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UN SOIR D’ETE EN BOITE (2)

UN SOIR D’ETE EN BOITE  (2)



Suite de la première partie.

Nous rentrons dans la boite, nous retrouvons notre banquette, j suis contrariée que Patrick et Jean ne respectent pas ce qu’ils nous ont dit. Magali essaie de minimiser ce que je monte en épingle. Alors que nous parlons de ce que Patrick et pourrait invoquer comme excuse, le patron de l’établissement nous interrompt et s’adresse à moi.
– Vous êtes Florence, c’est ça ?
– Oui et quel est le problème ?
– Pendant que vous étiez dehors, d’ailleurs c’était bien hot, j’ai pu un peu voir ça grâce à la caméra de surveillance, votre compagnon, Patrick, a téléphoné, soyez rassurée je n’ai rien dit sur ce que vous faisiez sur le parking. Donc il me prit de vous dire, qu’ils sont au casino de Sète et ils sont coincés ne pouvant en partir car les flics font un contrôle alcootest au rond point qui est le seul passage pour en repartir. Dès qu’ils lèveront le contrôle, ils viendront vous récupérer, de ne pas vous inquiéter et de bien vous amuser. Voila le message, mais connaissant les képis, quand ils s’installent à ce rond point ils y restent souvent jusqu’à 5 ou 6 heures du mat’.
Je le remercie de bien avoir voulu nous transmettre le message, mon sourire refait son retour soulagée enfin de savoir. Le patron reprend la parole.
– Dites les filles, vous êtes sacrément efficaces, vous leur avez fait prendre trois quilles de champ’ alors que mes filles en ont même pas été capable. Vous pouvez revenir quand vous voulez !
– Vous voudriez que nous fassions les entraineuses ? Demande Magali.
– Non pas vraiment, mais vu comme vous faites consommer les mecs qui vous draguent … En attendant si vous le souhaitez, je vous offre une petite bouteille de champ’.
– Avec plaisir répond Magali. Et j’ajoute :
– Ce n’est pas impossible que nous revenions, mais seules cette fois sans soucis de compagnons.
– Ca sera avec le plus grand des plaisirs de vous recevoir, je vous apporte le champagne et amusez vous bien, nous fermons à quatre heures.
J’explique à Magali qu’avant de retourner danser, il faut que j’aille aux toilettes pour soulager ma vessie et m’essuyer car le sperme commence à s’écouler sur le tulle du string sinon je vais « péguer » comme pas possible. Elle m’accompagne pour aussi satisfaire un besoin qui deviendrait vite pressant en buvant une autre coupe.

Quand nous revenons, la boite s’était vidée de quelques consommateurs, il ne restait plus que 7 hommes au comptoir, certainement tous routiers, les trois entraîneuses avaient aussi disparues. Magali me dit tout en servant ma coupe:
– J’ai l’impression de me retrouver six ans en arrière, quand nous sortions en boite, les bonnes soirées et les soirées cata !
Pendant quelques minutes, tout en sirotant notre coupe, on évoque nos souvenirs de nos sorties qui n’avaient pas été toutes sages. Sur les écrans TV les clips sexy avaient été remplacés par une vidéo X, on voyait sur l’écran une fille se faire prendre par trois hommes, c’était pour le moins hard. Le son des « QUEEN et leur morceau « Radio Ga Ga » envahi la boite, il n’en faut pas plus pour nous décider d’aller danser. Magali me fait remarquer que les bonhommes nous lorgnent plus que ce qu’ils matent l’écran TV sur le quel les scènes sont toujours aussi hard. Amusées par leurs attitudes, on en rajoute en dansant plus sensuellement faisant virevolter nos petites robes qui dévoilent le haut de nos cuisses. Magali me souffle à l’oreille.
– Tourne un peu moins vite, car c’est ton cul que tu leur montres !
Deux routiers d’une quarantaine d’année nous rejoignent sur la piste, alors que les « STONES » envoient « Satisfaction » dans la sono. D’autorité, ils nous enlacent pour danser un rock, nous nous laissons guider. Le morceau suivant est bien plus rapide, le routier maitrise bien la danse, petit à petit il fait des passes plus complexes. L’une d’elles m’amène à me retrouver plaquée contre lui, dos et fesses contre son buste et bas ventre, nos bras sont croisés sur ma poitrine et ses poignets écrasent quelque peu mes seins. Contre le bas de mon dos je sens bien son émoi grandir durant ces quelques secondes. Il me fait virevolter rapidement à chaque fois ma robe s’envole offrant aux regards le galbe de mes fesses et le petit triangle du string. Nous dansons plusieurs rocks et c’est à bout de souffle que nous finissons la série, il me serre contre lui, une de ses mains glisse sur mes fesses et dépose un chaste bisou sur mon front en me disant merci. Il retourne au comptoir, je retourne m’asseoir quelque peu décontenancée par son attitude, il aurait pu essayer d’en profiter, et suis quelque peu désolée de ne lui avoir rien dit ni fait pour moi aussi le remercier.
Magali a eu plus de mal à se défaire de son cavalier, qui visiblement ne possédait pas la galanterie du mien. Elle m’explique qu’elle a eu le plus mal à lui enlever ses mains de sur ses fesses ou sur sa poitrine, il l’avait traité de salope et qu’ils nous avaient vu sur l’écran vidéo de surveillance derrière le comptoir nous faire baiser sur le capot de la voiture par les quatre mecs.
Nous décidons du coup de rester sagement assises tout en sirotant les fines bulles tout en discutant du très bon moment que nous avons pris sur le parking. Magali avoue de n’avoir pas joui autant que moi et qu’elle est un peu restée sur sa faim et qu’elle a encore très envie. Je lui dis que le routier qui m’a fait danser avait fait remonter mon excitation et que je regrettai qu’il n’ait pas osé plus. Nous continuons à bavarder sur les souvenirs de nos sorties et nos frasques du temps où nous étions étudiantes.

