dans la faible lumière de la lune derrière la fenêtre, je vois que mon père s’agite et qu’il doit comme moi, avoir du mal à s’endormir. Je me dirige à pas de loup vers la cuisine mais je me fige sur place quand j’entends mon père geindre.
– Ooohhh, Manon…Manon…
Qu’elle n’est pas ma stupeur en m’approchant du canapé de voir que mon père est en train de se branler en prononçant mon nom !
Mon père se paluche en pensant à moi !
A moi, qui petite fille aurait voulu qu’il me touche, comme le faisait mon frère puis mon grand-père.
Je me mets doucement à genoux et je le regarde faire. Il a une très belle queue qui dépasse largement de sa main qui va et vient dessus en décalottant largement un gros gland.
C’est plus fort que moi. Je passe ma langue sur mes lèvres et je passe ma main sous ma très courte chemise de nuit pour caresser ma chatte. J’en oublie que c’est mon père. Tout ce que je vois c’est une belle queue et la nymphomane que je suis réagi immédiatement devant ce qui contrôle ma vie.
Ma chatte mouille très rapidement et comme un robot programmé pour le plaisir des hommes, j’avance ma main libre vers cette bite qui me rend toute chaude… mais dans un éclair de lucidité je la recule immédiatement. Mais mon père qui m’a aperçu, att**** mon poignet et me dit d’un ton impératif.
– Reste Manon! Je te veux!
– Noonn, papa!
Mais il me tient bien et il m’attire sur lui.
– Papa! Arrête!
– Non, mon ange… Je sais ce que tu es devenue. Une salope!
– Papa!
– Oui ma cochonne…J’étais dans le car qui te ramenais de Belgique. Je t’ai vue te faire bouffer ta chatte, sucer et te baiser sur la bite de ce gros porc!
– Papaaaaaaaa!
– La ferme! Ça fait longtemps que je te désir! Je suis parti à cause de ça! Mais je vais ratt****r le temps perdu. Commence par goûter la bite à papa!
Et il guide ma tête sur sa queue toute dure. Comme je reste la bouche fermée il aboie.
– Ouvre ta bouche, Manon !
J’obéis et il pousse ma tête pour m’enfoncer sa bite dans la bouche.
Instinctivement je bouge ma langue sur sa queue et il gémit en lâchant ma tête.
– Huuummm, ouiiiiii, continue…..
Bien sûr que je continue ! Je ne m’occupe plus de savoir qui je suce, sa bite est bonne, grosse et je me régale !
– AAAaahhh, Manon… Mon ange… Tu es une bonne fille. Fais plaisir à ton papa.
Ce que je fais. Je rentre et je fais sortir sa bite de ma bouche en m’attardant sur son gland gonflé. Je mordille même la base du gland pour le faire gueuler un peu.
– AAAaaahhh, putain de salope !
Je replonge dessus et toute sa bite disparaît dans ma bouche avec son gland dans ma gorge pour que je lui fasse des massages en déglutissant.
J’ai toujours aimé avoir une bite dans ma bouche depuis que mon frère m’a demandé de le sucer. Mais avec le sexe de mon père dans ma bouche je deviens folle. Rien que de faire ça je suis en transe et ma chatte vibre autant que la bite qui va et vient dans ma bouche. Enfin ce n’est plus un rêve comme quand je suçais la bite de mon grand-père et que je m’imaginais que c’était celle de mon papa. Lorsque je renfonce complétement sa queue dans ma bouche, il gémit.
– Ooooohhh, Manon ! Tu suces ma bite divinement ! Mieux que toutes les putes d’Australie. Mais je veux goûter ton sexe Manon.
Dit-il en m’attirant vers lui. Il m’arrache presque ma nuisette. Il reste figé quelques secondes devant mon énorme poitrine.
– Putain ! T’es magnifique ! Je sens que je vais me régaler avec tes seins ! Mais après ta chatte !
Il se met sur moi en position 69, écarte mes cuisses et dit.
