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Une vraie championne… (2)

Une vraie championne… (2)



Après être restée allongée un long moment sur mon banc, alanguie, je me décide enfin à bouger et à me rhabiller pour ensuite rentrer chez moi. Je prendrai une douche une fois à l’appartement car ici, l’endroit est presque lugubre, avec cette lumière blafarde et ces carreaux bleus ciel et blancs… Je suis d’ailleurs étonnée qu’aucune de mes copines de l’équipe ne m’ait attendue, m’ayant laissée toute seule dans ce vestiaire du gymnase.
Mais bon… le cadeau qu’elles m’ont fait tout à l’heure, après la fin du match, les excuse amplement de m’avoir abandonnée par la suite ! Je ne leur en veux bien sûr pas du tout…

J’enfile donc rapidement mes habits secs, fourre ceux encore trempés du match dans mon sac de sport après les avoir ramassés aux quatre coins de la salle et m’apprête donc à partir même si je suis toujours dans un état second, la tête pleine de rêves !
Un soudain bruit de pas dans le couloir me fait tressaillir…

– Tu es encore là, Fanny ?… Je peux rentrer ?

C’est Franck, notre entraîneur, qui frappe à la porte du vestiaire… Même si je n’ai aucune idée du temps que j’ai passé sur mon banc et donc de l’heure qu’il est, je suis surprise qu’il soit encore là, comme s’il m’attendait !?

– Oui, Franck ! Vas-y… entre ! Je suis rhabillée !…

La porte s’ouvre et Franck, un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix à l’air badin, passe la tête dans l’encoignure.

– Eh ben, dis-donc, Fanny… tout le monde t’attend ! J’ai même cru un moment que t’étais partie par la porte de secours, étant donné que je ne te voyais pas sortir !…
– Non, non… j’ai juste pris mon temps ! C‘est qui… qui m’attend ?!
– Je veux que ce soit une surprise pour toi, Fanny !… Tiens, mets ça sur les yeux !… Nous voulons juste te remercier du fabuleux match que tu as fait cet après-midi…

Franck sort alors un foulard noir de sa poche et passe derrière moi pour l’accrocher autour de mes yeux… ne me laissant pas le temps de réagir. Qu’ont-ils bien pu me préparer encore ?!…
Même si je suis repue et que je serais bien rentrée chez moi me poser tranquillement sur mon canapé avec un bon café, je le laisse faire et me retrouve bientôt dans l’obscurité la plus totale. Je me fais la réflexion que, bien que je ne sois pas trop une fêtarde, ce n’est pas tous les jours qu’on gagne un match comme celui-là… ce n’est pas tous les jours que je suis une championne ! Alors… autant leur faire l’honneur de ma présence, s’ils m’attendent tous !

– Ne t’inquiète-pas, Fanny… je prends ton sac et tes affaires.
– Les autres filles sont encore là ?!
– Tu verras… c’est une surprise !…

J’ai d’un seul coup un sentiment bizarre, comme si l’intonation de la voix de Franck n’était pas comme d’habitude !? Mais bon… sans doute mon état de fatigue !?

Franck me saisit le bras pour me guider à travers les couloirs, probablement jusqu’à l’une des salles situées au premier étage du complexe sportif. Je le suis docilement, mon esprit fourmillant d’interrogations sur ce qui me serait réservé dans quelques instants… Je ressens d’ailleurs une excitation presque malsaine, peut-être tout simplement parce que j’ai encore en tête les délicieuses caresses de mes copines de club et qu’il ne pouvait pas y avoir deux moments de bonheur aussi intenses dans une même journée ?! Donc, forcément, beaucoup de questions et une légère anxiété…

J’entends des éclats de voix, une porte qui s’ouvre et ces voix d’un seul coup beaucoup plus fortes !

– Eh bien voilà !… Nous avons bien cru qu’elle ne viendrait jamais, notre championne !…
– Cela aurait été vraiment dommage !
– Ben ouais… une jolie petite championne comme ça qui ne voudrait pas venir fêter dignement son exploit, ça enlèverait tout son charme à la victoire et au trophée !… rajoute une troisième voix qui se poursuit par un rire goguenard.

C’était qui, ces hommes ?!…
J’ai l’impression de reconnaître certaines voix mais je n’arrive à mettre de nom sur aucune d’elles. Je me sens comme ensuquée, avec ce brouhaha tout autour de moi et cette obscurité totale. Je n’entends par contre la voix d’aucune de mes coéquipières… seulement celles de nombreux hommes qui résonnent dans ma tête !

J’ai envie de savoir qui sont-ils, tous ceux-là autour de moi, et m’apprête donc à retirer le bandeau… mais quelque-chose, sans doute une main, m’en empêche !

– Franck !?… Qu’est-ce qu’il se passe ?! C’est qui, ces gens autour de moi ?!

