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Agnès, ma chef divorcée (1)

Agnès, ma chef divorcée (1)



J’ai changé depuis quelques mois, de poste, et me voilà dans une agence, plein centre-ville, mais à 70kms de la maison.
Agence dirigée par Agnès, une femme de 45 ans, divorcée, mère de 2 enfants. Elle parait autoritaire, mais on sent bien qu’elle est humaine et sympathique. Quelquonque physiquement, ni belle, ni moche, elle porte sur son visage, les traces d’un passé difficile.
Elle doit mesurer 1m70 environ, 50kg grand maximum, elle n’a pas de réelles formes, une petite poitrine, et un fessier inexistant. Les cheveux mi- long, sans coupe, les yeux clairs, le regard agréable, malgré qu’il soit triste.
On peut dire que je m’entends bien avec elle, ce qui n’est pas le cas de tous ici. J’ai appris avec le temps, qu’il était préférable de la jouer soft, acquiescer quand il fallait, ne pas faire de vague, et on s’évite les soucis et les désaccords.
Ce matin j’avais décidé d’aller évoquer les couts concernant mes frais kilométriques, en effet, cela représente un réel budget pour moi, et un beau trou dans l’argent du ménage.
Agnès était déjà la quand j’arrivais, la lumière dans son bureau me l’indiquait, je passe me chercher un café et je frappe à sa porte. Elle vint m’ouvrir, sourire aux lèvres, et un sympathique bonjour.
Elle portait une robe couleur chair, proche du corps. Elle marquait évidement ses sous vêtement, un string pour aujourd’hui.
Même si ce n’était pas mon genre de femme, j’aimais regarder et deviner ce qu’elle pouvait bien porter comme dessous.
Après quelques minutes d’échange sur ma situation, elle m’avoua que ce serait difficile d’obtenir des indemnités, mais me proposa de faire du covoiturage.
Effectivement, son domicile se trouvait sur ma route, négociant un petit détour, elle me proposa de venir jusqu’à chez elle, et y laisser ma voiture, on prendrait alors la sienne, qui était un véhicule de fonction. Si j’y voyais pas d’inconvénient, elle serait ravis de m’accorder ces économies, et en profiterai pour ne plus faire la route seule.
On a décidé d’essayer dès le lendemain, je devais la rejoindre à 8h30 maximum chez elle.
Le lendemain, je me tiens au programme, et me voici un peu en avance chez Agnès, qui m’accueille en robe de chambre, les cheveux en bataille.
« Bonjour, je suis désolé, j’ai passé une sale nuit, j’ai du mal à me réveiller ce matin, entre ! vas-y, je file me préparer »
Je lui emboite le pas, elle m’accompagne jusqu’à la cuisine, tout était plongé dans le noir, juste une lumière nous montrait un peu de vie.
« La nounou, est venu récupérer les enfants, j’étais en train de boire mon café, fait toi s’en un si tu veux, et si je peux abuser de ta gentillesse, pourrais-tu ouvrir les volets de la maison ? »
« Pas de soucis je m’en occupe »
Elle claque la porte de la salle de bain, ou je ne peux m’efforcer de l’imaginer nue dans la douche.
Elle vit dans un joli pavillon d’une centaine de m2, je navigue entre les différents pièces pour ouvrir chaque volets manuellement, je fini dans sa chambre. Le volet une fois ouvert me laisse apercevoir, un grand lit défait, deux oreillers l’un contre l’autre adossé à la tête de lit, et au sol, un string noir sur lequel reposaient des lingettes fraichement utilisées….
Mon esprit de voyeur commence à s’emballer, pris d’excitation je m’approche de ces objets qui me laisse penser à une envie subite, qui a du être satisfaite….peut être l’ai-je dérangé ?
Le string dans les doigts fébriles, j’aperçois également le tiroir de la commode de chevet, entrouvert, et quelle est ma surprise en l’ouvrant…un gode ventouse, plutôt bien réalisé, et d’une taille supérieure à la moyenne, il était rose, un gland décalotté, bien épais, veiné, avec un socle en forme de testicule. Mon sang ne fait qu’un tour, et voilà que ma verge se met à gonfler d’excitation. D’autant plus que le petit string noir que j’ai entre les doigts et clairement maculé de cyprine….elle a du bien s’amuser avec ça, la coquine.
