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Histoire de Valérie.

Histoire de Valérie.



Cette histoire est purement inventée. Si vous appréciez ce texte, faites le moi savoir et je continuerais les aventures de Valérie. Et si vous avez des situations dans lesquels vous voudriez voir évoluer notre héroïne, faites le moi savoir aussi. Un petit message si vous avez apprécié serait gentil ^^.

C’est avec une certaine anxiété que j’avais accepté de faire ce voyage à New-York afin de voir un client et assister à un congrès sur des nouveaux produits pharmaceutiques et des instruments chirurgicaux. Trop d’heures d’avion pour trouver une mégalopole surpeuplée d’inconnus. C’était un moyen pour montrer à mon supérieur mon envie de progresser professionnellement.
Mon avion atterrit à 12h heure locale. J’étais frigorifiée après ces 11 heures d’avion. Un taxi me déposa à mon hôtel, et malgré mon humeur maussade je retrouvai le sourire devant l’hôtel, ravie du choix de ma broîte, un hôtel 4 étoiles avec piscine intérieure, centre de fitness, sauna et hammam. Ma chambre était spacieuse avec un salon et une chambre avec un immense lit. A peine mes affaires sorties de la valise et rangées dans l’armoire, je sortis de ma chambre munie d’une serviette et d’un peignoir à l’effigie de l’hôtel direction le hammam. Je n’avais pas pris de maillot de bain, si j’avais su, mais comptais sur l’heure pour être seule. J’avais jugé juste. L’espace détente de l’hôtel était rien que pour moi. Pas question de se baigner nue dans la piscine bien sûr mais je pouvais au moins me glisser dans le hammam ou le sauna seulement enveloppée dans ma serviette et si par malheur une personne venait, je n’avais qu’à partir de suite.
Je me rendis donc dans les vestiaires, me dévêtis entièrement et m’enroulai dans la serviette. Je sortis des vestiaires en catimini. Toujours personne. Je me dirigeai directement dans le hammam, me posai dans un coin et pus enfin me détendre. Mon corps commençait à se réchauffer dans cette atmosphère moite. Plus je me détendais, plus je me rendais compte de ma nudité sous la serviette. Je n’avais pas l’habitude de me retrouver nue dans un endroit public et j’avais à la fois un sentiment de honte et d’excitation. Je sentais des gouttes de sueur se glisser entre mes seins, entre mes cuisses. Petit à petit, la honte disparaissait au profit de l’excitation. Je décidai d’enlever la serviette, de l’étaler sur le banc en céramique et de m’allonger sur le dos dessus. J’essayais de me détendre, d’évacuer cette excitation soudaine pour gagner de la sérénité. Mais malgré mes tentatives, je remarquais que les tétons de mes petits seins étaient gonflés de désir et le moindre effleurement dessus m’envoyait des petites décharges électriques dans tout le corps. Je passai la main prés de mon sexe, mes doigts passèrent dans ma toison noire et trouvèrent mon sexe humide. J’en restai troublée. Etre autant excitée simplement en étant nue, était-ce du au fait d’être dans un lieu public pouvant être découverte d’un instant à l’autre. C’était la première fois que ça m’arrivait, sans autre stimulus d’une autre personne.
Voyant que je ne pouvais me détendre, je me drapai dans la serviette maintenant humide et sortis du hammam, direction les vestiaires. Les lieux toujours vides, je pris le peignoir, jetais la serviette maintenant inutile, accrochais le peignoir à un porte-manteau et me dirigeai dans les douches. L’eau était plus froide que ma peau et cela me fit du bien. Mon excitation inexpliquée me quittait et bien qu’à la sortie de la douche j’avais toujours les tétons dressés, c’était à cause du froid.
Alors que je me dirigeai vers le peignoir, la porte s’ouvrit sur une femme en tailleur. Elle resta devant l’embrassure de la porte à me regarder. Une fois l’effet de surprise passé, je me jetais dans mon peignoir, et partie vite fait me changer les yeux fixés au sol pour ne pas croiser le regard de l’intruse, qui, par ailleurs était rentrée et commençait à se changer. Je m’habillais dans la précipitation, sans mes sous-vêtements que je plaçais dans les poches de mon peignoir et quittais la pièce. Avant de refermer la porte derrière moi, je lançais un petit « désolée » et la personne me répondit presque du tac-o-tac « mais il n’y a pas de quoi ». C’est une fois dans l’ascenseur, que je m’aperçus que la femme m’avait répondu en français, et sans accent. C’était bien ma chance, une française nue démasquée par une autre française dans un hôtel New-yorkais. Je regagnai ma chambre, commandai au room-service un repas léger. Une fois rassasiée, je m’allongeai sur le lit et glissai dans un doux sommeil.
