Pour égayer ses temps morts, rien ne vaut quelques exhibitions…
Dimanche 14 avril 1991
Nous profitons de notre passage pour aller voir Valy. Il y a Marie-Lou, mais Ben est tout le week-end chez son père. Il nous faut un peu insister pour qu’elle accepte que nous prenions tous le soleil à poil ensemble. Elle ne veut pas trop le montrer, mais son regard est assez attiré par l’épilation radicale de Ju.
Après le déjeuner, nous sommes étalés sur la terrasse et la conversation vient sur Ben et la gestion de la nudité à la maison. J’en profite pour argumenter:
— Et alors, pourquoi pas avec lui aussi?
— Allons, Caro, il est encore jeune.
— Vous ne seriez pas les premiers à faire du naturisme en famille, c’est très courant.
— Tout de même, je ne sais pas trop, me mettre nue devant lui…
— Le mieux serait d’essayer, pour voir sa réaction. Qu’en penses-tu, Valy?
— Oh, tu sais, il m’a tellement souvent vue en string, ainsi que Caro. Et toi aussi maintenant que tu en as un. Donc ça devrait le faire sans problème.
On parlemente encore un peu, et c’est Ju qui l’emporte:
— Oui, Marie-Lou, et le mieux, ce serait que pour la première fois il ne soit pas le seul mec à poil au milieu de nanas. Donc profitons que je suis aussi là pour le faire tout à l’heure quand il reviendra. Ça t’aidera aussi.
— Bon, vous m’avez eu, c’est d’accord pour essayer.
Quand il arrive, vers cinq heures, il a donc la surprise de nous trouver ainsi, et il ne fait pas de manières pour aller se déshabiller et nous rejoindre dans le plus simple appareil. Il est tout de même un peu intimidé et donc ne bande heureusement pas. Maire-Lou est enfin entièrement rassurée et convaincue lorsque nous les quittons.
Vendredi 19 avril 1991
Ce matin, je suis passé par le marchand de journaux et j’ai vu avec plaisir que notre aventure du réveillon était parue et que j’étais en médaillon en couverture. J’ai aussi remarqué que la commerçante m’a regardé d’un drôle d’air quand je suis passé au comptoir pour payer. Elle m’a certainement reconnue sur la photo…
Ce soir, j’ai des nouvelles de Valy. Tout s’est bien passé depuis dimanche, et il y a même eu une péripétie mardi soir.
Ils étaient tous les trois à poil en train de regarder la télé, Marie-Lou dans le fauteuil, Ben et elle dans le canapé. Il s’était un peu assoupi, et il devait rêver à quelque chose d’intéressant car il s’est mis à bander. Marie-Lou s’en est aperçue et ne savait pas quoi faire mais Valy est intervenue:
— Chut, maman, laisse, c’est la nature. Et c’est un peu rigolo, non?
Puis le film s’est terminé, et la musique du générique l’a enfin tiré de sa torpeur. Marie-Lou, toujours gênée, a dit qu’il était grand temps d’aller se coucher. Ben ne s’était encore pas rendu compte de son état et s’est levé, la bite à l’horizontale. Sa mère lui en a fait la remarque gênée:
— Euh, Ben, si tu pouvais nous dispenser de ce genre de vision…
Il a enfin vu de quoi elle parlait et a vite mis sa main devant l’objet du délit:
— Oh, pardon, je l’ai pas fait exprès…
Valy a calmé le jeu:
— Allons, maman, c’est pas grave, c’est naturel. Et on en a déjà vu d’autres, non?
Comme Marie-Lou en convenait pour ne pas dramatiser, Ben en a profité. Il a pris le temps de boire un verre tranquillement, histoire de leur exhiber le plus longtemps possible son érection qui s’était bien rapproché de la verticale entretemps.
Mercredi 22 mai 1991
Vu mes horaires, j’ai imaginé pour m’amuser un peu un petit traquenard pour la nouvelle jeune factrice qui nous livre le courrier à la maison. J’ai posté une lettre recommandée (bidon) à mon adresse.
Et ce matin, enfin on sonne mais je vérifie par le judas que c’est bien la préposée. Je vais vite ouvrir le robinet de l’évier, j’enfile mon petit tablier, puis j’ouvre la porte.
La nana est un peu surprise de ma tenue, d’autant plus que la partie haute du tablier laisse échapper mes tétons sur les côtés. Mais elle se ressaisit et m’annonce une recommandée. Je la stoppe:
— Attendez, je vais arrêter l’eau avant que ça déborde!
Je me retourne, lui dévoilant que je n’ai rien non plus sur mes fesses. Elles est encore plus médusée quand je reviens, car je me sers du bas du tablier pour essuyer mes mains, ne laissant plus de doutes sur la radicalité de mon épilation. Elle m’en fait la remarque timidement et je fais mine de m’en apercevoir:
— Oh, excusez, je finis par oublier complètement que je ne mets jamais de culotte. J’espère que je ne vous ai pas choquée, hein?
— Heu, vous m’avez quand même un peu prise de court, je dois dire!
— Oh, et puis zut, on est entre femmes! Je dois signer quelque part?
Elle me tend le reçu et un stylo en essayant de ne pas trop avoir l’air de mater mes seins. Je la pousse un peu plus:
— Vous avez un peu de temps? Je vous offre à boire pour vous remettre de la surprise?
Elle n’a pas l’air vraiment attirée par ce genre de situation. Elle décline mon offre et me quitte rapidement.
