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Dépucelage tardif 2

Dépucelage tardif 2



e lendemain matin, après notre première fois, je me suis réveillé le premier. Ma mère était allongée nue à côté de moi, sa tête posée contre mon torse. Je suis resté là de longues minutes à la regarder dormir. J’en profiter pour explorer un peu plus son corps, avec notamment quelques caresses sur ses seins fermes.

En deux jours, nous avons quasiment utilisé chacune des pièces du chalet pour y faire l’amour et dans toutes les positions, un vrai délice.

Puis un soir, pendant que nous faisions un petit câlin sur le canapé, elle me fit cette confidence pour le moins étrange : « J’aime ta façon de me faire l’amour, mon petit chéri. Tu es très tendre avec moi, mais maintenant j’aimerais qu’on en profite pour réaliser mes fantasmes. » En entendant ça, mon cœur s’est accéléré et mon sexe a fait un bond ! Je continuais à écouter ce qu’elle était en train de me dire : « J’aimerais sentir ta puissance. Je voudrais que tu me prennes de force, par surprise, comme une salope. Je suis ta mère, mais ça ne veut pas dire que je n’ai pas certains fantasmes… »
J’avoue que sur le coup j’étais presque choqué. Nos séances de sexe s’étaient très bien passées. J’avais pris un pied incroyable. Comment le reste du séjour allait-il se passer ?

Après m’avoir dit ça, elle m’a embrassé sur la joue, puis et parti se coucher en me disant : « Ce soir on fera rien, je te laisse réfléchir à ce que tu pourrais me faire…. » Et là je me suis dit : pas de sexe ce soir, ça fait chier. Je suis donc, moi aussi, parti me coucher, obligé de me soulager tout seul. J’ai pas réussi à trouver le sommeil, je n’arrêtais pas de repenser à ce qu’elle m’avait dit. Que voulez-t-elle exactement ? Qu’est-ce qu’elle attend de moi ?

Je me suis retourné 100 fois dans mon lit, seul, pour trouver comment faire jouir ma mère en réalisant ses fantasmes : de la surprise, de la force, les idées ne se sont pas basculées. Puis tout à coup je me suis dit qu’il y avait un endroit du chalet où nous n’avions pas encore fait l’amour. Cette pièce serait parfaite pour la prendre par surprise. C’était décidé, le lendemain matin quand elle prendrait sa douche je viendrais lui faire sa fête. Et si elle veut de la force elle va en avoir !

Le matin je me sors du lit un peu difficilement ayant peu dormi. Ma mère est déjà levée, elle prend son petit déjeuner. Etonnamment elle n’est pas nue, elle a enfilé une nuisette. Je m’approche d’elle et l’embrasse sur la joue et dans le cou, avant de m’assoir à table. Après avoir échangé des banalités, elle me demande :
« Tu ne t’es pas trop ennuyé cette nuit sans moi ? »
« J’aurais préféré dormir avec toi. J’espère que tu me laisseras dormir avec toi cette nuit ? »
« Ca c’est toi qu’il décidera, tu sais ce qu’il te reste à faire. »

Sur ces mots, ma mère se lève et me dit qu’elle va prendre sa douche. C’est l’heure de mettre mon plan à exécution !

J’attends un peu et m’approche de la porte de la salle de bain. Je colle mon oreille contre la porte tout en me déshabillant. Quelques secondes plus tard, j’entends la cabine de douche s’ouvrir et l’eau coulée. C’est le moment pour entrer ! Ma mère, tout comme à la maison, n’a pas fermé la porte à clé. J’entre donc discrètement dans la salle de bain et j’aperçois le dos et les fesses rebondies de ma mère derrière la vitre de la douche. Je m’approche un peu plus et rentre à toute allure dans la douche. Elle n’a pas le temps de se retourner. Je la plaque contre la paroi de douche. Surprise par mon entrée, elle lâche la pomme de douche.
Collée entre la paroi et mon corps ma mère ne peut plus bouger. Avec ma main droite je maintien la tête de maman contre la douche, tout en saisissant la pomme de douche dans l’autre main. Je fais glisser celle-ci sur la chatte de ma mère en m’attardant sur son petit clito. Le plaisir apporté par la puissance des jets a fait soupirer ma mère de plaisir.

Après quelques minutes de ce traitement, je coupe l’eau et en profite pour prendre ma mère par derrière. Elle voulait de la force, elle va en avoir. Je l’ai penché un avant, tout en maintenant sa tête collé contre le douche. Je lui donnais de grands coups de bassin pour la baiser la plus fort possible. Elle commençait à gémir mais je sentais qu’elle en voulait encore plus.

Je continuais à lui maintenir la tête contre la paroi et je la penchais un peu plus en avant. J’avais une petite idée derrière la tête ! Je continuais à la pilonner et pendant ce temps je commençais à lécher mon majeur. Si on a baisé dans toutes les positions, je n’avais pas encre possédé tous ses trous. Et je ne savais pas si elle était encore vierge du cul. Mon doigt bien humide je l’approche de son petit trou. Je l’ai posé dessus et j’ai poussé très fort d’un seul coup. Ma mère a hurlé !! Ce hurlement m’a procuré une décharge dans tout le corps et j’ai giclé dans sa chatte. Ensuite, j’ai commencé à faire des va et vient avec mon doigt, mais son anus était serré. Elle hurlait, et pleurait dès que je m’activais dans son trou. Après quelques minutes, son anus commençait à se dilater, et ses hurlements de douleur étaient désormais des cris de jouissance.

Ma bite était à nouveau toute dure, c’était l’occasion de remplacer mon doigt. Je récupérais mon sperme pour lubrifier un peu plus son cul serré. J’ai eu du mal à faire entrer ma bite dans son cul. La grosseur de mon sexe lui provoqua à nouveau quelques hurlements de douleur. Une fois ma bite dans son anus, j’ai mis dans la bouche de ma mère le doigt qui m’avait servi à déflorer son anus. Elle a l’air d’avoir adoré de le lécher !
Après quelques va et vient dans son petit trou, j’ai très vite joui, c’était tellement serré. Mais quel bonheur !
Une fois avoir pris notre pied, nous avons fini enlacés, assis dans la douche. Ma mère termina en me disant : « Merci, maintenant c’est moi qui vais pouvoir réaliser tes fantasmes, mon petit chéri ! »

Suite à cet épisode, ma mère a cédé à tous mes caprices, tout çà pour fait plaisir à son fils. Une belle preuve d’amour. Je l’ai notamment convaincu de raser sa chatte poilue pour voir pour avoir le plaisir de faire un cuni sans les poils. Au début elle refusa, en m’avouant que ses poils faisaient bander mon père !! Je ne sais pas qu’elle excuse elle lui aura donné après ça!

Ce séjour fut pour moi inoubliable. Une semaine de découverte du sexe, sans tabous et avec une femme aimante à mon service. Malheureusement aujourd’hui nous ne pouvons plus continuer nos ébats. J’ai dû déménager dans une autre région pour mon travail. De cette aventure avec ma mère, je garde un goût prononcé pour les femmes matures.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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