Qu’est-ce que je faisais dans ce bois ? Comment avais-je pu faire ça ? Je ne parvenais pas à me remettre, à reprendre mon souffle et à me lever. Je n’avais plus de jambes. Et en plus, elle m’avait fait promettre de la revoir ! Comment mon copain réagirait quand il le saurait ? Comment pouvait-il aussi m’aimer ? Je m’étais laissée entraînée comme l’aurait fait une putain quand la femme avait baissé la vitre de sa voiture. Elle avait continué à rouler au rythme de mes pas le long du boulevard. Je m’étais demandé pourquoi cette femme me parlait et au début je ne l’avais pas écoutée mais elle n’arrêtait pas de me faire des compliments et de me dire que je suis belle jusqu’à ce qu’elle dise qu’elle avait envie de moi. Ça aurait pu être flatteur si j’avais aimé les femmes mais la seule fois que je l’avais fait avec une de mes cousines, j’avais eu honte pendant des semaines. La femme avait insisté car elle devait savoir qu’elle arriverait à ses fins. Je n’ai pas non plus osé la regarder jusqu’à ce que je tourne la tête vers elle et que je découvre une femme qui aurait pu être ma mère mais elle avait quand même un côté séduisant. J’ai fini par lui demander si elle faisait ça tout le temps, si elle était en chasse, si elle ne préférait pas plutôt un homme. Elle m’a répondu que c’était moi qu’elle voulait et comme je ne répondais pas à ses attentes, elle m’a dit que c’était dommage et que j’avais tort puis elle a ajouté qu’elle pouvait me donner de l’argent si j’en avais besoin. Pourquoi m’étais-je enguirlandée avec mon copain, justement ce matin ? La femme a ajouté qu’elle était sincère. On arrivait au bout du boulevard et je lui ai dit que j’étais d’accord et je suis montée à côté d’elle dans sa voiture. On avait roulé jusqu’au bois puis elle m’avait embrassée sur la bouche. C’est elle qui a tout fait ou presque, qui a ouvert mon chemisier et retiré mon soutien-gorge puis elle m’a retiré ma jupe et ma culotte et elle m’a doigtée. J’avais l’habitude de me masturber mais là, c’était différent et je n’avais jamais eu autant de plaisir puis elle s’est déshabillée et elle a voulu que je lui touche ses gros seins puis ça a été le tour de sa chatte complètement épilée, son clitoris énorme et ses petites lèvres de vieille folle. Je l’ai masturbée jusqu’à ce qu’elle tourne de l’œil. J’avais envie de fuir tout à coup mais elle ne m’a pas laissée partir et puis je n’allais pas me taper des kilomètres de marche pour rentrer. Elle a sorti un gode ceinture de la boîte à gant de la voiture et elle se l’ait mis. Nous étions descendues de voiture et la femme m’a prise sur le capot avant. Je n’avais jamais été pénétrée par une sexe aussi gros qui m’arrachait les chairs mais je n’étais pas au bout de mes surprises car la femme s’est enfoncée dans mon anus et j’ai pleuré sans qu’elle ne s’en émeuve et quand elle en a eu assez, elle s’est mise à me lécher la chatte. Après ça, elle m’a fait promettre qu’on se reverrait puis elle s’est rhabillée, elle est remontée dans sa voiture et elle est partie.
Et moi, je suis restée dans le bois, incapable de réagir. Quand je pense à tout ce chemin que je vais devoir faire !
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