Peu après entrent dans la boite un groupe de huit hommes aux âges divers allant probablement de 25 à 45 ou 50 ans, ils s’installent autour d’une table face à la notre, mais de l’autre coté de la piste de danse.
Maga me dit :
– Tu as vu il y en a 3 ou 4 vraiment pas mal, surtout le brun à l’allure Italienne !
– Oui, moi je trouve celui qui est châtain très sexy il a des yeux bleu sublime et je ne parle même pas de son cul !
– Mais dis tu n’aurais pas des idées derrière la tête toi ! Lui dis-je.
– Derrière la tête non, mais ailleurs je te dis pas !
– L’alcool te rend lubrique, je lui dis en éclatant de rire.
– Parce que toi non peut être !
– Si si, aussi ! Et on partit de plus belle dans nos éclats de rire.
– Je suis un peu pétée me dit Maga.
– Moi pareil !
Nous jetons de temps à autres des regards vers le groupe d’hommes, eux aussi leurs yeux se partage entre le grand écran plat de tv qui diffuse toujours des scènes hard et nous.
Un homme du groupe se lève et avance vers nous, il doit avoir entre 35 et 40 ans environ, et nous demande dans un français approximatif si nous ne voulons pas nous joindre à eux. Le regard de Maga et le mien se croisent, et je lis dans le sien qu’elle meurt d’envie de se rapprocher du beau brun et sans attendre mon avis elle lui répond par l’affirmative. L’homme semble ravi que nous ayons accepté.

On se retrouve assises presque face à face au milieu des huit hommes. Magali a plus de chances que moi, puisqu’elle se trouve juste à côté du beau « rital », moi, je suis loin de celui qui me fait frissonner avec son air à Patrick Dempsey, il est presque au bout de la banquette faisant face à la mienne. Ils se présentent à tour de rôle, les prénoms ne nous sont pas familiers difficiles de s’en souvenir je ne retiens que Bastian celui du beau châtain aux yeux bleu. On apprend que ce sont tous des routiers Slovènes qui se sont retrouvés au péage de Sète, et sont venus dans cette boite après un repas festif. Ils viennent de servir une sacrée rasade de vodka glacée, et toute la tablée lève son verre à Magali, je bois une petite gorgée c’était froid et fort à la fois…
– D’un coup tout boire, me dit mon voisin qui a son verre vide.
J’avale comme je peux le restant je sens descendre l’alcool vers mon estomac. Mon voisin me prend mon verre des mains pour le remplir presque à ras bord. Devant mon étonnement il me dit :
– Tradition quand invité on boit à sa santé lui verre plein !
Je regarde Maga et elle me dit en souriant :
– Moi il était plein au coup précédent, mais ça passe bien c’est frais.
Je n’en revenais pas d’elle !
A nouveau ils parlent dans leur langue et je comprends Florence à la fin de la phrase, cette fois j’avale presque aussi vite qu’eux mon verre. Au bout de trois ou quatre minutes je ressens comme une sensation de vide et une douce euphorie m’emplir. Bastian n’a pas l’air de faire attention à moi, il regarde plus souvent les cuisses de Magali que sa robe dénude assez haut. Je tire sur le haut de ma robe de façon à bien agrandir le décolleté offrant aux regards un peu plus de rondeur de mes seins dont les tétons pointent fièrement, j’essai d’attirer le regard de Bastian, je croise haut mes cuisses faisant reculer du coup l’ourlet de ma robe. Mon mouvement est suivi par pas mal de paires d’yeux mais pas par celui à qui je le destinai. Je fais face aux clients du comptoir qui eux aussi ont bien suivi mon jeu de jambe. La discussion du petit groupe oriente le regard de Bastian dans ma direction, j’en profite pour décroiser mes jambes en amplifiant lentement le mouvement, cette fois il a regardé comme beaucoup de ses amis, je laisse mes cuisses entrouvertes, et je décèle sur les lèvres de Bastian un petit sourire.