Je me réveillai à 21h30. La télévision ne passait que des talk-shows américains, des documentaires à la gloire des américains et des clips musicaux vulgaires où des rappeurs balancent des liasses de dollars à des filles dénudées. Comment pouvait-on laisser ce genre d’images machistes ? J’éteignais la télé et descendis au bar. Je m’assis au bar et commandai un bloody Mary. Il était très bien dosé, bien épicé et bien alcoolisé. Cette première gorgée réveilla le souvenir de mon aventure de l’après-midi, et je souris d’avoir été aussi idiote.
Alors que je buvais tranquillement mon cocktail, une femme s’assit près de moi et me dit :
– « Re-bonjour, ou plutôt bonsoir »
Je faillis m’étouffer avec ma boisson en reconnaissant la femme du vestiaire.
– Heu… oui, re-bonjour, répondis-je sans pouvoir empêcher mes joues de rougir.
– Je n’ai pu m’empêcher de remarquer que vous étiez comme moi, française et je me suis dis que ‘l’on pouvait faire connaissance non ?
– Heu, … oui si vous voulez, pourquoi pas ?
– Ah, au fait, j’ai votre petite culotte, disant ceci, elle me tendit le slip noir que je portais ce matin. Elle est tombée lorsque vous êtes partie précipitamment tout à l’heure. »
Je lui arrachai des mains mon slip et l’enfouis profondément dans la poche de mon jean, et mes joues repassèrent directement à l’écarlate.
– « Ne soyez pas gênée, ne vous en faites pas j’ai l’habitude ?
– L’habitude ?
– Oui, je me présente Amélie C. journaliste de mode, spécialisée dans la lingerie. Et c’est en gros, mon métier de regarder des jolies femmes nues ou en tenue légère.
– Ah… heu…
– Et vous ? Qu’est ce que vous faites à New-York ?

Et ainsi, je fis connaissance d’Amélie, jolie blonde d’1 mètre 78, avec de jolis yeux verts. Nous bûmes quelques autres cocktails ensemble, racontant chacun notre vie, et comment on se retrouvait à discuter à ce bar. Elle affichait une sensualité débordante et aimait s’en amusait. Totalement libérée, elle réussit à me détendre et à me faire raconter le pourquoi de mon trouble. Elle me racontait des choses que je n’aurais pu raconter à une inconnue, sa vie sexuelle débridée, et une personne au fond de moi l’enviait.

Alors que l’on discutait de choses de plus en plus intime, je la vis enlever deux boutons de sa chemise blanche, et en bombant légèrement le torse fit sortir légèrement son soutien-gorge noir. Je me surpris à regarder sa poitrine dévoilée et sentis l’excitation de l’après-midi poindre le bout de son nez.
-« Est-ce que tu aimes jouer avec les mecs ? me demanda-t-elle
-C’est-à-dire ?
-Regarde discrètement sur ta gauche, il y a quatre mecs qui nous matent et rigolent entre eux. C’est une attitude que je déteste chez ce genre de mecs.
Je pris mon verre et je lançai un regard autour de moi. Je vis le groupe d’hommes. Ils riaient en nous regardant, l’un trouva mon regard, me souris en levant son verre.
– En effet, oui.
Elle me lança un regard coquin et bougea légèrement de son siège pour que les hommes puissent voir son décolleté plus que provocant. Je ne savais absolument pas comment tout cela allait se terminer mais je sentais en moi comme une barrière de l’interdit qui tombait et qui me laissait dans l’inconnu. J’en étais tremblante.
Amélie continuait à faire la discussion tout en lançant des regards et autres sourires aux quatre gars. Elle les allumait tout simplement. Et moi qui ne voulais absolument pas finir la soirée avec des machos qui ne penseraient qu’à nos culs.
Soudain Amélie se leva de son tabouret, me prit par la main et m’emmena vers les mâles. Je la suivis, plus par dépit, quand elle s’arrêta net à mi-chemin du groupe. Elle se tourna rapidement vers moi, prit ma nuque dans sa main et m’embrassa.
