Tout à commencé lors d’un banal mercredi. Alors que j’étais sur le chemin pour rentrer chez moi, ma société étant fermée chaque mercredi après-midi, ma voiture s’arrêta subitement. Je m’aperçus alors qu’il n’y avait plus d’essence et malheureusement pour moi, le voyant lumineux qui aurait du me prévenir n’avait pas fonctionné sur ce coup.
Le problème, c’est que j’étais au milieu de nulle part et le matin même, j’avais oublié mon téléphone portable chez moi, je n’avais donc aucun moyen de prévenir mon mari. Car oui, je suis marié avec mon premier amour, on a tous deux 48 ans et je dois bien avouer que malgré le fait que je l’aime encore, une certaine routine sexuelle s’est installé depuis un certain temps me frustrant de plus en plus.
Mais revenons à nos moutons. J’étais donc là, au milieu de nulle part, attendant qu’une voiture ne passe en espérant qu’elle s’arrête pour m’aider. Au bout d’une vingtaine de minute, je vis enfin une voiture arriver au loin avant qu’elle ne s’arrête à ma hauteur.
Lorsque la vitre se baissa, je pus voir qu’il s’agissait d’une homme derrière le volant, il devait avoir approximativement mon âge.
– C’est combien ?
– Comment ça c’est combien ? Lui demandais-je, surprise par sa question.
– Bah pour la totale pardi !
– Non mais vous pensez que je suis une pute ?!
Après quelques insultes des deux cotés, il finit enfin par repartir. Après m’être calmée, je devais avouer que les circonstances pouvaient laisser penser que j’étais une fille de joie.
Une dizaine de minute plus tard, une autre voiture s’arrêta à quelques mètres de moi, j’étais un peu craintive vu la manière dont ça c’était passé avec le précédant conducteur. Heureusement pour moi, il s’agissait cette fois-ci d’une jeune fille, je pense qu’elle devait avoir la vingtaine.
– Quelle problème avez vous madame ?
– Une panne d’essence, il me serais possible d’utiliser votre téléphone pour que je puisse appeler mon mari ?
– Oui bien sur.
Elle se mise à chercher son téléphone dans son sac.
– Ah mince je n’ai plus de batterie, me dit-elle.
– Je n’ai vraiment pas de chance…
– Ce que je vous propose, c’est que vous montiez avec moi, on va dans une station service et je vous ramène ici ensuite.
J’acceptais bien entendu sa proposition avec plaisir. Sur le chemin, on put faire connaissance, c’était une fille très sympa, je finis par lui raconter ma petite anecdote avec le conducteur qui m’avait prise pour une prostituée avant qu’elle n’arrive.
– Ca ne m’étonne pas car les mecs ne pensent qu’avec leur bite, me dit-elle.
– Pas tous malheureusement.
– Comment ça ?
– J’aimerais bien que mon mari pense un peu plus avec sa bite si vous voyez ce que je veux dire… Excuse moi, je n’aurais pas du vous parler de cela.
– Pas la peine de vous excuser, il n’y a aucun problème, mais vous ne faites plus du tout l’amour ?
– Si, mais c’est de moins en moins fréquent et avec de moins en moins de passion.
– Vous êtes pourtant très belle et très désirable !
– Je vous remercie.
– C’est d’autant plus sincère que je suis bi.
J’étais quelques peu gênée d’apprendre cela, j’en venais même à me demander si elle n’était pas entrain de me draguer gentiment. Mais je dois aussi dire que l’idée qu’une femme comme moi pouvais plaire à une jeune fille canon comme elle flattait grandement mon égo. Je me surprise même à regarder un peu dans son joli décolleté.
Après avoir le plein dans un bidon, elle me ramena vers ma voiture mais à mi-chemin, elle s’arrêta subitement.
– Tu me joues le coup de la panne ? Lui demandais-je en rigolant.
– Vous aimeriez bien n’est-ce pas ?
– Euh…
– Arrêtez, j’ai bien vu comment vous me regardez depuis que vous savez que je suis bi.
Tout en me disant cela, elle me caressait sensuellement mes cheveux.
– On ne peut pas faire ça, lui dis-je très troublé par la situation.
– Mais vous en avez très envie pas vrai ?