– Huuummmm, tu sens la femelle en chaleur ! J’aime ça !
Au même moment où je reprends goulûment sa queue dans ma bouche, je sens sa langue qui passe sur le haut dans ma chatte. La sensation est si intense que j’arrête de sucer sa bite que je dégage de ma bouche. Quand il s’attaque à mon clito, j’ai un éblouissement et une ou deux minutes plus tard j’ai un orgasme hallucinant. Je n’ai jamais jouis aussi vite de ma vie ! La langue de mon père stimulait ma chatte plus que n’importe quel autre mec que j’ai baisé, et la façon dont il a utilisé le bout de sa langue pour travailler l’intérieur de ma chatte pendant que ses doigts massaient mes lèvres gorgées de sang et que son pouce tourbillonnait autour de mon gros clito gros si sensible a été époustouflant.
Mon père sait plus que tout autre bouffer une chatte et je sens qu’il adore ça. Juste avant que mon orgasme éclate j’ai hurlé.
– Oh mon Dieu ! Papa ! Tu vas…tu….OOOOHHHH, je jouiiiiissss ! Papaaaaaa ! AAAAaaaahhhhhhhh…
Pendant que je jouissais comme une folle, papa continuait de bouffer ma chatte et même de lécher mon cul !
Pendant 5 minutes, il a maintenu ma jouissance tellement il dégustait si habilement mon sexe que des ondes de choc couraient dans tout mon corps.
Quand je reprends sa bite entre mes lèvres, sa tête sort d’entre mes cuisses et en roulant de côté, je me retrouve sur lui. Excité par ma jouissance, il grogne.
– Tu jouis merveilleusement ! Comme une vraie salope ! A toi ! Fais-moi jouir
Rien que d’entendre mon père me dire ça j’ai presque un autre orgasme. Je me retourne pour me mettre à genoux entre ses jambes que je tire au bord du lit.
Quand mon frère ou mon papy me demandait la même chose, je pensais à mon papa et j’imaginais que c’était son sexe que j’avais dans ma bouche. En tenant leurs couilles dans une de mes petites mains, je m’appliquais pour leur donner le plus de plaisir, en guettant chaque réaction de leur bite pour pouvoir être la meilleure suceuse lorsque mon papa me mettra la sienne dans ma bouche et surtout voir leur sperme pulser de leur gland tout rouge.
Avec ces pensées en tête, je me gave de sa belle bite, j’aime la texture des sexes, c’est soyeux avec un corps dur et surtout c’est vivant. Ca réagit sous ma langue quand je lèche son gland ou que je l’aspire entre mes lèvres tout en le taquinant du bout de ma langue. Puis je le suce bien à fond comme si je voulais l’avaler entièrement pour l’entendre gémir.
Ses mains caressent doucement mes cheveux pendant qu’il observe ma façon de déguster sa bite. Ma langue danse et tourbillonne du bas de sa queue jusqu’à son gland qui commence à fuir. Je lui fais tout ce que mon imagination perverse a envie pour me procurer du plaisir en masturbant mon clito et en criant, «papa ».
Pendant qu’une de mes mains tient sa queue, l’autre enfonce ses doigts dans ma chatte trempée. Je suis prête à être baisée par mon père, mais je dois encore patienter pour lui montrer à quel point je veux le satisfaire. Je bouge ma tête de haut en bas, enfonçant chaque fois un peu plus sa bite à l’intérieur de ma bouche. Je suis toujours fière de moi quand j’arrive à faire des gorges profondes, comme mon grand-père me l’a appris.
Je sens que je l’excite de plus en plus et il ne peut garder ses hanches immobiles et il va au-devant de ma bouche dès que son gland sort de mes lèvres. Comme toujours, ça augmente mon excitation quand je sens que l’homme que je suce va perdre le contrôle de son désir. Je l’entends… il gémit.
– C’est ça mon ange, mon Bébé. C’est bien ma fille… vas-y suce la bite à ton papa. Prends-là entièrement. Suce-là !
