Je partageais un appartement avec un ami durant nos études. A la fin de celles-ci, mon ami quitta l’appartement pour s’installer avec sa copine. Ayant 2 chambres dans l’appartement et ayant l’accord du propriétaire, je me mis à la recherche d’un colocataire. Ayant rencontré plusieurs personnes qui ne convenaient pas, j’étais prêt à abandonner lorsque je reçus l’appel d’une jeune femme qui souhaitait le visiter. Ayant trouvé un accord, elle passa en fin de journée.
Vers 19h30, alors que je venais juste de rentrer de mon boulot, elle sonna à l’interphone. Je lui indiquai l’étage et l’appartement en question. Je lui ouvris la porte.
Quelle fut ma surprise ! Une jolie petite brune avec des yeux noisettes, un superbe sourire, quelques formes… Une véritable déesse !
Je gardais mon calme et lui présenta l’appartement. Au bout de quelques minutes, elle me dit qu’elle était intéressée. Elle s’appelait Sonia et elle m’expliqua qu’elle venait de trouver un travail comme vendeuse dans le coin et qu’elle souhaitait habiter plus près. J’étais toujours subjugué par sa beauté, je remarquai qu’elle avait un tatouage derrière la nuque, un papillon. C’était l’un de mes fantasmes. A la fin de la visite, elle me dit qu’elle prenait la chambre. J’étais ravi.
Elle emménagea deux semaines plus tard après avoir réalisé les formalités d’usage. Lorsqu’elle arriva, je remarquai qu’elle n’avait pas beaucoup d’affaires (deux valises et deux meubles qu’un membre de sa famille lui avait déposé) et qu’aucun de ses proches n’était venu voir l’appartement. Elle m’expliqua que ses relations avec sa famille étaient tendues.
La colocation se passait très bien. On se voyait le matin avant de partir bosser et le soir lorsqu’on rentrait. On discutait surtout du boulot. C’était un changement radical par rapport à mon ancien coloc’… Plusieurs de mes amis qui étaient passés à l’appart’ et qui avaient pu la rencontrer me poussaient pour que je tente un truc avec elle mais je ne voulais rien précipiter.
Mais un soir, après plusieurs mois de coloc’, alors que je rentrais de mon boulot (je suis vendeur en librairie), je vis Sonia en pleurs, assise sur le canapé.
– Ça n’a pas l’air d’aller ? demandai-je en m’asseyant auprès d’elle.
– Si, ça va, me répondit-elle, les yeux rouges.
– Tu es sûre ?
Ses larmes reprirent de plus belle. Je la serrai dans mes bras, elle cacha son visage sur mon épaule. Au bout de quelques secondes, elle se retira. Elle me raconta ce qu’il s’était passé : elle avait revu son ex-fiancé, qui était venu dans son magasin avec sa nouvelle copine, une fille avec qui il l’avait trompé ; ça lui faisait mal car c’était arrivé brusquement et que beaucoup de ses proches étaient au courant, amis et famille. J’essayais de la réconforter en lui disant que c’était une fille bien et qu’il n’en valait pas la peine. Elle me fit un sourire tout en me tenant les mains. Au bout de quelques longues secondes, son regard était plus troublant ; elle s’approcha de moi et elle m’embrasse. Surpris, je la laissai faire. Elle se retira, surprise de m’avoir embrassé. Elle se leva et se dirigea vers sa chambre. Je restais assis, encore surpris. La soirée se passa ainsi. Elle dans sa chambre et moi, sur le canapé. La nuit qui suivit fut longue, pleins d’idées me trottaient en tête.
Le lendemain matin, je me levais avec un mal de tête. Je dirigeais vers la salle de bains pour prendre un cachet… J’entendis Sonia se lever et sortir de sa chambre. Elle vint dans la salle de bains…
– Salut, me dit-elle d’une petite voix et en me faisant la bise, comme tous les matins. Bien dormi ?
– Bof, répondis-je. Et toi ?
– Pareil.
Elle fit couler l’eau du lavabo et se passa de l’eau sur le visage. Puis, elle se tourna vers moi :
– Je suis désolé pour hier soir. Je n’aurais pas dû, me dit-elle. C’est juste que je n’étais pas bien… Et tu étais là pour moi.
– Ne t’inquiète pas, répondis-je. Je comprends.
– Tu es quelqu’un de bien, me dit-elle.
Puis elle me fit un baiser sur la joue. C’était la première fois qu’elle m’embrassait ainsi… Mon mal de tête était un peu passé mais je ruminais. Et qu’est-ce que ce fut, les jours suivants !