Totalement prise au dépourvu, je me laissai faire, fermai même les yeux, subjuguée par les sensations ; la douceur de ses lèvres, le goût de son rouge à lèvres, la caresse de sa langue sur mes lèvres. J’entrouvris les miennes et sa langue passa dans l’ouverture. Ma langue vint timidement à sa rencontre. Je sentais le rhum qu’elle avait bu précédemment.
Aussi soudainement elle arrêta son baiser, et repris sa marche vers les hommes ébahis tout en m’emmenant. Passant prés des hommes, elle leur dit « Sorry gentlemen, good night ». Et nous sortîmes du bar. Elle m’emmena vers les ascenseurs.
– « Je crois qu’ils ne l’oublieront pas de sitôt » et elle ria. Je commençais à me remettre de ce baiser et esquissai un sourire « oui, c’était marrant ».
– On boit un dernier verre ?
– Ou ?
– Soit dans ma chambre soit dans la tienne ! Peu importe, demain je ne travaille qu’en fin d’après-midi
– Moi aussi … peu importe. » Oui, il me fallait bien un verre pour me remettre de ce baiser doux, sensuel et enivrant.
– Allons dans la mienne, comme ça je pourrais enfiler quelque chose de plus confortable.
Et ainsi, je suivis Amélie dans sa chambre. Nous continuâmes à discuter, allant même nous raconter notre première fois. Toutes ces discussions me rendirent d’humeur coquine et lorsque je racontais mes souvenirs je commençais à raconter des choses de plus en plus inavouables, enfin pour moi, allant à avouer que je disais à mes amants que ma position favorite était la position de l’amazone alors qu’en vérité c’était la levrette, jusqu’à raconter en détail ma première fois et comment j’étais étonné de ce sexe d’homme dressé tel un appendice tout droit sorti d’un film d’alien, et une fois l’acte sexuel terminé, comment j’avais joué avec la verge afin d’en connaître le secret.
Tout en racontant sa première expérience sado-maso, Amélie se leva et allant vers son armoire, défit sa chemise et la laissa tomber au sol. Je ne pus détourner mes yeux de sa poitrine, beaucoup plus grosse que mes petits 90B. Elle me vit la regarder et dit :
– « C’est vrai que je t’ai vu nue cet après-midi, il faut que l’on soit quitte » et avant que je puisse répondre quoi que ce soit, dégrafa son soutien-gorge et le lança.
o Il retomba sur mes genoux. Je ne savais pas quoi dire. Ses seins étaient magnifiques avec de grosses auréoles. Sans le soutien-gorge, ils retombèrent légèrement, signe d’une poitrine lourde. Elle défit les boutons de son pantalon qui glissa jusqu’à ses chevilles. Elle ne portait pas de culotte. Elle était totalement nue devant moi. Je ne savais quoi regarder. Elle avait un corps superbe, une peau claire presque blanche, des jambes fines, des cuisses musclées, des hanches parfaitement dessinées, un sexe épilé, totalement démuni de poil pubien, un ventre plat où se dessinaient ses abdos, des seins parfaits, et ses magnifiques cheveux d’or qui retombaient en cascade sur ses épaules.
o Elle s’avança vers moi, se pencha et m’embrassa. Je fermai les yeux et me laissai faire. Elle se mit à califourchon sur moi. Je sentais ses seins contre moi. Je lançai timidement une main vers un de ses seins quand elle me plaqua la main sur l’un d’eux. Elle appuya avec force, m’indiquant que je ne devais pas hésiter.
o Je sentais son téton dur dans ma paume. Je le pris entre deux doigts et jouai avec, chose que j’adorais que l’on me fasse. Elle me répondit par un petit halètement, elle aussi.
o Soudain, elle se leva, me pris par la main et m’emmena vers son lit. Là elle me fit allongée et me dit dans le creux de l’oreille « je vais t’attacher, mais n’aies crainte ». Totalement perdue, je me laissai faire.
o Elle m’attacha les mains au montant du lit avec deux foulards noirs, sans doute sa couleur préférée. Elle s’assit à califourchon sur moi et m’embrassa à nouveau, cette fois-ci avec un peu plus de fougue et une pointe de sauvagerie. Elle se redressa et enleva les boutons de ma chemise. Elle découvrit ma petite poitrine dans son écrin de dentelle blanche. Déjà qu’elle n’était pas très grosse mais comme j’étais allongée, elle était ridicule à côté des seins d’Amélie. Elle abaissa mon soutien-gorge pour mettre à nue ma faible poitrine avec ses tétons dressés, durs de désir. Elle les caressa, « hum, aussi dur qu’un sexe d’homme » puis les embrassa, je sentis ses dents me mordiller.
o Sa bouche descendit sur mon ventre et s’arrêta à mon pantalon. Elle enleva rapidement mon jean, fallait dire que je l’aidai au maximum de mes capacités. Elle embrassa mon sexe à travers mon slip et caressa mes cuisses. Soudain, elle arracha ma culotte faisant jaillir ma toison sombre. Elle passa sa main dans mon sillon et ce contact m’électrisa, je ne pus contenir un petit gémissement.