Je vois Magali qui a une main sur chaque cuisse, le « rital » a passé son bras derrière sa nuque et sa main repose naturellement sur son sein. Mon voisin de droite pose sa main sur ma cuisse, je la saisi et la lui repose sur la sienne. Bastian secoue sa tête négativement, et en me fixant dans les yeux écarte ses cuisses. Son message est clair, il veut que j’ouvre davantage mes cuisses. Sans hésiter j’ouvre un peu plus le compas de mes cuisses, il esquisse un petit sourire et dit quelques mots dans sa langue natale qui font rire ses compatriotes.
Magali se laisse embrassée par le « rital » dont la main se trouve sur sa fourche et son autre main a glissé sous le tissu de son décolleté. Bastian se lève et fait le tour par l’arrière de la banquette pour venir derrière moi. Son visage contre le mien, une de ses mains se glisse sous le triangle de tissu qui couvre mon sein, les doigts trouvent rapidement le téton, le font rouler entre eux, tirent dessus, en pincent le bout. Il retire sa main de mon sein le laissant à demi découvert, se recule et en me donnant une petite chiquenaude tout en me disant :
– Fais nous bander et excite moi. Dans un Français presque sans accent.
Lentement ma main se porte sur ma poitrine, mes doigts empaument mon sein et je fais glisser le fin tissu qui couvre ma poitrine, dévoilant doucement mon aréole puis mon téton pour enfin exposer aux regards la totalité du sein. Pendant que mes doigts jouent avec mon téton, mon autre main retrousse le bas de ma robe, j’ouvre un peu plus mes cuisses rendant bien visible le triangle de tulle brodé de mon string rouge voilant si peu ma petite toison brune taillée en un petit triangle et juste sous sa pointe la fente de mon intimité d’où émerge mon clito gonflé d’excitation. Mon voisin repose sa main sur ma cuisse et cette fois je le laisse faire, je regarde Bastian, il baisse et relève sa tête d’un signe approbateur. De ce temps mon autre voisin me tend un petit verre de vodka en m’ordonnant de boire. J’avale cul sec les quelques centilitres d’alcool alors que les doigts de mon voisin de droite parcourent le tulle du string descendent sur mes lèvres et remonte pour titiller mon clito, le pinçant au travers du fin tulle.

La sono diffuse un slow, un membre de la troupe vient m’inviter à danser, j’att**** la main tendue et me lève ne sachant si mes jambes vont me porter, mais si tout va bien je ne tangue pas.
Le routier m’enlace, sa main gauche sur mon flanc droit non loin du sein, la droite tout au bas de mon dos, il me serre contre lui, je me laisse aller. Pourtant j’aurai tant aimé être dans les bras de Bastian, je fondrai dans ses bras m’abandonnant à lui. Je sens mon cavalier durcir contre mon ventre, le morceau se termine, et un autre demande à son tour de danser avec moi, Maga danse aussi non loin de moi étroitement serrée par son rital qui la caresse. Bastian vient à mes côté, je me dis, il vient danser avec moi et je suis parcourue par un doux frisson qui vient pétiller au bas de mon ventre. Mais il me dit sur un ton froid :
– Sois très gentille avec mes amis, si tu veux m’exciter.
Ces paroles s’ajoutent à ma confusion, je le désire, mais suis plus certaine que lui aussi me désire, du moins de la même façon que moi. La petite voix de ma sagesse me murmure de fuir, mais celle de mon désir mêlée à celle de mon excitation me crie fais ce qu’il te demande et sois ce qu’il veut que tu sois. Je me laisse enlacer par un autre de ses amis.

Je n’ai pas de chance c’est un des plus vieux de la bande et il n’est pas vraiment bien physiquement, tout juste plus grand que moi. Il me serre fort contre lui mes seins s’écrasent contre son torse, il bande déjà, je sens son sexe dur aux proportions plus qu’avantageuses se presser contre mon pubis. Il me parle sa voix est douce, il me dépose de petits bisous dans le cou, glissant sur ma joue petit à petit, ses lèvres cherchent les miennes, mais j’esquive le baiser. Il renouvelle son geste, ma bouche fuit la sienne…pour finir, lasse, je cède et sa langue joue aussitôt avec la mienne. Son pouce a escaladé mon sein, rejoint par le reste de la main, tandis que son autre main s’active sur mes fesses. Un de ses copains lui demande de céder la place, ce qu’il fait à regret. Mon nouveau cavalier est très direct il soude sa bouche à la mienne, je n’esquive plus, ses mains explorent plus qu’elles ne me caressent. Un autre bien plus jeune m’enlace à son tour pour un slow plus rapide, cette fois c’est moi la première qui cherche sa bouche, sa main sur mes fesses glisse sur une cuisse et remonte tout en retroussant ma courte robe, massant mes fesses il expose ma croupe à la vue de tous, d’ailleurs des sifflets admiratifs se font entendre. Les sept hommes scotchés au comptoir ne regardent plus l’écran ou passe toujours des séquences des plus hard. Il a dénudé un sein qu’il pelote avidement, ses doigts ont trouvé ma raie culière et la suivent jusqu’à mon sexe. Je suis déçue que ce ne soit pas Bastian qui me fasse subir ces caresses, d’ailleurs me regarde t-il ?