– Oui, lui répondis-je sans en baissant la tête.
– Vous avez envie de m’embrasser ?
– On… On ne peut pas.
Elle savez à cet instant qu’elle avait gagné.
– Vous l’avez déjà fait avec une femme ?
– Non.
Elle me pris ma tête entre ses mains pour me forcer à la regarder. Son regard était sublime et nos lèvres se tenaient à quelques centimètres.
– Alors laissez moi être la première à avoir cet honneur.
Je ne pouvais plus lui résister, ses lèvres se plongèrent sur les miennes avec une v******e folle. Elle m’embrassa avec une fougue que je n’avais plus connue depuis longtemps. Mon corps était en extase, j’embrassais chaque parcelle de son visage pour m’imprégner au maximum de cet instant irréel. Puis, sa main passa sous ma chemise, je sentis alors quelques goûtes de plaisir dans ma culotte. Je n’avais qu’une envie, profiter de ce jeune corps pour connaître de nouveau plaisir. Du coup, je lui fit enlever son t-shirt pour enfin pouvoir tenir dans mes mains sa très belle poitrine. Tout en caressant un de ses seins, je pris le second dans ma bouche afin de le lécher.
– On devrait passer à l’arrière de la voiture pour être plus à l’aise.
Elle avait raison, donc on sortit de sa voiture pour se mettre sur la banquette arrière. Elle m’allongea et m’embrassa sur le ventre tout en me caressant mes tétons. Mon sexe dégoulinait et je voulais absolument qu’elle goûte à ma mouille. Lorsqu’elle remonta son visage au niveau du mien pour m’embrasser langoureusement je lui pris la main et la fit glisser sous ma culotte. Des que ses doigts palpèrent mon excitation un frisson emplit mon corps.
– Je ne pensais pas parvenir à vous exciter à ce point, je vais me régaler à tout déguster.
Et sans plus attendre elle laissa un, puis deux doigts glisser dans ma fente. Mon dieu, c’était tellement bon ! Elle commença à me pilonner le bas ventre tout en m’embrassant follement. Je ne gémissais plus, je criais. J’aurais voulu que jamais plus ses doigts ne me quittent.
Au bout de quelques minutes, elle se plaça sur moi, de façon à débuter un 69. Sa bouche était dans un premier temps sur mon ventre puis très vite sur mon intimité. Ainsi, sa langue fouillait ma chatte pendant que ses doigts masturbaient mon clitoris. De mon coté, je caressais tout ce que mes mains peuvent atteindre de son corps.
Mes mains écartaient les lèvres de son vagin et ma langue pu alors pénétrer dedans. Je me lâchais totalement et sans même m’en rendre compte, je commençais à lécher son anus avant de revenir sur son abricot. Sous l’effet de ses mains et de ses doigts qui masturbaient mon vagin et mon clitoris je commençais à crier. Une de mes mains masturbait son clitoris tandis que les doigts de mon autre main fouillait son anus. Elle commençait à son tour à gémir. Nous continuâmes à nous caresser et nous masturber longuement et frénétiquement, c’était maintenant un concert de gémissements et de cris.
Je fus la première à jouir, et elle me suivis quelques minutes plus tard. Après avoir repris nos esprits, elle me ramena vers ma voiture. Avant que je ne descende, elle repris la parole.
– Vous regrettez ? Me demanda t-elle.
– Absolument pas, c’était très bon mais j’ai une question, j’aimerais savoir qu’elle est le prénom de la première femme à me faire l’amour ?
– Je m’appelle Laura.
Suite à cela, je quittais sa voiture, je la regardais partir au loin. Je n’en revenais toujours pas, je venais de faire tromper mon mari en faisant l’amour avec une jeune femme qui avait l’âge d’être ma fille et j’avais adoré cela. Alors que j’étais toujours entrain de penser à cela en étant adossé contre ma voiture, une autre voiture s’arrêta prêt de moi, la vitre se baissa, je vis alors un jeune homme qui s’adressa à moi.
– Excusez moi madame, vous avez un problème avec votre voiture ?
Au moins, il était poli, par rapport à l’autre type de tout à l’heure, cela me changeais.
– Non non mais c’est gentil de demander.
