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Une rencontre à Paris

Une rencontre à Paris



J’adore le sexe. J’en use et j’en abuse et je suis gâtée avec Mon mari Alain et Christian un ami rencontré sur le net lors de mes vagabondage coquins.
Lors d’une escapade à Paris , je me retrouve aux heures de pointes dans le métro. Collés les uns aux autres, je sens tout à coup une main sur mes fesses. Je me retourne en donnant une claque sur cette main inopportune pour remarquer un black grand sourire amusé de ma réaction vive. Puis il repose sa main d’autorité et se met à me malaxer les fesses ostensiblement. Je savais qu’il y avait des frotteur aux heures de pointes et là j’en suis la victime. Je ne sais trop quoi faire, descendre à la prochaine station, faire un scandale ou me laisser faire. Pendant tout le trajet jusqu’à la Porte de Versailles, voyant que je ne réagis pas, il me pelote outrageusement. Malgré moi je sens que je mouille. A la Porte de Versailles, je sors précipitamment de la rame et m’engouffre dans le salon de la lingerie. En jetant un œil derrière moi, je suis rassurée de voir qu’il ne me suit pas.
Dans les allées du salon, en mettant ma main dans mon sac, je tombe sur un papier chiffonné. Je le sors, le déplie et quelle est ma stupéfaction de lire un numéro de téléphone. Au lieux de le jeté, je le remet dans mon sac et continue la visite.
Le soir, de retour à mon hôtel rue Saint Lazare, je prends une bonne douche pour me délasser et m’allonge nue sur le lit. Je repense à la mésaventure du métro en tripotant le bout de papier où se trouve le numéro de téléphone du jeune black frotteur. Trop curieuse, je compose le numéro en mode privé pour qu’il n’ai pas le mien. Une voix grave envoûtante me répond :
« Allo ? Qui est à l’appareil ? »
Surprise et troublée, je bredouille :
« Je suis la femme du métro. »
« A oui ! C’est toi la chienne qui se laisse tripoter par n’importe qui dans le métro ! Tu veux goûter du black ? Alors 10 heures demain, 72 rue Doudeauville ! »
Puis il raccroche. Je sais que c’est un quartier où une femme seule ne doit pas trop traîner. Mon sommeil est agité et j’y pense toute la nuit. Se serait une folie de me rendre à tel rendez-vous. Fébrile, le lendemain, comme attirée par un aimant, je me rends au rendez-vous. Je monte dans l’escalier miteux et frappe à la porte. Le grand black m’ouvre avec un large sourire. Il me fait entrer et au passage me donne une grande claque sur les fesses qui me fait sursauter. Il referme la porte derrière moi et la verrouille. De sa voix grave il me dit :
« Alors comme ça la provinciale veut goûter du boudin noir ? Fous-toi à poil salope ! »
Mécaniquement, j’obéis et me déshabille devant cet inconnu. J’ai honte de me laisser faire aussi docilement mais je suis super excitée. Il tourne autour de moi et me détaille comme de la marchandise. Puis il me dit :
« T’as pas honte d’être une grosse chienne à black ? Une salope comme toi mérite une punition ! »
Il m’allonge de force sur ses genoux et commence à me fesser. Je gesticule sous les coups et mes fesses me chauffent de plus en plus. Je serre les dents pour ne pas crier. Moi qui pensais me faire baiser en venant ici, voilà que je me prends une correction en règle comme une petite fille. Il s’arrête pour admirer son œuvre et teste ma chatte pour en connaître l’état. Il se met à rire à gorge déployée en me lançant :
« Mais c’est que t’aime ça salope ! Tu mouille comme une vraie chienne en chaleur ! Tu vas sucer du black putain ! A genoux ! »
Il sort alors un engin d’un taille impressionnante. Il me prend par les cheveux et me force la bouche en commençant à me la baiser. Il va si profond que j’en ai des hauts le cœur et pourtant j’ai l’habitude de sucer et même j’adore ça.
« Tu pompe bien ma pute blanche ! On voit que t’en est pas à ta première pipe ! »
Quand il joui et éjacule dans ma bouche, sans me poser de question et presque machinalement je dégluti et avale son foutre.
Il me repousse du pied et je m’affale au sol. Je n’ose bouger. Je suis prise de panique quand je l’entends téléphoner en disant :
« Salut Abdul ! J’viens de m’faire pomper par une grosse salope ! Veenez voir ça les mecs. Elle veut d’la bite de noir ! »
Tétanisée, quelque minute plus tard, la porte s’ouvre sur deux grands black.
« Michèle ! Je t’présente mes amis Abdoul et Chérif. Voilà la grosse chienne dont je vous ai parlé les mecs ! Elle adore la bite. Elle refuse rien. On peut lui faire ce qu’on veut ! »
Dans ma panique, je me demande comment il peut connaître mon prénom. Dans quel coup tordu me suis-je mise une foi de plus. Ma curiosité maladive me perdra un jour.
Abdul et Chérif sortent leur engin du pantalon et me disent :
« Viens à genoux nous sucer sale pute ! »
Docile, je me déplace à quatre pattes vers ces verges tendue. Je prends en main ces deux gros bâton noirs et commence par les masturber. Puis, je suce une bite en branlant l’autre. Ensuite je passe d’une à l’autre sans oublier de m’occuper de leurs couilles bien pleines. Kadar, le troisième, me fouille la chatte sans ménagement et je mouille comme pas possible. Ils me soulévnt et me jette presque sur le divan. Kadar a lâché ma chatte et s’occupe de mes seins en les malaxant durement et en suçant mes tétons. Il ne tarde pas à bander de nouveau alors que Abdoul me fourre le vagin pendant que Chérif me baise la bouche.
Ils sont vigoureux et leurs barreaux sont dures comme de l’acier.
Chérif veut sa part et remplace Abdoul qui vient se faire pomper. Là, Kadar me soulève et vient m’empaler le cul. Pris en sandwich avec une queue dans la bouche il abuse de moi sans prêter attention à mon plaisir. Je suis devenue leur jouet sexuel.