Perdue dans mes pensées, je n’ai même pas fait attention que la musique a changée de style, je regagne ma place accompagnée par mon cavalier. On me propose un autre verre de vodka, que je refuse. Maga est bien entourée et se laisse caresser et embrasser par son rital qui ne s’offusque pas que d’autres mains que les siennes profite des charmes de sa cavalière. Mon beau slave ne me regarde toujours pas. Des mains se sont posées sur mes cuisses, deux autres caressent mes seins. Je m’abandonne à ces caresses agréables qui ne m’apaisent pourtant pas. C’est lui que je veux en moi,…mon esprit s’évade en imaginant son corps contre le mien… les mains qui me caressent deviennent les siennes. Quand je sors de mon rêve, je ne sais combien de minutes se sont écoulées… Ma robe ne cache rien de mes charmes, je suis quasiment poitrine nue, robe troussée à la taille, cuisses écartées offrant impudiquement aux regards mon intimité.
Une main me tire pour me lever et aller danser, les slows sont de retour. J’ai dansé avec 5 autres partenaires, qui n’ont pas hésités à me caresser seins et fesses et les offrants à la vue de tous.

La musique s’arrête et une voix dans la sono annonce qu’il est 3h30 et la boite fermera dans une demi-heure. On regagne notre table.
Je pense à Patrick qui n’est toujours pas là, pourquoi a t il accepté de nous laisser seules pour aller jouer au casino.
Perdue dans mes pensés, des éclats de rire me font revenir au moment présent, enfin mon beau slave me regarde esquissant un petit sourire. Ca y est, les frissons et les picotements si plaisants reviennent m’envahir, ma chatte s’enfièvre se liquéfie agréablement. A cet instant, je sais qu’il pourra tout me demander, je le ferai ! Il sert un verre de vodka ou plutôt finit la bouteille en remplissant un verre, il en boit un peu puis vient vers moi et me tend le verre en disant :
– Moi c’est Bastian, Bois toi fini !
J’avale la vodka tout en le regardant, une fois le verre posé, il me sourit, je suis aux anges, je frissonne de plaisir et je lui réponds :
– Moi c’est Florence ou Flo.
Il pose enfin une main sur mes cuisses, ce contact m’électrise, je sens que je trempe mon string, il les écarte ses doigts se posent sur mon pubis qu’il caresse au travers du string, puis descend lentement entre mes cuisses toujours par-dessus le string passe un doigt sur mon bourgeon gonflé, j’écarte encore plus mes cuisses et avance mon bassin vers ces doigts tant désirés, qui descendent jusqu’au bas de ma fente, là il crochète le fond de mon string et l’écarte exhibant ma chatte. Il laisse retomber le tulle qui reprend sa place initiale, et m’administre du bout des doigts quelques claques sur ma petite chatte.
– Restes comme ça, tu es belle ainsi ! me dit il, il ajoute : Tu as envie que je te baise, non ?
La réponse fuse de ma bouche,
– Oui, j’en ai très envie, je te veux !
– Mes copains aussi ont envie de baiser, si tu me veux, tu devras les laisser te prendre avant !
– Oui Bastian.
– Tu me fais très envie, j’aime bien les petites salopes dans ton genre !!
Bastian regagne sa place sans m’adresser un mot de plus ni même un regard, si ce n’est quelques paroles dans sa langue natale qui font rire ses copains.
Les mains de mes voisins remplacent aussitôt, celle du beau slave sur mon minou et ma poitrine.
Peu de temps après le patron vient nous dire qu’il ferme, il s’avance vers moi pour me dire :
– Toi et ton amie serez toujours les bien venues ici, une bouteille de champagne au frais vous attend, et amusez vous bien, vous les avez chauffé un max !

Tout en disant il pose sa main sur ma chatte qu’il caresse durant quelques seconde, il porte ensuite ses doigts à ses narines et à sa bouche, un petit sourire de dessine sur ses lèvres et il ajoute :
– Il n’y a pas qu’eux qui sont chaud bouillant, tu sens très bon. Et il retourne derrière son comptoir.
Le beau slave revient me parler tout en me caressant les seins.
– Que veux-tu ?
– Je veux que tu me baises.
– Et quoi d’autres ?
– Je veux que tu m’encules, je veux te sucer je veux ton foutre en moi.
– Ok salope, mais ça tu ne l’auras qu’à une condition, dis la moi, je veux l’entendre de ta bouche.
– Je veux que tous tes copains me prennent.
– Ah enfin, je veux baiser une grosse salope, une chienne de pute, tu comprends ? Il me gifle un sein puis l’autre et il reprend : alors j’attends ta réponse.
– Tu baiseras ainsi que tes copains une grosse salope et une chienne de pute.
– Bien et pour me le prouver, tu vas allez voir les mecs qui sont au comptoir et tu vas leur dire que tu veux qu’ils te baisent.
– Tout ce que tu veux, mais j’aimerai que tu m’embrasses avant.
– T’as pas bien compris, c’est moi qui décide et j’embrasserai ta putain de bouche quand je l’aurai décidé, à condition que tu fasses ce que je te demande.
A la place du bisou je reçois une gifle sur la joue et deux autres sur les seins. Malgré ça je suis toujours autant excitée et la petite voix de la sagesse reste muette seule celle de mon excitation commande. Malgré que je réalise ce que je viens d’accepter et qui devrait m’horrifier, je me lève et avance d’un pas hésitant, intimidée surement et l’alcool certainement. Puisqu’il me veut salope, j’arrive devant le petit groupe dépoitraillée, je remarque leur air interrogateur, je faufile au milieu d’eux, je me fais chatte je pose mes mains sur deux torses et d’une voix sensuelle je leur dis :
– Je veux que tous vous me baisez. !
Je vois des sourires satisfaits ou surpris, les plus prompts me caressent la poitrine, d’autres mains se sont faufilées sous ma robe palpant mes fesses ou s’insinuant entre mes cuisses. Bastian et ses amis viennent vers nous, leur expliquant qu’ils vont nous baiser dehors.

