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vieux et cueillette de figue(s) 3

vieux et cueillette de figue(s) 3



Deux semaines après…
(partie 3)

Ces parties avec ces vieux « ruraux » m’avaient complètement tourneboulée et, non seulement j’y repensais souvent, mais aussi j’imaginais les séances de masturbations chez tous ces vieux adorés à qui j’avais offert mon corps et quelques dessous et mes ballerines.
Aussi, le week-end suivant, usant de quelques stratagèmes pour dissimuler les « pièces » compromettantes à mon mari [mais je n’avais pas renoncé à l’idée de l’amener un jour], je décidais de leur jouer le grand jeu, sachant (ou du moins espérant) que quelques « nouveaux clients » allaient se mêler à la partie.

Dès que mon mari eut entamé la sieste réparatrice du samedi, je m’empressais d’aller me vêtir de la manière la plus sexy possible pour affoler « mes vieux » : là, tremblante d’excitation, j’enfilais non plus des bas dim-up mais carrément des superbes bas nylons fins avec couture tenus par un porte-jarretelles, accompagnés par une tenue compète de dessous nylon affriolants, sous une autre jupette encore plus coquine. Toujours chaussée de ballerines –mais avec dans mon sac une paire d’escarpins sexy à talons que je comptais chausser juste avant d’arriver à la maison de « mon vieux »- je partis surexcitée en quête d’une nouvelle aventure : j’étais prête à tout avec ces vieux et j’avais une énorme envie de leur donner du plaisir.

Arrivée au coin de la ruelle, j’enfilais mes escarpins en lieu et place des ballerines, que je rangeais dans mon sac et je m’avançais un peu fébrile vers la maison de mon vieux, accompagnée par le claquement des talons sur le goudron. Cette fois ci, il n’y eut même plus besoin d’alibi cueillette et j’eus droit à un authentique « comité d’accueil » dans la grange puis dans la cuisine de « mon petit vieux » : René, Marcel et « mon vieux » m’attendaient sous la grange et tous trois se levèrent comme un seul homme dès qu’ils m’aperçurent, tout en restant un peu interloqués à la vue –et à l’écoute du bruit des talons sur le goudron de la ruelle, chose hyper rare à la campagne- de mes escarpins sexy.
Ils m’admirèrent de la tête aux pieds et René se frotta aussitôt contre moi, alors que mon petit vieux m’embrassait sur la bouche en guise de bienvenue et que Marcel caressait mes seins en souriant, comme s’il les soupesait. René qui était en short colla sa tige bandée contre ma hanche- que je pris en main aussitôt quelques instants pour bien le branler-, tout en prenant un peu la direction des opérations :
« Vous n’aurez pas à aller dans l’arbre aujourd’hui… »
« Tenez, on vous a ramassé les figues mûres ces derniers jours… » rajouta Marcel
« Il y a aussi quelques coings et poires, si vous voulez… »
« oh ! merci » dis-je en souriant

« vous êtes bien jolie habillée comme ça… »

Et … j’empoignais la bite de René, prestement extirpée du short, le branlant un peu

« Venez, on va vous montrer quelques belles photos de la semaine dernière »
« ah ? »
« … ouais et si vous saviez combien de fois on s’est branlés en les matant tous ensemble » claironna René
« et avec votre jolie culotte aussi » renchérit Marcel
« et vos ballerines… je les ai remplies de foutre » rajouta mon vieux
« venez voir… elles sont chouettes… vous êtes si belle et si sexy »
Et on me conduisit à la cuisine… où là, choc, trois autres vieux types -vicelards du village en manque de femelle- attendaient en silence, timidement et prudemment assis sur leur chaise.
« Lui c’est Maurice, voici Albert et Jeannot » me présenta rapidement René…
« et voici Jeannine, l’amie d’Alphonse » (oui, Alphonse c’était le prénom de « mon vieux » attitré)
Les trois types, tous d’un certain âge, me dévisagèrent de la tête aux pieds, me sourirent comme ils purent (un peu crispés par « l’enjeu ») en me tendant la main.