« Ça va, je te dérange pas ! » sa voix claque comme un coup de fusil. Elle est là, dans l’entrebâillement de la porte, le visage rouge.
« Je t’ai demandé d’ouvrir les volets, et non de ramasser mon linge sale !!! »
Confus et honteux je repose le string, et referme le tiroir, j’essaie de m’excuser, mais aucuns mots ne sort de ma bouche, je passe à côté d’elle tête baissée.
J’allais lui proposer d’annuler le covoiturage, lorsqu’elle me tendit sa mallette de boulot, en me demandant de lui déposer dans le coffre de la Twingo.
Les premières minutes dans la voiture étaient d’un silence glacial, je naviguais sur mon téléphone, en évitant de croiser son regard.
« Si c’est pour faire le mort, je n’ai pas besoin d’un covoitureur » me dit-elle, dans le plus grand des calmes.
« On va dire que la situation embarrassante de ce matin a coupé mon bavardage naturel » lui répondis-je, d’un air penaud.
« Qu’est ce qui est embarrassant ? Le fait de savoir qu’une femme seule, ai besoin d’assouvir certains désirs, ou qu’elle te surprenne, avec son string mouillé dans la main, car tu n’as pas su retenir ta curiosité ? »
« La première est excitante, et cela ne me pose aucuns soucis, au contraire….la deuxième est plus gênante, effectivement, être pris main dans le sac, et de surcroit par sa chef, est une situation plutôt embarrassante. » Je ne veux pas être jugé, lui dis-je.
« Comme ça on est deux alors, je ne veux pas que tu te fasse des idées sur moi, oui j’utilise un gode, pour assouvir certaines envies, je suis divorcée depuis 3 ans, et je n’ai pas eu d’homme depuis ce temps, jusqu’il y a quelques semaines, cela ne me dérangeait pas, j’en éprouvait aucunes envies, mais depuis peu, cela revient, et je me suis surprise à commander cet objet sur internet, je l’ai reçu hier dans la boite aux lettres, il est énorme, et désolé de te décevoir, mais il n’a pas servi, il ne rentrera jamais ! à coté mon ex-mari est ridicule» lâcha t’elle en éclatant de rire…
Je ris aussi,
« De ce que j’ai vu, il ne parait pas si imposant, une belle taille, mais rien d’affolant »
Elle me regarde d’un œil inquiet et interrogateur.
« Tu vas aussi me dire que ton sexe est plus gros ?vantard ! »
« Je ne répondrais pas à cette question trop intime » étant la seule réponse que je trouvais sans réfléchir.
« Mouais, je ne sais pas ce que tu entends par là, mais ça ne répond pas à ma question, ca n’existe que dans les films ce genre de taille d’engin ! »
« Cela veut donc dire que ça existe »
Elle sourit, surprise de ma réponse, et elle ne put s’empêcher de diriger son regard vers mon entre jambe.
« Tout ce que je te demande, c’est d’en parler à personne, et c’est un ordre ! » là elle était redevenue sérieuse et autoritaire.
J’acquiesçai et je lui confirmais que cela resterai entre nous. Que ce genre de situation n’était ni pour l’un ni pour l’autre une chose que l’on avait envie de crier sur tous les toits.
La journée se passait parfaitement bien, je n’ai croisé Agnès que 2 ou 3 fois avant le retour du soir, cependant une chose m’intriguait au plus haut point, je ne voyais aucunes marques de string sous sa robe moulante, elle ne portait également pas de collant. Serait-elle nue? Cette idée provoqua une forte érection, et il faut dire que c’est peu discret dans un pantalon de costume slim.
« Effectivement, tu me parais bien gâté par la nature » me lança t’elle en s’installant dans la voiture.
Rouge de honte, je regarde ma bosse, qui tend vraiment mon pantalon, j’essaie de la remettre en place, en la poussant vers le coté, mais cela devient encore plus visible. Agnès a les yeux rivés sur mon sexe.