Je ré-enfourne toute sa bite et il crie.
– OOOhhhhhh, putain de salope ! Je ne peux pas croire que tu me fais ça. Toi mon amour de fille !
Je ne pensais pas que mon père tienne le coup aussi longtemps. Mais son pénis grossit encore plus. Je vais enfin le faire jouir ! Je vais enfin goûter à son sperme. Je raffole du sperme depuis que mon frère m’a fait goûter le sien. Pendants tous mes rêves érotiques je me voyais avaler le sperme de mon papa. Mais ce qui me rend folle c’est de voir les hommes balancer leur foutre sur mon corps.
Je sors sa bite de mes lèvres et je la branle d’une main pendant que je me masturbe avec mes doigts
– Vas-y, papa ! Je veux te voir jouir et voir ton jus sortir de ta bite ! Arrose ma figure et mon corps !
Je le branle furieusement et une seconde plus tard le premier jet de sperme sort de son gland turgescent. Le premier atterrit sur la base de mon menton et coule sur mes seins. Je dirige plus haut sa bite et les jets suivant s’écrasent sur ma figure. J’ouvre la bouche et je récolte son sperme sur ma langue. Immédiatement j’aime le goût particulier du sperme de mon père, tout au moins pour moi qui est tant attendu ce moment.
Je referme mes lèvres sur cette bite paternelle pour ne pas en perdre une goutte. Avec un grognement de fauve, il plaque ma tête sur sa queue pour qu’il finisse de se vider dans ma bouche et ma gorge, et j’avale tout.
– Bon sang ! Manon ! Quelle salope tu es ma fille. Mon ange, tu es une démone ! Mais putain ! Tu es douée pour les pipes !
Heureusement que j’ai une longue expérience sur le sujet car plus d’une femme serait étouffée par un tel gland dans sa gorge et ce flot de foutre épais
.
Je me retire un peu, mais je continue de branler sa bite. Je masse ses couilles pour qu’il se finisse dans ma bouche en gémissant, afin de pouvoir déguster toute sa semence i****tueuse avant de l’avaler.
Quand son gland est tout propre sous mes coups de langue, je me redresse et il m’attire vers lui. Il prend ma tête dans ses mains pour me regarder et je vois dans ses yeux qu’il a eu beaucoup de plaisir à se faire sucer par sa fille, mais il me désire encore.
Sa langue caresse le coté de mes lèvres pour recueillir les gouttes de son sperme qui ont débordées de mes lèvres puis il m’embrasse comme un amant comblé par sa maîtresse.
Sous son baiser, tout mon corps tremble avec une telle intensité que j’en ai mal aux bouts de mes seins et que ma chatte en appuie sur son sexe demi dur à des étincelles qui explosent à l’intérieur de mon vagin. C’est le baiser le plus explosif que j’ai jamais eu. Mon père embrasse comme un dieu de l’amour. Il me repousse en peu et ses yeux se portent sur ma poitrine pour voir mes deux grosses mamelles qui pendent devant son visage. Ses deux mains soupèsent mes seins et il s’exclame.
– Tu as les seins les plus beaux du monde ! Ils sont superbes. Déjà, quand tu étais petite fille, tu avais une belle poitrine alors que tes copines désespéraient d’avoir un jour quelque chose sous leur chemisier Et moi je me retenais pour ne pas les embrasser.
– Alors, qu’est-ce que tu attends papa !
Il embrasse légèrement chacun de mes mamelons plusieurs fois, puis il reprend mes lèvres pour étouffer mes gémissements. Il revient sur mes seins soulevés par ses mains et il tête mes tétons si sensible après un orgasme. La façon qu’il a de tirer légèrement mes tétons gonflés entre son pouce et l’index, en touchant à peine la chair délicate, boursouflée, en me regardant dans les yeux me font gémir profondément. Bien souvent les autres hommes qui me baisent ont tendance à brutaliser mes gros seins en me traitant de grosse vache, et j’aime ça. Là, je suis surprise d’être encore plus excitée sans être malmenée. Mais ce n’est pas n’importe qui, qui embrasse mes seins. C’est mon père ! Et sa queue commence à redevenir bien dure. Je la sens entre mes lèvres de chatte qui suinte de cyprine.
