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Les chroniques érotiques d’Emilie (5)

Les chroniques érotiques d’Emilie (5)



Quand la curiosité devient un agréable défaut…

« Étudiante, un samedi après-midi, j’assiste en tribune à un match universitaire de football féminin, pour supporter une copine qui joue… Quand mon regard est attiré par deux filles blondes installées devant moi. A bien regarder, je connais la plus grande, pour l’avoir côtoyée au lycée, elle s’appelle Marie et doit avoir 18 ou 19 ans, « elle s’est faite » comme l’on dit et a maintenant une silhouette épanouie. Elle est accompagnée d’une fille avec une jolie frimousse, mais son corps de nymphette lui donne une allure de gamine, elle paraît bien plus jeune que Marie… Leur attitude focalise mon attention… Elles se tiennent très proches… à la moindre occasion se frottent… bras contre bras… épaule contre épaule, se touchent… se parlent à l’oreille… se tienne la main… croisent leurs doigts…se dévorent des yeux, surtout Marie, et n’ont pas l’air, comme moi d’ailleurs, très absorbées et motivées par le match… Je ne fus pas surprise de les voir quitter la tribune au début de la deuxième mi-temps… Intriguée et surtout curieuse, car je ne pensais pas que Marie soit lesbienne, je décide de les suivre à distance, discrètement, et bien m’en pris… Elles doivent connaitre les lieux, car à ma grande surprise, avant de rentrer dans un des vestiaires du complexe sportif, elles regardent derrière elles pour s’assurer que personne ne les voit… encore fallait-il savoir qu’il était ouvert et non affecté aujourd’hui, mais peut-être font-elles partie d’équipes jeunes de ce club et connaissent les lieux… et les habitudes. De plus il reste beaucoup de temps avant la fin du match, donc peu de risques qu’elles se fasse surprendre… et moi avec…!
…Cinq bonnes minutes plus tard je m’aventure à mon tour dans le vestiaire sombre… Le sol carrelé me permet, avec mes sandales, de marcher en silence, et ne pas signaler ma présence… Au bruit de leurs respirations haletantes, dans le silence du vestiaire, il ne me faut pas longtemps pour deviner où se cachent mes deux coquines… Une cabine d’arbitre leur sert d’abri.. Je rentre dans la même à côté, persuadée de ne pouvoir qu’ écouter, quand je remarque, dans la cloison de contreplaqué qui sépare les deux cabines, un trou laissé par un gros nœud de bois ….. je colle mon œil à cet œilleton imprévu… j’ai ainsi le son et les images…!… Ce que je vois et entend me mets de suite en émoi… »

…La plus jeune, qui est en robe, est déjà nu et Marie n’a plus son pull et soutif, juste le jean’s …elles s’embrassent à pleine bouche, se frottant seins contre seins… Marie masse les fesses de la minette en la collant a elle… la jeune fourrage dans ses cheveux… leurs cuisses se sont croisés et frottent leur entrejambe… le vestiaire s’amplis de leurs halètements et de petits gémissements estompés par leur baiser…,

« je ressens leur excitation… mes nichons gonflent, mes tétons s’érigent… une chaleur m’envahis et ma culotte se mouille sous mon jean’s, que je dégrafe pour passer plus aisément une main dans la culotte et me caresser doucement… je dois faire attention à ma respiration et surtout pas haleter.. gémir… jouir, pour éviter de me faire découvrir…. »

« C’est quand Marie, nomme Charlotte, pour lui demander de s’asseoir sur le banc que j’apprends le prénom de la minette… »

… Charlotte est assise…

« je la vois bien, elle est face a moi)… »

… Elle a de petits nénés à peine formés avec des tétons assez gros qui pointent avec arrogance… ! Marie, debout, les regarde un instant, puis les caresse, et agace les tétons… Elles s’embrassent de nouveau… leurs bouches sucent leurs langues dans un bruit de succion très érotique… La nymphette écarte ses cuisses menues et laisse apparaitre un minou serré qui paraît imberbe tellement son buisson est blond et pas trop fourni.

Quelle belle chatte !… sure qu’elle n’a pas été possédée souvent…et qu’elle est certainement pucelle… un délice cette fille…je comprends Marie… et j’aimerai me trouver à sa place…! »

 » collée à la cloison, je respire par le nez, bouche fermée, pour ne pas me faire entendre. La scène me trouble au point de ressentir dans mon sexe qui se lubrifie de plus en plus, le picotement significatif de mon excitation grandissante… j’ai du mal à rester à me caresser sans toucher mon bouton ou me mettre un doigt…heureusement que mon jean’s me gène un peu pour faire cela… mais je n’ose le baisser, au cas où il faut que je parte précipitamment »

– Je veux te lécher Charlotte…!… avance-toi au maximum …

…Dis Marie en s’agenouillant entre ses cuisses et les écartant de ses deux mains… La tête disparait entre les cuisses de la gamine et la bouche se colle aux lèvres qui laisse suinter la cyprine…

« J’allais me contenter d’un spectacle qui m’est familier, quand la minette replie une de ses jambes sur la banquette, dévoilant encore plus son bijou à mes yeux éberlués et murmure, les yeux cochons, d’une voix chaude, pleine d’envie et de désir qui augmente mon excitation … »

– Mange-moi… Marie…!!… regarde comme tu me fais mouiller… je suis trempe…!!