Une fois dehors, le patron nous dit que l’éclairage du parking s’éteindra dans une demi-heure, il monte dans sa voiture et quitte le parking. Un des routiers qui avait passé la soirée au comptoir, passe derrière moi, et plaque sa main sur mes fesses en disant : que c’est beau ce petit cul !!
Autour de moi 3 slovènes promènent leurs mains sur mes formes, tandis que mes mains posées sur leur braguette massent leur queue tendue.
Bastian vient vers notre petit groupe, m’att**** par le bras et me demande de le suivre et dit aux autres qu’on revient de suite. Il me conduit jusque devant un camion et il soude tendrement sa bouche à la mienne tout en me caressant un sein et les fesses très sensuellement, nos langues s’emmêlent s’enroulent nos salives se mélangent. Ce simple baiser me fait fondre, déclenche une explosion au bas de mon ventre, je sens ma mouille fuir de ma vulve. A la fin du baiser il me demande :
– Est ce que tu serais d’accord qu’on se revoit, en tous cas moi j’en ai très envie.

Cet homme a le don de souffler le froid et le chaud, mais je sais déjà ce que je vais lui répondre que moi aussi je désire qu’on se revoit. Il me demande mon numéro de portable qu’il enregistre aussitôt sur le sien. Il prononce un merci sincère juste avant de m’embrasser à nouveau. Puis il me demande :
– Tu voudras t’habiller comme je te le demanderai ?
– Oui, je ferai tout ce que tu voudras, je serai ta salope, ta chienne, ta pute.
– tu aimerais être ma pute ?
– Je suis ta pute !
C’est moi qui soude ma bouche à la sienne pour un baiser enfiévré je le supplie de me baiser de m’enculer. Avant il veut me photographier pour m’avoir avec lui quand il sera loin de moi. Il me demande de bien rectifier ma robe et de me positionner devant son bahut. Les flashes se suivent, à sa demande je commence à dénuder ma poitrine, exhibant mes seins aux éclairs qui se succèdent. C’est ensuite mes cuisses et mon pubis juste voilé du petit triangle rouge du string transparent que j’expose, avant que ce soit mes fesses qui ont droit à la même faveur. Après avoir retiré mon string, j’appuie mes fesses sur le rebord du pare-choc et j’ouvre grand mes cuisses offrant impudiquement à l’objectif ce que j’ai de plus intime, j’écarte, sans qu’il ne me le demande, mes lèvres, puis je me tourne et c’est ma croupe que j’offre à la caméra allant jusqu’à écarter mes fesses pour que ma rosette soit bien visible.
Il me remercie de m’être livrée de la sorte, il m’embrasse me caresse, je sens son sexe raide, il bande pour moi et ça me plait. Je remonte mon string, replace les bretelles de la robe sur mes épaules et nous retournons vers les autres qui n’ont pas dû manquer un seul instant de mon exhibition photographique. Nous arrivons sur un espace engazonné où se trouve déjà Magali entourée de cinq hommes, un la prend en levrette, c’est son rital, elle suce à tour de rôle les 4 autres qui la caressent avidement.
– Suce-moi ! m’ordonne Bastian.
Je me mets à genoux dans l’herbe humide et je commence à faire glisser mes lèvres sur son gland. je me sens entourée, cernée, des mains se promènent sur tout mon corps, mes seins, mes fesses, entre mes cuisses sont vite occupés, des bouches embrassent mon cou, mes seins, un plus rapide a déjà glissé un doigt dans mon string et fouille mon vagin trempé de désir, je ne sais où concentrer mon attention, je suis une proie que se partage une bande de prédateurs que j’obsède.

Je me focalise sur la bite tendue de Bastian, la nature a été généreuse avec lui surement pas loin de vingt centimètres et bien épaisse. Je joue avec ma langue sur son gland, puis mes lèvres glissent le plus bas possible, mais je suis loin de pouvoir la prendre entièrement dans ma bouche. Reprenant mon souffle je lui demande s’il aime ma bouche sur sa queue. Il répond que j’ai une bouche de salope, et tout en me giflant sèchement avec son membre il ajoute, t’as intérêt à me faire des gorges profondes si tu ne veux pas déguster, alors ne me déçois pas putain de chienne.
Ses paroles et ses gestes humiliants ont un effet sur mon excitation, je sens un flot de mouille fuir de ma chatte. D’ailleurs celui qui me doigte pense que c’est lui qui me fait cet effet. Je continue à le sucer, mais je suis troublée par la réaction de mon corps voir de mon esprit. Je prends vraiment du plaisir à être insultée, maltraitée par cet homme, je dois bien le reconnaitre. Cet homme m’attire et sa perversion m’excite, et je découvre une nouvelle façon de prendre du plaisir dans la soumission et l’humiliation voir la brutalité.

