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Mon séjour à Miribel

Mon séjour à Miribel



J’ai rencontré Fanny sur un site de rencontre Adopteunmec.com mais au début, on ne se parlait pas trop. Certaines péripéties de la vie lui ont fait aller chercher le réconfort qu’elle ne trouvait pas dans sa famille. C’est comme ça qu’on a commencé à s’écrire de plus en plus jusqu’à se voir le 15 avril 2011.
J’ai pris le train de Strasbourg pour m’arrêter à la gare de Lyon-Part-dieu d’où je devais prendre le TER pour me rendre à Miribel. Sur le quai de la gare se tient Fanny qui porte une veste en cuir avec laquelle on peut tout de suite deviner les formes de son corps. On ne verrait presque que ses gros seins. Elle me salue puis on se dirige vers sa voiture, direction le formule 1 à Beynost.

Dans la chambre, sans un mot, elle retire sa veste et me dévisage de la tête aux pieds pendant que moi, j’ai une vue imparable sur ses gros seins. Elle me tourne autour pendant que j’admire ses fesses … sans un mot. Elle s’aperçoit de ma demie érection et elle en profite pour s’allonger dans le lit les jambes écartées. J’en profite pour la détailler, un visage enfantin avec un vrai corps de femme. Elle est petite, menue mais a de sacrés gros seins.

Je m’approche d’elle et commence à la déshabiller, puis elle commence à me caresser le sexe à travers mon pantalon. Elle ne porte plus que son soutien-gorge et son string mouillé. j’en profite pour lui caresser ses fesses et vais même jusqu’à les écarter légèrement. A ses yeux, je vois qu’elle veut plus! Je m’approche d’elle, caresse délicatement ses seins puis me penche pour les suçoter. Elle semble trouver cela agréable. Je continue avant de lui écarter ostensiblement les jambes. J’ai les yeux à quelques centimètres de sa vulve, gonflée d’excitation, humide, imberbe et je la caresse doucement. Je n’hésite pas à écarter ses lèvres intimes en vue de trouver son clitoris et de l’exciter. Je ne sais pas si c’est une première pour elle mais en tout cas, elle adore ça, les sensations semble être immenses pour cette salope. C’en était trop pour elle qui jouit.

Elle descend du lit pour s’approcher de mon sexe, se met à genoux et dégrafe mon pantalon avec frénésie. Elle veut voir la bête sur laquelle elle a posé tant de regards! Puis, elle me retire mon caleçon, l’engin sort immédiatement. Putain ! Elle reste en arrêt devant, à l’admirer sans la toucher. Elle est épaisse, puissante et c’est sa première grosse bite qu’elle semble perdue. Elle commence à lécher mon énorme gland déjà bien humide qui a l’air trop épais pour sa bouche. Elle opérait d’abord en baisers mouillés puis uniquement avec la pointe de sa langue. Elle commence à la prendre en bouche mais elle a bien du mal à la sucer.

Elle enfourne mon gland majestueux dans sa bouche, caressant doucement mes grosses couilles qui pendent. Sa bouche longeait ainsi l’intégralité de mon membre par le côté, puis par le dessous, du gland jusqu’aux couilles. Puis elle ouvrit à nouveau la bouche en grand pour prendre entièrement le gland entre ses lèvres, pour le suçoter sans le heurter avec les dents. Je lui tira ensuite la tête lui indiquant d’aller plus loin dans sa fellation, ce qu’elle fit graduellement et non sans difficulté. Elle sentait mon sexe vibrer dans sa bouche, sur son palais et sur sa langue.

Elle me pompait de plus en plus loin, toujours lentement pour le ressentir le plus longtemps possible. La sentant prête, je la força à prendre ma queue à fond en l’enfonçant jusqu’à l’entrée de sa gorge. Je déchargeais rageusement après qu’elle ait accéléré sa cadence de pompage, suite au mouvement de plus en plus rapide que j’imprimais à sa tête. Elle sentit mon sperme chaud gicler puissamment par saccades sur son palais puis toucher le fond de ma gorge. Quant à moi, je sentais encore les mouvements de sa bouche sur mon sexe. Une impression inoubliable que, depuis, je recherche toujours chaque fois qu’on me fait une fellation. Je la força ensuite à bien nettoyer ma queue, maculée de blanc, cependant que les dernières saccades de liquide séminal continuaient à s’échapper de mon méat.
Ma pipe le surexcite. Il se tend encore alors que je rythme ma succion au son de la musique que nous entendons en sourdine, faisant valser mon bassin d’excitation.

