Enfin je suis libre : mes enfants sont casés, mon mari me trompe honteusement avec une jeune dévergondée, mes 50 ans ne me gênent pas du tout, surtout que je me suis faite refaire la poitrine l’an dernier. Mes seins sont encore plus beaux que quand j’avais 20 ans. Ma silhouette est jeune. J’ai connu une aventure il y a 6 mois avec un type qui n’avait pas 30 ans. Je me souviens qu’il bandait bien, que j’avais jouit comme une garce. J’ai envie d’avoir des amants qui baisent bien. Si je compte sur le hasard, je risque d’attendre longtemps.
J’en parle avec l’esthéticienne qui me fait le maillot, presque ras en forme de cœur. Cette fille est adorable, elle n’a pas froid aux yeux, aime rendre service. Froidement je lui demande si par hasard elle ne connait pas un type qui conviendrai à mes désirs, quelqu’un qui ai les reins solides pour me faire passer un après midi agréable. Elle connait justement quelqu’un avec qui elle a baisé il y a peu qui pourrai me satisfaire : il a parait-il des reins très solides au point qu’il l’a mise totalement à plat. Elle s’occupe de tout pour le lendemain.
J’attends le phénomène dans un restaurant. Je ne le connais pas, quand je vois arriver un mec baraqué qui se dirige vers moi. C’est lui : mignon, musclé, ce qui ne gatte rien. Nous savons pourquoi il est là. Il me fait un peu de drague. Quand il prend ma main dans la sienne, je sens sa chaleur monter en moi, je commence à mouiller. Le repas est expédié, c’est même lui qui paye.
Chez lui je suis assise sur un fauteuil juste en face de la banquette où il est assis. Il bavarde en me regardant surtout les jambes. Ma jupe s’est relevée un peu en m’asseyant. Je bouge « involontairement » ma jupe arrive en haut des cuisses, il peut voir jusqu’à mon string ficelle. Il dit même voir que je suis mouillée. J’ouvre les premiers boutons de mon corsage, il peux voir le sillon de ma poitrine. Je ne peux faire plus pour qu’il ai envie de moi.
Je dois lui faire effet, il se lève pour venir poser sa bouche sur la mienne. Ma langue, plus rapide que la sienne, est dans sa bouche à la recherche de la sienne. Il me fait lever, je me met contre lui, bien serrée pour sentir sa bite bander. Il me semble que je suis tombée sur un beau calibre. Je n’ai aucun préjugé, je prend la queue à pleine main à travers son pantalon. Je le masse pendant qu’il pose ses mains sur mes fesses.
Il est habile pour me caresser le postérieur. Très lentement il arrive à monter le bas de ma jupe à hauteur de la ceinture. Je sens sur ma peau ses deux mains qui descendent à la recherche du bas des fesses.
Il les tient par le bas : un doigt s’échappe pour passer à l’intérieur de ma raie. Il trouve mon petit trou, qui en a connu beaucoup depuis ma folle jeunesse. Il est très délicat en posant le doigt. Il me caresse l’anus avant de chercher le passage pour entrer dans le cul. Il y fait des vas et vient qui me donne le début du plaisir que j’attends. S’il savait le bien qu’il me fait, il en jouirait immédiatement. Je me retiens pour ne pas partir.
Il défait la fermeture de la jupe qui tombe. Je me trouve devant lui en chemisier et string. Nos lèvres sont toujours jointes. Je trouve la boucle de sa ceinture, la défait, ouvre la fermeture éclair, cherche et trouve de suite sa pine. Je la sort pour voir que je ne me suis pas trompé, il a une bite énorme et le commence à le branler à ma façon : je pourrais le faire tenir entre caresse et orgasme plusieurs dizaine de minutes. Je préfère attendre qu’il me caresse la poitrine, je le lui demande d’ailleurs. J’enlève mon chemisier, je suis nue dessous. La vue de mes seins l’encourage à les lécher et les sucer. Comme disait l’esthéticienne il est un sacré baiseur, en tout cas il pelote bien.