Mais le gars René me surprit et surprit tout son monde (car il s’était lancé avec bonheur dans l’informatique) en ouvrant un ordinateur portable qu’il avait préalablement relié à la Télé grand écran de mon vieux :
« on va d’abord regarder les photos de la semaine dernière ».
Il était clair qu’avec ça les trois nouveaux allaient très vite être dédouanés et que le ton allait très vite monter –nul besoin de cueillette préalable.

Ils me firent m’installer sur un « canapé », mon vieux à côté de moi d’un côté et Marcel –mon manant à la bite d’enfer- de l’autre.
Les photos, soigneusement classées par ordre chronologique et donc, avec une montée « crescendo » dans l’érotico-porno, commencèrent à défiler devant nous, avec évidemment les commentaires enthousiastes de René, de mon vieux et de Marcel aux commandes, bientôt complétés par les exclamations de surprise et d’extase des trois autres. J’en étais devenue muette de stupeur, de voir à quel point j’étais devenue « une star » pour cette bande de vieux, plus ou moins célibataires.
« Oh oui, là ! »
« Hmmm ! quelle belle chatte ! »
« Ouyaouh ! ce cul ! »
« Ah ouais quel cul ! »
« Putain tu la bouffes bien là, Alphonse »
« Ouais, elle est belle comme ça ! »
« Ahhhh ! elle suce bien là ! »
« Ces cuisses ! elle a des bas ! »
« Elle la branle ta grosse queue Marcel ! »
« Ouf, René qu’est-ce que tu lui mets ! »
« Oh ! là ! elle le prend bien dans sa chatte ton gros engin Marcel ! »
« Putain, vous vous la faites à 3 les gars ! »
« Ouh ! ça m’excite ça ! »
« Ah ouais ! super là quand tu la prends sur la table »
« Putain, à deux ! par les deux trous ! »

Et ainsi de suite pendant de longues minutes, jusqu’à la fin :
« Ouaouh ! tu lui décharges sur le cul »
« Putain sa chatte trempée de sperme ! »
« Elle en prend plein la gueule de foutre ! »

Le ton était bien donné quand retentit un : « voilà c’est fini, vous avez tout vu »

Tout allait pouvoir commencer pour aujourd’hui, d’autant plus que ma nouvelle tenue s’y prêtait et que, pendant la « projection d’images », mon vieux et Marcel avaient déjà pas mal commencé à me palucher sur mes bas, mes seins et mes fesses. Les trois « nouveaux » me lorgnaient -et enviant les deux autres gars- tout en se massant ostensiblement leur queue à travers les pantalons
« Tiens René vas-y, prends la en photos avec sa belle tenue d’aujourd’hui, elle va nous en montrer un peu et nous faire tous bien bander » dit Marcel, me poussant par les fesses pour me faire me lever au milieu de la cuisine.
« Allez, montre-nous un peu tes bas et tes dessous… » dit René
« Oui, oui, montre leur comme tu es belle avec ces escarpins » rajouta mon vieux

Alors, fièrement, je me campais au milieu de la pièce et leur commençais un petit numéro d’exhibe de mes bas, de mes escarpins, soulevant ma jupette, bombant le torse, enlevant mon tee-shirt pour leur montrer mon sous-tif et mes seins, caressant mes tétons, plaquant ma culotte sur ma chatte, me cambrant sur mes escarpins, tendant mes fesses… je m’offris à leurs regards salaces et baveux, ainsi qu’à l’appareil photo, qui mitraillait sous tous les angles.

Mais très vite ce furent des pognes qui convergèrent sur mes atours et mes formes. Ils étaient tous tellement excités par les « images » et mon petit strip-tease qu’ils s’étaient levés et m’avaient entourée et ce fut une déferlante de mecs en rut, qui m’encerclaient. Pour tous préliminaires, les trois « nouveaux » invités se jetèrent carrément sur moi, soulevant ma jupe et me chopant par les miches et les fesses, remontant mes cuisses le long de mes bas. Marcel contrôlait un peu leur fougue et « mon vieux » -un peu dépassé, les yeux écarquillés- tentait de me « protéger » de leur surplus d’ardeur, en faisant un peu écran ; René prenait toujours des photos tout en repositionnant un magnétoscope sur un trépied, de manière à filmer la séance en continu et avoir les mains libres.

