Deborah Henderson ne suspectait pas quoi que ce soit d’inhabituel en arrivant chez elle la journée de travail terminée, elle ouvrit la porte de devant et pénétra dans sa maison.
– « Whap …. » quelque chose venait de la frapper sur la joue l’envoyant dinguer au sol.
Après quelques secondes d’étourdissement, elle tenta de se relever et retomba sur le ventre alors qu’une chaussure s’écrasait sur son dos.
Elle ouvrit la bouche pour crier, mais quelqu’un plaqua sa main sur ses lèvres alors qu’une voix autoritaire lui disait :
– « J’enlève ma main de ta bouche et je te laisse te relever si tu te comportes calmement!……. »
Le pied qui lui pesait sur le dos fut levé et il enleva sa main plaquée sur sa bouche.
Elle hocha frénétiquement la tête.
Avant même de se relever, elle constata avec effroi qu’une bande d’ados avait envahi son salon.
Elle fut encore plus effrayée en voyant Estelle, sa fille de 18 ans, aux mains de l’un d’entre eux.
Le gars la tenait par les cheveux.
Avalant sa salive, elle chercha à s’approcher de sa fille, mais l’ado qui la tenait par les cheveux l’attira en arrière d’une brusque et douloureuse saccade et lui secoua la tête avec v******e.
Deborah se figea de terreur et d’une voix tremblante, elle demanda humblement :
– « Qui … Qui êtes-vous?…… Que nous voulez vous?….. »
Et sans même attendre la réponse, elle ajouta :
– « Prenez ce que vous voulez, mais ne nous faites pas de mal!….. »
– « C’est bon la vieille, on fera ce qu’on veut!…. » répliqua fermement le gars qui tenait Estelle.
– « Quant à savoir qui nous sommes, Je m’appelle Roland et ce sont mes potes … On se fait appeler les Rangers et on a un petit compte à régler avec la gentille Estelle!….. »
– « Un compte à régler?…. » répéta Déborah avec incompréhension.
– « Oh que oui …. » reprit Roland
– « Tu sais que nous fréquentons le lycée … Tu pourrais même dire qu’on y règne!….. Et aujourd’hui ….J’ai demandé à ta fille de me faire quelque chose qu’aucune des filles du collège ne me refuse!…… » et s’adressant à Estelle il ajouta :
– « Raconte à ta mère!…… »
Elle commença :
– « Maman, il m’a retenue dans les gradins couverts et m’a demandé de ….. De ….
– SMACK!
Raymond venait de la gifler de sa main libre lui intimant :
– « Raconte lui tout!…. »
Déborah cria alors :
– « Laissez la tranquille! ….. »
–
– « ‘Ferme ta gueule!…. » lui cracha Roland énervé.
– « On ne t’as rien demandé!….. » Incapable d’argumenter devant une telle arrogance, Deborah se tut.
L’ado se retourna vers sa fille.
– « Raconte petite salope!…. »
– « Il … Il ….. Il m’a dit … De … De ….Prendre son pénis dans ma bouche!……ET … Et …. Et de lui faire une fellation …. » balbutia finalement la pauvre fille éperdue.
Deborah se mordit les lèvres s’interdisant de traiter ce salaud d’immonde bâtard ou même pire encore.
–
– « Elle n’avait pas le temps de me faire ça correctement …. On n’avait pas le temps ….Aussi l’a-t-on suivie déterminé à terminer notre petite discussion ici!….. »
– « Mon Dieu!…. » pensa Deborah au fond d’elle-même.
– « Ces monstres veulent violer ma petite chérie!…… »
– « On avait pensé te ligoter … » continua-t-il impavide,
– « Mais puisque t’es encore foutrement baisable pour une vieille, je pense qu’on va t’inviter à t’amuser avec nous!…… »
– « Je vous en prie …. » les implora-t-elle
– « Je ferai tout ce que vous voudrez, mais je vous en prie laissez ma fille tranquille … Ne lui faite pas de mal!….. »
– « On n’est pas ici pour marchander!…. » lui répliqua durement Ro-land, puis, s’adressant à ses comparses :.
– « Amusez-vous avec la vieille pendant que j’apprends les bonne manières à sa fille!….. »
– « Maman!…. » hurla Estelle alors que Roland la traînait par les che-veux vers une chambre.
– « Estelle!…. » s’époumona à son tour Deborah paniquée par la tour-nure que prenait les événements.
Elle voulut se ruer au secours de sa fille, mais deux solides ados l’em-poignèrent la forçant à demeurer en place.
Bien qu’elle se débatte, ils l’allongèrent de force au sol, ils lui déchirèrent son corsage et l’en dépouillèrent rudement, puis ils lui enlevèrent ses chaussures et roulèrent son pantalon sur ses chevilles.
Bien que ne portant plus que son soutien-gorge de dentelle et une petite culotte assortie, elle se défendait toujours. Ils lui maintenaient bras et jambes au sol, cuisses grandes écartées.
Un des ados lui arracha son soutien gorge, un autre son affriolant cache sexe.
Un troisième l’enfourcha sa grosse bite en main, la gifla sévèrement, lui intimant de se taire, de se calmer et de cesser de se débattre.
Etourdie, la joue la brûlant elle obéit misérablement.
– « Et maintenant ma salope, on va voir si tu vas goûter à nos bites, te faire ramoner par de vrais hommes!….. »
Dans la chambre, Roland avait jeté Estelle sur le lit et avait fondu sur elle. Elle avait bien tenté de résister, mais d’une main, il lui avait immobilisé les poignets au dessus de la tête tout en la giflant de l’autre jusqu’à ce qu’elle cesse de se démener.