Plusieurs jours passèrent et le comportement de Sonia avait quelque peu changé. Auparavant, on ne parlait que du boulot ou de la vie qui suivait son cours. Là, nous avions des discutions différentes… Il lui arrivait de me demander si j’étais avec quelqu’un ; si ça m’arrivait de sortir avec des filles quand j’allais en soirée. Ça allait même à des discutions comme les différentes pratiques sexuelles qu’on avait faite. Je pus m’apercevoir qu’elle était assez ouverte : elle avait déjà essayé diverses positions, dans différents endroits (chez elle, dans des bars, des restos…) Elle l’avait même déjà fait avec une fille.
Même dans sa tenue, ça avait changé. Avant, elle faisait attention de ne pas trop se montrer en petite tenue quand elle sortait de sa chambre ou de la salle de bains. Au fur et à mesure que le temps passait et que les beaux jours arrivaient, ça lui arrivait de sortir de sa chambre en petite tenue (lingerie très sexy ou débardeur avec un mini-short). Une fois, elle est même sortie de la salle de bains avec rien qu’une serviette autour d’elle ; elle s’était assise à côté de moi sur le canapé, et s’habillait pratiquement à côté de moi. Quand elle s’en allait bosser, elle portait souvent des mini-jupes ou des shorts avec un chemisier ou un débardeur, ce qui mettait en valeur sa magnifique poitrine. Quelques fois, elle portait un jean qui mettait en valeur ses fesses. Je n’avais qu’une envie : lui baisser pour toucher lui toucher.
Dans ma tête, c’était l’enfer. Je ne savais pas comment gérer la situation. Le plus souvent, j’allais au sport pour me défouler. Je ne pouvais pas trop en parler à mes amis sinon ils seraient déjà venus la voir pour la reluquer (excusez-moi pour l’expression) ou pour essayer quelque chose… Et je ne le voulais pas.
Mais tout allait encore se précipiter. Un soir, après avoir été à la salle de sport en sortant du boulot, je rentrai chez moi. En rentrant dans le salon, je découvris Sonia, dans une robe noire très courte et qui mettait ses seins en valeur. Je pus voir qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.
– Salut ! Me dit-elle avec son beau sourire…
– Euh, salut…
– Je pensais qu’on aurait pu sortir ce soir, dit-elle avec un grand sourire. Il y a un bon film au cinéma et je n’ai pas envie d’aller le voir tout seul…
– Je veux bien t’accompagner, répondis-je, mais il faut que j’aille prendre une douche avant.
– Ok. Le film est à 22h20, c’est une séance de nuit. Tu as le temps…
Je me dirigeais vers la salle de bain, retira mes fringues et passa sous la douche. L’eau chaude me fit du bien mais je pensais encore à Sonia et à sa tenue. Je m’imaginais lui retirer et la prendre dans divers endroits de l’appartement. Pour me calmer, je me mis à me masturber. Toutes ces images compilées me firent venir très vite. Je sortis de la douche quand soudain :
– Nico ? Dépêche-toi sinon on va être en retard… dit alors Sonia en rentrant directement dans la salle de bains.
Je n’avais pas eu le temps de me couvrir qu’elle était déjà entrée. Elle me vit nu, avec une gaule Terrible.
– Oh ! Excuse-moi… dit-elle avec un petit sourire.
– C’est rien, tu ne pouvais pas savoir… répondis-je en bégayant. J’arrive dans deux minutes…
– Ok, je t’attends.
Elle avait un sourire qui mélangeait embarras et satisfaction… Je ne savais pas à quoi m’attendre.
Nous quittons l’appart et nous nous dirigeons à pied vers le cinéma. On prit les billets et nous allons directement vers la salle de projection. Elle était vide ! Nous nous mîres au fond de la salle, pour mieux voir l’écran.
– Super ça ! Dit alors Sonia. Une grande salle pour nous seuls… On va passer un bon moment !
– C’est sûr ! Répondis-je avec un sourire.
Je pensais qu’elle parlait du film… Quelques minutes plus tard, quelques personnes arrivèrent et se mirent quelques rangées devant nous. Puis le film commença…
C’était une sorte de nanard qui se passait à l’époque des rois, où je ne sais quelle époque mais c’était un mauvais film. Au bout d’une heure, certaines personnes quittèrent la salle. Je regardais Sonia, elle aussi avait l’air de s’ennuyer également. Elle se tourna vers moi, et me fit un sourire. À ce moment là, elle se redressa et remonta sa robe… Elle n’avait pas mis de culotte.
