Michel a pris goût à notre nouvelle vie, ça je le savais, mais j’ignorais qu’il avait une âme cachée qui ne demandait qu’à s’affirmer.
Il y a quelques jours, il me propose de me présenter son boss. Rendez-vous dans un club de tennis du Vlaams Brabant.
Le matin, avant de partir, il me bassine sur l’importance d’avoir de bonnes relations avec ce gars : carrière, avantages,… . J’en passe. Il me demande de mettre ma robe de tennis plutôt qu’un polo et une jupe ; La robe est sans manche, coupe chemisette « Marcel ». J’ai mis une culotte bien sage, un soutif bandeau pour que les bretelles ne se voient pas sur les épaules.
Juste au moment de départ, il m’embrasse très ardemment et, profitant du moment, il me décroche le soutif. Il me supplie de ne pas le remettre. Je suis un peu excitée mais je trouve quand même que me présenter à son patron avec les tétons qui pointent c’est un peu audacieux. Ou voulu…
On arrive au club. Il me présente. Plutôt sympa mais très « patron ». Il me regarde de la tête aux pieds, sans vergogne. Le regard a l’air amusé de voir ma poitrine aussi indiscrète même si elle est menue. Je me sens transformée en objet de curiosité. Il dit à Mich qu’il a bien fait de me présenter. Il me trouve mieux en vrai. Cette phrase me glace. J’espère que Mich ne m’a pas montrée nue en photo.
La scène est toujours aussi étrange. Il ne me parle pas, se contentant de poser des questions à Michel.
« Je suppose qu’elle n’a pas eu le choix ».
« Vous avez raison de la soumettre »
J’ai envie de crier ma colère et de partir mais je sens que Michel compte sur moi. Il a l’air gêné. « Elle est prête ? »
« Non ? Vous attendez quoi mon vieux ? Elle est soumise ou elle ne l’est pas ? » Michel a les mots qui sortent difficilement mais me dit à voix basse de tirer ma culotte. C’est donc ça : promotion canapé par procuration. Je n’ai pas envie de l’humilier. Tout à mon aise, je baisse ma culotte, l’ôte et la tends à cet imbécile arrogant.
« Je peux échanger quelques balles avec elle ? Je vous la rends ensuite ». Fichtre.
Nous allons vers les terrains. Le choix de la robe est très ennuyeux. Les mouvements d’épaules la font remonter plus qu’un polo et une jupe. Tous les terrains sont occupés et je fais de mon mieux pour ne pas tout dévoiler. « Vous devriez ramasser les balles à la main plutôt qu’à la raquette ». Je lui tourne donc le dos et me penche. Il doit avoir une vue parfaite sur mes fesses. Nous jouons un petit moment.
Il vient au filet et me dit qu’on va devoir arrêter parce qu’on voit beaucoup trop mon sexe. Ce serait plus facile si j’étais épilée…
Il est vrai que c’est SON club et que des regards se fixent vers nous. Il me propose de prendre un verre.
« Je suis à vous » Il n’a qu’à gérer. Il hésite avant de m’emmener vers le parking et sa voiture. À peine démarrés, il me demande dire à mon mari qu’il m’offre un verre et me ramène. Je le fais. Il regarde avec insistance mon entrejambe où ma toison affleure. « Écarte les genoux ».
Nous arrivons chez lui.
C’est la première fois que je suis avec un vrai dominant.
Il me dit d’ôter ma robe. Je suis là, au milieu de la pièce, me sentant idiote. « À plat ventre, mains derrière le dos et rampe jusqu’à la terrasse ». En jouant des épaules et des hanches, j’arrive à avancer sur le carrelage. J’arrive à la porte de la terrasse, je me fais glisser en bas de la marche. Terrasses en clinkers. Deux mètres à faire mais suffisant pour érafler la poitrine. Il est assis, je suis à genoux ; Il me dit que mon mari a de la chance de m’avoir, que c’est rare une épouse aussi dévouée, qu’il vérifierait quand même si c’est par vice ou par soumission que je me donne.
Il sort sa queue et me la présente. Bel engin. Je lui fais ça le mieux possible. Il joue avec mes tétons pendant que je le suce. Avant que je n’arrive à mes fins, il me relève et me pousse vers la table. Penchée en avant, il me prend. Il me tend le téléphone pour que j’appelle Michel pour dire que je négocie sa promotion. C’est vraiment insultant mais j’obéis. J’essaie de parler normalement pour ne pas infliger à Miche le supplice de me savoir baisée pour lui. Je raccroche, il se retire. Il me retourne, dos sur la table, chevilles sur ses épaules et me reprend. Il a une résistance incroyable, ça fait une éternité qu’il va et vient. Je me sens partir. À ce moment, il gifle « pas de ça, quand je t’autoriserai ». Deuxième gifle, troisième. Entretemps il s’est vidé et se retire. Je suis là, frustrée.
Nous rentrons. Il me dit qu’il va voir si je suis sincère et puis il me laissera jouir.
Je suis couchée sur la table du salon, la tête dans le vide, les pieds au sol. Il arrive, une bougie allumée à la main. J’ai compris. Je croyais… Il me donne la bougie et m’ordonne de laisser couler la cire. Une goutte après l’autre, je laisse tomber sur mon ventre. Il me dit de ne pas faire semblant. Pas le choix. J’y vais à fond, pas plus de trois cm de hauteur. Je sens la chaleur de la flamme Je me mords les lèvres pour ne pas crier, je pense à Michel qui serait fier de moi. Je vise mes flancs, endroit sensible, mes seins, mes tétons, mes cuisses, pour finalement laisser tomber quelques gouttes sur le sexe que j’ai entrouvert. Je dois grogner comme un a****l. Il me retire la bougie des mains et enfonce ses doigts dans le vagin. Son pouce malaxe mon clito, sa main me défonce. Je me laisse aller.
Il me dit que je suis vraiment bien. J’ai des taches roses un peu partout, traces des brûlures infligées. Je renfile ma robe et on revient rapidement au club. Mich m’attend dans le parking. Le boss crie un grand au revoir avant de redémarrer en levant le pouce en signe de victoire. Michel a l’air défait. On ne dit rien avant la maison. Je serai trop fière de monter les traces du prix payé pour son métier.
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