J’avais des mains partout et, de mon côté, je ne restais pas inactive car je venais flatter les queues bandantes dans les pantalons qui se frottaient à moi contre mes fesses et mes cuisses. Je descendis des fermetures éclair de braguette, je plongeais mes menottes dans des slibards un peu grands et je commençais -enfin !- à tripoter des bites à même la chair. Tous sans exception me roulèrent des galoches, se passant mon visage en me tenant par le menton, les langues –en premier celle de « mon vieux »- fouillaient ma bouche dépendante et docile. Des crânes plus ou moins chauves, des bedaines plus ou moins pressantes me cernaient. Mes tétons furent rapidement dégagés du balconnet, sucés, titillés, mordillés ; ma jupette remontée à la taille ; ma culotte fine prise d’assaut par des paumes de main enrobant une de mes fesses, par des doigts inquisiteurs qui malaxaient mes lèvres, agaçaient mon clito ou s’enfonçaient dans ma chatte de plus en plus humide, doigtaient mon œillet…

Les pantalons des types commencèrent à s’ouvrir, descendre et s’enlever, ainsi que tout le reste, et je fus rapidement entourée de six corps de gros vieux velus, plus ou moins à poil, qui me tendaient leurs bites pour que je les saisisse à pleine main ou bien venaient les frotter contre mes bas, mon ventre, mes fesses. Là, je perçus une forte odeur de queue ! J’aimais sentir ça ! J’ondulais des fesses que je tendais à la rencontre des engins dans mon dos, je me lovais contre une tige bandante appuyée sur mon pubis, le gland se promenant dans mes poils et affolant ma toison. J’avais des bites de tous calibres plein les mains et je me régalais d’aller de l’une à l’autre : moi qui aime toucher des queues, j’étais servie avec ces six mandrins à ma portée.
Ils grognaient doucement en se frottant à moi, m’embrassant ou me paluchant :
« hmmm ! caresse oui »
« ahhhh ! t’es douce »
« c’est bon ça oui »
« rrggggn ! branle bien oui »
« elle aime les queues ! hmmmm ! »
« elle les chope bien oui »
« t’aimes les bites hein ?… on va t’en donner ! »