– Qu’est-ce que tu fais ? Tu es folle ? Lui dis-je à voix basse.
– Je m’ennuie… me répondit-elle. Il faut que je m’occupe.
Elle écarta ses cuisses et commença à se caresser. Au début, je trouvais la situation gênante. Puis, plus elle ressentit du plaisir, plus cela m’exitait. Elle savait y faire. Elle mettait un doigt, puis deux, puis trois. Elle retira ses doigts pour les lécher, et elle changeait de main. Au bout de plusieurs minutes, je vis ses muscles se contracter, elle ouvrit la bouche mais aucun son ne sortit. Elle trembla pendant quelques secondes, le temps que son orgasme fit effet. Je la regardais avec des yeux d’envie, mon sexe dans mon pantalon était dur. Elle se mit à me regarder puis baissa les yeux vers mon pantalon… qui avait pris une certaine forme.
– Toi aussi, tu as l’air de t’ennuyer, me dit-elle à l’oreille d’un air provocateur.
Elle se mit à masser mon sexe à travers mon pantalon tout en me regardant avec envie. Elle le déboutonna et sortit mon sexe de mon caleçon. Elle le prit en main et commença à me branler. Elle alternait les mouvements rapides et les mouvements lents. Elle continuait de me regarder avec ses jolis yeux marrons et avec son regard d’envie. Au bout de quelques minutes, je vins et je sentis tout le sperme qui sortait en moi. Quelques gouttes s’étaient collées à mon bas ventre, d’autres sur sa main. Elle se tourna et chercha un mouchoir qu’elle me tendit afin que je m’essuie. Tout en me nettoyant, je la vis se lêcher la main et avaler le sperme avec satisfaction.
– Il est bon ton sperme… J’en ai jamais gouté d’aussi bon, me chuchota t-elle, toujours avec ce sourire de satisfaction.
La fin du film arriva. Nous repartons l’appartement et je me demandais comment allait se finir la soirée. Elle se finit d’une curieuse façon. Au moment où nous rentrons, et où nous rangeons nos vestes dans l’armoire, elle me dit en se tournant vers moi :
– Je vais me coucher. Demain, je me lève tôt. Bonne nuit !
– Bonne nuit ! Répondis-je, étonné de sa réaction.
Elle me fit son fameux baiser sur la joue gauche avec son regard et son sourire provocateurs. J’allais directement dans ma chambre, quelque peu déçu de ne pas avoir eu une suite à la séance du cinéma mais tout en me posant des questions.
Quelques jours passèrent après cette séance du cinéma. Ma relation avec Sonia suivait son cours et on n’avait jamais reparlé de cette soirée. On continuait de parler de tout et de rien. Mais mon envie était de plus en plus forte.
Puis vint le jour de mon anniversaire. J’avais organisé une soirée avec quelques amis. Je m’étais arrangé pour avoir ma journée pour bien tout préparer. Sonia rentra en fin de journée, après sa journée de boulot.
– J’ai trouvé ton cadeau. Je te le donnerai ce soir… me dit-elle avec son joli sourire.
Je m’attendais à ce qu’elle m’offre quelque chose. C’était une spécialiste pour les cadeaux. Après avoir pris sa douche, elle revint, habillée d’une superbe robe rouge et des talons hauts.
– Sublime ! lui dis-je. Tu es magnifique !
– Merci ! me dit-elle. Toi non plus, tu n’es pas mal !
Au même moment, mes amis arrivèrent dont mon ancien coloc’ qui était venu avec sa copine. Je lui présentai Sonia :
– Ravi de te rencontrer ! lui dit-il avec un grand sourire. Nico nous a beaucoup parlé de toi… en bien, bien évidemment !
Je regardai mon ami avec des gros yeux tandis que Sonia me regarda avec des yeux charmeurs.
La soirée se poursuivit. Mes amis continuèrent de faire la connaissance de Sonia, certains essayaient d’en savoir plus sur notre relation. D’autres tentèrent une approche avec elle. Un de mes amis, un ancien joueur de rugby (avec « un corps de Dieu » mais avec une intelligence de poisson rouge…) essayait ouvertement de la diriger dans sa chambre. A un moment de la soirée, alors que Sonia dut s’absenter, il me demanda.
– Ça ne te dérange pas si je tente avec ta copine ?