– Ah… Alors vous…
– Vous quoi ? Lui demandais-je, intrigué par sa soudaine timidité.
– Vous êtes là pour… Pour travailler ?
Dans un premier temps, j’avais envie de l’envoyer sur les roses comme le précédant. Mais sa timidité, et le fait qu’il était plutôt mignon combiné au fait que j’étais encore tout émoustillé par ce qu’il venait de m’arriver avec cette Laura me donnais envie de re-tromper mon mari mais avec une jeune bite cette fois-ci. Du coup, je me dis que je pouvais joindre l’utile à l’agréable.
– C’est 100€ jeune homme.
– Très bien, les voici.
Alors que j’étais entrain de ranger les billets qu’il m’avait donné, je vis que ce jeune homme avait baissé la braguette de son pantalon afin de sortir son sexe et était entrain de s’astiquer tout en me regardant. La simple vision de ce jeune sexe raide à cause de moi m’excitais énormément surtout qu’elle était bien plus grosse que celle de mon mari.
Son sexe était donc devant moi et déjà bien tendu, je posais ma main sur ses bourses avant de commencer à le caresser, puis je remontais lentement pour saisir son sexe afin de le masturber. J’accélérais mes vas-et-vient, lui commençait à grogner de plaisir. Je fis ensuite entrer sa verge dans ma bouche et entrepris une fellation.
A ma grande surprise, je réussie à avaler sans difficulté la totalité de sa bite, ce qui le pris au dépourvu et le fit soupirer de plaisir. Mais il se repris un peu et me saisi alors la tête. Voyant que je pouvais lui gober la totalité de son pénis sans trop de difficulté, il se mis à me baiser la bouche avec ardeur. Je recrachais de longs fils de baves qui venaient souiller ma chemise. Sans vraiment me demander mon avis, il commença à déboutonner ma chemise. Je fis non de la tête en essayant de le retenir mais il insista.
– S’il vous plaît ! Vous êtes trop belle, je m’en voudrais longtemps si je ne pouvais pas en voir plus.
Je finis par lui céder et le laissa enlever ma chemise. Une fois cela fait, je me remise à genoux devant lui pour lui gober de nouveau sa belle bite, l’avalant entièrement à chaque aller retour, lui pompant le gland, lui léchant ses testicules. Cette fois, vu ses râles, je savais qu’il pouvait craquer d’un instant à l’autre.
Mais je suis bien trop excité pour en finir comme cela, j’ai besoin de sentir sa virilité me remplir. Du coup, j’arrêtais la fellation pour retirer ma jupe et ma culotte. Je me cambrais un maximum en m’appuyant sur ma voiture. Il put alors commencer à me pénétrer, s’enfonçant, et se retirant. J’étais tellement excité que je poussais des cris de plaisir à chacune des poussées de son sexe dès le début. Il me limait comme jamais on m’avait pénétré, me remplissant complètement.
Je prenais un pied incroyable et je fus vite de nouveau au bord de l’orgasme, je contractais mes muscles sur cette grosse bite jusqu’à l’explosion de mes sens, un flot de mouille s’échappa même de mon sexe. Lui aussi prenait énormément de plaisir vu ses gémissements de plus en plus fort. Je n’aurais pas cru pouvoir encaisser aussi facilement un tel sexe. Les coups de boutoir de ce jeune homme étaient douloureux mais cela ne faisait que décupler mon plaisir ! J’aurais voulu qu’il me pénètre ainsi encore pendant des heures mais je sentais son excitation atteindre le maximum qu’il pouvait tolérer !
Sachant qu’il n’allait pas tenir plus longtemps, il se mis à accélérer ses mouvements. Tout à coup, des flots brûlant de son sperme inondèrent mon vagin en fusion. Une fois qu’il se retira de moi, je me surprise à me jeter sur sa bite pour la lécher afin d’avoir un peu de son sperme dans ma bouche alors que j’avais toujours refusé de le faire avec mon mari. Puis, il remonta dans sa voiture après m’avoir remercié et partit. Après m’être quelque peu nettoyais avec les moyens du bord, je pus remonter dans ma voiture pour enfin rentrer chez moi, des fantasmes plein la tête et espérant me faire prendre par mon mari en arrivant.
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