Je suis comme saisie d’un sentiment d’effroi, percevant à l’intonation de ces voix inconnues qui semblent se rapprocher de moi, que ce n’est plus un jeu pour tous. Les allusions sur mon physique et tout particulièrement mes attributs féminins, deviennent d’ailleurs de plus en plus explicites et cochonnes… comme si je m’étais transformée d’un seul coup en objet de tous leurs fantasmes.

– Franck !?… Tu es là ?… Retire-moi le bandeau, s’il te plait !…

Mon entraîneur ne me répond pas !
Par contre, mon corps est effleuré, frôlé de partout ! J’essaye d’éviter ces caresses intempestives… mais les mains invisibles viennent maintenant de tous les côtés, de plus en plus insistantes… de plus en plus entreprenantes !
J’ai envie de crier, de hurler… mais aucun son ne sort de ma gorge. Je suis paralysée par la situation et, comble de l’horreur pour moi, je sens ma chatte s’humidifiée de l’intérieur, comme si mon corps prenait le dessus sur ma raison !?
A mon plus grand désarroi, je me surprends à espérer que ces hommes continuent à jouer avec mon corps et se lancent dans son effeuillage… Je ne cherche d’ailleurs même plus à enlever le bandeau que j’ai sur les yeux, ni à me débattre autrement que pour la forme, pour les exciter encore un peu plus !

Des doigts glissent maintenant sur toutes les parties de mon corps, certains s’infiltrant sous l’élastique de mon bas de survêtement et jouant avec, d’autres s’attardant sur le bout de mes seins à travers le tissu, d’autres encore remontant le long de mes fesses ou de mon entre-jambes…
Le fait de ne rien voir semble décupler mon excitation et ma sensation de plaisir d’être pelotée par toutes ces mains inconnues… Des frissons me traversent de part en part. Je sens même les lèvres de ma chatte palpiter et s’écarter comme par magie à chaque fois qu’une main s’en approche…
Je mouille à tel point que mon survêtement doit être marqué au niveau de mon intimité… et cette pensée m’excite encore plus. J’ondule mon bassin, mon ventre, ma poitrine… pour inviter tous ces hommes à continuer plus en avant l’exploration de mon corps. Je couine telle une chienne en chaleur ! Toute haletante, j’imagine tous ces mâles avec leurs bites probablement déjà sorties de leurs caleçons et tendues vers moi.
Juste une petite chose me tracasse… Que penserait mon copain s’il apprenait ce que j’étais en train de faire, telle une petite pute ?!… Mais bon… la pensée s’évanouit vite !

– Oh ouiii !… Encore !…
– Tu aimes ça, petite salope !?

Je sens le souffle chaud de l’homme qui vient de me parler, sur ma joue… puis l’humidité de sa langue qui remonte jusqu’au lobe de mon oreille qu’il mordille un moment. Une autre langue se pose sur ma bouche, l’homme essayant de forcer le passage entre mes lèvres. Je résiste un court moment mais les mains de plus en plus insistantes au niveau de mon sexe, me font lâcher prise. Je me laisse alors aller dans un fougueux baiser avec cet inconnu aux lèvres charnues.
Toujours dans le même temps, je sens mon bas de jogging glisser vers mes chevilles, puis des doigts écarter ma petite culotte. Des doigts mais aussi des bouches… Toujours dans le noir le plus total, je me cambre pour inciter ces langues expertes à me fouiller en profondeur. C’est vraiment trop bon !

– Elle est encore toute salée, la petite cochonne !… Alors, petite salope… comme ça, on ne se lave pas, pour sentir la chienne en chaleur ?!…
– Oui, regarde… ça doit être ça ! Elle a son petit trou déjà tout dilaté et qui ne demande qu’à se faire remplir !… C’est sans doute le genre de petite pute toujours prête pour se prendre une grosse queue dans le cul !

L’homme qui vient de parler doit être celui qui m’a glissé un doigt dans l’anus… mais il y a tellement de mains, de doigts, de bouches sur mon corps… tellement de voix différentes aussi, que je ne sais plus qui fait quoi !?…
Je m’abandonne progressivement à ces multiples caresses, n’essayant même plus de lutter pour retenir ma petite culotte… D’ailleurs, je sens mes derniers habits ôtés par ces mains invisibles et d’un seul coup mon corps se soulever du sol, porté par tous ces bras virils. J’ai l’impression d’être un pantin désarticulé à qui on fait écarter les cuisses, tourner la tête, ouvrir la bouche… à la merci de ces mâles en rut, dont les commentaires sont de plus en plus salaces, voire même réellement grossiers pour certains !

