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Auxilliaire de prison 1

Auxilliaire de prison 1



Agathe travaille dans un hôpital prison pour les violeurs et les détraqués sexuels. Un matin à son arrivée, la directrice l’invite à la rejoindre dans son bureau.
« Ferme la porte Agathe ! »
Inquiète, elle ferme la porte en se demandant ce que sa patronne veut bien lui dire. Elle se retourne et là à brûle pour point elle lui lance :
«  Déshabille-toi ! »
Agathe est surprise et décontenancée. Elle vient de terminé brillamment son dressage avec Alain et moi et la voilà devant sa directrice qui lui ordonne de se dévêtir. Elle se demande si ce n’est pas encore une manigance perverse de son amant. C’est donc curieuse et docile qu’elle obéis.

« Nue j’ai dis ! »
Elle dégrafe son soutien-gorges libérant ses magnifique seins et descend timidement sa culotte pour se retrouver totatlement nue devant sa patronne.

Sans mot dire, elle lui immobilise les poignets avec des bracelets en cuir.
« Mais que faite vous Madame ? »
« J’ai reçu un SMS d’une certaine Michèle qui me disait que tu étais une salope en chaleur qui mouillait à la moindre sollicitation ! C’est Vrai ? »
Agathe est rouge de confusion. Dire qu’elle croyait que c’était son pervers d’Amant qui lui jouait un mauvais tour et en fait c’était cette salope de Michèle. Tardant à répondre, perdue dans ses pensée, elle reçoit une claque sur les seins.
« Répond salope ! »

« Aiiie !! Oui Madame c’est vrai que je mouille facilement ! »
« Voyons, un peu, comment ce comporte cette belle chatte ! »
Katia, la Directrice, alors deux doigt dans la grotte humide d’Agathe. Du pouce elle agace son clitoris et rapidement Agathe commence à couler sur la main inquisitrice et émettre des feulements de plaisir. Ses tétons se dressent sous le plaisir et ses seins durcissent. Elle regarde Agathe et souris de la voir ainsi à sa merci. Elle se penche et commence un cunnilungus appuyé qui fait gémir la soumise de bonheur. Elle n’aurait jamais cru sque sa patronne était gouine et aussi perverse.

Alors qu’Agathe est sur le point d’arriver à l’orgasme, Katia s’arrête et calmement lui dit :
« Ça y est, tu es chaude. Voyons, maintenant comment se comporte l’œillet. »
Elle trempe ses doigt dans le vagin détrempé de la belle et sa mouille sur toute la rosette anale. Elle prend un énorme double dong dans son sac et sans ambages ou préparation, elle enfonce l’engin dans l’anus d’Agathe qui pousse un cri de stupeur.

Aprés plusieurs vas et viens, elle retire le gode et lui dit :
« Bien bien, tu es prête maintenant ! »
Agathe ne comprend pas ce jeux pervers et regarde avec des yeux interrogateur sa Directrice. Katia appuie sur le bouton de l’interphone et dit :
« Faite entrer Gaspard ! »
Agathe est prise de panique. Elle sait que ce personnage est un fou pervers interné dans l’hôpital. Elle est nue dans le bureau, dégoulinante de mouille et l’orrifice anal ouvert.
« Madame mais que faite-vous ? C’est un horrible pervers ? »
« Tais-toi j’ai envie de tester une expérience de thérapie pour Gaspard ! »
Entre alors le fameux Gaspard qui bave déjà en voyant Agathe nue.
La Directrice s’adresse au vieux pervers :
« Gaspard, j’ai décidé de tester une nouvelle thérapie pour vous. Sodomise-moi cette femme que je vois comment tu t’y prend ! »
Il n’en faut pas plus pour que ce vieux taré sorte son énorme mandrin et sans laissé le temps à Agathe de réagir il s’enfonce profondément dans le conduit anal en la prenant par les hanches.

Soumise et maintenue par la Directrice Agathe dois subir la sodomie du taré et s’ouvrir au maximum pour recevoir les vingt-cinq centimètres de chair durcie dans son rectum. La sodomie est interminable.

Au bout d’au moins vingt minutes, Gaspard lui empoigne durement les seins et dans un grognement de bête, il déverse au fond de ses intestins un flot de sperme chaud. Il se retire laissant un ouverture anale béante.

Agathe est encore sous le choc quand La Directrice dit :
« Très bien, Gaspard. Je vois que tu ne débande pas c’est exceptionnel ! Agathe suce notre ami ! »
« Mais Madme c’est un détenu dangereux…. »
« Suce salope ! Je ne te demande pas ton avis ! »
Gaspard regarde Agathe avec un sourire niais et vicieux. Il la prend par les cheveux et pousse son engin au fond de sa gorge avec un rire de dément.

Le gardien qui est resté dans un coin de la pièce par précaution, ne rate pas une miette du spectacle. Le black pervers il baise la bouche. Agathe a régulièrement des hauts le cœur quand le gland touche sa glotte au fond de sa gorge.

La Directrice prend des note d’un air détaché pendant que Gaspard bourre la bouche d’Agathe. Le gardien demande à la Directrice :
« Excusez moi Madame ! Mais le détenu dispose à sa guise de cette salope et pas nous ? »
Katia regarde d’un air hautin le gardien et d’un ton désinvolte lui dit :
« Mon brave, il s’agit là d’une thérapie ! Maintenant, si ça peut vous faire plaisir, je vous en prie, servez-vous ! »
Agathe n’en croit pas ses oreille mais elle est incapable de réagir. Le gardien s’approche sort sa queue et lui défonce la chatte. Sa queue entre sans difficulté tant la salope mouille. Elle se retrouve secouée par les deux hommes qui la fourre sans ménagement.

