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Une famille en Or (13)

Une famille en Or (13)



Je fais évoluer les choses avec Flo!

Vendredi 12 juillet 1991

Aujourd’hui, le patron nous a laissées seules tout l’après-midi car il avait rendez-vous avec des clients de Gap, et ensuite il devait partir directement sur Aix passer le week-end chez son fils. Il nous a demandé de bien fermer la porte ce soir en partant. C’est l’occasion que j’attendais pour tester Flo:
— Ouf, je n’en peux plus de cette chaleur! Tiens, si tu n’y vois pas d’inconvénient, je vais profiter qu’on est juste entre nous pour enlever ma chemise et travailler en soutif. Tu devrais en faire autant, tu as certainement aussi chaud que moi.
— Voyons, Caro, et s’il vient quelqu’un?
— Un, il ne vient jamais personne le vendredi après-midi. Deux, il devra forcément sonner pour qu’on lui ouvre, ce qui nous laissera tout le temps de nous rajuster.
— Oh, après tout, tu as raison, soyons folles!

Je commence à me déboutonner. Elle me suit, puis s’arrête en voyant ma tenue:
— Caro, c’est quoi ce soutif?

En effet, j’en porte un blanc qui n’a que le tiers des bonnets, et mes seins sont bien présentés dans ces coupes, projetés en avant:
— Ben quoi, tu as déjà vu mes seins, non? Et c’est très confortable, ce type de soutif, ça soutient sans écraser. D’ailleurs je mets que ce type de soutif.
— Tu veux dire ici, tous les jours? T’as pas peur que le vieux s’en rende compte?
— Mais non, la preuve: même toi t’as jamais rien remarqué, alors lui…
— Toi, alors!
— Tiens, puisqu’on y est, j’enlève aussi la jupe, je serai plus à l’aise.

Je fais glisser ma jupe sans me lever afin de garder la surprise de mon absence de slip pour plus tard. Flo hésite une fraction de seconde, puis se lève pour se retrouver en string avant de se rassoir. Je lance:
— Si certains de nos clients savaient ça, on les verrait plus souvent.
— J’imagine leur tête, les secrétaires en lingerie sexy!

Nous reprenons le travail, mais elle revient à la charge:
— Dis, ton soutif me distrait vraiment de mon travail. Je préfèrerais que tu l’enlèves carrément. Tes seins nus, j’ai l’habitude. Alors que ces trucs, c’est trop…
— Excitant? Erotique? En fait, il te fait envie, hein? Tiens, essaie-le, il doit t’aller, les bonnets sont taille unique!
— Ah, c’est malin!

Mais elle ne se dégonfle pas. Elle ôte son soutif et essaie le mien que je lui tends. Ses seins plus pesants que les miens débordent par-dessus l’armature. Je la flatte:
— Il t’en faut un, tu es trop bandante comme ça!
— Tu crois? Pourquoi pas, ça plairait sûrement à Pierre. Bon, je préfère l’enlever.
— Avec tout ça, j’ai soif. Tu veux que je te ramène un gobelet d’eau fraîche?
— Oui, s’il te plaît.

Je me lève en me tournant pour aller à la fontaine d’eau fraiche du hall, et elle s’aperçoit enfin que je suis entièrement nue. Quand je reviens, elle m’en fait la remarque:
— Dis, je t’ai pas vu enlever ton string.
— C’est normal, j’en porte jamais sous mes jupes.
— Ah, de mieux en mieux!
— Allez, ne fais pas ta prude, et enlève tout, toi aussi. Tu es naturiste, pas vrai? Alors t’as peur de quoi, de me montrer ta touffe?
— Non, bien sûr, et à ce propos, la tienne ne t’encombre pas trop, je vois. Je me croyais beaucoup épilée, mais tu me bats.
— Fais voir ! Ouah, super ton triangle, on dirait un petit cœur doré.
— Bon, allez, on se remet au travail, sinon on ne s’en sortira pas.
— On est le premier cabinet comptable naturiste de la région, je pense.
— Si le vieux savait ça!

A la fin, nous papotons en rangeant et en nous rhabillant. Il en ressort de la conversation qu’elle a un grand balcon sans vis-à-vis et qu’elle en profite parfois pour faire de l’intégral. Je saute aussi sur l’opportunité de lui dire que chez nous c’est plus difficile, et comme je l’espérait en disant ça, elle me dit:
— Je t’aurais bien proposé de venir le faire ensemble chez moi dimanche après-midi, mais Pierre a justement décidé de prendre son après-midi faire un break.
— C’est pas grave, et même ça tombe très bien, Ju est dispo de deux à six heures.Faisons-le tous les quatre!
— Tu crois que ça va pas gêner Ju?
— Tu rigoles, et je pense pas que ça dérange Pierre non plus.
— Ouais, tu as raison. Alors, à demain!