Pendant plus de 5 minutes sa bouche va de mes seins à mes lèvres et moi je frotte ma chatte sur son sexe.
– OOoohh, papa ! Tu me rends folle !
– Et toi tu me rends fou, mon bébé !
Sa bite frotte mon sexe et je bouge de façon à sentir son gland sur mon clito pour, qu’à chaque passage, avoir un délicieux frisson qui remonte dans mon ventre et éclate dans ma tête. Je me redresse pour me mettre à genoux au-dessus de lui et je place sa bite luisante de mouille en dessous de ma chatte bouillonnante.
– Papa…je te veux en moi ! Je veux ton sexe dans le mien !
En se cambrant, je sens la tête de sa bite qui écarte mes lèvres intimes et je gémis
– Huuuummmm, enfin ! Tu vas être en moi…
Je soulève même une jambe pour qu’il ait comme moi une vision claire de sa queue qui va bientôt me pénétrer. Je savoure un court instant la caresse de son gland contre mon clitoris et je vois mon jus qui commence à dégouliner sur le bas de sa bite.
Centimètre par centimètre, je baisse mon corps sur sa queue. Cette lente pénétration me rend folle tant l’excitation est forte. Je me concentre uniquement sur ce sexe qui me remplit pour ne pas me laisser aller tout de suite dans un orgasme qui me priverait de ce souvenir que je veux garder dans ma tête. Papa me fait l’amour et son sexe va bientôt être entièrement en moi. Je deviens sa maîtresse, son amante, en attendant de devenir sa soumise pour qu’il abuse comme il le veut de mon corps. Comme Papy l’a fait en profitant de mon addiction au sexe révélée par mon grand frère.
Je tremble quand sa belle queue me remplit complétement et j’ondule des hanches en me penchant vers lui qui regarde mes gros seins qui se balancent doucement devant son visage. Il les prend en mains pour soulever cette masse de chair et suce mes tétons pendant que je m’installe confortablement sur ses cuisses. Sa bite est complétement enfouie dans ma chatte, et je n’ai jamais ressenti autant de bien-être.
– Tu es devenue une femme super chaude, Manon. On voit que tu aimes le sexe.
– Je suis accro au sexe papa ! Mais avec le tien c’est merveilleux !
Je gémis de concert avec mon père quand je commence à me baiser sur sa magnifique bite que je sens parfaitement dans ma chatte. Comme il vient de jouir je peux profiter de son sexe dans ma chatte qui tremble de plaisir. Je m’imagine même en adolescente qui viole son papa, entrain de me faire dépuceler, avec mes seins tressautant devant son visage
– Vas-y… baise-moi… baise-moi bien, papa… je… oooohhh, tu vas encore me faire jouir ! Avec ta bite ! N’arrête pas de me baiser… ooohh, Ouiiiii !
Son gros gland frotte toutes les parties de mon vagin en feu et ma chatte se contracte sur sa queue pour encore mieux la sentir.
Je monte et descend de plus en plus vite sur sa bite toute raide pour finir par me déchaîner dessus quand je sens que je ne peux plus retenir mon orgasme. Des vagues de jouissance balayent tout mon corps et je hurle mon plaisir en me redressant, tétanisée, alors qu’il écrase mes gros seins dans ses mains, en pinçant mes tétons enflammés.
Ma chatte pleine de spasmes coule comme une fontaine quand il écarte de ses doigts les lèvres de mon sexe en regardant comme moi son gland juste au bord. Il prend mes fesses à pleine mains pour se renfoncer bien à fond, et c’est de nouveau l’extase. Je veux qu’il me baise toute la nuit, toute la journée et que ça ne s’arrête jamais.