Tous ces vieux commencèrent alors à faire l’ascenseur : ils s’accroupissaient et me bouffaient la chatte par-dessus la culotte, embrassaient mes fesses, léchaient ma raie, paluchaient mes cuisses sur mes bas où y promenaient leurs bites, caressaient mes escarpins qui, manifestement, leurs plaisaient beaucoup. Ceux qui restaient debout continuaient à me galocher et à honorer mes seins pendant que mes mains saisissaient les queues les plus proches.
Cette situation longue, douce et à peine oppressante, m’enivrait et je me régalais. J’adorais être le centre du monde de tous ces vieux à qui j’offrais un plaisir rare. Je les sentais subjugués, affolés, heureux comme des gosses jouant les salaces. Ils s’excitaient les uns les autres en me butinant comme une gourmandise.
« orhhhh ! que c’est joli ces bas »
« la jolie petite chatte…hmm ! »
« branle un peu nos queues oui ! »
« elle aime ça tenir des bites ! t’aimes ça hein ? »
« allez, suce un peu »
« fais la salope ! »
« ouais, sois salope, t’es qu’une salope »
« on va t’en donner de la queue »
« ah ! ouais les gars ! elle est bonne »
« elle excite bien la salope »
« t’aimes ça les bites de vieux »
« putain, que c’est bon de la bouffer sa chatte ! »
« ces escarpins, ce cul ! »
« ah ! ouais et sa culotte, ses bas »
« t’as de belles miches tu sais »
Ma jupe et mon tee-shirt m’avaient été retirés, j’étais au milieu d’eux seulement « vêtue » de ma culotte, mon porte-jarretelles et mes bas, les bonnets de mon soutien-gorge rabattus sous mes seins et de mes escarpins tentateurs. Ils m’empoignaient de tous côtés, me paluchaient, me léchaient, me suçaient, me galochaient ; certains s’astiquaient la bite contre mes bas ou contre moi, d’autres me guidaient les mains pour que je les masturbe. Comme ils me cernaient, je m’agenouillais au milieu d’un cercle qu’ils refermèrent bien vite et j’eus leurs six queues qui dansèrent autour de mon visage, venant à tour de rôle se présenter à ma bouche pour que je les suce et à mes mains pour que je les branle. J’allais de l’une à l’autre, essayant de ne pas trop montrer ma préférence pour les plus belles [certains de ces vieux étaient ma foi fort bien montés –vous connaissiez déjà Marcel et son engin ! René et son boudin, mais les nouveaux étaient pas mal montés] et de donner de la langue à tous, soupesant les couilles des autres, agaçant les glands et astiquant les tiges plus ou moins violemment. Je m’enivrais de bites.
Ils m’installèrent au milieu de la pièce sur un petit fauteuil, me maintenant jambes écartées et l’un d’eux, fier et décidé, se précipita sur ma chatte pour la bouffer, sous les encouragements des autres, qui me maintenaient « en position » sous l’œil de l’objectif de l’appareil photo de René qui immortalisait ces scènes scabreuses. Je me laissais faire et la langue active de ce vieux barbu me remplit d’aise et commença à me faire grimper dans l’échelle du plaisir. Alors je donnais encore plus d’activité à mes menottes, des glands et des tiges venaient se présenter dans mon dos, chatouillaient mes cheveux, tapotaient mes joues je tournais la tête et j’en gobais une de côté. Les autres se servaient de mes bas et de mes escarpins pour frotter leurs queues et les maintenir en ébullition. Plusieurs vieux -tous je crois- se succédèrent pour honorer ma chatte, heureux de voir qu’ils me procuraient du plaisir en me rendant dépendante de leurs langues et dégustant mes sucs. Je caressais leurs crânes, surtout celui de mon vieux quand il me lécha les lèvres avec amour, roulant une galoche à ma chatte.
Sentant monter le plaisir, un des « nouveaux » vieux, après m’avoir copieusement léchée, se redressa un peu et présenta son gland luisant à l’entrée de ma chatte :
« Allez ! vas-y Jeannot enfile la, elle n’attend que ça »
Et le gars Jeannot me pénétra en grognant de plaisir !
Il m’empoigna par le bassin, ses doigts bien enfilés sous mon porte-jarretelles et commença à me limer avec application, le visage révulsé d’extase, sa tige drue me pénétrant bien droit. Je nouais mes chevilles et mes escarpins autour de son dos, un peu aidée par quelques pognes (de mon vieux ?) qui caressaient mes bas fins et une bite qui s’astiquait contre le cuir vernis de mes godasses à talons hauts.

Le gars Jeannot me baisa bien, se penchant de temps en temps sur moi en posant son gros ventre contre le mien pour m’embrasser, puis se retira prestement pour laisser son tour. Aussitôt ce fut Maurice, apparemment surexcité et impatient qui lui succéda en m’embrochant sans ménagement un peu comme un soudard… ce qui lui valut un petit reproche de René :
« hé ! vas-y doucement Maurice ! oh ! ne la casse pas la copine d’Alphonse, sinon elle ne viendra plus ! c’est pas une pute ! »
Le gars Maurice ralentit sa cadence un peu frénétique et bredouilla :
« hmm ! oui mais bon ! elle m’excite tellement avec ces bas et ces escarpins et puis ces photos que tu nous a montrées… puis de voir Jeannot la prendre… j’en pouvais plus moi, elle est bonne sa chatte, c’est le pied de la baiser »
« Ouais, ouais, et moi ? allez ! passe-moi la, j’en veux » interrompit Albert