Celui que je pompe me pince durement les seins et tire sur mes téton pour les relâcher. Il joue avec très durement et je couine comme une jeune vierge. L’un d’eux lance :
« Les bourge blanche, se sont vraiment les plus salopes ! Vous avez vu cette grosse pute comme elle aime se faire bourrer par des blacks ? »
Ils accélèrent le rythme, pressent mes seins et malgré la sauvagerie de leur assauts, je sens monter en moi un orgasme qui va être dévastateur. Des spasmes violents s’empare de mon corps comme possédé.
Devenue leur chose, les mâle se déchaînent.
Ils me pistonnent comme des animaux en ruts. Je suis au sacrifice embrochée par ces trois queues d’ébène. C’est à la foi douloureux et merveilleux.
Celui que je pompe se vide le premier dans ma bouche en criant :
« T’es trop bonne salope!!! »
Les deux autre se retirent et jouissent sur ma figure et mes seins en grognant bestialement. Je suis sous le choc, totalement anéantie.

Kadar nous offre un verre et une foi rhabillée, au moment où je m’apprête à partir, les trois lascars se proposent de me raccompagner.
Dans la voiture, tout en me tripotant, Chérif me dit :
« Kadar nous avait dit qu’il avait trouvé une chaudasse, mais tu dépasses l’imagination. T’es pas une chaudasse mais une vraie chienne en chaleur ! »
Assise à l’arriére de la voiture, pour confirmer ses propos, je me met à le pomper pendant que Abdoul me bouffe la chatte et que Kadar n’en perd pas une goutte en dirigeant son rétro pour profiter du spectacle.Arrivés à mon hôtel, Les trois copains se vident dans ma bouche avant de me laisser rentrer dans l’hôtel. Ils me laissent enfin partir en me disant à très bientôt. En fait, le soir même je prends le train pour rentrer chez moi avec plein de souvenirs dans la tête.

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