– « Mais dis donc tu es toute humide, déjà… ». je sentais ses doigts jouer avec mon sexe, ouvrir mes lèvres intimes, rentrer légèrement en moi, remonter effleurer mon clitoris. Ses contacts se furent de plus en plus pressent et mes hanches commencèrent à bouger au rythme de ses doigts. Elle retira sa main et amena ses doigts à ma bouche. C’était la première fois que je gouttais à ma propre « liqueur ». C’était chaud et doux.
– Elle mit sa tête entre mes cuisses et commença à me lécher tout en me pénétrant avec deux doigts. Sa langue savait jouer avec mon bouton intime et ses doigts palpaient l’intérieur de mon sexe. Je sentais la jouissance m’envahir. Je gémissais de plus en plus jusqu’à l’éclair aveuglant. Une décharge électrique se déversa dans tout mon corps. Je sentis mon vagin se contracter plusieurs fois et je m’entendis crier.
– Je repris lentement mes esprits, j’avais enfin trouvé la quiétude que je désespérai trouver ce matin à ma descente de l’avion. Amélie se releva et m’embrassa. Sa bouche était remplie de ma cyprine.
– « J’ai adoré merci, lui dis-je, je voudrais bien te rendre la pareil »
J’étais toujours dans la chambre d’Amélie, sur son lit, nue et encore tremblante de l’orgasme offert par la belle blonde. Elle s’était retirée dans la salle de bain, où elle prenait une douche. La vapeur sortait par la porte restée ouverte. Reprenant mes esprits, je me redressai, passant une main sur mon sexe, ma toison était poisseuse. Oui j’avais besoin d’une douche. C’était donc tremblante par le désir et la timidité que j’entrai dans la salle de bain.
Elle était superbe sous la douche, des formes gracieuses et bien que je n’ai pas d’attirances particulières envers les femmes, je voulais parcourir son corps avec ma bouche et mes doigts. Elle me vit et d’un clin d’œil me fit signe de m’approcher. Je rentrai dans la douche, frémis sous le jet d’eau brûlante. Amélie se colla contre moi et ses mains commencèrent à me caresser. Elle prit du gel douche et commença à me laver. Je fis de même.
Je passai délicatement les mains couvertes de gel douche sur le corps de la belle. Je remontais à son cou, redescendais entre ses seins, fis le tour de sa poitrine commençant par le bas et remontais à ses tétons. Elle se retourna et me montra son dos. De sa nuque ma main suivit les contours de sa colonne vertébrale jusqu’à ses fesses. Je n’osai aller plus loin, Amélie le ressentit, se retourna, m’embrassa et guida ma main sur son sexe. Quelle sensation extraordinaire que de toucher, de caresser le sexe d’une autre femme. Son pubis était d’une douceur saisissante. Ses lèvres intimes étaient beaucoup plus grosses que les miennes, je laissai mon majeur s’insinuer entre ses lèvres. Il trouva immédiatement l’entrée de son sexe. N’osant pas y aller de suite, je le fis remonter à la recherche de son clitoris. L’ayant trouvé, gros et dur, je le fis délicatement tourner du bout du doigt. Amélie me gémissait dans l’oreille « vas-y je suis à toi, explore, ma belle. » Elle se retourna de nouveau et se pencha légèrement en avant, se tenant au mur. Elle s’offrait à moi, dans une position sans équivoque.
Je parcourais son dos de caresses, et cette fois-ci mes mains ne s’arrêtaient pas à la naissance de ses fesses. Frôlant à chaque passage son anus (excitant de toucher cela, je m’étonnais moi-même), je glissais et remonter jusqu’à son clitoris. Je sentais sa liqueur sur la main malgré l’eau chaude de la douche. De temps en temps, j’introduisis un puis deux doigts dans son vagin. C’était doux et chaud, et j’aimais faire tourner mes doigts dans son intimité.
