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Mes tournantes dans les caves parisiennes

Mes tournantes dans les caves parisiennes



Témoignage d’une soirée réelle passée.. il y a fort longtemps.. dans une lointaine galaxie..
 
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Soirée classique dans l’antre de Z., dans la cave d’un garage de la proche banlieue parisienne. Z, à la demande de mon mari, un cocu patenté, s’occupe de la logistique et de la sélection des mâles en fonction du nombre demandé, en général une petite quinzaine, rien que pour moi. A mon arrivée Z m’accueille dans la rue dans laquelle « traînent » certains de mes futurs « amants » entrain de fumer une clope et qui mesurent d’un oeil rapide la « marchandise » pour rendre compte aux autres qui m’attendent dans la cave en bas.

Z me fait monter à l’étage, dans un appartement, pour que je me prépare et que j’enfile une tenue de putain : body résille en général, ministricule jupette qui ne cache pas grand chose, pas de culotte ou alors un tout petit string qui permet en dégageant la ficelle de donner accès à mes deux puits d’amour, sans même l’enlever. Je suis ouverte, je suis offerte, je suis une femelle, une femme publique, la femme de tout le monde, une chienne, une salope et ce que j’aime être par dessus tout, une putain. 

Quand je suis prête pour être sacrifiée sur l’autel de la lubricité masculine, Z., tout en douceur et avec, comme à son habitude, une extrême gentillesse et une extrême courtoisie me prend la main façon grand siècle et me fait descendre les escaliers comme à une princesse, pour me conduire dans l’arène où les fauves, chauffés à blancs, m’attendent pour la plupart en slip ou complètent nus, entrain de se masturber. Ceux qui m’ont déjà baisée ont raconté aux autres la chienne je suis et ce que je suis capable de faire, ils savent donc ce qui va sa passer. 

Arrivée dans la petite cave à la déco sadomaso, Z. m’introduit au sein de la meute. Il me présente en deux mots en finissant toujours, à la manière d’un maquignon de foire, par « allez allez messieurs, allez-y, elle est à vous, amusez vous bien… ». A ce moment, mes « clients », surexcités, se jettent sur moi sans un mot, sans se présenter, sans dire « bonsoir ça va » et me pelotent sauvagement. Je sens des dizaines de mains de parfaits inconnus partout sur mon corps, des bouches goulues sucent mes seins, des doigts pénètrent mon vagin, mon cul. Je suis au milieu d’une meute de 15 mâles en chaleur et affamés. Il y a des beaux, des laids, des blancs, des blacks des beurs, des jeunes, des vieux, des gros, des minces. Je ne donne aucun critère de sélection à Z. car je veux être dans la peau d’une putain et une putain ne choisit pas ses clients, ce sont eux qui la choisissent. Je devine qu’un petit nombre d’entre eux n’ont pas de femmes, qu’ils n’en ont pas touché une depuis longtemps, qu’ils sont abonnés aux putes, les autres, les hommes mariés, s’offrent en trompant leur femme pu leur petite amie et en me prenant en tournante, un moment rare. Je suis une femelle, une femelle au sens a****l, ouverte, offerte, un jouet sexuel entre leurs mains affamées. J’aime cette variété, j’aime cet anonymat. j’aime voir le désir immédiat que je suscite et quelle volupté toutes ces mains sur mon corps. J’ai l’impression d’être en enlacée par une pieuvre qui introduit ses tentacules jusqu’à dans mes orifices les plus intimes.
 