Alors que j’essaie d’avaler en entier sa queue, il m’agrippe les cheveux et tire ma tête vers lui tout en avançant son bassin, son membre entre un peu plus dans ma gorge, m’étranglant je suis à deux doigts de vomir, ma bave dégouline de ma bouche, il se retire en me disant :
– Je ne vais pas te le répéter, moi je veux que ma pute sache faire des gorges profondes, alors tu vas y arriver ou je te dérouille, compris salope ?
Sa main me gifle la joue, et il me crache sur la bouche. A nouveau je lâche un jet de mouille. Je n’en reviens pas de prendre du plaisir en étant maltraitée.
– Je promets que je vais y arriver, mais tu sais, tu as une sacré belle et grosse queue, mon chéri !
Je m’étonne à peine de ce qualificatif que je viens de lui dire, ce mec m’envoute. Je repose ma bouche autour du gland que je suce avant de descendre doucement sur la tige qui remplie ma bouche, malgré quelques hoquets j’arrive à la base de son chibre. Je remonte lentement prend une nouvelle inspiration et descend à nouveau un peu plus rapidement jusqu’à ce que le bout de mon nez fourrage dans les poils de son pubis.
Je lui souris, il se penche sur mon visage et embrasse mes lèvres en me disant c’est bien ma puce je savais que tu pouvais le faire. Je lui rends son baiser, heureuse et je lui dis :
– Baise-moi comme une chienne !
Il me positionne en levrette, écarte le fond de mon string sur une fesse, je sens sa bite qui descend ma fente tout en écartant mes lèvres, il vient jouer avec le bout de son gland sur mon clito, je feule, grogne de plaisir. Puis il remonte, trouve l’entrée de ma grotte ruisselante et d’une lente poussée pénètre en entier me remplissant le vagin, j’en joui presque. Il entame une série de vas et viens amples, j’ondule pour mieux le sentir m’écarter les chairs, je couine de bonheur. Des bites se bousculent devant mon visage, j’en suce une, puis une autre et encore une suivante qu’on me présente. Entre deux sucions, je dis à mon amant :
– Vas-y baise moi fort, défonce-moi la chatte.
La cadence accélère et devient plus puissante, je sens ses couilles battre mon clito, je suis sur un nuage, j’ai de la difficulté pour sucer ces bites qu’on me propose, je le sens débouler, l’orgasme ravageur déferle j’hurle mon bonheur alors que ces coups de rein deviennent plus fort.
Je reprends mes esprits, il me lime plus amplement d’une façon câline. J’apprécie après cet orgasme puissant qui vient si agréablement de me dévaster. A chaque pénétration mes soupirs deviennent plus audibles, signe que mon plaisir repars et dans un souffle je lui demande de m’enculer.
Il se positionne contre ma rosette et pousse fort, mon anneau cède rapidement et je le sens s’enfoncer dans mes reins d’une seule traite, la brulure est violente mais laisse place rapidement à d’agréables stimuli, il est entré en entier et je savoure pleinement ce délicieux plaisir de me sentir remplie.

Il entame ses vas et viens, ma croupe va à sa rencontre, j’ondule pour mieux le sentir. Je feule, râle mon plaisir et je ne peux m’empêcher de lui dire :
– Vas-y défonce moi le cul, fais jouir ta salope !
– T’aime ça te faire péter le fion, salope de pute !
– Oh oui, vas y plus fort démonte moi, comme ça, oui, que ta bite est bonne, vas y encule moi comme une chienne, tape moi, fais moi mal, je suis qu’une pute, ah oui !
La première claque vient de s’abattre sur une de mes fesses, aussitôt suivie par d’autres alternant d’une fesse à l’autre. Je sens ses couilles venir taper mon clito, il me défonce comme je le souhaitais, ma chatte dégouline, je jouis une nouvelle fois.
Je ne l’ai même pas senti sortir de mes entrailles, quand je rouvre les yeux Bastian est devant moi, la queue à la main devant ma bouche, je l’enfourne, et quelques dizaines de secondes après il se vide par grandes saccades au fond de ma bouche, j’avale sa jouissance, je suis heureuse et comblée.
Il ne me laisse pas le temps de savourer, qu’il annonce au groupe d’hommes qui nous entoure :
– Allez, elle est à vous, faites vous sucer, baisez la, enculez la, vous pouvez tous y passer dessus à cette pute de chienne.
Deux des hommes me relèvent et me courbent en avant, aussitôt une bite se présente à ma bouche que je suce sans attendre. Dans mon dos, un autre soulève le bas de ma robe, m’att**** une fesse qu’il écarte d’une main, dégage la bande du string qu’il place sur ma fesse et ouvre mes lèvres à l’aide de deux doigts, un gland s’appuie à l’entrée de ma vulve et s’engouffre lentement mais sûrement dans ma chaude intimité, j’en gémis de plaisir. il s’agrippe à mes hanches et entame un va et vient, accompagné par mes gémissements. On me guide mes mains sur des queues raides, que j’essaie de branler de mon mieux. Trois hommes se bousculent à tour de rôle pour glisser leur bite dans ma bouche. Je remarque que Bastian filme ou prend des photos. Les sexes se succèdent dans ma chatte sans que pour l’instant un seul ait éjaculé.