Marie écarte les replis intimes de son égérie et choisit de ne pas la faire attendre… Le nez dans la toison duveteuse, elle caresse de sa langue les ourlets de chair rose d’un lent mouvement tournant, avant de s’insinuer dans la grotte, en lapant son jus… La môme se cambre et caresse ses seins en étirant les tétons… La langue se faufile entre les nymphes… jusqu’au capuchon et découvrit le bouton d’amour, ce petit organe si sensible et source de tant de plaisir… Marie alterne les caresses avec une avidité grandissante… du vagin au clito , le menton luisant de mouille…

« Lécher… manger.. ces mots pour moi, devant cette scène, agissent comme un aphrodisiaque. Ajouter à cela l’air confiné de la cabine, chargé de l’odeur du plaisir qui m’enivre… ressentir cette jouissance qui ne faisait aucun doute chez ces filles déconnectées du monde… Tous ces ingrédients me rendent folle d’un désir que je ne peux assouvir, même si ma chatte trempée et mon bourgeon, réclament leur part de caresses, je ne peux me laisser aller sans risque de me faire découvrir … mon supplice est à son maximum…! »

(l’état de ma culotte et du jean’s…je vous dis pas !!…comment je ferai pour sortir…?)

Les gémissements de Charlotte sont en train de se changer en râle de plaisir , ses mâchoires qui se crispent dénotent chez elle l’envie de se laisser aller… elle veut venir… de suite…!!

– T’arrête pas Marie…!! Oohh Marie…que tu me le fais bien…!!!…t’arrete pas…!!!… je viens…!!

Pourtant elle s’arrête Marie…! Si le bébé voulait jouir, le choix du moment reste son privilège… La bouche maculée de jus remonte le long du ventre agité de spasmes, s’attarde sur le téton érigé d’un sein… vient sur sa bouche et lui fait gouter sa propre liqueur … Entre les cuisses, un doigt caresse la vulve puis le bourgeon, pour entretenir l’état second dans lequel se trouve la l****a… sans rien précipiter de sa délivrance… Charlotte se tortille sous les caresses… tend son ventre vers les doigts… quémande son orgasme qu’elle veut de suite…

– Je t’en supplie… !!… Marie…!!… Marie…!!… fais moi jouir…!!!
– Chut !!… ma belle…!… Laisse-moi faire…!

Trop excité Charlotte donne un coup de rein ce qui permet à son trou de happer entièrement ce doigt coquin… bouge le bassin pour en profiter… mais hélas pour elle aussitôt retiré par Marie.

– Ohhh…!!… nonnn…!!… Marieee…!!! j’en peux plusss…!!!… fais moi partirrr…!!!

Ce cri de désespoir fait chavirer les sens de Marie qui comprend que le jeu a assez duré… c’est maintenant deux doigts qui plongent dans le soyeux de la grotte d’amour de son amante… tandis que son pouce s’occupe de son clito exacerbé…. tout en l’embrassant elle baise sa bouche avec sa langue et se régale de sa salive… elle la délivre…!!!

– Jouis maintenant…!!!

Les mots étouffés par le baiser se mêlent aux bruits de clapotis fait par les doigts qui fouillent les nymphes… Le mouvement du pouce sur le clito s’accélère… Charlotte s’arc-boute, en état de transe…. ses cris retentissent dans le vestiaire malgré la bouche de Marie sur la sienne… l’orgasme libérateur la dévaste en de fulgurants spasmes, révélateurs de l’extraordinaire plaisir qu’elle prend…

« J’ai eu du mal à résister à l’excitation provoqué par l’orgasme de Charlotte…ma mouille coule à flots tachant irrémédiablement mon jean’s… je suis obligée de suspendre toute caresse sur mon sexe pour éviter a mon tour de jouir et crier… mordre ma main pour me calmer… malgré ces précautions je suis au bord de l’orgasme sans me toucher !!… mais ce n’était pas fini… je n’étais pas au bout de mon excitation…tiendrai-je jusqu’au final ?…
Marie debout, jambes écartées, autant qu’elle le peut avec son jean’s et sa culotte baissés sur ses converses par Charlotte qui s’occupe maintenant de sa maitresse, et veut lui rendre le plaisir quelle lui a donnée… J’ai sous mes yeux les jolis fesses, bien rondes et fermes de Marie et son abricot fendu sur lequel se promènent les doigts de la blondinette… »

Charlotte a introduit deux doigts dans la chatte de Marie, d’où coule beaucoup de cyprine sur ses cuisses… elle accélère son mouvement arrachant des gémissements à la grande qui a mis ses menottes dans les cheveux de celle qui la fait belle… Pendant qu’une main la doigte, l’autre vient titiller son clito… et par des mouvements rapides et synchronisés de ses deux mains Charlotte la fait venir…!!… l’orgasme terrasse Marie, les mains toujours dans les cheveux de Charlotte, … elle tremble de tout son corps en criant son bonheur… les jambes flageoles…le corps se pli en deux… ses seins viennent sur la bouche de la gamine qui lui suce et mordille les tétons…

« j’ai attendu qu’elles se rhabillent et partent pour pouvoir à mon tour libérer toute la tension accumulée à suivre les ébats de ces deux polissonnes…
…debout, appuyée au mur… en moins de temps qu’il ne m’en faut pour vous l’écrire… je suis partie dans un orgasme foudroyant, en faisant la même chose que Charlotte avait fait a Marie… »

« …je ne remis pas ma culotte qui était devenue H.S. … un « chiffon mouillé »… restait mon jean’s…! lui aussi marqué par ma curiosité…!… Pour quitter le complexe sportif sans me faire remarquer, je suis sorti du vestiaire en T-shirt et pull noué à la taille cachant ainsi la large auréole… »

Je me souviendrai longtemps de ce match de foot féminin…

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