Bonjour, c’est Cathy !
Aujourd’hui, je suis sur la plage de Rimini. Nous sommes le 15 Août, la fête de la vierge. Je porte un maillot deux pièces. Je ne viens pas pour prendre le soleil, je suis là pour mon sport favori, la chasse aux jeunes mecs. Il doit faire dans les 35°, c’est sûr, les jeunes vont venir se baigner. J’étale ma serviette et m’allonge sur le ventre. Mon atout majeur, ce sont mes fesses. Aucun mâle ne résiste à leur vue. Comme il n’y a encore personne, je me dévêts et rentre dans l’eau. J’en ressors presque immédiatement, le but de la manoeuvre étant de me coucher dans le sable pour qu’il se colle à mon dos et mes fesses. Ensuite, je me rallonge sur le ventre, sans maillot. J’ai caché la serviette. Nue sur le sable, je semble offerte.
Ca ne tarde pas. Un garçon, environ 18 ans, s’approche sans faire de bruit. Je fais semblant de dormir. Il s’agenouille près de moi. Entre mes cils, je le vois qui retient sa respiration. Des gouttes de sueur coulent sur son front. Il hasarde une main sur mon cul pour me caresser, et accessoirement pour enlever le sable. Je vois aussi la bosse que fait son sexe dans son maillot. Je fais semblant de m’étirer et je me retourne. Le garçon a les yeux exorbités. Devant lui, une paire de seins sublimes. Mes jambes sont relevées. Il voit mon sexe, totalement épilé. Un copain à lui l’appelle.
– Giacomo ! Giacomo !
Il se lève et fait des grands geste, puis met un doigt en travers de sa bouche.
– Paolo, tais-toi ! Regardes !
Paolo m’aperçoit alors. Il s’approche et :
– Putain, elle est morte ?
– Chut ! Merde ! Non, elle a bougé tout à l’heure. Je crois qu’elle dort. Viens voir !
Giacomo prend Paolo par la main et l’entraine devant moi. Les deux garçons sont à genoux et regardent entre mes jambes ou, plus précisément entre mes cuisses. Paolo, plus courageux que son copain, glisse un doigt dans mon sexe. Je ne bouge pas. Il me branle doucement. Pour rendre l’affaire plus crédible, j’attends un petit moment, puis, je me mets à gémir. Je soulève mes fesses et je tends mon sexe vers le doigt. Paolo chuchote à son copain :
– Regardes Giacomo, la salope, elle aime ça !
Je me réveille soudain et je dis :
– Tu aimerais pas y mettre autre chose ?
Nullement démonté, Paolo répond :
– Chiche !
Je vois Giacomo qui fait une tête d’enterrement. Je me tourne sur le côté et leur présente mes fesses.
– Et toi, Giacomo, que dis-tu de ce côté ?
Un grand sourire illumina son visage.
– On est bien d’accord, dit Paolo, tout les deux, en même temps ?
Je serrai les lèvres et lui envoyai un bisou, en battant des cils.
Ils me prirent chacun par une main et m’entrainèrent dans les rochers. Une anfractuosité s’ouvrait en haut d’un éboulis. J’étais toujours nue. Paolo se tourna vers moi et dit en montrant la grotte :
– Toi d’abord !
Je voyais bien qu’il était le plus déluré des deux. Pendant que je grimpais, je les voyaient qui reluquaient mes fesses. Paolo se précipita sur moi. Je le repoussai.
– Une fois chacun, puis les deux ensembles. Giacomo le premier. J’ai l’impression que c’est sa première fois !
Giacomo eut un petit sourire gêné.
– Viens, dis-je, tu n’as pas à avoir honte. Enlèves ton maillot et approches !
Sa belle queue était déjà au garde à vous. Il était devant moi, l’air conquérant de la jeunesse. Je me suis mise à genoux, j’ai pris sa pine dans ma main et l’ai portée à ma bouche. Mes lèvres montaient et descendaient le long de son sexe. J’ai posé mes mains sur ses fesses et j’ai imprimé le mouvement. Ensuite, j’ai saisi ses mains et les ai collées sur mes oreilles. J’ai lâché ses fesses, et se servant de ses reins, le garçon faisait glisser, seul, sa pine sur ma langue. Quand il jouit, je levai les yeux vers lui, un air de remerciement dans le regard, et j’avalai son sperme. Je voyais la fierté du garçon sur son visage. Je me couchai sur le dos et , prenant Giacomo par les hanches, j’attirai le garçon entre mes cuisses. Appuyé sur ses bras, le corps tendu, il suça mes tétons et me regarda dans les yeux. C’était lui, le maitre. J’attrapai sa bite et la dirigeai vers mon sexe. D’un coup de reins, Giacomo s’enfonça en moi. Tout de suite, il s’anima en moi. A grands coups de hanches, il me posséda. Je me tordais sous ses coups de boutoir, pour lui faire croire qu’il m’avait fait grimper au pinacle. Après avoir joui, il se redressa et me toisa. Je lisais la fierté sur son visage. En un instant, il était passé de l’ado timide, à l’homme dominant.
Je me suis alors relevée et me suis retournée. Je me suis mise à quatre pattes et je me suis penchée, la tête entre mes bras. J’ai écarté mes fesses, et j’ai dit :
– Maintenant Giacomo, par là !
