Sur un banc avec des vieux espagnols
Ceci aurait pu se produire… mais j’ai été trop timide ce jour-là, pour exploiter une « phrase » apparemment anodine, qui, à la réflexion, aurait pu se révéler être une opportunité, une porte entrouverte que je n’ai pas su saisir ce jour-là !… et depuis, je n’arrête pas de fantasmer sur cette situation qu’ELLE attendait peut-être, appelait de ses vœux (mais – comme vous le savez- elle n’avoue jamais ouvertement ses fantasmes) : oui j’ai des regrets.
Alors, j’ai élaboré ce qui aurait pu (aurait dû) se passer… avec quelques variantes et, depuis, je me branle souvent sous la douche ou seul dans le lit en imaginant ce mini-scénario poussé à l’extrême et je vous le livre.
* * *
Nous nous promenions ce jour-là dans les rues de Madrid, dans le quartier populaire de Malaseňa, et, en plus, elle avait mis une jolie robe beige qui la moulait bien.
Arrivés sur la petite place Dos de Mayo, nous déambulions, c’était calme, quasi désert même (ce qui ne fait que raviver mon regret de ne pas avoir osé la « pousser » à aller plus loin) en cette fin de matinée ensoleillée.
Sur un banc de la place, il y avait donc quatre vieux espagnols (en plus, des hommes mûrs, burinés, le regard bien affûté envers les femmes, relativement vieux comme je les aimerais pour ma femme) qui devisaient entre eux.
Et là, elle me dit : « ils sont beaux ces quatre petits vieux là sur ce banc ! »
Et là, j’aurais dû illico répondre : « va t’asseoir avec eux, ça fera des photos sympas »
… je ne l’ai pas fait, je m’en mords les doigts… car voici ce que j’imagine maintenant.
* * *
Ma femme, avec ses ballerines dorées et sa petite robe s’approche du banc… avec moi juste derrière. Comme elle ne parle pas un mot d’espagnol (ceci dit moi je me fais « un peu » comprendre mais je ne suis pas un expert de la langue de Cervantes), je leur fais comprendre qu’il faudrait qu’ils s’écartent un peu sur le banc pour permettre à ma femme de s’asseoir au milieu d’eux.
Ils l’avaient déjà bien reluquée aux quatre coins de la place, dans ce mini-square, avec sa petite robe, ses fesses moulées, ses ballerines sexy et ses gambettes attirantes… Aussi, ils ne se font pas prier et lui ménagent une « petite » place au milieu d’eux… où elle s’installe fièrement en souriant sans précaution vestimentaire en dévoilant aussitôt généreusement ses gambettes avec sa robe remontée à mi-cuisses.
Je fais quelques photos de « vue générale » avec ma femme et sa jolie robe, déjà pas mal troussée à mi-cuisses, au milieu de ces quatre vieux espagnols souriants.
L’un d’eux met son bras autour de son cou et aussitôt de l’autre côté son compère fait la même chose : elle rigole doucement ; eux commencent à échanger des commentaires que je ne perçois pas… mais je me doute… un peu !
Je fais des photos et tout le monde rigole… les deux autres en bout de banc se penchent vers le trio central pour « être sur la photo », ça rigole, ma femme glousse et les deux bras et mains autour de son cou se font de plus en plus présents… je photographie toujours, elle rit toujours.
Alors, plongeant doucement, l’air de rien, une main du tour de cou vient s’échouer sur son sein et s’y reposer tout naturellement, doigts déployés en pétale sur le doux tissu de la robe, au ras du décolleté… sans que -pour ma plus grande joie- elle n’esquisse le moindre geste pour la repousser. Je photographie toujours, elle rigole toujours et eux commentent encore.
« Tu pourrais les embrasser » dis-je innocemment, incrédule mais excité.
Elle, la coquine, ne répond rien mais obtempère aussitôt et pose un baiser appuyé et claquant sur la joue de son voisin de droite… totalement surpris et pris de court, tellement qu’il écarquille les yeux, manifestement enchanté de cette bise soudaine, tout en me jetant un regard un peu inquiet.
Je souris ouvertement, à l’intention des quatre vieux, et je continue à photographier.
Du coup, son voisin de gauche (celui de la main plongée sur sa poitrine) accentue sa pression sur le tissu de la robe et de son avant-bras attire ma femme vers lui, tout en disant en espagnol « moi aussi, je veux une bise ».