Mes trois anciens amis avaient tacitement laissé la primeur de l’après-midi aux trois nouveaux. Albert me prit un peu plus délicatement que Maurice et ce fut tant mieux car sa queue était de fort belle taille, épaisse et dure… sans toutefois atteindre les mensurations dantesques de celle de Marcel mais pas loin. Il le savait car il me toisait fièrement du regard (comme pour mesurer l’effet que faisait sa grosse bite dans ma chatte) en me pénétrant de plus en plus profond à chaque va-et-vient ; je serrais mes cuisses contre les siennes comme pour calmer la vigueur de ses coups de treuil. Alors, il entrait lentement, appuyait puis bougeait en moi une fois au fond. C’était bon ! sa grosse queue me faisait du bien et je l’agrippais par les bras comme pour mieux le faire venir et ne faire qu’un avec lui.
« Putain ! qu’est-ce qu’il la met bien ! »
« Elle a l’air d’aimer ça ta femme Alphonse, oui ! »
« Tu la sens ma bite hein ? tu la sens bien dans ta jolie chatte ? »
« Oui, oui, oui, vas-y doucement ! c’est bon ! elle est dure, je la sens bien »

Pendant qu’il me prenait, je sentis des pognes venir caresser mes cuisses, d’autres mes seins et, de part et d’autre du fauteuil, des bites venir quémander une caresse de mes menottes. Comme j’étais tenue fermement, je me saisis de ces queues qui dansaient et je branlais à tour de rôle mes petits vieux heureux de cette séance.
Ils émettaient des petits grognements de plaisir, des fredonnements, quelques mots inaudibles, que je percevais par bribes : ‘ouh la’, ‘belle…’ ‘ces cuisses…’ ‘la salope…’ ‘branle…’ ‘elle baise bien…’ ’ces seins, c’est bon, spectacle…’ ‘génial…ouh !’ ‘sexy…oui,’ ‘ah oui, c’est super,’ ‘elle est extra !…’ ‘suce…’ ‘ces bas ! hmmm !…’ ces escarpins sexy ; elle est belle’ »
C’était comme un essaim de vieux affamés de sexe qui n’en avaient pas eu depuis des années (ce devait d’ailleurs être le cas de beaucoup d’entre eux). A tour de rôle, ils me baisèrent tous sans exception dans cette position -et même certains deux fois-, se passant et se repassant ma chatte et mes cuisses écartées, pendant que les autres se faisaient sucer et branler ou me paluchaient.
Quand le gros engin de Marcel me pénétra, je ne pus retenir un cri et je me figeais un instant, cessant toute branlée ou pipe, pour rester concentrée sur cette pénétration hors norme. D’ailleurs tous les autres, y compris les nouveaux, semblaient guetter cet instant et contemplaient l’énorme queue progresser dans ma chatte déjà bien limée et lubrifiée : c’était quelque chose ! et René s’empressa de venir refaire quelques clichés du genre « incroyable mais vrai ! ».