Le garçon s’est agenouillé.
– Giacomo ? Passes ta main sur ma moule !
Le garçon s’exécuta et ramena sa main pleine de sperme.
– Etales-ça sur mon petit trou, dis-je, ça me fera moins mal.
Giacomo essuya sa main sur mes fesses et m’encula à sec. J’ai joui la première. Et puis, quand il s’est épanché dans mon cul, j’ai joui à nouveau, mais en même temps que lui.
Avec Paolo, ce fut bien, mais moins attendrissant qu’avec Giacomo. Avec Giacomo, j’ai eu l’impression de lui apprendre quelque chose. Paolo lui était aguerri. Sa façon de baiser montrait bien qu’il n’en était pas à son coup d’essai. Il me fit quand même grimper aux rideaux. Pourtant, j’allais leur faire une surprise. Il y aurait une nouvelle version.
– Giacomo, allonges-toi ici ! Dis-je d’une voix douce, en caressant son cou.
J’enjambai son corps et me mis à genoux. J’ai attrapé sa bite et l’ai fourrée dans ma cramouille. Je me suis assise sur ses cuisses. J’ai pris ses mains et les ai plaquées sur mes seins qu’il caressa puis pétrit. Paolo s’est approché et m’a penché en avant. J’en ai profité pour embrasser Giacomo. Ma langue s’est glissée entre ses dents et je lui ai donné le baiser le plus fougueux que j’ai pu. Je crois qu’il a apprécié, parce que sa queue, enfoncée dans ma moule, frémit et durcit.
Paolo se mit à genoux derrière moi. Il me prit par les hanches et releva mon cul. La bite de Giacomo était sur le point de ressortir. Paolo posa son gland sur le petit trou et d’un coup de reins, il m’encula bien profond. Après que mon cul et ma chatte soient pleins de leur sperme, j’ai dit aux deux ados :
– Maintenant les durs, c’est à deux dans le même trou.
Ils avaient quand même l’air un peu crevés. Je les ai faits relever. Leurs bites pendaient piteusement entre leurs cuisses. J’ai sorti la langue et j’ai dit :
– D’abord ce trou-là !
Comme j’avais un faible pour Giacomo, j’ai commencé par lui. Je léchai ses couilles et ma langue remontait le long de sa colonne, en salivant abondamment, m’appliquant un maximum pour réveiller mon bel éphèbe. C’est alors que Paolo s’approcha, la pine à la main.
– T’as dit que c’était à deux dans le même trou !
Comme sa bite était plus longue que celle de Giacomo, j’ai ouvert la bouche. Les deux bites écartelaient mes lèvres. Surtout que petit à petit, sous l’effet de mes coups de langue et de la moiteur de ma bouche, elles doublèrent de volume.
Cette fois, c’est Paolo qui s’allongea. Je m’empalai sur son membre en lui tournant le dos. Je me laissai aller en arrière et me couchai sur le corps de Paolo. Auparavant, j’avais saisi les poignets de Giacomo. A genoux, il glissa sa bite sur celle de Paolo. Il posa ses mains sur mes épaules et se laissa retomber sur ma poitrine. Il m’embrassa dans le cou et glissa ses mains sous mes fesses. Ses hanches heurtaient mes cuisses et sa bouche mordillait mes seins. Quand Giacomo mordit mon téton, j’ai poussé un cri, mais un torrent de plaisir m’a envahie et j’ai abandonné mon corps à leurs ébats. Cette fois, c’est moi qui était out !
Ca ne les a pas démontés. Ils ont joui en moi et se sont retirés. Je suis restée là, pantelante, sans pouvoir réagir. Giacomo regarda Paolo et dit :
– On la finit ?
Giacomo s’allongea. Ca allait un peu mieux, mais j’ai feint , pour voir jusqu’où ils iraient.
Paolo me prit par la taille et me releva. Il passa un bras sous mes cuisses et me prit dans ses bras. Enjambant Giacomo, il me déposa sur sa bite. Celui-ci avait orienté sa queue vers mon petit trou, dans lequel elle s’est enfoncée. Toujours « étourdie », je suis restée affalée sur le torse de Giacomo. Celui-ci, saisissant mes cheveux, releva ma tête et prit ma bouche. Derrière, Paolo venait de m’enculer. Les mains de Paolo me plaquaient contre la poitrine de Giacomo. Il s’assit, et, me prenant par dessous les bras, il me releva et dévora mes seins. Il mordait dedans à pleines dents, comme si c’étaient des fruits. Comme je ne me réveillai toujours pas, Giacomo mordit pour de bon. Alors, posant mes mains sur ses épaules, je plaquai Giacomo au sol et je m’activai. Je chevauchai sa bite et montait et descendait, sauvagement, le long du sceptre de mon petit prince, malgré la fougue avec laquelle Paolo me transperçait le cul.
Quand ce fut fini, nous restâmes tout les trois allongés et endormis pendant de longues heures. Il faisait nuit et on voyait la lueur de lampes électriques. Les deux garçons sont sortis prestement de la grotte, totalement nus. Certains d’entre eux, ont cru qu’ils avaient baisé ensemble, d’autres, qui ont eu droit à la vraie histoire, ne les ont pas crus.
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