Lundi 24 juin 1991
J’ai d’abord Valy au téléphone. Elle a quelques problèmes avec son frère. Comme elle se met à poil seulement quand ils sont en famille, il fait moins venir ses copains à la maison et il ne se prive pas de bander souvent devant elle. Il y a une semaine il s’est à nouveau branlé sans gêne en la matant pendant qu’ils prenaient le soleil.
Mais hier, alors qu’elle faisait la vaisselle après le déjeuner, il s’est plaqué contre son dos sous prétexte de remettre les céréales dans le placard du haut. Elle a bien senti sa bite en érection se caler contre sa raie, avec même un petit mouvement de bas en haut. Elle s’est cabrée immédiatement, et l’a éjecté vertement de la cuisine. Elle commence à s’inquiéter de la tournure que ça prend mais je la rassure:
— C’est tout à fait normal, il a besoin d’un vrai dépucelage. Si tu t’amuses à l’exciter, après il faut assumer. Mais si tu hésites, je veux bien m’en charger.
— Bon, si tu veux, parce que moi, je n’ai pas trop envie de baiser avec mon frère.
Ensuite j’appelle Sève, qui fait d’énormes progrès. Elle est seule pour la semaine, car mes parents sont partis en vacances avec mon frère jusqu’à dimanche soir.
D’abord, elle n’est plus vraiment vierge, puisqu’elle utilise régulièrement le vibro. Et puis, elle a osé mettre le string un jour où elle était seule avec ma mère. Vu que celle-ci ne met que le bas du maillot et qu’elle est habituée à nous voir Ju et moi dans cette tenue à la mer, sa seule réaction a été une petite surprise. Elle connaissait Sève plus classique. Elle lui a juste fait la remarque que ses poils dépassaient, et donc Sève s’est décidée à retailler sa touffe en s’inspirant de nous. Elle a laissé juste un petit rectangle devant. J’ai hâte de voir ça, ma sœur qui se décoince totalement.
Ma mère en a eu la primeur vendredi dernier. Elles étaient seules au bord de la piscine, et elle en a profité:
— Pendant qu’on est seules, tu me permets de bronzer intégral?
— Après tout, pourquoi pas? Et d’ailleurs, je vais t ‘accompagner! Tu sais, je l’ai déjà fait souvent, quand j’étais plus jeune.
— Et j’ai écouté tes conseils, j’ai retaillé mes poils, regarde!
— Dis donc, tu n’y es pas allée de main morte! Tu aurais pu en laisser un peu plus.
— Oh non, j’aime bien comme ça. Tu sais, Caro n’en a plus du tout!
— Ah bon, finalement, pourquoi pas?
— Oui, tu devrais y songer aussi.
Ma mère n’a pas insisté, et elles ont remis le bas en entendant les mâles revenir. Mon père s’est un peu renfrogné en voyant Sève en string, mais comme ma mère l’a soutenue en faisant remarquer que moi, Caro, ils me voyaient comme ça depuis au moins trois ans, il a fini par capituler. C’est mon frère Bruno, le jumeau de Sève qui n’en revenait pas d’avoir de vent ses yeux tant de rondeurs dévoilées.
Mais là qu’elle est toute seule, et n’a pas à sortir parce qu’elle à des provisions, elle n’a plus mis aucun vêtement depuis hier:
— Par exemple, en ce moment, je suis à poil sur le canapé, c’est cool ! Et toi?
— Nous aussi, et j’ai mis le haut-parleur pour que Ju entende. Pour rien te cacher, je le branle en te parlant, et lui me caresse le clito.
— Sans blagues! Le contraire m’aurait étonnée de votre part!
— Tu n’as qu’à en faire autant de ton côté.
— Justement, quand tu m’as appelée, je venais juste de me servir du vibro et il est là, sur la table basse. Et ce que tu me dis me donne envie de recommencer.
— Allez, vas-y, et pose le téléphone en position haut-parleur, qu’on s’entende tous!
— Dire que j’ai pu vivre sans vibro jusqu’à maintenant!
Nous l’entendons vite soupirer fort. Je la relance:
— Et là, il me prend en levrette. C’est trop bon. Tu préfèrerais ça à ton gode, hein?
— Ah oui! Euh, non, qu’est-ce que tu me fais dire !
— N’aie pas honte, c’est normal!
Elle jouit presque en même temps que moi, puis elle s’étonne du silence relatif:
— Caro, tu es encore là? Caro?
Ju prend le relais:
— Excuse-la, elle peut pas parler la bouche pleine. Et je retiens ta demande!
— Non, c’était dans le feu de l’action. Mais je vous attends quand même vendredi.
Mercredi 26 juin 1991
Ce matin, j’ai refait le coup de la lettre recommandée à notre factrice. Quand elle sonne, je vérifie par le judas que c’est bien elle. Cette fois-ci, je lui ouvre directement à poil. Elle est de nouveau surprise de ma tenue et me le fait savoir:
— Oh, décidément!
Je ne me démonte pas et lui réponds avec un grand sourire:
— Oh, allez, vous m’avez déjà vue à poil, non?
— Oui, mais ça surprend tout de même! De plus, ça aurait pu être quelqu’un d’autre.
— Eh bien, tant mieux pour lui ou elle! Vous l’acceptez cette fois, le verre?
Elle capitule:
Bon, d’accord, j’ai un peu de temps.
Pendant que nous buvons, je lui signe le reçu et elle fait tout pour ne pas regarder ma fente que je lui présente généreusement, assise en face d’elle. Elle repart un peu plus décontractée tout de même.
A suivre…
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