Ma femme a bien compris l’intention (même si elle n’a pas compris la phrase, elle a capté l’invitation) et se tourne brusquement vers lui… dont le visage est tellement près, qu’elle ne peut éviter (en aurait-elle eu l’intention ?) qu’il l’embrasse sur la bouche. Ce baiser appuyé s’accomplit, évidemment sous les regards attentifs des trois autres vieux et le mien. Je souris toujours et je prends des photos. Un bref instant, elle me regarde comme pour m’interroger pour savoir si elle peut continuer. Je fais un petit signe « pouce levé » et je continue à photographier la scène. Elle sait que ça va me plaire car elle a vu mon regard « yeux brillants » qu’elle connaît quand je suis excité par une « situation ».
Alors, elle se retourne vers son voisin de droite et l’embrasse à nouveau mais cette fois à pleine bouche. Evidemment, le vieil espagnol ne laisse pas passer l’occase, l’aubaine même, et se met à la galocher profondément langue dardée, alors que sa main aussi s’est plaquée sur son autre sein. Là, le baiser amoureux, lèvres soudées, langues mêlées se fait plus long… ma femme, enserrée par les deux mains sur sa poitrine maintenant devenues exploratrices et les avant-bras lui maintenant bien la tête, répond avec fougue et caresse la nuque du vieil espagnol aux anges. Je me régale de la photographier galochant le vieil espagnol à pleine bouche, avec les pognes des deux types caressant bien ses seins. D’ailleurs son voisin de gauche profitant de la galoche en cours, immisce le bout de ses doigts dans le décolleté de la robe et descend caresser les globes à même la chair.
Voyant cela, les deux autres espagnols à chaque bout du banc, probablement frustrés et excités, commencent à se trémousser tout en se penchant en avant pour mieux voir ce qui se passe. Alors, presque en même temps, ils posent chacun une pogne sur les genoux de ma femme à la naissance de ses cuisses en grommelant quelques paroles et onomatopées.
Sentant la nouvelle présence de ces mains qui commencent lentement à remonter sur la chair nue et douce de ses cuisses, ma femme se dégage du baiser fougueux et tombe nez à nez avec les deux visages des deux autres qui se sont rapprochés… tellement que j’ai du mal à faire des photos de ma femme cachée par les quatre têtes.
Elle sourit aux deux autres puis se penche vers l’un d’eux et, à lui aussi, tend sa bouche entrouverte pour qu’il lui roule une galoche… ce qu’il s’empresse de faire bien entendu. Puis elle se dégage et va embrasser le quatrième vieux qui attendait patiemment son heure… les autres s’effaçant un peu afin qu’il puisse à son tour profiter pleinement des lèvres et de la bouche de ma femme.
Heureuse et fière d’avoir bien donné du plaisir à ces quatre vieux en les galochant chacun à tour de rôle, ma femme se renverse en arrière, s’appuyant au dossier du banc en leur souriant, alors que des « gracias », « muy bien », « delicioso » … « maravilloso » « que buena, que fabulosa mujer ! » … « oh buena boca »… « que me gusto ! » fusent.
Elle redresse le buste comme si elle allait se lever du banc, en prenant fermement appui au sol avec ses ballerines dorées, les genoux légèrement écartés, ses cuisses aussi du coup.
Alors là, les mains des quatre espagnols la maintiennent assise avec fermeté mais sans brutalité pour bien lui faire comprendre qu’ils en veulent encore. D’ailleurs son voisin de droite, reprend son visage avec ses deux mains et recommence à la galocher et qu’aussitôt son voisin de gauche use de ses deux mains pour dégager son sein par le décolleté de la robe, faisant apparaître aux yeux de tous la dentelle de son joli soutien-gorge balconnet qui fait pigeonner le globe qu’il caresse de l’autre main en venant du bout des doigts agacer le téton qui peu à peu affleure à l’air libre au-dessus du sous-tif dégagé.
Se tournant vers moi, l’un d’eux manifestement inquiet, me demande alors :
« podemos continuar embrassar tu mujer seňor ? »
« si, si, puede » répondis-je complètement surexcité.
« qu’est-ce qu’ils disent là ? t’as dit quoi ? » s’exclame ma femme sortant de sa galoche, les yeux embrumés mais un peu affolée par la tournure des événements.