J’avais une parfaite vue sur ses lourd seins qui gigotaient au rythme de mes caresses et une pulsion me fit prendre l’un de ses seins en pleine main, serrant fort, laissant son téton passer entre deux de mes doigts. Une autre pulsion me fit enfoncer deux doigts bien plus profondément qu’avant et je les fis aller et venir, simulant le va-et-vient d’une verge. Je la voyais, les yeux fermés, bouger, suivre mes mouvements de main. Je changeais de doigts maintenant c’était mon pouce qui l’a pénétré tandis que mon majeur jouait avec son clitoris. Ma deuxième main laissa son sein et je commençai à caresser ses fesses, glissant de temps en temps un autre doigt dans son sexe.
Je ne résistai pas longtemps avant de vouloir l’explorer de ma bouche. Je posai mes lèvres sur son sexe, mon nez prés de son anus. Je fermai les yeux et ne prêtai attention qu’aux sensations de ma langue. Elle s’insinua à travers les lèvres de son sexe et s’enfonça dans son vagin. Je dardai la langue le plus loin possible pour tenter de la remplir. Je sentais tout son corps vibrer sous les mouvements de ma langue. Elle écarta ses jambes pour que je puisse encore plus m’enfoncer dans ce délice. Elle ne mit pas longtemps à jouir et je fus surprise par le petit jet de cyprine que je pris dans ma bouche. Elle me releva et m’embrassa.
Nous restâmes quelques instants sous l’eau chaude à reprendre nos esprits. Enfin, nous sortîmes de la douche et enveloppées chacune dans un peignoir nous regagnâmes le salon de sa chambre. Nous restâmes longtemps ainsi, à discuter de choses intimes. Puis voyant l’heure tardive, je pris congé de la belle Amélie. C’est en me regardant me rhabiller, qu’elle vit le sort qu’elle fit à ma pauvre culotte et me promit un dédommagement. Après s’être délicatement embrassées une dernière fois, nous nous quittâmes.
Le lendemain, je me réveillai sur les coups de 11H, j’avais encore le temps avant de voir le client de l’après-midi et je décidai donc de commander un solide petit-déjeuner au room-service. Lorsque le serveur arriva avec son chariot, je fus surprise d’y trouver un paquet de la part d’Amélie. Une fois le serveur parti (avec un pourboire de 10 $), j’ouvris le paquet. J’y trouvai un soutien-gorge noir en dentelle et un shorty assorti ainsi qu’une chemise et un petit mot de mon amante de la veille qui me souhaitait bonne chance pour mon rendez-vous d’affaire de cet après-midi qui devrait bien se passer si je portais les affaires ci-joints. Je souris.
Je compris beaucoup mieux une fois les vêtements passés sur moi. La chemise n’avait pas de boutons en haut et le soutien-gorge releva si bien mes petits seins que je me retrouvais avec un agréable décolleté. Oserais-je porter cela pour mon rendez-vous professionnel ? Le shorty, quant-à lui, était d’une douceur incroyable et laissant entrevoir par transparence ma toison sombre. Là, j’allais tout de même passer un pantalon par-dessus.

Mon rendez-vous se passa admirablement bien. J’avais réussi à vendre quelques centaines de prothèses de hanche en céramique, et avais trouvé un distributeur pour des outils chirurgicaux. Je soupçonnais ma tenue en partie responsable. Je rentrai à l’hôtel assez tard, et après avoir envoyé par mail le compte-rendu de la réunion à mon chef, j’étais vidée. Je passai rapidement sous la douche, m’habillai rapidement afin de descendre au restaurant de l’hôtel, peut-être trouverai-je Amélie en bas et pourrai-je la remercier ?
Je la trouvai en effet, dans une belle robe rouge (tiens donc pas noir) mais déjà attablée avec deux hommes et en pleine discussion. J’étais déçue. Je me rendis donc au bar, commandais un club sandwich ainsi qu’un grand soda. J’étais en train d’avaler mon repas du soir quand je sentis deux doigts parcourir rapidement le dos jusqu’à mes fesses. Je sursautai et me retournai rapidement et me retrouva face-à-face avec Amélie encore plus belle que la veille. Sa robe épousait parfaitement ses courbes féminines et son décolleté était tout simplement hypnotique. Elle me fit la bise et me susurra à l’oreille :
« Je fais une soirée un peu spéciale dans la chambre de ces jeunes hommes. Tu m’accompagnes ?