Un membre du groupe s’allonge sur l’herbe, la queue dressée, on me pousse vers lui, je l’enjambe, me retrouve à genoux au dessus de son bas ventre et je m’empale sur sa bite qui glisse au fond de ma chatte dans un râle de plaisir. De nouveau, les queues se bousculent devant ma bouche, on me tire par les cheveux pour que j’en prenne une autre, les gars sont impatients de se faire sucer. Je reçois un claque sur mes fesses qui me fait crier de surprise plus que de douleur, une autre s’abat sur mon autre fesse et on me donne l’ordre de me pencher. Un doigt enduit ma rosette de gel, puis force mon anus, ressort et applique une autre dose de gel, cette fois c’est quatre doigts qui me fouillent le cul.
Je sens un gland qui vient se frotter contre mon œillet, mais c’est ma chatte qu’il a choisi et pousse pour se frayer un passage auprès de celui qui se trouve déjà en moi. Il entre m’écartant les chairs, je laisse entendre une plainte rauque tout le long de la pénétration, ça y est j’ai deux bites dans ma chatte qui ne tardent pas à se mettre en action. Je suis giflée par la bite de celui qui veut que je le suce, d’autres jouent avec mes seins triturant mes tétons. Les deux queues font monter mon excitation, je ne suis pas loin de jouir … mais le second se retire et m’encule d’une traite, là je cris plus de douleur que de plaisir, et j’entends les hommes m’insulter de plus belle.

La douleur s’estompe et c’est de plaisir que je soupire à présent. Je me fais enculer à la chaine, j’ai perdu le compte des bites qui ont visité mon cul, on me claque encore les fesses, je reçois des gifles sur mes seins et j’entends la voix de Bastian à mon oreille me dire :
– Dis leur ce que tu es et ce que tu veux qu’ils te fassent.
– Je suis votre chienne, votre salope, défoncez moi la chatte et le cul !
Un autre s’allonge à côté, je dois changer de monture, cette fois je m’assoie sur lui en lui tournant le dos, il guide sa queue dans mon cul et me force à m’empaler jusqu’à ce que mes fesses s’écrasent sur son bas ventre, il tout en moi je le sens gros et long, je feule de bonheur de me sentir pleinement remplie. Il me soulève par les fesses et guide mes vas et viens. J’offre aux regards une vue totale de ma chatte ainsi écartelée, je reçois de petites tapes sur ma chatte baveuse et mon clito qui m’arrachent de petits cris. Je vois un homme se mettre à genoux, bite à la main, il se positionne entre mes cuisses trouve l’ouverture de ma grotte et s’enfonce d’une seule traite. Après quelques aller retour il ressort et laisse sa place à un autre qui sans manière possède ma chatte presque sauvagement, mais il n’y reste pas et se place contre la bite de son compère en disant :
– Ah tu veux qu’on te défonce et bien tu vas en avoir deux dans ton cul !
J’entends Bastian dire allez vas y mets la lui, pète lui le cul.
Je ne veux pas décevoir Bastian et je crane en disant :
– Oui vas y enculez moi en double, éclatez moi mon cul de pute !

Je sais bien pourtant que je vais souffrir, je n’ai jamais fait ça et je sais très bien que je risque d’être déchirée. Je le sens qu’il force, mon anneau s’ouvre un peu, il force encore, je laisse échapper des plaintes, j’ai les larmes qui emplissent mes yeux. Déjà que celui qui m’avait sodomisé avait un sexe plus grand que la moyenne, le second est tout aussi bien monté si ce n’est plus. Mon sphincter cède peu à peu et accepte le membre, le gland est entré, il pousse s’enfonce aux trois quart dans mon fondement, alors que j’hurle de douleur. Ils me laissent récupérer et m’habituer à cette dilatation de ma rondelle, puis ils se mettent en action, je suis remplie comme je ne l’ai jamais été. Un autre vient me branler le clito et la chatte, le plaisir revient estompant peu à peu la brulure de la sodomie, puis il glisse trois doigts dans ma chatte puis quatre et me pistonne dans un clapotis bruyant, j’en reviens pas de mouiller ainsi, je prends du plaisir malgré la douleur et j’ajoute une ondulation du bassin pour mieux être prise par ces deux bites qui écartèlent mon cul, et j’aime ça. Mon plaisir enfle dans mon ventre, mon esprit divague imaginant une autre bite qui me bourre la chatte, autour de moi des queues branlées prêtes à déverser leur jus sur moi … Un homme me force la bouche, je le suce tant bien que mal, mais j’ai besoin d’air, j’entends des voix lointaines qui disent « putain ce qu’elle prend cette salope, elle aime ça cette pute », je n’en peu plus je perds pieds j’en veux plus, encore et encore, je le leur cris :
– Oh que c’est bon, oh oui encore, défoncez moi, enfonce ta main dans ma chatte, allez inondez moi le cul !
Je sens la main m’ouvrir, les doigts avancer dans ma grotte dégoulinante, je cris mon plaisir mon corps se tend, j’ai l’impression de me pisser dessus, je jouis terrassée par l’orgasme.
Quand je reprends mes esprits, ils sont toujours là à me besogner, je n’ai même pas senti que mon second enculeur avait déserté mon cul pour investir ma chatte. Leurs rythme alternés refont naître l’excitation, celui qui me baise accélère, il sort de mon ventre et vient se vider sur le triangle du string m’acculant de son sperme crémeux le fin tulle de ma lingerie.