– Tu fais ce que tu veux… répondis-je. Tu n’as pas besoin de ma permission…
En me dirigeant dans la cuisine pour aller porter de la vaiselle sale, j’ai failli péter un câble. Je vis mon pote s’empresser d’aller reparler à Sonia. Au bout de quelques secondes, il était en train de murmurer quelque chose à son oreille ; mais elle lui fit un non de la tête. Il essaya de la convaincre mais elle lui dit une nouvelle fois non. Le visage de mon ami se liquéfia ; j’étais content, vous n’avez pas idée.
La fin de la soirée arriva à sa fin. Mes amis partirent les uns après les autres. Il ne restait plus que moi et Sonia. Nous nous mîmes à débarasser à la table tout en discutant de mes amis.
– Ton pote était un peu louche, me déclara t-elle.
– Ah Bon ?
– Oui, il voulait qu’on aille se promener et trouver un endroit calme pour qu’il, je cite, « me baise comme si j’étais la pire des salopes… » Il m’a fait flipper.
– Je sais… Il s’y prend toujours de cette façon avec les filles.
Lorsqu’on eut fini de débarasser, je m’installais sur le canapé. Elle quitta le séjour puis revint avec un paquet dans les mains…
Je n’ai pas pu te le donner tout à l’heure ! Encore un bon anniversaire ! me dit-elle en me faisant son fameux baiser sur la joue.
En ouvrant le paquet, je découvris une bonne bouteille de whisky. Je la remerciais par un baiser sur sa joue et lui proposai un verre.
– D’accord, mais il faut que je fasse un truc avant, me répondit-elle.
Elle quitta le séjour et se dirigea vers sa chambre. Je pris deux verres dans la cuisine puis m’installa sur le canapé. Je servis deux verres de ce whisky, j’en bus le premier verre. Il était fort mais délicieux… Je m’en sers un deuxième verre amis, cette fois-ci, j’attendais Sonia.
– Tu viens ? Demandai-je.
– J’arrive !
Elle arriva dans le séjour… Mais elle n’avait plus sa robe rouge.
Elle avait enfilé une nuisette bleue, limite transparent. Je voyais ses seins ainsi que son minou. Sa plastique était parfaite. Elle fit son sourire provocateur, mélangé du même regard. Elle s’approcha de moi, puis se mis en califourchon sur mes genoux.
– A te regarder, ma tenue a l’air de te faire de l’effet… me dit-elle, toujours avec ce sourire.
J’étais bouche bée, ne sachant quoi dire. Elle prit mon verre que je tenais dans ma main et but une gorgée de whisky. Elle se lécha les lèvres avec la langue. N’ayant pu lui donner de réponse, elle m’embrassa. Ce premier baiser était langoureux. Elle continuait de m’embrasser tout en déboutonnant ma chemise. Elle la retira puis elle me fit des baisers au niveau du cou, puis sur le torse. Je sentai que son sexe devenait dûr, elle aussi dût le sentir car elle commença par retirer ma ceinture, puis elle ouvrit mon pantalon pour en sortir mon sexe en érection. Elle se mit à genoux entre mes deux jambes et commença à me lécher le sexe. Sa langue était douce, surtout quand elle me caressait le gland. J’étais aux anges.
Après plusieurs minutes à me lécher et à m’embrasser le sexe, elle commença à me sucer. Elle s’occupa intensément de mon gland, puis commença à descendre. Ses va-et-vient étaient magiques… Elle alla jusqu’au bout de ma verge et réussit une gorge profonde. Elle se retira, un filet de bave sortit de sa bouche et se colla à ma verge… Elle se mit à me mordiller mes testicules ce qui me provoqua des frissons ; en même temps, elle me regardait avec ces yeux marrons, qui étaient de feu. Elle reprit sa fellation avec en train. Au bout de quelques minutes, je sentais la jouissance arriver ; j’éjaculai dans sa bouche. Elle ferma les yeux, non pas par dégout mais par gourmandise. Elle adorait ça !
Elle me fit un sourire, un peu de sperme sortit de sa bouche et se colla sur son menton qu’elle lécha rapidement. Elle avait toujours son fameux sourire ; elle se leva et approcha son visage du mien. Je crus que les choses sérieuses allaient commencer mais…
– Bonne nuit ! me dit-elle, en me faisant un baiser sur la joue.
Sonia se dirigea vers sa chambre, je ne savais pas ce qu’il se passait, j’étais perdu. Elle me fit un dernier regard, qui mélengeait de la malice et de la provocation. A ce moment là, plusieurs sentiments se mêlaient : j’étais encore sous l’effet de l’excitation et de l’orgasme mais je restais sur ma faim… Puis, je pétai un câble. Enervé, je me servis un nouveau verre et le bus cul-sec. Je retirai mon pantalon de mes pieds et me dirigea, sexe à l’air, vers la chambre de Sonia.