« ils m’ont demandé s’ils pouvaient continuer à t’embrasser et j’ai répondu oui qu’ils pouvaient continuer»
Alors, les deux autres vieux des bouts du banc se lèvent, l’un d’eux tente de venir explorer l’autre sein, un peu gêné par la tête de celui qui la galoche. Il arrive à la palucher au sein droit mais éprouve des difficultés à le dégager pour le mettre à l’air libre.
L’autre s’accroupit devant ma femme (avec un peu de difficulté vu son âge avancé) et de ses deux mains commence à caresser ses cuisses en les écartant peu à peu et en remontant de plus en plus haut sous la robe, que ses avant-bras font remonter.
Son voisin de gauche a maintenant bien pris le sein en bouche et suce le téton durci, arrachant quelques gémissements à ma femme. Du coup, son voisin de droite arrête la galoche et plonge sur son sein droit qu’il se met à sucer avidement, après avoir bien dégagé le beau sous-tif. Ma femme se pâme, tête renversée en arrière et se met à faire aller et venir de droite à gauche sa chevelure de lionne salope… -signe que je connais bien de la montée de sa jouissance- tout en caressant avec de plus en plus d’insistance les deux crânes des vieux espagnols qui honorent ses seins : je fais des clichés fabuleux de cet instant.
A ses pieds le vieux s’est agenouillé maintenant, ses deux pognes visitent de plus en plus haut l’intérieur de ses cuisses bien ouvertes maintenant. Insensiblement, il s’approche de la culotte fine et échancrée qui ne cache pratiquement rien de sa toison mi-blonde mi-rousse et, sans coup férir, il plonge entre les cuisses et embouche la chatte humide, rendant très vite sa langue hyper-active. Ce nouveau traitement électrise ma femme qui instinctivement serre ses cuisses autour de sa tête chercheuse… trouveuse même ! Les trois bouches des vieux espagnols la comblent d’aise, elle a bien dû oublier qu’elle est sur un banc public car elle gémit de plus en plus fort et s’agite en tous sens : pas de doute, ils vont me la faire jouir là !
Alors, le quatrième, momentanément exclu du jeu délirant, se relève, contourne le banc public orgiaque, se débraguette et vient présenter au ras du dossier du banc une fort belle bite brune bien bandée à quelques centimètres du visage plein d’extase, yeux mi-clos, de ma femme qui est entrain de jouir sous les assauts conjugués des trois bouches et langues fureteuses. Je fais quelques clichés fabuleux et, en particulier, de cette queue tendue qui vient tapoter sa joue.
Manifestement dans un état second, ma femme tourne la tête vers le gland luisant offert et l’enfourne d’un coup dans sa bouche gourmande puis se met à le sucer profondément. Le vieil espagnol, aux anges, tend son ventre en avant, donne de petits coups de rein et enfonce bien sa tige dans la bouche délicieuse… tout en me jetant un regard empreint d’extase. Il se fait sucer complètement là sur ce banc public et n’en croit pas ses yeux… et je suis ravi.
Ma femme, toute à sa jouissance de plus en plus débridée, suce cette queue inconnue avec une application et une fougue délirante. Le vieux saisit sa chevelure opulente et accompagne les mouvements de pompage et de succion de ma femme sur sa queue. Elle gobe, pompe, lèche, suce la queue gonflée… tout en continuant de se tortiller, jouissant comme une folle sous les coups de langues et les bouches des trois autres vieux auxquels elle s’est maintenant totalement abandonnée. Je vois ses deux mains lâcher les crânes qui n’ont plus besoin d’encouragements et partir à la recherche des queues bandées de ses deux voisins de banc. Rapidement, elles rencontrent les bosses conséquentes dans les pantalons et se mettent à masser les sexes des vieux par-dessus les tissus des pantalons. Elle aime ça, je sais.
Je vois ses paumes, ses doigts malaxer les tissus de manière de plus en plus appuyée, alors que sa jouissance atteint le summum et qu’elle a la bouche remplie de la bite de l’autre.
Elle jouit tellement qu’elle s’est abandonnée, qu’elle devient scabreuse car ses doigts commencent à défaire les braguettes à la recherche des colonnes de chair. Elle ne se rend même pas compte de l’effet que produit sa bouche du vieux sucé. Elle a maintenant empoigné les bites bandées de ses deux voisins de banc, sorties de leurs pantalons et commencent à les branler avec insistance.