Celui qui me sodomise le suit de prés et m’arrose copieusement bien fiché tout au fond de mon petit trou, je ronronne comme une chatte au rythme de ses éjaculations.
Je n’ai pas le temps de savourer, qu’on me positionne à quatre pattes, je me cambre, tends mon cul et provocante je leur dis :
– Baisez moi, enculez moi, remplissez moi de votre foutre, j’en veux partout !
A peine avoir fini de prononcer ces mots qu’une pine entre dans ma chatte, un autre vient se faire sucer. Le suivant visite mon cul et s’y vide quelques dizaines de secondes après, un autre choisi ma chatte pour satisfaire son plaisir, les hommes se succèdent en moi, quatre m’ont arrosée mes orifices meurtris.
Je me retrouve à genoux autour de moi se pressent cinq hommes se branlant, j’essaie de sucer les sexes qu’on me présente, mains en hauteur je masturbe deux verges, dans cette position les bretelles de ma robe sont revenues sur mes épaules et un triangle du haut de ma robe et revenu couvrir partiellement un de mes seins.
Un se branle devant ma bouche que j’ouvre pour recevoir son nectar. Mais celui que je branle m’averti qu’il va venir, il se baisse un alors que je le branle encore, et part en jets puissants qui viennent s’écraser sur ma joue. C’est comme un déclic, deux autres jouissent en même temps ma bouche ne peut pas tout récupérer, aux sons guttural s’ajoutent les « prends ça salope ou tiens chienne prends mon foutre ».
Je fini couverte de sperme, j’en ai dans les cheveux mon visage est copieusement garni, mes seins ont reçu leur part, ma robe est constellée de multiples tâches de semence masculine, le tissu du triangle qui couvre mon sein est gorgé de sperme. Je me laisse aller sur l’herbe, bras en croix, j’ambes ouvertes, je récupère lentement de cette débauche sexuelle.

Bastian me prend en photo, en me disant t’es belle quand tu viens de prendre du plaisir et tout se sperme sur toi te donne un air encore plus de belle salope. Je lui souri tout en faisant pointer le bout de ma langue entre mes lèvres entrouvertes. Puis il prend un mouchoir, essuie mon visage, rectifie le haut de ma robe sur ma poitrine, replace le string, me sourit et soude sa bouche à la mienne passionnément.
Magali est toujours avec son « rital » et deus autres hommes qui la caressent. Bastian vient s’allonger à mes côtés. A présent le jour est levé, je demande à Bastian son téléphone et j’appelle Patrick. Il m’apprend que Jean est avec une nana et que lui est aussi en bonne compagnie, je lui dit Magali et moi avons trouvé des routiers très sympa et qu’ils nous baisent bien. Je raccroche après qu’il m’ait dit qu’ils n’allaient pas tarder à venir nous chercher.
Bastian récupère son téléphone et me dit qu’il m’appelle comme ça je pourrai enregistrer son numéro. Durant les minutes qui suivent nous flirtons comme des ados, Bastian fait quelques selfies sur le quel nous sommes joues contre joues, il espère qu’on se reverra rapidement, je le rassure en ajoutant qu’il retrouvera sa salope et qu’elle en a autant envie que lui de le retrouver.
Quelques minutes plus tard la voiture de Jean débouche sur le parking, Patrick sort de la voiture, j’échange, comme le fait Magali avec son « rital » un dernier baiser avec Bastian, alors que je l’embrasse je sens que les fluides de mes amants mêlés aux miens s’écoulent de mes orifices et s’étalent dans les mailles du string, nous rejoignons la voiture en prenant place à l’arrière. Le retour est silencieux.
Une e fois chez nous, Patrick me demande ce que nous avons fait, il n’a pu ne pas remarquer les nombreuses tâches de sperme sur ma robe et mes cheveux collés, je lui réponds que je suis fatiguée que je lui raconterai plus tard et je file sous la douche.
Je m’allonge nue sur le lit, Patrick dort déjà, il fait déjà chaud, la journée promet d’être caniculaire, je m’endors en pensant que je suis sur un parking …

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