Mon ancien copain a déménagé… Je ne connais pas sa nouvelle adresse, impossible de le joindre. Dépité, je suis allé traîner sur un chat gay dans l’espoir de trouver un autre gars. Après plusieurs contacts, j’ai enfin trouvé un homme qui accepte de me recevoir. Il habite à moins d’une demi-heure de chez moi et vit seul.
Nous avons longuement discuté ensemble sur Messenger, échangeant nos idées, nos envies, nos fantasmes… Enfin, pas tous ! J’ai lui avoué aimer être soumis et porter des dessous féminins. J’ai même accepté de passer en vidéo… Je dois reconnaître qu’il est plus facile de communiquer avec un inconnu par l’entremise d’un clavier. E pour finir, nous sommes mis d’accord afin de nous rencontrer.
Fin juillet, je suis allé le retrouver chez lui. Il m’avait demandé de venir avec mon propre matériel (Mes dessous, godes, appareil photo…). Mon cœur battait à tout rompre quand je me suis garé dans une petite rue non loin de chez lui ; inquiet d’être reconnu, d’un pas rapide mais décidé, je me rendais à l’adresse qu’il m’avait communiquée. Un petit sac sur le dos dans lequel j’avais osé cacher quelques sous vêtements sexy, un godemiché décroché d’une ceinture qu’utilisait ma copine pendant nos ébats, un appareil photo numérique et quelques préservatifs.
J’ai appuyé sur le bouton de la sonnette et la porte s’est ouverte un court instant après ; je ne pouvais plus fuir ! Il est devant moi, plutôt bel homme, à me proposer d’entrer.
Aussitôt le seuil de la porte passée, il m’ordonne de me changer. Il s’allonge sur son divan et continue à regarder un film qu’il ne voulait pas manquer. Un peu surpris, mais décidé, je me déshabille, sentant son regard sur moi par instant et enfile une guêpière porte jarretelles et un string dentelle. Un peu maladroitement, je m’excuse de n’avoir plus de bas, désolé de ces portes jarretelles orphelins qui pendent le long de mes jambes. Par chance, il en a qu’il me prête.
Dans cette tenue sans équivoques, je suis maintenant à sa disposition ! Il me dit de m’asseoir dans le fauteuil comme si j’étais sa petite femme et d’écarter les cuisses. C’est très excitant ! Je me sens femelle…
Un moment plus tard, il s’approche de moi, passe sa main sur mon string et me caresse doucement entre les jambes. Il est derrière moi, calme. Je laisse ma tête aller en arrière, je suis si bien ! Il dégage délicatement mon sexe de ma culotte, passe sa main dans mon soutien gorge en me titillant les tétons, me demandant si j’aimais le travail des seins ; je répondis oui aussitôt.
Il s’absente un instant pour revenir derrière moi, dégageant mes seins, il pince mes tétons de ses doigts ; ces derniers ne tardent pas à se durcir et se dresser comme pour aller à la rencontre de ses doigts habiles. Mon corps est en fusion, mon coté féminin prend le dessus, des gémissements s’étouffent au fond de ma gorge tandis que mes jambes s’ouvrent presque inconsciemment. Des pinces à linges prennent alors la relève de ses doigts ; une légère et agréable douleur fait chavirer mon esprit. Je sens mes seins ! Une indescriptible envie se fait sentir entre mes jambes grandes ouvertes. Je reste là, offerte, les yeux fermés, les mains posés sur les accoudoirs du fauteuil à apprécier le plaisir d’être sa petite femme soumise.
Quand il me sent prête, il m’indique la chambre et me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Ses caresses reprennent un instant ; il se saisit alors d’un plug qu’il couvre d’un préservatif et en écartant doucement mon string, lubrifie mon petit trou dans lequel il ne tarde pas de faire disparaître le jouet dont seul l’embase évasée l’empêche de disparaître entièrement en moi. Je suis aux anges, creusant les reins comme une cochonne.
Il m’ordonne de ne pas bouger le temps qu’il prenne sa douche. Je reste ainsi, obéissante à attendre le retour de mon homme. Que je suis bien !