– Heu …non, répondis-je, déçue de ne pouvoir l’avoir pour moi seule. Je n’étais pas lesbienne et je ne comprenais pas le désir que j’avais pour elle mais je me sentais jalouse.
– Si tu n’aimes pas les hommes, ce n’est pas grave, viens. ; tu comprendras…
– Quoi ?
– Je t’ai dis hier que j’appréciais le SM oui ? et ben c’est le petit jeu que je te propose ce soir ! et ne t’inquiètes pas ces beaux jeunes hommes sont gays, ils ne te sauteront pas dessus… et crois moi, lorsque tu les verras nus tu le regretteras… » elle finit dessus en me pinçant les fesses.
Bizarrement, je la suivis …

Je suivis donc la belle blonde vers l’ascenseur accompagnée de ses deux hommes. Ils étaient plutôt beau garçons, l’un un grand noir musclé, l’autre un blond plus petit mais tout à fait charmant. Nous rentrâmes dans l’ascenseur et Amélie appuya sur le Bouton de son étage. Le voyage se passa en silence. Je restais les yeux baissés, à la fois excitée de passer encore une soirée avec Amélie et effrayée de me retrouver avec ces deux inconnus. Nous rentrâmes tous dans la chambre de la belle et les souvenirs de la veille réveillèrent en moi une envie qui fit envoler ma peur.
Amélie se dirigea vers une commode, tira un tiroir et en sortit quatre colliers en cuir épais. De suite en les voyants, les deux jeunes hommes se déshabillèrent sans qu’aucun mot ne fut prononcé. Mes yeux étaient rivés sur le grand black, qui, se déshabillant, dévoila un corps musclé et imberbe. Il abaissa son boxer pour laisser à l’air libre un sexe d’une taille remarquable, d’autant plus qu’il était au repos. Le sexe, circoncît, était à la fois large et long. Je comparais ce sexe avec celui de son acolyte. Le blond avait un sexe beaucoup plus petit. Le point commun de ces deux bellâtres, un corps musclé et totalement imberbe.
Une fois les deux hommes nus, Amélie s’approcha langoureusement d’eux et passa à leur cou un collier. Elle s’agenouilla devant eux et attacha sur leur verge les colliers qui lui restaient. Elle se releva, rouvrit le tiroir, en retira quatre laisses et les attacha aux colliers. « Maintenant, ce sont mes esclaves, tu vois. Ils feront tout ce que je leur ordonnerai. Tu veux jouer avec moi ? » Me dit-elle avec un regard coquin. Je la regardai un peu interloquée et je m’entendis dire « Oui bien sur ! »
« Très bien ! Jeunes hommes, déshabillez-la lentement pour que je ne loupe rien de son effeuillage », ordonna-t-elle en tirant sur les laisses.
Les deux hommes se mirent de part et autre de moi alors que la belle Amélie alla s’assoir sur son lit. Je fermai les yeux et me laissai faire. Je sentis des mains me débarrassaient de ma veste puis elles commencèrent à enlever les boutons de mon chemisier, qui me fut retiré. Ensuite, je ne pus me retenir de sursauter lorsque quatre mains se posèrent sur mes hanches, mes fesses et mes cuisses pour déboutonner mon pantalon. Les mains me descendirent le pantalon à mes pieds. Je sentis une main me prendre un pied pour le lever et retirer le pantalon. Une autre main fit de même. Je me retrouvai donc en sous-vêtement.
Je gardai les yeux fermés lorsque mon soutien-gorge me fut retiré et que des mains expertes me retirèrent la culotte. « Hum très bien, maintenant je veux que vous enduisez son corps de lotion de massage » ordonna Amélie. J’ouvris les yeux pour la voir en train de se déshabiller tout en ne ratant pas un geste des hommes s’affairant autour et sur moi.
Des mains douces commencèrent à me caresser tout en enduisant mon corps d’une huile à l’odeur d’amande et de gingembre. Chaque homme s’occupant d’un côté, mes mains puis mes bras furent lentement massés. Puis vint le moment où les mains parcoururent mes seins. Lentement je sentis mes tétons durcir à chaque passage de leurs mains et une bouffée de désir monta en moi. Leurs mains descendirent sur mon ventre pour remonter par le dos. Puis ils s’attaquèrent à mes cuisses et mes fesses. Je sentais leur mains monter vers mon sexe et ressentis une certaine frustration quand elles s’en allèrent plus bas sans même frôler mon sexe qui, je le sentais, commençait à s’humidifier. Puis les mains cessèrent leur caresse.