Après cette bonne pipe, nous sortons de la chambre et je l’embrasse comme le ferait son petit ami. Elle m’emmena au parc de Miribel-jonage mais elle avait prévu son coup. Cachée dans le coffre, une couverture qu’elle souhaitait utiliser à l’abri des regards indiscrets.

Comprenant le manège, je l’attire contre moi et tente de l’embrasser. Mais, elle n’est intéressée que par une seule chose. Elle descend alors vers mon sexe, se mets à genoux sur la couverture et dégrafe mon pantalon avec vigueur. Elle enfourne à nouveau ma bite dans sa bouche en caressant mes grosses couilles qui pendent. Pendant quelle me suce, elle remonte sa jupe et pose une main sur son string pour se branler.
Sa pipe me surexcite. Je me tends encore alors qu’elle rythme sa succion ce qui faisait valser son bassin d’excitation.
Soudain, elle ralentit sa pipe pour me faire comprendre qu’elle ne veut pas que je jouisse dans sa bouche.
Elle me lâche, retire son string et se met à quatre pattes sur la couverture. Elle remonte ensuite sa jupe pour m’offrir ses fesses. Enfin ! Je vais pouvoir la baiser !
Avec un doigt que j’humidifie, je m’occupe de cet anus tout serré dont c’est la première fois. Après qu’il soit bien humide, je présente mon gland à cette entrée et démarre un va et vient énergique dans son cul. Ma queue a l’air de lui faire du bien immédiatement mais je dois mettre ma main sur sa bouche pour l’empêcher de crier. On est dans un parc public et ses gémissements pourraient attirer l’attention des passants. Notre cachette de fortune se trouveraient alors aux yeux de tous.
Pendant que je la baise, je ne retiens pas mes coups de reins contre ses fesses. Mes boules claquent contre elles. Elle libère une main et commence à s’introduire un doigt dans la chatte. Elle profite que je lui libère les hanches pour me faire sortir de son anus. Elle veut changer de position et s »installe alors dans une position où son anus est au premier plan, allongée sur le côté. Elle écarte à fond ses fesses avec ses deux mains, pour que je présente mon gland sur son œillet. Je reprends le ramonage, l’orgasme monte déjà. Je me démène comme un chien en chaleur.

Je sors et la repénètre d’un trait, je ressors en entier, reviens dans son cul d’une poussée, recommence, à chaque fois son orgasme monte par vagues. J’ai l’impression d’être un magicien qui fait chanter son anus de ma baguette magique !
Elle jouit mais je l’empêche de crier. Je continue de la pilonner, sans répit, la serre aux épaules comme une bonne salope. Elle décolle littéralement de terre, je reviens dans son cul d’un coup de reins que je lime encore pendant de longues minutes. Je lui procure une deuxième montée d’orgasme qu’elle délivre avec ses doigts, martyrisant son clitoris.

Je continue encore ! Je l’enfile comme une princesse, tous mes coups de reins lui donnent du plaisir, elle ne s’en lasse pas. Cette sodomie est inoubliable, elle ne sait plus où elle habite, elle sent un troisième orgasme qui monte indubitablement. Je la pousse sur le ventre afin de m’allonger sur elle pour qu’elle sente encore mieux ma queue dans son cul. Je pose une main sur son clitoris pour la branler avec ardeur. L’orgasme se déclenche à vitesse grand V en elle, je la fais jouir une troisième fois avec un savoir faire qui lui coupe le souffle, la laissant chancelante sur la couverture de nos ébats. Il n’en fallait pas plus pour que je jouisse en elle, dans son cul.

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