A son retour, il peut constater que je n’ai pas bougé. Se plaçant sur le coté du lit, il me demande de le sucer. Je vois son sexe encore tout mouillé mais ne peut malheureusement me résoudre à l’avaler sans préservatif. Compréhensif, il s’exécute. Je me fais l’effet d’une pucelle timide. Je devrais pourtant faire tout ce qu’il veut si je veux vraiment être sa « salope ». Il est si doux qu’il mérite bien un effort de ma part, aussi quand son sexe se représente devant mes lèvres, paré de cette saloperie de capote, je suis bien décidée à m’en occuper comme il se doit. Je m’approche son sexe que je fais disparaître dans ma bouche ; ma langue lèche le gland avec application ; je m’efforce à le sucer le mieux possible, essayant d’avaler entièrement sa queue que je sens durcir. Je pompe, lèche, le branle un instant sans le lâcher et pompe à nouveau… Il me rempli la bouche, frappe au fond par moment ce qui me fait monter les larmes aux yeux, mais continu quand même. J’ai vraiment envie de lui faire plaisir !
Plus tard, il sort et vient se mettre entre mes jambes. Il dégage le plug qui bouche le passage, qu’il lubrifie à nouveau. La pipe n’était qu’une simple « mise en bouche » ! Les choses plus sérieuses vont commencer. J’ai envie qu’il me baise et il l’a bien compris. Écartant mon string, il peut constater que je suis prête à le recevoir. Je tends maladroitement les fesses vers lui entre lesquelles, il guide sa bitte de mec. La pression se fait sentir… Mon petit anneau ne résiste pas longtemps. Ses mains se posent sur mes hanches et il entreprend des allers retours de plus en plus loin. J’aime la sensation que ce membre tant désiré m’offre : Il est dur et chaud, labourant mon cul sans retenues. Je me cambre d’envie, écarte mes fesses, gémissant de plaisir, essayant de venir à la rencontre de sa queue. Dans ma tête, les images se bousculent : je suis une pute qui se fait baiser, une salope qu’on humilie en l’enculant, une véritable chienne en chaleur ! L’a-t-il deviné, ses mots deviennent plus crus. J’acquiesce en gémissants à chacun de ses qualificatifs ; il m’insulte presque et j’adore ça ! J’ai le droit à quelques tapes sur les fesses, une première pour moi. J’ai envie d’une fessée mais n’ose pas lui demander, pas encore mais n’hésite pas à les lui tendre encore plus. Je sais qu’il a bien compris que j’aimais lui être soumise à mes réactions à ses coups de boutoirs. J’ai tellement envie qu’il jouisse en moi, même si le préservatif me privera du plaisir de sentir sa semence couler dans mes entrailles. Je suis vraiment devenue un trou à bites !
J’ai encore envie de le sucer, de le nettoyer et quand il sort de ma chatte de mec, je suis honteuse, si honteuse ! J’avais pourtant pris toutes mes précautions, mais le lavement n’avais pas si bien fonctionné et n’ai donc pu me résoudre à le resucer. Compréhensif, il change de capote, se couche sur le lit ; je me place à genoux à ses coté et reprends sa queue dans ma bouche. Hummmmmm ! J’avale celle qui vient de plonger dans me entrailles et recommence à pomper comme la cochonne que je suis vraiment devenue m’appliquant du mieux possible. M’ordonnant de lui lécher les couilles, il reste un moment ainsi avant de me pousser sur le coté pour venir s’agenouiller au dessus de ma figure. J’essaie d’avaler ses couilles. Il triture mes seins qu’il a dégagés de mon soutien gorge. Mes tétons sont presque douloureux mais c’est si bon. Il se branle au dessus de ma poitrine en me regardant, impudique, jambes écartées me caresser de plus en plus vite. Je suis un objet sexuel, son objet ! J’aimerais qu’il me face m’enfoncer un gode énorme ou tout autre jouet à son goût, qu’il me soumette encore plus, devenir sa soubrette…
Je sens alors mon homme se crisper. Il jouit ! Hummm ! Il jouit sur moi pendant que je le lèche encore… Merci, merci… Je ne tarde pas à jouir moi aussi. Je jouis comme un mec mais ai pourtant été un long moment une femelle en chaleur, baisée, humiliée, défoncée, fessée, plugée, avilie. Il a su facilement faire sortir de moi la pute qu j’aime être, peut être encore un peu trop inexpérimentée mais avide de faire mieux la prochaine séance.
Après une douche, la femelle a laissé le retour à l’homme. Nous sommes restés un instant à discuter comme deux copains ; il est très sympathique. Je me demande s’il me croit vraiment quand je lui dit vouloir revenir vite le voir tant il parait incrédule. Evidemment, marié, c’est bien moins facile de se libérer sans éveiller de soupçons mais je vais tout mettre en œuvre pour lui permettre de parfaire à mon éducation… Avec toujours en tête de faire des photos de nos ébats.
Je suis reparti comme j’étais arrivé, aussi discrètement que possible, heureux d’avoir été, ne serait-ce qu’un instant, dans la peau d’une femme soumise.
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