Je restai là, debout, luisante et un peu frustrée. Un léger coup d’œil aux sexes de mes masseurs me révéla que me caresser n’avait provoqué aucun désir auprès de mes masseurs. Amélie dut ressentir ma légère frustration : « Du calme ma chérie, on a tout le temps devant nous » Elle s’approcha de moi, m’embrassa à pleine bouche. Je sentis sa main caresser mon sexe et un de ses doigts s’introduire, facilement, en moi. Elle se retira en amenant son doigt en bouche pour le lécher et me dit « et ben dis donc, serais-tu en manque ? Déjà ? »
Elle se mit entre les deux hommes et empoigna leur sexe. Elle commença à les masturber sans douceur. De petits mais rapides va-et-vient pour le blond, permirent rapidement de faire dresser son sexe. Pour la longue verge, ce fut de lents coups de mains à la base du sexe. Elle semblait connaître par cœur ces deux hommes. « Si tu veux, tu peux jouer avec leur sexe, tu veux ? »
Sans répondre, je m’agenouillai devant elle et la regardai branler ces sexes. Je fus vite attirer par celui du noir. Amélie retira sa main et je pris ce sexe en pleine main. Il était chaud et dur dans ma paume. J’entrepris de le masturber à la façon d’Amélie. Puis ma seconde main vint lui tenir les bourses. Je les serrai délicatement. Amélie prit ma tête dans sa main et m’amena très près de la verge. « Vas-y, prends le en bouche ». Elle le força presque à le sucer mais au dernier moment, je me lançai, j’ouvris grand ma bouche et y engloutis son gland. Il me remplissait bien la bouche et je ne me sentais pas d’y accueillir plus.
Je restai un petit moment là, comme ça avec ce sexe énorme dans ma bouche. Puis, je fermai les yeux et commençai à jouer avec ma langue autour de ce sexe grandiose. Je me surpris à essayer diverses méthodes, j’accueillis ce gland dans ma bouche et aspirai très fort dessus, comme pour faire un suçon. Je le remis à l’air libre puis entrepris de le lécher sur toute sa longueur. Je pris ses bourses en bouche et les suçai. Je mordillai doucement ce vit.
Pendant ce temps, Amélie me regardai avec plaisir tout en continuant à masturber le petit sexe. Puis elle m’emmena près de celui-ci. « Celui-là tu pourras bien le pomper, vas y ! » Sans une ni deux, je me jetai la bouche ouverte sur ce petit sexe. Enfin, petit en comparaison de la queue du noir, car dans ma bouche elle ne me paraissait plus aussi petite que ça. Je mis ma main sur son pubis et commençai à astiquer ce sexe comme ce que j’avais vu dans certains films pornos. Je goutais avec un certain plaisir ce sexe. Je sentis sur mes hanches une paire de mains. C’était Amélie qui se décidait enfin à s’occuper de moi.
Alors que je continuai à sucer le sexe du blond, je me cambrai pour proposer à la belle Amélie mes fesses et mon sexe, pour faciliter sa tâche, j’écartai les cuisses. Je sentis tout de suite ce que je voulais ; une douce main féminine parcourait lentement mon sillon intime. Je sentis mes lèvres écartées par deux doigts et un troisième caressait mon clitoris. Sa main montait et descendait le long de mon sexe.
Elle appela le black et le mis sous moi, sa tête juste en dessous de mon sexe offert. Bien que j’aurais aimé qu’elle continue au lieu de laisser sa place au noir, je ressentis un bien fou au contact de la bouche de l’homme sur mon sexe. Je sentis mes lèvres aspirées, sucée et titillée par une bouche gourmande et une langue joueuse. Puis vint le tour de mon clitoris d’être pris à partie. Je ne pus contenir de petits gémissements de plaisir. Enfin une action qui apaisait le feu qui brûlait en moi. Je ne pus retenir un petit cri de jouissance lorsque la langue du mâle pénétra en moi profondément.
Amélie ne restait pas spectatrice, elle enfila un préservatif sur l’immense sexe du noir, se mis à califourchon dessus et s’empala lentement dessus. Comment un sexe aussi grand et large pouvait la pénétrer. Je changeai ma position pour profiter de la vue tout en continuant à me faire lécher. Je pris le sexe du blondinet en main pour garder l’érection. La vue d’Amélie chevauchant ce monstre, ses seins lourds ballotant sous les coups de reins et les halètements de la femme m’excitaient au plus haut point.