Après 10 minutes de pelotage en règle où il y en a toujours un qui arrive à fourrer subrepticement sa queue dans ma chatte en se collant à moi par derrière, je m’allonge sur le matelas sacrificiel, tous m’entourent à genoux et là, jambes écartées, pendant 2 heures, je les suce et ils me prennent, ça tourne en permanence : une queue sort de ma bouche, de ma chatte ou de mon cul, une autre la remplace immédiatement, sans délais, ceux qui attendent leur tour se branlent en matant.
Très vite l’objet de toutes les attentions, l’objet obscur du désir, c’est mon cul, mon anus, l’objet ultime du désir de tous ces soit disant machos qui doivent refouler leur bisexualité. Pendant que ma chatte se fait défoncer je sens des doigts qui pénètrent mon petit trou pour le préparer. Je me lubrifie pour leur faciliter la tâche et ensuite tous prennent alternativement l’un ou l’autre de mes orifices. Seuls n’ont pas accés à la petite porte de derrière les sexes hors gabarit, il y en a toujours dans mes soirées et elles n’appartiennent pas forcément à des blacks 😉 

Nombreux sont ceux qui, plutôt que de jouir dans leurs capotes balancent leur foutre sur moi sans rien me demander, je suis leur jouet et ils en font ce qui leur plaît. A peine une petite pause de temps en temps pour réajuster le matelas, prendre une coupe de champagne apportée par mon cocu qui profite pour essuyer le sperme qui dégouline de mes seins ou de mon ventre et c’est reparti. Mes « clients » jouissent autant qu’ils le veulent, me prennent aussi souvent qu’ils le veulent. les blagues fusent, les gars s’encouragent, me traitent de chienne, de salope, je les vois faire la queue pour attendre en se branlant, ils sont attendrissants dans leur quête de plaisir, toujours gentils, prévenants, doux comme des toutous en quête d’un os, presqu’amoureux. J’adore être un sujet de désir, m’offrir mais tout en étant en totale sécurité, en étant certaine de pouvoir tout stopper d’un seul geste mais je n’ai jamais eue, ni envie, ni besoin de le faire, jamais. Z. est toujours là attentif, prévenant, rassurant et ça s’est toujours trsè bien passé.

Le sperme attire le sperme, dès qu’un mec jouit sur moi, les autres l’imitent dans une sorte de réflexe de Pavlov et me recouvrent de foutre. Je prends sur mes seins, mon ventre, mon dos, mes bras mais jamais sur le visage ou dans la bouche, sécurité oblige. J’aime étaler ce foutre sur tout mon corps avec mes mains jusqu’à devenir toute blanche… de semence. Je suis La FEMELLE 😉

Au fur et à mesure de la soirée la cave se vide jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un carré d’irréductibles qui, pour les plus excités, m’ont pénétrée cinq ou six fois fois. Quand il ne leur reste plus une goutte de foutre dans les couilles, je remonte me rhabiller sous les applaudissements des inconditionnels. Il est arrivé une ou deux fois qu’un « client » particulièrement excité et endurant, qui m’a déjà prise et joui 4 à 5 fois, veuille essayer une dernière fois, en fin de séance. Au bout d’un moment il a dû s’arrêter et m’avouer penaud, « je suis sec, je n’ai plus une goutte ».

Petite douche, j’enfile une tenue bourgeoise et c’est un rituel dans notre couple, mon cocu qui est amoureux fou de moi dans ces moments là, m’emmène souper au champagne au Pied de Cochon, une brasserie parisienne ouverte 24 heures sur 24. Là nous nous débriefons mutuellement, il me raconte la soirée telle qu’il l’a vécue, moi telle que je l’ai vécue dans le rôle principal. Il me tient la main, ses yeux sont fous d’amour et d’admiration. Je peux tout lui demander dans ces moments là, il le fera pour moi et c’est comme ça depuis 15 ans que nous libertinons. Le repas terminé, nous rejoignons notre hôtel enlacés. nous y faisons l’amour tendrement pendant que lui raconte ce que j’ai fait, ce que j’ai ressenti, il veut tout savoir, tout partager avec moi, ne faire qu’un avec moi, être moi. Surexcité, il jouit toujours abondamment. Je m’endors dans ses bras et deux jours plus tard nous recommençons. »

A propos de l'auteur

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