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Isabelle, grosse et petite mais belle part3

Isabelle, grosse et petite mais belle part3



Chapitre 3 :

En ouvrant la porte de chez moi, je fus accueilli par mes trois petits monstres. Ma femme arriva, l’éternel bisou chaste. Elle était fagotée comme un sac, comme à son habitude. Je partis dans la piscine pour essayer de calmer cette érection qui ne voulait pas me quitter. Après quinze minutes immergée, ma bite devenait d’une taille raisonnable. Ma femme s’était mise en maillot de bain une pièce et les enfants à poil. On joua comme des fous jusqu’à midi. Le reste de la journée passa péniblement, comme toutes les autres.

Lundi, j’allais, avec le baume au cœur au travail. J’arrivais donc sur le parking de l’escadrille et je vis Isa descendre de sa voiture. Elle vint vers moi et me fit la bise.

— Putain, comment tu m’as démonté… Me dit-elle au creux de l’oreille.

Je lui souris et part en direction de mon bureau. La journée se passe sans problème notoire. A chaque fois que je croise Isa, c’est un calvaire de ne pas pouvoir lui sauter dessus. A la réunion de briefing du soir, La chef des services techniques nous annonce la traditionnelle soirée de départ en vacances. Un après-midi au bord de la plage, repas du soir et petit bal entre nous. Sympa et très convivial. Je rentre donc en annonçant la nouvelle à ma femme. Elle n’est pas très enjouée mais téléphone à notre baby-sitter pour qu’elle soit là ce samedi à partir de treize heures.

Le lendemain, mardi, je réserve nos repas. Isa aussi, mais elle sera seule, son mec devant rester à la maison, cause match de foot à la TV entre potes. Je me réjouis par avance.

La semaine se passa agréablement. Isa et moi sommes complices comme jamais. On se taquinait comme des ados qui se cherchent. On s’embrassait dès que possible, à l’abri des regards indiscrets. Tout aller bien entre nous. Des amants passionnés qui se cherchaient, mais sans succomber. Sauf que le vendredi, jour d’apéro au bar des sous-officiers, Isa me prit par la main et m’entraîna dans les toilettes des femmes.

— J’en ai trop envie. J’ai envie de ta queue.

La retenant, je lui ai dit que c’était trop dangereux. Je lui promis que demain, elle aurait ce qu’elle désire : ma queue ! On se quitta, moi ayant un début d’érection et elle, frustrée.

Le vendredi soir fut aussi terne que les autres jours. Hors mis que je m’éclatais avec mes fils dans la piscine, ma femme devenait de plus en plus distante. Je l’aimais, mais plus comme avant. Plus comme les premières années de notre liaison. J’avais alors 21ans, elle à peine 17. Cette époque était révolue. Elle me faisait chier à dormir en pyjama, été comme hiver. Je compris alors Isa, son manque de sexe, de ressentir le désir d’un homme. J’avais trouvé en Isa une femme qui souffrait, comme moi, de l’absence de sexe dans son couple. Le sort en était jeté, je ferais d’Isa ma sex-Friends.

On est samedi, petite baignade avec les enfants jusqu’à midi. Ma femme me dit d’aller me préparer. Elle va mettre les enfants chez la baby-sitter. Je vais prendre une douche et je m’habille d’un short hawaïen, faisant slip, d’un tee-shirt blanc, de la même couleur que le bas. Je fouille dans mon tiroir de ma table de nuit. Les boites de pilules sont là, j’en prends une, espérant que la soirée ne s’éternisera pas. On partit avec nos deux voitures, ma femme ne voulant pas me déranger si elle sentait la fatigue lui venir.

On était à l’heure. Je fouillai des yeux toute la foule. Je présentai ma femme à ma chef, mon responsable de secteur. Tout allait pour le mieux. Bien que la tenue de ma femme faisait tache avec celle des autres convives. Elle portait un long short noir et un ras le coup blanc. Et ses pieds sont chaussés de tongs blanches. Enfin, Isa arriva. Elle était sublime, à mes yeux surtout. Elle portait une robe fuseau noire, qui mettait ses formes en valeur. Elle descendait jusqu’aux genoux mais une fente dévoilait sa cuisse gauche. Elle ne portait pas de bas. Un soutien-gorge, aux bretelles transparentes, lui remontait sa forte poitrine dans un décolleté plus que provocateur. Elle était chaussait d’une paire de mule, façon espadrille, de 10cm de talon. Elle embrassa tout le monde et elle vint vers ma femme et moi. Elle nous fit la bise.

— Tu es ravissante, bandante même.

La musique couvrait notre petite discussion.

— Merci, c’est uniquement pour toi.

Elle s’éloigna en rigolant aux railleries des mecs déjà bien partis. Je n’avais d’yeux que pour elle. Quand ma chef me pris par le bras pour m’inviter à danser un slow.

— Je trouve que le Second-Maître Isa (pour ne pas nommer son nom) a beaucoup changé depuis que vous êtes arrivé Maître.

— L’influence des bons sur ceux qui sont réceptifs, Capitaine.

— Ne vous foutez pas de moi, je vous en prie. J’ai pu observer votre manège depuis mon bureau.

— Comment cela ?

— Vous vous suivez comme des amants.

— Et même si cela été vrai, tant que ça ne perturbe pas mon travail, et celui d’Isa.

— Vous avouez ?

— Non, ceci relève de la vie privée.

— J’ai bien compris, mais que cela n’affecte pas votre travail. Aussi bien elle que vous, vous êtes mes meilleurs éléments.

— Ne vous inquiétez pas Capitaine, on se chamaille mais c’est tout.

— Oui, bien sûr.

Le slow terminé, je retournais prés de ma femme qui se faisait chier. Elle boudait tout en buvant un whisky-coca.

— Ca va chérie, tu t’emmerdes ?

— Non, j’observe. Qu’est-ce qu’elle ta raconté ta chef !!!

— Des histoires de boulot. Rien de grave. Et toi ? Tu n’as pas dansé ?

— Non, il y a bien la grosse là-bas qui m’a invité, mais je ne suis pas lesbienne.

— Elle voulait faire ta connaissance en dehors des conneries que déblatèrent de tous ces mecs.

— Oui, Mais je n’ai pas envie…

— Allez, vient danser…

— Non, je n’ai pas envie…

Une autre série de slows commença. Isa revenait à la charge et ma femme refusa à nouveau. Lili me dit qu’elle rentrait, elle me dit faire attention sur la route pour le retour. Quelques instants plus tard, Isa me prit par le bras et m’emmena vers la piste de dance.

— Elle est chiante et coincée ta femme !!!

— Oui, elle s’est barrée, tant mieux.

— Tu veux que l’on quitte cette soirée ?

— Oui… j’ai envie de toi.

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