J’entrai brusquement, sans frapper. Elle se retourna, surprise de me voir. Je m’approchai d’elle rapidement et l’embrassai fougueusement. Ce baiser dura plus d’une minute. Lorsque nos lèvres se décollèrent, je vis dans son regard toujours cette malice.
– J’ai envie de toi ! me dit-elle en serrant ses mains autour de mon cou.
Je la pris par l’arrière de ses fesses et la souleva pour qu’elle puisse être ma hauteur. Nous continuions de nous embrasser tout en s’approchant de son lit. Nous nous y posons et nous continuons nos baisers. Elle retira sa nuisette et je pus découvrir l’intégralité de son corps. Je commençais par lui caresser ses seins ; ils étaient fermes. De magnifiques seins…
– Si tu veux savoir, 90D, me dit-elle. ça te plait ?
– C’est parfait ! répondis-je. Tu es parfaite.
Je repris mes baisers sur l’ensemble de son corps, jusqu’à descendre au niveau de son sexe. Je me mis à la caresser délicatement, de peur de lui faire mal…
– Tu peux y aller franco… J’ai l’habitude ! me dit-elle. Tu peux me mettre plusieurs doigts…
Je commence avec mon index puis mon majeur ; je réalise quelques va-et-vient, je sens qu’elle commence à réagir. Puis j’approche mon visage et commence à embrasser ses lèvres. Elle commence à se dandiner sur le lit mais je reste concentré sur mon cunni. Je me mets à la lécher ; elle mouille abondamment, je me permets de goûter sa cyprine. Je continue de la lécher tout en la regardant prendre du plaisir. Elle me regarde toujours avec ses yeux en feu, se mord la lèvre inférieure, pince la langue d’envie ; elle me fait signe de m’approcher d’elle avec son doigt. Je remonte vers son visage pour aller l’embrasser.
– J’ai envie de toi ! me dit-elle à mon oreille. Fais-moi l’amour !
Sonia me fait allonger sur le dos et en profite pour chercher quelque chose dans son sac ; elle en sort un préservatif. Elle déchire l’emballage avec ses dents puis me l’enfile. Elle me suce un peu pour que la pénétration passe mieux. Elle se place à la califourchon sur moi et place mon sexe à la hauteur de son minou. Mon sexe entra. Sonia montait et descendait sur mon sexe, d’abord lentement puis elle prit de la vitesse. Elle s’allongea sur moi pour que je l’embrasse ; puis elle se remit droit. Je me mis à lui pincer les tétons afin que son excitation soit encore plus vive. Elle poussait des petits cris de jouissance, toujours en ayant ce regard qui me faisait fondre…
Elle s’arrêta et se mit à quatre pattes sur le lit. Je m’installai rapidement derrière elle et la pénétra aisément. Elle mit ses longs cheveux bruns sur le côté afin que je puisse voir son papillon sur la nuque. Son tatouage me fit encore plus d’effets et décupla mes forces ; les cris de Sonia de devenait de plus en fort. Je m’approchais de son oreille et lui dis à quel point elle était superbe et comment j’étais heureux.
Elle stoppa la levrette pour s’allonger sur le dos ; je me replaçai entre ses cuisses et repris le cours de notre aventure. Je m’amusais à lui titiller le clito. Au bout de quelques minutes…
– Ne t’arrêtes pas ! me dit-elle entre deux râles. Je vais bientôt jouir.
– Moi aussi, répondis-je en l’embrassant passionnément.
Je poursuivis encore quelques minutes et nous atteignîmes tous les deux l’orgasme, en même temps. Je regardai Sonia qui était secouée par ses spasmes. Lorsque ceux-ci furent calmés, elle me fit un sourire, un sourire différent de ceux qu’elle a pu me faire auparavant. Elle se releva légérement pour m’embrasser. Ce baiser était lui aussi différent des autres baisers qu’on ait pu échanger.
– Je t’aime tellement ! m’avoua t-elle.
J’était à la fois surpris mais également heureux de l’entendre dire ça. Je me mis à l’embrasser amoureusement. Je m’allongeai à côté d’elle et nous continuions nos baisers. Sonia se mit sur le côté, je me mis derrière elle. Nous nous endormîmes, enlacés l’un à l’autre.
Depuis ce soir, nous nous sommes plus quittés… Et nous poursuivons notre vie commune, remplie de joie et de passion.
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