Je défait les boutons de sa chemise et lui caresse la poitrine. Je peux avoir la confirmation qu’il est bien musclé : son abdomen est plein de tablettes de chocolat. Je suis tombé sur un bel a****l, un bel étalon. Nous en sommes au point où il ne me respecte plus. Il ne se jette pas sur moi, il me bouscule un peu pour m’allonger sur la banquette. Il m’enlève le string me fait ouvrir les cuisses quand je suis assise. J’attends la suite avec impatience : elle arrive avec sa langue. J’espère qu’il sait bien s’en servir.
Elle arrive sur le centre de ma fente. Il ne fait rien que la passer sur les lèvres, je commence à frémir. Il monte vers le clitoris. Sa langue lèche sans arrêt le bouton longuement sans se préoccuper de mes premiers jouissances. Il fait comme je le rêvais. Il en fait encore plus: il pose un doigt sur l’anus et le rentre lentement dans le cul. Il recommence les vas et vient. Que c’est agréable de sentir ce doigt quand je jouis. Enfin il entre sa langue dans le con. Je ne sais pas trop ce qu’il y fait: je jouis encore plus fort.
Il arrête de me donner du plaisir: c’est à moi de le faire jouir.
Il vient près de moi, je prends sa queue, je le branle rapidement comme si je voulais le faire cracher rapidement. Je continue à le masturber quand je le prend dans la bouche. Mon Dieu qu’il est gros et qu’il est long. Je tiens toute sa base avec ma main: je lèche le gland épais longuement. J’essaie de le faire entrer dans la bouche. Il faut que je force pour y arriver. Et quand je le mange, il commence à grogner de satisfaction. Il tient ma tête: il a peur que je le lâche ? Il ne sait pas encore que j’attends avec impatience son sperme. Est-il salé, amer ou neutre ? Il est salé: je le garde dans la bouche tout le temps de son orgasme. Il en a une sacré dose: j’en ai la bouche pleine. Tant mieux, je peux le déguster plus longtemps. Quand j’ai tout dans la bouche je le laisse libre. Il voit que j’avale sa semence: il me prend le menton pour m’embrasser alors que j’ai encore une bonne partie de son sperme dans la bouche. Dommage, il m’en prend la moitié.
Il vient s’appuyer contre mes seins. Il caresse mes cuisses et je lui caresse le bas ventre et sa bite qui n’a pas débandé.
Tant mieux, j’ai encore envie de lui, pas aux mêmes endroits. Je le branle comme si je voulais le faire jouir encore une fois, mais hors de mon corps. Je glisse dans son oreille un « baises moi ». Il ne se le fait pas dire deux fois. Il ne tourne, m’allonge sur la banquette, je met entres mes jambes. C’est moi qui prends sa bite pour le mettre juste à l’entrée de ma chatte.
Il entre doucement: je sens mon vagin s’ouvrir plus qu’à l’habitude: il me défonce et c’est bon. Il est au fond de mon trou: je jouis. Il n’en tient pas compte, il est toujours dans la danse de la baise. Que c’est bon, que c’est bon!!!! Il me fait jouir longuement. Je le sens jouir au fond de mon ventre. Il ne se rend pas compte que je jouis en même temps que lui.
Il sort de mon ventre: il bande encore. Alors je me tourne en levrette: je lui donne mes fesses. Il prend de ma cyprine qu’il étale sur mon anus.
J’écarte les fesses à deux mains quand il vient poser son gland sur mon anus. Je serre les dents en pendant à la grosseur de bâton qu’il va planter. Il le plante de telle façon que j’ai à peine un peu mal quand il passe l’anus. Après c’est du bonheur de le sentir aller et venir dans mes intestins. Je ne sais combien de fois je jouis avec sa queue dans mon cul.
Nous arrêtons là pour aujourd’hui.
Il trouve que je baise bien; il veut me revoir. Moi, il peut me baiser quand il veut, je suis d’accord: sa bite est si bonne.
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