« Je ne peux le cacher, effectivement, c’est une certaine fierté » répondis-je, en essayant de rester calme.
« Et tu arrives à entrer sans faire de dégâts ? »
« Arrêtons d’exagérer, elle est d’une bonne taille, effectivement, et d’après ma femme, c’est la plus grosse qu’elle n’ait vu, mais oui, la pénétration s’effectue sans difficulté, je fais juste attention en entrant. »
« Combien fait-elle ? » elle a les yeux brillant, et elle n’arrête pas de mordre ses lèvres…l’ambiance est électrique, tendue, comme mon érection qui ne s’affaiblit pas.
« 20cm, pour 5cm de large, au meilleur de sa forme »
Les yeux écartés, elle fixe ma bosse
« Et ben dit donc, je ne sais pas si ça doit m’épater ou me faire peur »
« Pourquoi vous faire peur ? il n’est pas prévu que je vous pénètre »
On éclate de rire, l’ambiance est bonne et amicale, mais pesante, il fait chaud.
Au fond de moi je suis excité, je me mets à imaginer mon sexe en elle, rencontrant de réelles difficultés à rentrer….et j’avoue que c’est une expérience que j’ai envie de tenter.
L’arrivée chez elle, coupe mes idées sexuelles, Agnès m’invite à entrer, boire un café, en tout bien tout honneur comme elle précise, en ajoutant que ces garçons sont la. Je refuse son invitation, prétextant la route.
Elle vient à mon encontre pour me faire la bise, et me glisse dans la main un tissu en dentelle, que je sens humide, avec une voix très sensuelle, elle me glisse :
« Puisque celui de ce matin avait l’air de te plaire »
Je suis surpris de cette audace, et mon excitation s’accroit, décidément, elle m’aura bien excité.
« J’en ferai bon usage » lui répondis-je avec un sourire malicieux.
La route est trop longue, je décide de m’arrêter dans un chemin boisé, et je prends son string entre les doigts, le porte à mon nez….ce parfum est délicieux. Il ne ressemble en rien à ce que j’ai déjà pu sentir, un doux mélange de parfum pour femme, de gel douche fruité, mais aussi plus corsé, plus âpre, l’odeur d’un sexe excité….je ne résiste pas à plonger mon nez dedans, humide, collant, je sens cette odeur intime et divine, tout en déboutonnant mon pantalon, le faisant glisser sous mes fesses ainsi que mon boxer, les fesses nues sur le cuir de mon siège, la verge tendue à l’extrême, je la saisie dans ma main et commence de long va et vient, tout en m’imaginant la tête entre les cuisse d’Agnès, le nez sur son sexe.
Un petit poil me chatouille, ce qui me laisse imaginer qu’elle ne s’épile pas, je ne suis pas fan des sexes naturels, et je préfère le penser lisse et doux, accueillant ma langue gourmande et joueuse.
Une idée folle me traverse l’esprit, mais elle parait joueuse autant que moi, je saisis mon smartphone, je veux lui prendre ma verge tendue à l’extrême en photo, j’enroule son string autour de ma tige de chair, je décalotte mon gland, et le fait gonfler encore plus. L’angle de l’appareil la met encore plus en valeur. La voici capturée, prête à être envoyé.
Un petit mot :
« Ton divin parfum intime, à eu raison de mon désir, la voici dressée de plaisir »
Envoyé.
Cet état d’excitation aura raison de moi, c’est dans un gros soupir que j’éjacule, de longs spasmes accompagnent mes giclées. J’arrive à les diriger vers le tissu en dentelle d’Agnès, et je le rempli de mon sperme chaud.
Me voici satisfait de cette tension, le string noir inondé, je le dépose dans la boite a gant, je lui rendrais demain matin. La sonnerie de mon téléphone retentie, Agnès à répondu.
« Tu ne m’a pas menti, impressionnant, mais tu n’aurais pas dû faire ça…a demain »
J’ai du mal à comprendre le sens de son message, j’en saurais peut être plus demain.

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