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un soucis financier (14)

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Je me réveillais le lendemain matin vers 9h30. Amalia sortait de la salle de bain, le corps entouré d’une grande serviette blanche. Elle venait de prendre une douche, et son corps sentait bon le gel douche.
Sandrine entra à son tour dans la chambre, silencieusement, avec dans les bras un plateau avec le petit déjeuner pour tous les trois. Elle était nue. Elle nous fit un petit sourire, et fit signe à sa fille de venir s’assoir dans le lit pour prendre le petit déjeuner.
– J’ai fait du thé et du café, je ne sais pas qui prend quoi, murmura t-elle d’une voix assez chaleureuse. J’ai également fait chauffer des croissants.
Amalia fit tomber la serviette au sol, et s’asseya nue dans le lit.
– Mmmh ça sent bon maman.
– Dis, tu as pas pris un peu de poids ? Doucement sur les croissants, tu es un peu grassouillette.
Le visage d’Amalia s’assombrit aussitot. Lui parler de son poids avait toujours été source de complexe, bien qu’elle ne soit pas grosse. Ses formes étaient généreuses, tout simplement.
– Maman, ne commence pas s’il te plait…
– Je dis ça pour toi. Si tu as envi de ressembler à rien…
– S’il te plait !
Elle était génée que sa mère lui parle ainsi en ma présence. Je voyais que c’était humiliant pour elle. Je décidais d’intervenir dans la discussion :
– Amalia, masturbe toi en écoutant ta mère. Et Sandrine, allez y, continuez, vous trouvez qu’elle risque d’être grosse Amalia ?
– Il faut qu’elle fasse attention. Elle n’est pas maigre, elle prend du poids facilement. Elle avait des bourelets quand elle était adolescente. Et puis là on voit à son ventre qu’elle est un peu grassouille.
Amalia était assise sur le bord du lit, elle nous tournais un peu le dos, m ais je voyais qu’elle était en train de se masturber comme je lui avais demandé.
– Traitez la de sale grosse…
Sandrine eut un demi sourire, un peu moqueur et s’adressa à Amalia :
– T’es une sale grosse… une grosse dondon…
Amalia se masturbait fort maintenant, on entendait des petits bruits de chatte mouillée.
– Et tu te rappelles quand tu étais adolescente, je te donnais des yaourts aux pruneaux tous les jours, et un laxatif le dimanche, pour que tu te vides, que tu ne gardes pas tout ce gras.
– Oh maman… Arrête… Pourquoi tu racontes tout ça ?
Je me levais, et filais une gifle sur le visage d’Amalia.
– Branle toi la chatte et écoute. C’est tout ce qu’on te demande.
J’attrappais les seins généreux d’Amalia et me mit à les pétrir et à les malaxer.
– Regarde ça comme c’est gros… C’est des seins de grosse… Tu peux faire tout le sport que tu veux, ça n’y changera rien.
– Parlons en du sport, je l’ai inscrite en salle de sport avec moi, elle a perdu un peu de gras, mais elle a pris du muscle en échange, et elle est toujours aussi grosse.
– Maman, j’avais perdu 3kg, et j’avais travaillé dur !
– Ca n’empêche que tu es toujours la meme grassouille.
Je regardais Sandrine :
– J’ai des laxatifs dans la salle de bain. Allez lui en préparer un sachet. Ca lui fera pas de mal.
– Ah oui bonne idée, il faut qu’elle en reprenne.
Sandrine se leva, alla à la salle de bain, chercha un peu dans les placards, trouva les sachets, et en versa un dans un verre d’eau. Elle revint vers le lit, et, une fois devant sa fille qui se masturbait toujours, lui tendit le verre.
– Bois, et tu nous feras verifier tes selles.
– Oh mais maman….
Amalia ne put retenir un orgasme à cet instant. Elle se crispa un peu en immobilisant sa main, et lacha quelques soupirs. Puis elle réouvrit les yeux, reprenant doucement ses esprits, et vit le verre tendu juste devant elle.
Elle le prit, obéissante, et le but d’un trait.
– C’est bien ma cherie, fit Sandrine, c’est pour ton bien.
Je regardais Sandrine attentivement depuis un moment. Le plus drole dans l’affaire, c’est qu’elle semblait penser vraiment ce qu’elle disait.
– Bon Sandrine, à quatre pattes sur le lit. On a assez rigolé. Je vais t’enculer comme il se doit.
Sandrine, doucement, obéissante, s’installa sur le lit, dans la position demandée, tendant sa croupe vers moi. Je me plaçais derrière elle, et lui écartais ses petites fesses. Je collais mon gland contre son anus, et me mit à forcer. Je rentrais doucement.
– Fais lui bien mal, surtout, me murmura Amalia.
Je tournais la tete vers Amalia et lui fit un clin d’oeil. Je donna un coup de queue violent dans le cul de Sandrine. Ma queue, qui était à peine rentrée, se retrouva au fond de son cul.
Elle poussa un long cri et s’effondra dans le lit. Je l’enculais à plat, lui collant la tete dans l’oreiller.
Amalia me regardait faire, passive, tandis que je détruisais le cul de sa mère.
Puis elle se leva, marcha sur le lit, enjamba sa mère, et s’agenouilla au dessus d’elle.
– Puisque ce sont mes selles que tu veux… Je vais t’en donner maman.

Ce qui suivit m’indiqua bien que la relation entre Sandrine et sa fille aller changer irreversiblement. Tous ces non dits, qui ressortaient aujourd’hui, crument, qui les permettaient de se liberer l’une de l’autre.
Après ça, Amalia m’embrassa sur les lèvres. Avec de la reconnaissance dans le regard. Elle savait que je la trouvais belle.

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