– « Petite pute …. » lui cracha-t-il à l’oreille
– « Quelle idée t-as t’il prit de me dire non?……Pas une des chiennes de ce lycée n’ignore qu’on ne doit jamais me dire non!….. »
– « Je …Je suis désolée ….. » pleurnicha Estelle alors que, le gars al-longé sur elle remontait son sweat-shirt sous les aisselles, et sor-tant un couteau de sa poche coupait son soutien-gorge l’en dé-pouillant ensuite.
– « Je vais faire ce que tu veux!…… Je vais te faire une fellation!….. Je le jure!…. »
– « Par l’enfer … Tu vas me faire bien plus que ça!….. » et il saisit un de ses tendres tétons entre ses dents le mordant cruellement, elle hurla sa douleur.
Alors que Roland mâchouillait avec rudesse les mamelons de sa fille, Deborah se faisait labourer impitoyablement la chatte.
L’ado allongé sur elle la ramonait comme un étalon honore une jument, s’enfouissant si puissamment en elle qu’à chaque coup de boutoir il s’engouffrait jusqu’aux couilles dans son ventre tressautant de douleur.
Personne ne l’avait jamais baisée aussi brutalement que ces ados.
Un second ado glissa sa bite dans la paume de sa main droite, il lui inti-ma :
– « Branle moi la vieille!…. »
Un autre lui mit sa mentule dans son autre main et ajouta
– « Branle moi aussi!…. » et la pauvre femme sans défense se retrouva à branler simultanément deux épaisses mentules alors qu’une troisième lui labourait frénétiquement la chatte.
Enfin le gars allongé sur elle éjacula dans sa fentine, les deux autres qu’elle branlait firent de même lui aspergeant le visage et la poitrine d’un épais foutre bien gras.
Elle resta étendue sur le sol dans une sorte de stupeur, sa chatte brû-lante traversée de spasmes convulsifs.
– « Hey salope … Viens ici … » l’interpella soudain une voix dans son dos
– « Viens me sucer!….. ».
Lentement, péniblement, elle se releva, et comme ses jambes étaient trop faibles pour la porter, elle se traîna sur les genoux jusqu’à la chaise où était assis le gars qui venait de l’apostropher.
– « Sors ma bite et grouille toi!…. » « lui intima-t-il rudement.
Puis comme elle descendait sa fermeture éclaire et empoignait sa virilité, il poursuivit :
– « Et si l’idée te venait de me mordre la queue, je découperai les té-tons de ta fille!….. »
Deborah emboucha la grosse bite, la plupart de leurs agresseurs étaient des noirs où des latinos, tous très bien montés, et entama des va et viens lascifs sur la hampe raidie.
Alors qu’elle s’exécutait servilement, un des ados se posta dans son dos et lui écarta douloureusement les fesses.
Elle grimaça, sachant ce qui allait lui arriver, sachant par ailleurs qu’elle ne pourrait se soustraire à cet acte dégradant.
Dans la chambre, Estelle était maintenant entièrement nue, il avait dé-chiré le reste de ses vêtements et Roland la baisait aussi férocement que l’avait été sa malheureuse mère.
Estelle gémissait, pleurnichait, mais n’esquissait aucun geste de révolte.
Elle restait étendue sur le dos subissant ses violents assauts qu’elle sa-vait ne pas pouvoir éviter.
Lorsqu’il se fut vidé en elle, il se releva et lui ordonna de se redresser.
Elle obéit et, sans rien dire, l’empoignant par les cheveux, il l’a ramena dans le salon.
La scène qui se présenta sous ses yeux la choqua encore plus que son propre viol. Sa mère à quatre pattes, sanglotante et tremblante comme une feuille suçait un des ados alors qu’un autre l’enculait sauvagement.
Lorsqu’ils eurent tous deux satisfaits leurs appétits, Roland les fit s’agenouiller cote à cote dans le centre de la pièce et tourna autour d’elle.
– « Hey la vieille ….. » apostropha-t-il Deborah
– « Savais-tu que ta petite chérie n’était plus vierge!…. »
La mère ne pipa pas un mot et Estelle riva ses yeux au sol, très gênée.
Soudain il la saisit par les cheveux et lui rabattit la tête en arrière. Puis il lui balança une sévère gifle sur les joues lui rappelant :
– « Je t’ai posé une question salope!…… »
– « Non, non ….. » soupira-t-elle « Je ne le savais pas!….. »
Se tournant vers ses comparses, il demanda :
– « Que va-t-on faire de ces deux salopes?…. »
– « Je vous en prie …… Vous nous en avez déjà assez fait …. « pleur-nicha Deborah.
SMACK.
Roland venait de coller à Estelle une gifle si violente qu’elle en tomba sur le dos.
Servilement elle enfila une paire de bas, un porte jarretelles affriolant sans culotte, un chemisier entièrement ouvert sur un soutien-gorge pi-geonnant.
– « Et maintenant file … les pigeons sont de sorties … Ils n’attendant plus que toi!….. »
Plongée dans un profond désespoir, Deborah se mit à arpenter les rues de la vieille ville, proposant ses charmes aux chalands.
Elle savait que désormais chaque week-end, elle devrait se comporter en bonne pute pour contenter son maquereau et revoir sa fille.
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