Je suis maintenant allongée, a priori sur une table, les jambes grandes ouvertes et tenues en l’air… Au moins l’un d’eux doit avoir éjaculé sur moi, car je viens de me faire asperger le visage d’un liquide chaud et légèrement visqueux. Je n’ai de toute façon pas le temps de réagir qu’une main m’oblige à tourner la tête de côté et que je sens quelque-chose butter sur mes lèvres…

– Allez… ouvre ta bouche, ma belle championne, pour voir si tu es aussi douée pour bouffer des queues qu’avec un ballon dans les mains !…
– Allez… avale ça, petite pute ! Après, tu auras le droit de prendre la mienne…

J’ai l’impression de reconnaître la voix du président du club, un gros porc libidineux et vicieux qui, la cinquantaine passée, se met dans le couloir le long des vestiaires et essaye de regarder à l’intérieur, quand nous prenons nos douches. J’ai un haut-le-cœur rien qu’à cette pensée que c’est lui et d’autres vieux dégueulasses de son genre autour de moi ! C’est répugnant…
Et pourtant, j’ouvre docilement ma bouche pour accueillir le sexe qui tapait à l’entrée, malgré l’odeur âcre de celui-ci. Je me mets alors à le sucer avec délectation et ferveur, comme si le fait que ce soient de vieux pervers qui me baisent, m’excitait plus encore.
Mes mains cherchent alors autour d’elles d’autres queues à agripper, ce que je ne tarde pas à réussir… dont une qui semble d’ailleurs de bonne taille. Je me mets à les branler énergiquement, bestialement…

Dans le même temps, d’autres inconnus s’affairent toujours sur le reste de mon corps… Certains me triturent les seins, pinçant ou mordillant farouchement les tétons qui me font presque mal, tellement ils sont durs.
D’autres langues et d’autres mains parcourent mon ventre, mes hanches, mes cuisses, mon sexe… chacune redoublant d’imagination pour exciter encore un peu plus mes zones érogènes et me provoquer du plaisir.
Et puis, à un moment donné, je sens deux mains me tirer par les hanches, comme pour me rapprocher d’un bout de la table. Je comprends immédiatement que je vais me faire pénétrer !
Seulement, contrairement à d’habitude où j’ai toujours un peu de mal à faire rentrer le sexe de mon copain en moi, je suis tellement mouillée et excitée que l’engin, pourtant a priori de belle dimension, glisse cette fois-ci tout seul dans mon vagin. Le moment est exquis, tout proche de l’extase…

La suite n’est que merveille de sensations et de jouissance…
Toujours privée de la vue, tous mes autres sens sont en pleine action, afin de profiter au maximum des plaisirs multiples qui me sont offerts. Des bites de toutes tailles se succèdent dans ma bouche pour des fellations toutes plus gourmandes les unes que les autres… avec à la fin ceux qui préfèrent me remplir la cavité de leur chaude semence et les autres qui se retirent sans prévenir pour éjaculer plutôt sur mon visage ou mes seins ! A peine l’un enlève sa queue… qu’un autre positionne la sienne contre mes lèvres afin que je l’enfourne immédiatement.
Parfois même, je sens deux queues en même temps avec ma langue et me fais un plaisir de les choyer ensemble, les rapprochant jusqu’à ce que les glands se touchent et les enroulant avec mon appendice buccal…

Entre mes cuisses aussi, les bites se succèdent… chaque homme redoublant de vigueur pour me défoncer bestialement ma petite chatte, avec une rumeur admirative à chaque fois que l’un d’entre eux réussi à me faire gicler ma mouille. J’enchaîne ainsi les orgasmes, tous plus violents les uns que les autres, hurlant ma jouissance quand je n’ai pas une queue dans la bouche !
Je m’étrangle presque avec le sperme en quantité que j’ai dans la gorge, le sentant couler lentement vers mon estomac alors qu’un autre homme me remplit encore un peu plus de sa semence.

Jamais je n’avais vécu une telle expérience avant… mais le fait de me faire prendre comme une chienne en chaleur par tant d’inconnus, sans pouvoir les voir, était absolument extraordinaire ! Je ne voulais surtout pas que cela s’arrête.
La honte et le malaise vis-à-vis de Kévin, mon copain, me paraissaient de plus en plus lointains et insignifiants, comme si mon propre plaisir prenait le dessus sur tout le reste… J’aimais me faire baiser bestialement par plein de mecs, telle une vraie salope.

Plus que le match de cet après-midi et la victoire grâce à mon dernier but… cette journée serait marquée par cette révélation pour moi, de ce que je voulais comme sexualité, très loin de la relation très conventionnelle avec Kévin. Enfin, je savais ce que j’aimais ! De belles chattes bien juteuses et de bonnes grosses bites dans tous mes orifices !
Je profite de ne pas avoir la bouche occupé pour hurler ma jouissance de toutes mes forces…

– Ouiii !… Encore !… J’en veux encore… défoncez-moi, bande de gros pervers !…

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