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Contraint et forcé – partie 2

Contraint et forcé – partie 2



Suite de l’histoire « Contraint et forcé – partie 1 »

La sadique me sussurant toujours dans l’oreille

« Ho mais tu fais déjà ce que je veux petite larve de pervers, continues de gémir, hurler et pleurer comme tu le fais, ça me fait monter, tu vas me faire jouir, je vais d’ailleurs monter sur la table et jouir sur ta gueule de petite merde, si tu enfonces bien ta langue dans mon cul tu pourras me faire jouir un peu plus vite et donc la torture cessera également, mais j’ai pris soin de ne pas me laver ce matin, cela doit donc sentir bon la femme et les sécrétions intimes, et mon cul aura certainement une saveur épicée, mais je te fais confiance, d’ailleurs je vais frapper tes couilles jusqu’à ce que tu me fasses jouir pour t’y encourager »

Elle se plaçait au dessus de mon visage et écartait très largement ses fesses, de manière a ouvrir son œillet sombre, l’odeur était forte, presque dégoûtante et pourtant lorsqu’elle m’ordonna d’y enfoncer la langue alors qu’elle s’écrasait sur mon visage et sur le goût inonda ma bouche, je ne su m’empêcher de ressentir une part d’excitation perverse, ce qui me fit bander plus dur jusqu’à ce que …
« Schlack »

Le premier coup sur mes couilles, la douleur était cuisante et je hurlais entre ses fesses odorantes

« mmmmmm mon salaud, on dirait que tu aimes ça hein mmmmmm »

Cette sadique prenait plaisir de me faire souffrir alors que moi je voulais disparaître pour oublier toutes des tortures, mon sexe redevenait a nouveau raide de par l’action conjuguée de la pompe et de l’électrode, aussi grâce au viagra et a la perversité de la scène dont j’étais malgré moi la victime
Je sentais la sadique onduler puis, un second coup sûr mes boules, la douleur, puis une incroyable onde de plaisir au même moment où la sadique se tetanisait de plaisir en m’injuriant sans interruption
Je ne pu me retenir de venir pour la quatrième fois
Hurlant a la mort tant la douleur du plaisir était devenue insupportable
La maîtresse, ayant pitié, fini par m’ôter la pompe et l’électrode, mais me fit boire un verre d’eau avec un nouveau cachet bleu en souriant

« Tu es un très bon sujet, j’aime beaucoup t’utiliser pour donner du plaisir a mes amies, je te laisse récupérer 40 minutes, ensuite H viendra te masser le sexe avec des huiles pour éviter les trop fortes irritations, c’est un cadeau que je te fais, et juste après tu subiras les délires du couple, ils vont adorer te faire jouir et jouir avec toi sale petite pute »

Elle quitta la pièce, me laissant seul, en nages, le sexe m’envoyant des décharges de plaisir et de douleur conjuguées, l’anus en feu et l’écume au bord des lèvres, en total état second 
Je n’avais pas eu le temps de me reposer durant le délai indiqué par la maîtresse, la porte s’ouvrit et H entra dans la pièce en souriant comme d’habitude, on aurait pu croire qu’elle sautillait de joie en se déplaçant. Ces seins superbes se balançant sous l’effet conjugué du déplacement et de la gravité, elle s’approcha et attrapa un pot de gel hydratant, le malaxa entre ses doigts, j’imaginais que c’était pour le réchauffer un peu, avant de saisir mon sexe raide et mes couilles  pendantes, la caresse de ses mains, si douces soient elles, m’envoya un signal de détresse dans le corps entier, comme si je devais être averti de l’inévitable qui allait arriver très bientôt
Elle se montrait très douce et utilisait la pulpe de ses doigts pour faire pénétrer la crème dans mes chairs endolories, mon gland était extrêmement sensible, a la limite de la douleur

« ne vous inquiétez pas, j’ai pris de la crème légèrement anesthésiante, votre douleur sera moins grande mais malheureusement cela prolongera les séances »

Elle déposa un premier baiser sur mes testicules, puis un second, puis je senti la douceur de sa langue jouer avec mon sac…

« Mmmmmm désolé mais j’adore vraiment ça et je ne peux pas m’en empêcher »

Elle léchait si bien que je sentais mon sexe durcir encore, la douleur et le plaisir de mêlant a nouveau pour me faire gémir
Elle continua a me masturber lentement de sa main enduite de crème, elle plaça ensuite l’index de son autre main à l’entrée de mon anus et appliquait de la crème en mouvement circulaire concentriques, appuyant de plus en plus sur ma rondelle qui malgré moi s’ouvrait lentement

« mmmmmm votre queue, j’ai envie de l’avoir en moi, mais je n’y ai pas droit, je ne peux que la sucer… Mmmmmm j’en ai envieeeee »

Elle prononça ces mots en enfonçant lentement son index dans mon anus, lubrifiant mon sphincter, ce qui facilita l’ajout de lubrifiant et l’intromission d’un second doigt
Je gémissais de plaisir, jamais une fellation ne m’avait parue si douce et si agréable, elle me faisait du bien, elle prenait soin de moi, elle me soignait

« Mmmmmm ouuiiiiii »

Je gémissais d’aise tandis que ses doigts me fouillaient et que sa bouche me prodiguait tant de plaisir
J’étais sur le point d’éjaculer lorsque la porte s’ouvrit et qu’un couple fit son apparition, voyant H affairée sur mon membre la femme réagi

« Hé petite pute, tu te crois où là, c’est notre jouet pas le tien »

Elle claqua des doigts et H lâcha mon sexe et retira ses doigts de mon cul, baissa les yeux et sorti de la pièce non sans recevoir une claque retentissante sur ses fesses par l’homme
La femme était bien faite, la quarantaine bien conservée, l’homme avait un peu plus, ils avaient tous les deux des tenues composés de lanières de cuir, laissant apparaître leurs sexes, poitrines, fesses
Celui de la femme serait tellement sa poitrine qu’elle était d’un rouge sombre, des anneaux pendant a ses mamelons, divers piercing ornaient également sa vulve, ses lèvres et le capuchon du clitoris
L’homme portait des anneaux en acier autour des bourses, sous le poids elles pendaient facilement dix centimètres sous le membre en érection ballotant de manière ridicules a chaque pas, son gland était percé, ses tétons également portaient des anneaux

La femme se muni d’un gode ceinture double dont elle insera la partie qui lui était réservée dans sa chatte trempée, l’autre, je le savais déjà, serais pour son mari ou moi… Il était long et plutôt épais, cela m’effrayait, jamais je n’avais été sodomisé et j’imaginais avec inquietude ce gode me forcer les entrailles

La suite si vous le désirez

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