Il va et vient, la défonçant à grand coups de reins. Sa chatte est accueillante mais il n’en est pas de même de sa bouche dont le mandrin énorme de Gaspard lui disloque la mâchoire.
Katia dit à Agathe :
« C’est impressionnant comme il peut être endurant ce Gaspard ! Ne trouves-tu pas ?
Tu le suces bien. T’aimes sa grosse queue dans ta bouche. »
Agathe dans cette situation humiliante et scabreuse sent un orgasme monter. Elle se tend et ne pouvant crier, ses yeux se révulsent exprimant un orgasme intense qui l’irradie.

Son orgasme déclenche celui des deux hommes. Une foi de plus la quantité de sperme du détenu pervers est considérable au point qu’elle ne peut tout avaler.

Horrifiée Agathe observe la queue de Gaspard toujours aussi raide. Sous les yeux de Katia et du gardien dont la queue est maintenant toute ramollo entre ses jambes, Gaspard change d’orifice et profitant de son anus encore béant, il l’encule à nouveau avec encore plus de v******e. Cette foi, quand il éjacule dans son trou, il ressort du conduit avec une bite enfin moins dure.

Le tout a duré une heure.
Les deux hommes se retirent. Agathe hébétée est pantelante. Elle a la mâchoire douloureuse. Son anus et sa chatte dégoulinent de mouille et de sperme. Avec un sourire de satisfaction perverse, la Directrice lui dit :
« Très bien, tu es courageuse. Cette expérimentation de thérapie me semble très concluante. Tu te rend compte l’endurance de pervers ? Je penses renouveler cette thérapie avec Gaspard et l’appliquer aux autres détenus. Tu vas collaborer avec moi à l’évolution de cette pratique. Tu es une excellente collaboratrice et j’en ferais part à Michèle et Christophe. Aller, file. Reste nue et enfile se peignoir. Je veux pouvoir me servir de toit à tout moment !»
Katia lui lance un peignoir et elle sort du bureau en l’enfilant, encore un peu perdue et les jambes chancelantes.

Dans l’après-midi, Agathe est appelée par le Directeur adjoint. Elle entre dans son bureau et il l’accueille jovialement.
« Bonjour Agathe ! Katia, la Directrice, t’as chaudement recommandé pour tes services exceptionnels. Elle m’a chargé d’établir un contrat de confidentialité avec toi. Mais avant j’ai besoin de vérifié deux ou trois choses. Met-toi nue ! »
Agathe fait glissé sur le sol son peignoir sans rechigner. Vik, le Directeur adjoint tourne autour d’elle pour apprécier sa plastique.

Puis, sans prévenir, elle entend comme un chuintement aigu et une atroce brûlure lui traverse les fesses. Elle hurle de douleur en se frottant les fesses. Vik lui crie aussitôt :
« Mains sur la tête salope ! »
En pleure, elle obéit attendant le coup suivant une larme à l’œil.

Vik se met alors à la cravacher à toute volée en prenant soin de cingler ses fesses à des endroits différents pour que les traces soient distinctes mais sans esquinter les chairs. Les coups s’arrêtent et Agathe est autorisée à se masser l’arrière train douloureux. En tournant la tête, elle découvre ses fesses zébrées dans le miroir posé au mur. Des larmes coulent sur son visage.

Vik calmement reprend :
« Ceci est pour ton dressage. Assis-toi, tu vas rédiger ton contrat sur l’ordinateur. »
Après un tel traitement, Agathe a peine à s’asseoir sur ses fesses meurtries et brûlantes.
« Ne ferme pas les cuisses salope ! Je dois pouvoir regarder en toute liberté ton intimité luisante ! A chaque faute de frappe, tu aura une claque sur tes mamelles de pute ! »

CONTRAT DE SOUMISSION ET DE CONFIDENTIALITE
Ce présent contrat engage Agathe, ….. et ses supérieurs à participer totalement au bien être des détenus et ceux qui le désirent dans le respect des règles se fondant sur le principe d’une relation d’autorité où le supérieur s’engage à conduire la subalterne aussi loin que possible dans son besoin de connaissance et d’éducation. Toutes les formes de domination seront exercées de façon proportionnelle à la nécessité des thérapies délivrées aux détenus sexuels ainsi qu’au confort des encadrants.
1 – Durée du contrat :
Ce contrat prend application dès sa signature.
2 – Règles Inconditionnelles :
L’auxilliaire de prison doit accepter les règles inconditionnelles qui lui sont dès cet instant imposées.
3 – Lieux d’application du contrat :
Le contrat ne s’applique que dans l’enceinte de l’établissement carcéral.
4 – L’auxilliare dans l’enceinte carcérale devra être en permanence disponible et nue sous le peignoir de service.
5 – Domaine d’application du contrat Domination physique :
Le corps doit être à la disposition de tout travail physique décidé par ses supérieurs.
Les trois orifices doivent être offerts sur simple demande. Les supérieurs se réserve le droit de les pénétrer ou de les dilater selon ce qui est bien pour l’évolution de la thérapie.
Signé Agathe
Par chance et malgré le stress, elle ne commet pas de faute. Vik est agacé car il aurait bien malmené les seins d’Agathe. Qu’à cela ne tienne, il lui claque les seins juste pour le plaisir.

« Mais Monsieur, je n’ai pas fait de faute ? »
« C’est pour celle que fera plus tard salope et tien voilà pour avoir osé me reproché quoi que ce soit ! »
Un autre coup tombe faisant exploser en larme Agathe.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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