Marcel avait quelque chose d’un gentlemen car il se contenta de me baiser calmement, ne ravageant pas trop ma chatte et surtout il me fit jouir comme une folle qui agitait la tête en tous sens, bien encouragée et maintenue par les autres vieux qui se régalaient de me voir jouir, tout en me galochant, embrassant mes seins, frottant leurs glands contre mes bas, s’astiquant en contemplant la scène.
« Tu la fais jouir Marcel avec ton gros engin ! »
« Elle la prend bien dans sa chatte, ta bite ! »
« Vas-y oui, jouis ma chérie » osa Alphonse
Alors je me mis à jouir sans retenue au milieu de ce groupe de vieux affamés.
Dans un monumental « flotch » Marcel retira son gros engin de ma chatte, quand il perçut que j’étais arrivée au bout de ma jouissance.
Illico presto, ils me firent me retourner et me mettre à quatre pattes sur le fauteuil. Mes cuisses, mes genoux et mes escarpins furent saisis –et caressés- et je fus installée prête pour une prise en levrette :
« Ouaouh, quel beau cul ! »
« Allez vas-y Jeannot, à toi l’honneur »
Le gars Jeannot m’empoigna par le porte-jarretelles à hauteur de mes hanches, présenta son gland qui balaya ma fente sur toute la longueur, comme pour vérifier l’état d’humidité, et m’enfila d’un coup long, profond et appuyé. Je sentis ses couilles venir s’appuyer contre le haut de mes cuisses et aussi que sa bite s’était totalement enfoncée dans ma chatte offerte. Je me tenais comme je pouvais au dossier du fauteuil, par-dessus lequel trois queues vinrent se présenter à mon visage. Les deux autres, mon vieux qui guidait l’assemblée comme un maître de cérémonie, et René, qui prenait toujours des photos, m’avaient saisie par les seins et les bras et me permirent de me saisir des queues avec mes mains et de sucer la troisième, pendant que Jeannot commençait à me pistonner la chatte en levrette.
Rapidement, une valse tournante s’instaura, la queue de Jeannot sortit, laissa la place vacante trois secondes et aussitôt Maurice m’enfila, puis Albert, puis René, puis… et enfin Marcel avec son engin d’enfer. Tous là encore, usèrent et abusèrent de ma chatte à plusieurs reprises et aussi de mon cul car, au bout d’une première salve de levrettes dans ma chatte, ce fut mon œillet qui fut visité par les tiges drues. Je ne pus pas protester car ma jouissance monta à nouveau et que je me laissais prendre avec un plaisir fou dans cette position… même si les grosses queues qui m’enculaient me faisaient un peu mal.
« Putain ! quel cul ! »
« Ah ! ouais, quel beau cul, elle a ! »
« Il prend bien les queues son cul »
« Que c’est bon de l’enculer la salope »
« Putain que c’est bon, un coup dans sa chatte, un coup dans son cul »
Je me tendais, je m’offrais, j’étais secouée, pilonnée…
« Qu’est-ce qu’il répond bien son cul, c’est fabuleux »
« Ah ouais, elle est bonne ta femme Alphonse »