Je fis allonger le blond à côté de son ami, lui enfila un préservatif et m’empalai sur le vit dressé. Le sexe pénétra en moi tout seul. J’étais à côté d’Amélie et l’imitai dans ses mouvements. Nos yeux se croisèrent et nous ne pûmes nous empêcher de nous embrasser. Du coin de l’œil, je vis que les hommes s’embrassaient également.
Guidée par les mouvements d’Amélie, mon corps allait de l’avant vers l’arrière tout en montant et descendant sur la verge, mes mains fermement posés sur le ventre musclé du blond. Une main vint m’agripper un de mes seins et le serra fort. C’était Amélie qui par ce geste m’informa de sa jouissance prochaine. Je criai en même temps qu’elle mais de douleur tellement elle m’avait serré le sein trop fort.
Je la vis s’arrêter de bouger pour reprendre son souffle et se retirer de son pal noir. Elle retira le préservatif et en remit un nouveau. « A ton tour maintenant ! Allez viens sur celle-ci ». Bien qu’ayant peur de ce monstre, je l’obéis, je me levai de mon premier homme et me mis en position au dessus du sexe noir. Amélie prit les choses en main et dirigea le sexe vers l’entrée de mon vagin, elle me fit descendre légèrement et je sentis l’immense gland cherchant à m’écarteler. J’écartai au maximum mes cuisses et lentement je me sentis remplir de plus en plus profondément. J’en avais le souffle coupé, une sensation d’écartèlement m’inonda suivi juste après par une vague de chaleur incroyable. J’avais du mal à garder mon équilibre sur ce pylône, mes jambes et mes cuisses tremblaient de plaisir et de douleur. Amélie ordonna au black de m’aider et je sentis ses deux puissantes mains me tenir par les cuisses. Lentement Amélie me fit monter et descendre sur ce sexe. Je sentais des gouttes de sueurs perlaient sur mon front, mon dos. J’haletais de douleur mais aussi d’un immense désir qui montait lentement et progressivement en moi.
La belle me suçait les seins. Les tétons durs par le désir étaient rafraichis par sa langue. Je lui demandai de rafraîchir mon sexe de la même manière, elle ne se fit pas prier. Je sentis sa bouche contre mon clitoris, sa salive se verser sur mon sexe qui continuait de se faire ramoné, pilonné. Une de ses mains caressait mes cuisses écartées tandis que l’autre remontait mon ventre vers mon sein. Le désir montait à son paroxysme
Au même moment, je sentis la langue d’Amélie léchant mon clitoris, sa main pinçant un téton aussi dur que le béton, et le sexe énorme au fond de moi. Un éclair m’aveugla, une bouffée de chaleur m’envahit. Je sentis mes muscles me lâcher, des tremblements parcouraient mon corps. Je jouissais comme jamais.
Je sentis qu’on se retirait de moi. Peu importe, j’étais … au paradis. Je sentis près de moi la chaleur enivrante d’Amélie, sa lourde poitrine contre moi. J’entrevis les yeux, pris sa tête entre mes deux mains et l’embrassai langoureusement, encore hébétée de la jouissance qu’elle m’avait offert.
Le noir se releva et me porta sur le lit. J’étais encore étourdie par la puissance de l’orgasme. Je reprenais mon souffle auprès de la belle qui me caressait lentement, un sourire à damner aux lèvres. « Alors ma chérie ? Déçue d’être venue ? »
« Non, c’était…énorme. »
Elle rit. « Tu ne m’en voudras pas si je te laisse quelques instants que je termine avec ces messieurs ? »
« Non, pas du tout, je suis si bien, je t’en remercie ».
Amélie se leva et alla rejoindre les deux hommes qui se caressaient depuis que je les avais quittés. Je vis comme dans un rêve leur ébat. Amélie se mêlant à eux. C’est dans un état proche du sommeil, que je vis Amélie se faire prendre par les deux hommes en même temps. C’était une chose que je n’étais pas encore prête à faire. Je ris. Avant de rencontrer Amélie, il y avait tant de chose que je ne me sentais pas de faire. Et c’est dans des râles de jouissance que je m’endormis, heureuse.

Fin des aventures de Valérie (à suivre ????)

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