Il attire ma tête de nouveau vers lui et sa langue cherche la mienne pour un long baiser tandis que ses mains écrasent mon cul sur sa bite en butée sur mon utérus. J’ondule du cul pour bien frotter toutes les parties de mon vagin sur ce sexe tant désiré, objet de mes fantasmes pendant de longues années.
Je sens ma chatte se contracter sur sa queue toujours dure pour serrer son pieu et le noyer avec ma cyprine. Un autre orgasme puissant me submerge en vagues successives de jouissance.
Papa me regarde
– Manon… je te regarde jouir…mon dieu que tu es belle ! Une déesse de l’amour est sur moi avec mon sexe dans le sien tout brûlant. Et c’est toi, mon ange ! Ma fille tant désirée.
Il s’effondre sur ma poitrine et il enfouit son visage contre son cou. Haletante et pantelante, je suis entièrement satisfaite. Je le laisse reprendre son souffle et puis nous roulons sur le lit avec sa bite toujours plantée en toi. Je souris et baisse les yeux devant cet accouplement i****tueux.
– Mon ange… Je n’ai aucun regret, aucune honte, maintenant tu m’appartiens entièrement et je vais rester avec toi pour satisfaire tous des désirs et perversions quelques qu’elle soit. Je t’aime mon ange, ma salope, ma soumise…ma fille…
Il se recule et sors un peu son sexe de mon ventre. Mais je suis son mouvement pour qu’il reste enfoncé en moi, pour lui faire comprendre que je ne veux pas que sa bite quitte mon vagin et que j’ai encore besoin d’elle dans ma chatte. Le dos et les reins cambrés, tout mon corps se tend vers son sexe qui s’enfonce encore plus loin et je le masse avec mes muscles vaginaux.
– Manon…Je ne m’imaginais pas que tu étais devenue une aussi belle salope ! De nombreuses bites ont dû bien défoncer ta chatte avide. Pourtant, je pourrais croire que tu es encore vierge, tellement tu serres ma queue, et que suis en train de déflorer ma petite Manon.
– Reste, reste comme ça, ne bouge plus, Papa. Je t’aime mon papa d’amour.
Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir, haletants, puis papa commence à faire de petits va et viens dans mon sexe qui se contracte quand je sens que le sien va m’échapper et je le relâche quand il replonge en moi afin qu’il aille le plus loin possible. Je gémis à chaque pénétration et je lui cri mon plaisir.
– Ooooohhh, papa ! Que c’est bon de t’avoir en moi ! T’as une belle bite, bien grosse et j’aime la sentir qui remplit complétement mon ventre. Dis…t’as tout mis…elle est toute entière… dans ma chatte ?
– Oui mon ange, toute en toi, toute à toi.
– Aime-moi, Papa! Baise-moi bien ! N’est pas peur, j’adore ça, vas-y…Viens le plus loin et le plus fort que tu peux.
D’un bon coup de reins, il est au fond de mon ventre et son gland frappe mon utérus. Je ne peux empêcher une brutale contraction de ma chatte accompagnée d’un petit cri de plaisir.
– AAAaahhh… Papaaaaaaaa ! Ouiiiiiiiiii !
Il soulève mes jambes et écarte mes genoux pour faciliter l’accès de ma chatte. En appui sur mes mollets, il recommence à me baiser et sous ses coups de reins, je contracte mon ventre et ma chatte en gémissant en continu. Je voudrais que ce moment dure éternellement mais mon plaisir et mon envie de jouir est tellement fort et grand que je ne peux pas me retenir. Je me laisse aller à cette jouissance i****tueuse attendue depuis si longtemps et mon corps se tend sauvagement sous lui.
– Waouh! Je… jouiiiiiisssssssss ! OHHHH ! AAAAAHHHH!!! Ouuuiiiiiiiiiii! Papaaaaaaaa !