Dimanche 14 juillet 1991

Hier, nous avons fait notre incursion habituelle au plan d’eau, nous installant près de Marilyn qui y était déjà, en bas de maillot. J’ai un peu relâché ma pression sur elle, étant concentrée sur Flo comme partenaire plus que probable.

Avec Ju, nous débarquons chez Flo vers deux heures. Leur fille étant casée chez sa belle-sœur, elle nous accueille directement à poil. Donc nous l’imitons sans tarder directement dans l’entrée et elle a l’air assez intéressée par la coupe dégagée que Ju lui dévoile. Nous allons sur le balcon où Pierre est dans un transat, déjà nu lui aussi. Il n’a presque pas de poils sur le torse et sur le pubis, mais je suis surtout surprise en découvrant sa queue, déjà plus grosse au repos que celle de Ju en pleine forme:
— Mazette, la nature t’a gâté ! Tu dois être comblée, Flo, et à tous les sens du terme.
— Je dois l’avouer. Mais j’aimerais bien qu’il se rase lui aussi.
— Il faut que je la touche pour bien me rendre compte. tu permets?

Sans attendre la réponse, j’empoigne la poutre qui n’attendait que ça pour se dresser. Ma petite main peine à en faire le tour. Flo émet juste un petit ‘Oh’ devant ma hardiesse, mais pas plus. Comme Pierre se laisse faire, je le branle doucement, ce qui le fait grossir:
— Au fait, Flo, nous sommes également échangistes, à l’occasion.
— Oui, on le savait…
— Comment ça?
— Eh bien, avec Pierre, on lit parfois des magazines érotiques, dont celui où vous publiez vos histoires. Quand tu as été embauchée au bureau, j’avais l’impression de t’avoir déjà vue, mais je savais pas où. C’est quand je t’ai vue en string au plan d’eau que ça m’est revenu. Quand je suis rentrée, on a vérifié et on t’a bien reconnue, surtout que vous n’avez pas changé les prénoms, c’est gonflé!
— Et tu l’as gardé pour toi? T’avais pas envie demain parler?
— Oui, mais je savais pas comment aborder le sujet avec toi, même avant-hier…
— Et vous êtes échangistes, vous aussi?
— Non pas encore, mais je sens qu’on va pas tarder à le devenir, pas vrai, chéri?

Pierre est maintenant en érection maximum, ce qui est une belle façon de dire oui. Debout à côté d’elle, Ju bande aussi maintenant:
— Dis donc, Flo, et si on faisait plus ample connaissance, maintenant?

Elle se décide à le branler. Je ne résiste pas au désir de sucer Pierre. Il me distend les mâchoires, mais j’insiste, et ça va un peu mieux. Flo a moins de problèmes avec Ju, surtout qu’elle a de l’entraînement avec le calibre de son mari. Quand il la positionne pour la prendre en levrette sur le fauteuil, j’en veux autant, mais Pierre demande un instant. Il revient avec un tube de lubrifiant:
— J’ai toujours ça, ça aide bien. Laisse-moi te préparer, mais allons plutôt dans le salon, le canapé est plus agréable.

Il me place à genoux et me masse longuement avec le gel, puis place son gland contre ma fente et pousse un peu. Il y va vraiment en douceur, mais je la sens bien passer. Quand il bute au fond, il s’immobilise le temps que je prenne mes marques, puis il se met à bouger. C’est difficile à décrire. Je lui demande d’accélérer le mouvement, et il y va plus franchement. Je me fais défoncer avec délectation.

Ju et Flo sont venus nous rejoindre et sont dans la même posture juste à côté de nous. Vu les circonstances, je suis la première à jouir. Je m’assois et lui aussi. Je continue à le branler de la main droite, tandis qu’à ma gauche Flo se démène en envoyant ses fesses à la rencontre de Ju. Je tâte le terrain en lui caressant un téton. Elle a l’air de ne pas être contre, alors je lui branle carrément le clito. Ju s’assoit et l’empale sur sa bite.

Dans cette position, je prends la main de Flo et la pose sur ma fente. Elle ne se fait pas prier pour m’astiquer le bouton. Je les branle tous les deux, Pierre et elle. Ju la met à quatre pattes devant moi et Flo ne laisse aucun doute sur ce qu’il lui fait:
— Oh oui, encule-moi, pour une fois que j’en ai une qui peut y entrer!

Il la bourre en force, et je lui abaisse la tête vers ma chatte. Elle me lèche le clito tout en jouissant du cul. Je me laisse couler sur le tapis pour m’occuper d’elle. Elle me rend mes caresses, et ça m’amène sur elle, à nous brouter mutuellement. Les hommes nous regardent en se masturbant.