Elle n’a rien vu venir : son vieux sucé se met à grogner, se cabre contre le banc et, tout en maintenant bien la tête de ma femme par sa belle chevelure, décharge sa semence dans sa bouche. Surprise par cette bordée soudaine de foutre, ma femme réussit à se dégager de la queue un instant et du coup reçoit illico une deuxième giclée en pleine figure.
Les trois autres ont bien compris à ses mouvements qu’elle ne s’attendait pas à ça et, du coup, les deux voisins du banc arrêtent de sucer ses seins pour s’affaler tous deux jambes écartées leur bite bien en mains et l’enjoignent de branler leurs queues.
L’autre s’est relevé de sa chatte qu’il a copieusement bouffée et a sorti son engin pour se branler debout face à elle.
Elle a compris, elle a senti la salope que le signal final a été donné. Elle branle bien les deux bites maintenant, les astiquant de plus en plus vite. Les deux vieux aux anges se laissent branler, jambes tendues et écartées, bites et couilles bien dégagées de leurs braguettes. Ma femme contemple les deux tiges qui enflent dans ses mains, elle accélère ses mouvements. Ils en profitent tous les deux pour venir lui mettre leurs doigts dans sa chatte, aller et venir sur son clitoris, doigter les lèvres trempées pendant qu’elle finit d’astiquer leurs queues. Elle se pince les lèvres comme pour mieux s’appliquer, accélère ses mouvements et… bien sûr l’explosion arrive ! Les deux vieux déchargent pratiquement en même temps en grognant leur plaisir ; les giclées de foutre volent un peu partout pour finir sur sa robe, sur ses seins et sur ses cuisses ; ma femme continue à traire les bites pour en faire sortir tout le sperme, qui coule sur ses mains. Révulsés, affalés sur le banc les deux vieux n’en finissent plus de juter.
C’est alors que le dernier, debout face à elle, se met à astiquer frénétiquement sa bite tendue vers elle à hauteur de sa poitrine et de son visage. Les mains occupées, le visage dégoulinant de sperme de son sucé, impuissante à éviter un arrosage annoncé, ma femme contemple la bite du vieil espagnol danser à vingt centimètres d’elle.
Je le vois se raidir d’un coup et saisissant encore plus vigoureusement sa queue soudain, il décharge une bordée fabuleuse qui éclabousse le visage de ma femme, immédiatement suivie d’une seconde giclée qui inonde sa poitrine coulant dans son soutien-gorge. Lui aussi beugle son plaisir en finissant par arroser sa culotte et ses cuisses offertes.
J’en peux plus moi, je photographie et filme tout ça et je décharge dans mon slip sans avoir besoin de me branler.
Ma femme est couverte de foutre et j’aime ça.
Les quatre vieux reprennent leurs esprits et commencent à s’essuyer et se rebraguettent ; à tour de rôle, ils viennent embrasser ma femme sur la bouche en paluchant ce qui leur passe à portée, seins, chatte, cuisses… accompagnant ces baisers langoureux et appuyés, et même enspermés, de « muchas gracias », « fabuloso », « maravilloso »… auxquels elle répond par des sourires et des regards charmeurs de la « bella mujer » fière de son exploit. Pour ponctuer la séance, le vieil espagnol debout saisit un pied de ma femme, déchausse sa ballerine et vient faire finir de dégorger sa queue à l’intérieur. Du coup, le sucé vient faire pareil à l’autre pied et les deux branlés du banc font dégorger leurs bites sur le haut de ses cuisses, s’essuyant même un peu avec l’intérieur de sa robe.
Ma femme se relève, fait retomber sa robe pas mal amidonnée de foutre, leur fait un dernier baiser sur la bouche langue dardée à tous les quatre et nous prenons le chemin du départ.
« Ne t’essuie pas » lui dis-je, « c’est trop bon de te voir comme ça »
« Mais… si on rencontre des gens ? »
« Ben, ils verront bien que c’est du sperme »
« Mais ça fait pute ça ? »
« Mais non, juste une belle salope bourgeoise qui a reçu sa dose »
Puis pour moi :
« et toi ? t’as joui ? »
« Oh oui, mon slip est trempe ! un vrai marécage… je n’avais pas joui comme ça depuis longtemps sans avoir besoin de me branler »
* * *
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