Mes cris de jouissance lui fait perdre le contrôle de sa queue pendant une minute puis il me défonce violemment en claquant brutalement son pubis contre le mien.
Il prolonge ainsi mon orgasme et je n’arrête pas de jouir en hurlant de plaisir. Il me baise de toutes ses forces et moi, sa fille, je participe aussi à cette baise sauvage et sans pitié pour mon corps et ma chatte qui laisse couler sur ses couilles un flot de jus.
Sans relâche sa bite laboure mon puits d’amour et un deuxième orgasme suit le premier qui vient tout juste de s’estomper.
– Ouiiiii! Encore! Ooooohhhhh que c’est boooonnnn… AAAAHHHHhhhhh…. Ouiiiiiiii, papy ! Plus fort !
Il reste enfoncé dans mon vagin brûlant, immobile, sauf sa queue qui palpite répondant aux spasmes incontrôlés de mes muscles internes.
Je sens qu’il ne va pas pouvoir durer aussi longtemps qu’il le voudrait. La pression de ma chatte sur sa bite l’excite beaucoup trop. Il se soulève sur ses bras pour admirer mes gros nibards et surtout mes tétons qui ont pris une belle longueur et qui semblent vouloir éclater tellement ils sont gonflés. J’ai envie qu’il me les mordre à pleine dents mais il ne le fait pas.
Maintenant mes fesses dans ses 2 mains, il ressort lentement sa queue de mon sexe trempé pour éviter de jouir trop vite.
– Noooonnnnn ! Oooohhhh, nooonn…ne part pas ! Reste encore en moi et donne-moi ton sperme ! Je veux te sentir remplir mon ventre !
Il me regarde. Je dois avoir l’air d’une folle, les yeux hagard et humides, la bouche luisante de bave et entrouverte. Je le supplie.
– Allez, Papa, jouis en moi. Je veux sentir ton foutre!
C’est trop pour lui ! Je regarde sa queue s’enfoncer dans ma chatte toute écartelée et dégoulinante de cyprine et il explose en touchant de son gland l’extrémité de mon antre des plaisirs.
Je crie de nouveaux qu’en son sperme frappe mon utérus;
– Aaaahhhhh, ouiiiii… je te sens! Ouiiiiiiiiii vas-y, encoooore! Donne-moi tout ton sperme, Papa… Ooooohhhh, papy…
Mes cris puis mes gémissements ne s’arrêtent qu’à la fin de sa jouissance.
Au-dessus de moi, reprenant son souffle, je vois dans ses yeux qu’il admire mon visage transfiguré par ma jouissance car dans un souffle il me dit.
– Mon dieu que tu es belle ma fille !
Nos yeux restent verrouillés et nous sourions tous deux.
– Merci mon ange, merci pour cette jouissance que tu m’as donné et pour ton corps que tu m’as offert. C’est incroyable… c’est…magique !
Quelques larmes coulent de mes yeux quand je lui réponds:
– Oh, merci aussi! Je n’ai jamais jouis aussi fort! Des vagues de plaisir traversaient mon corps de ma tête à mes pieds ! Je n’imaginais pas pouvoir jouir aussi fort. Quand tu frappais le fond de mon ventre, à chaque fois, ça déclenchait une véritable décharge de plaisir ! C’est formidable de baiser… avec toi… Tu es un amant exceptionnel et mon Papa d’amour !
– Je t’aime ma chérie… mais évite de m’appeler Papy. Je pourrais m’imaginer des choses.
Je rougis en le regardant car je viens de me rendre compte que dans ma jouissance j’ai du prononcé papy au lieu de papa ! Je détourne mes yeux, mais je vois bien qu’un sentiment bizarre, étrange, passe dans ta tête…
Il retire sa bite dégonflée de mon vagin rempli de nos jus mêlés et avec un dernier gémissement qu’en son sexe quitte le mien qui essaie de le retenir, mon père s’écroule à côté de toi en regardant le plafond, d’un air songeur.
Phantome
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