Chacun vient pénétrer sa partenaire habituelle dans cette position. Pierre est le premier à jouir. Il se retire pour m’arroser de son sperme proportionnellement à sa bite et Ju termine en giclant entre les seins de Flo. Un vrai feu d’artifice! Elle récupère le sperme et se lèche les doigts:
— Ouah, c’est trop bon! si j’avais su, j’aurais essayé tout ça plus tôt.

Les mecs sont vannés et doivent retourner au travail. Je sors le matos de mon sac:
— Mais nous, rien ne nous empêche de continuer.

Je montre le vibro et le strapon. Flo rigole:
— Je vois que tu avais tout prévu!
— Tu en as déjà utilisé?
— Non, mais aujourd’hui, je suis prête pour toutes les expériences.

Ils partent à contre-coeur pendant que je l’initie au maniement des jouets. Je la quitte avec la promesse qu’elle ne mette plus de slip au bureau.

Lundi 15 juillet 1991

Flo a tenu sa promesse et me le montre: elle ne porte rien sous sa jupe et le soutif sans bonnets que je lui ai laissé hier en attendant qu’elle en achète. En fin de journée, le patron est déjà parti et Flo finit de ranger quelques dossiers à la réserve, donc je me mets à poil et je commence à me branler à mon bureau. Flo est soufflée en revenant:
— Caro, tu délires!
— Allez, on est seules, fais pareil!

Mais ça l’a chauffée aussi, et du coup, elle ne résiste pas. Sa tenue vole dans la pièce et Flo commence à se branler aussi. Je lui demande de venir me brouter, et elle s’agenouille devant mon fauteuil. L’ambiance monte encore quand je sors le strapon et me harnache pour la prendre en levrette sur le bureau directorial. Nous finissons en soixante-neuf sur le tapis et chacune prend son pied. Flo se marre en se rajustant:
— On est folles! Tu imagines si le vieux était revenu là?
— Arrête, il ferait un infarctus!

Nous rigolons et sortons.

Mardi 16 juillet 1991

Depuis le début du mois, Pierre a re-commencé à faire la livraison des pizzas du bar comme tous les étés. Il a embauché pour ça son neveu qui est en vacances après avoir passé les épreuves du bac de Français. C’est un jeune homme timide qui vient d’avoir ses dix-neuf ans et nous le connaissons maintenant bien à force d’aller y déjeuner ou boire un coup avec Flo. On peut dire que lui aussi nous connait bien, si j’en crois les regards discrets qu’il envoie vers nos académies. A sa décharge, je dois dire qu’elles sont largement exposées, surtout la mienne puisque je fais bien attention à remonter la robe au maximum quand je m’assois sur la chaise et qu’on voit bien que mes tétons sont libres sous le tissu léger.

Ce midi, nous avons décidé avec l’accord de Pierre et de Ju de nous amuser un peu à ses dépends. Nous avons commandé une pizza pour manger chez Flo. Comme je suis venue assez tôt, nous commençons par nous offrir une petite partie de jambes en l’air avec nos jouets, histoire de nous mettre bien dans l’ambiance.

Quand il sonne, je me poste pour mater par un interstice du rideau du balcon pendant qu’elle va lui ouvrir avec juste une serviette de bain vite entourée sur elle:
— Ah, bonjour Damien! Excuse ma tenue, mais on est en train de bronzer avec Caro. Tu sais, ma collègue de bureau. Tiens, donne-moi ça.

Elle lui fait la bise et att**** le carton de pizza et se retourne pour le poser sur la table basse du salon. Elle en profite pour défaire le nœud en haut et quand elle se redresse et se retourne, la serviette tombe au sol. Elle joue la surprise en masquant plus ou moins ses seins et son triangle:
— Oh! Zut, je suis vraiment maladroite.

Elle se baisse pour ramasser la serviette et fait mine d’essayer de la rattacher sans succès. Elle la tient sommairement devant elle, puis comme si elle abandonnait:
— Et puis après tout, maintenant que tu as tout vu, autant ne plus se gêner.

Et elle jette la serviette sur le canapé, s’exposant à la vue de son neveu médusé. Après notre séance de papouilles préliminaires, elle a les tétons qui pointent bien. C’est le moment que je choisis pour aller les rejoindre, à poil directement:
— Bon, cette pizza, t’attends qu’elle refroidisse? Oh pardon Damien, tu es encore là?

Il est complètement cramoisi devant nos nudités. Son regard va du petit plumeau de sa tante à mon absence totale de poils en passant par nos seins, mais je le rassure:
— Oh, et puis tant pis. De toute façon, il vaut mieux que ce soit toi.
— Euh, tout de même, vous voir toutes nues, ça me gêne un peu.
— Bah, tu nous connais déjà. Et puis ça te fait un beau pourboire, non?

Finalement, il s’éclipse après nous avoir promis que ça resterait entre nous. Du coup il nous reste encore du temps pour manger la pizza avec Flo avant de nous habiller pour aller bosser.

A suivre…

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