Après ce long et savoureux défilé dans mes deux trous disponibles en levrette, Alphonse ordonna un instant de me laisser souffler. Puis je fus installée à califourchon sur une tige dressée, sur la queue de Maurice qui m’attendait bite drue sur le canapé. Aidée et guidée, toujours par Alphonse, et accompagnée par les miches et les pognes par les autres, je m’embrochais moi-même sur sa bite écartant mes cuisses au maximum. Le dard s’enfonça sans problème jusqu’au plus profond de ma chatte, ses couilles presque écrasées par l’intérieur de mes cuisses, au contact des bas… ce qui l’affola et le fit s’agiter.
Derrière, des pognes –Alphonse ? Marcel ? René ?- caressaient mes fesses blanches offertes et les écartelaient au maximum, tout en maintenant mon œillet dilaté en me doigtant le cul ou même en venant me lécher.
Bientôt, je sentis une présence plus lourde et plus active ; un gland se présenta et commença à pousser à l’entrée de mon cul.
« Allez on se la fait à deux ! »
Et je fus prise en sandwich, complètement affalée sur Maurice, dont la queue s’était immobilisée au fond de ma chatte, pour favoriser l’entrée en douceur de l’autre bite dans mon cul. Lorsque les deux pines furent entrées sur toute leur longueur, presque jusqu’à se toucher au fond de moi, les deux baiseurs commencèrent à me pistonner les deux trous en alternant lentement avec un certain ménagement.
Je fus prise par les deux trous pratiquement en douceur et je m’envolais pour une autre jouissance… ce qui n’échappa à René qui photographiait à nouveau :
« Super les gars, par les deux trous, ça c’est beau ! c’est génial ! »
« Tiens par tous les trous » beugla Albert qui vint me présenter sa bite à sucer.
« Ah ouais, encore mieux, elle est prise par les trois trous la salope » renchérit René « Allez-y les gars, et vous deux allez vous faire branler, cela lui fera cinq bites en même temps, elle va aimer ça la salope »
Oh ! oui, que j’aimais ça et effectivement cinq queues m’occupaient. J’étais prise en sandwich par deux nouveaux, je suçais Albert et je branlais d’un côté la queue de mon Alphonse et de l’autre le pieu de Marcel. René m’encula un moment à son tour, ayant passé l’appareil photo au sixième qui se reposait.
Une nouvelle tournante d’enfer m’assaillit et je fus prise et reprise par tous, dans la chatte et dans le cul en même temps, la bouche toujours garnie par un engin et deux autres pines en mains. A un moment, j’entendis murmurer à mon oreille Alphonse :
« c’est moi qui t’encule ma chérie, c’est bon ! tu aimes ? » … et comme à ce même instant je chevauchais l’énorme engin de Marcel et suçais René, je ne pus répondre que par un gémissement d’aise et de plaisir… qui galvanisa mon Alphonse, donnant alors le signal de la curée finale
« Je jouis les gars, je lui décharges dans le cul » et mon Alphonse se planta dans mon cul, ses mains crispées sur mes hanches, me mordillant le cou, la tête enfouie dans mes cheveux, puis se redressant tout raide, et se mit à me déverser ses réserves de la semaine inondant mon cul de foutre. Du coup, Marcel surexcité me fixant dans les yeux, contemplant mon visage béat de plaisir, me chopa par les côtés des seins, m’attira pour une galoche en beuglant :
« Je lui décharge dans la chatte, les gars, je t’inonde de foutre, salope, ahhhhhhhh ! » son énorme engin, devenu encore plus gros -mais comment était-ce possible ?-, s’immobilisa au fond de ma chatte en feu et je perçus les soubresauts de son gland qui m’inondait le vagin. Je le galochais alors avec ardeur, me sentant totalement détrempée à l’intérieur.
Surexcités, les quatre autres types me saisirent quand les deux eurent fini de décharger en moi, contemplèrent un instant -en s’extasiant- mes deux trous débordant de foutre -René fit encore quelques photos dantesques de cette dégoulinade !- et me firent m’agenouiller au milieu d’un cercle resserré qu’ils formèrent autour de mon visage. Les quatre bites se précipitant en même temps vers ma bouche, mon visage et mes seins préludant l’explosion finale.
Je me saisis de ces engins, devenus tous très gros, les glands luisants bien décalottés, je les branlais, je les suçais à tour de rôle –là, ils sentaient fort, très fort même- et je flattais les couilles quand je pouvais. J’arrivais même à avoir deux glands simultanément dans ma bouche. Alors, les uns après les autres ils saisissaient leurs tiges et les astiquaient avec frénésie, tendues vers moi. J’écarquillais les yeux pour guetter les giclées promises et attendues. Ils m’aspergèrent de foutre en beuglant à qui mieux mieux, je fus copieusement arrosée. Mes joues, mon visage, mes seins, mes cheveux furent décorés, je bus même du sperme car certains m’enfournèrent le gland dans la bouche… des salves de foutre vinrent taper –le mot n’est pas trop fort- mon front à bout portant, j’en eus dans les yeux, je n’y voyais plus. Marcel revint me gratifier d’un arrosage puissant supplémentaire -il avait de sacrées réserves lui-, alors que mon Alphonse caressait mes bas et mon escarpin déchaussé dans lequel il avait engoncé sa queue légèrement ramollie. Je fus couverte de foutre, de la tête aux pieds, car beaucoup vinrent finir de faire dégorger et essuyer leurs glands sur mes bas ou d’autres parties de mon corps disponibles… Alphonse déversant encore quelques gouttes au fond de mon escarpin.

Repue, rassasiée, couverte de foutre, je m’avachis dans le canapé. René me prit encore en photos ainsi. Tous les gars, à tour de rôle vinrent m’embrasser de baisers gluants de sperme alors que je soupesais leur bite mollissant et leurs couilles velues comme pour des remerciements réciproques de cette folle séance.

« ah ouais, mais non, jamais comme ça »
« Génial ! putain c’était génial »
« Alors là merci Alphonse ! »
« J’avais jamais joui comme ça »
« Elle est trop top ta femme »
J’avais donné un plaisir fou à ces types et moi j’avais joui comme une folle : c’était bon avec ces gros, vieux types.

« Tu reviendras ? t’es trop belle »
« Ouais, Alphonse, tu nous en organiseras une autre après-midi comme ça ? »
« Ah ouais, moi je reviens quand vous voulez »

… j’avais donc rendez-vous !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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