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Le piège de l’amour 7

Le piège de l’amour 7



Enfin, un samedi Lucas me demande de l’accompagner jusqu’à notre futur nid d’amour.
Je dois fermer les yeux pendant qu’il ouvre la porte puis me guide à l’intérieur de l’habitation.

Quand enfin je peux regarder c’est un plaisir de voir l’agencement des pièces avec les meubles que nous avons achetés, la peinture sur les murs avec les couleurs que nous avions choisis, les décorations et autres aménagements.
Après avoir examiné en détail la cuisine bien équipée puis la grande salle/salon ainsi que les deux chambres qui serviront pour les invités, je pénètre dans notre chambre et je ne peux qu’admirer le travail réalisé.
Là je peux dire que tout est réussi et que cela change par rapport au triste état dans lequel était l’intérieur de la maison quand nous l’avons acheté.
Je vois même dans des grands cadres dorés un poster de moi et un autre de nous tendrement enlacés.

Il n’aurait pas du me faire visiter la chambre.
Fofolle et voulant tester le lit je me laisse tomber dessus et me retrouve allongée sur le dos, la jupe retroussée et les jambes écartées.
La situation dégénère, instantanément cela donne des envies à Lucas qui se couche sur moi.
Il m’embrasse tout en s’occupant avec une main à sortir sa queue du pantalon.
Il écarte ma culotte et sa grosse verge bien raide s’enfonce dans ma grotte.
Il se met à me défoncer à grands coups de reins mais les aller-retour de la queue dans ma chatte ne durent pas très longtemps, il a trop envie.
Le membre grossit encore et tressaute dans mon ventre, des giclées de sperme coulent dans mon vagin.
Une fois que Lucas s’est retiré je vais étrenner la salle de bain.

Ensuite je le rejoins dans le salon et m’asseis à côté de lui sur un canapé.
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Les placards à portes coulissantes ne manquent pas que ce soit dans l’entrée et les chambres, nous rangeons ce qu’il a amené.
Puis nous passons du temps assis côte à côte, collés l’un contre l’autre à nous embrasser et caresser en faisant des projets.
Le temps passe, nous commandons des pizzas et demandons à ce qu’elles nous soient livrées à domicile.

Une fois restaurés nos envies reprennent le dessus.
Nos ébats commencent sur un canapé dans le salon.
Nous nous caressons d’abord par dessus les habits puis de plus en plus excités nos vêtements commencent à valser dans la pièce et à s’étaler sur le parquet.
Après que nous nous soyons beaucoup caressés et embrassés Lucas se lève et m’empoigne, il me soulève comme si je ne pesais rien.
Me tenant contre lui après que j’aie passé mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille il se dirige vers notre chambre.
Il me couche sur le lit mais je ne le lâche pas et reste accroché à lui.
Pendant que je l’embrasse il trouve le moyen d’introduire son pénis dans mon intimité.
Du coup j’écarte mes jambes après avoir les avoir décroisés et libéré sa taille.
Pendant qu’il donne des coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans ma grotte je l’accompagne en faisant bouger mon bassin en rythme avec lui.
En même temps il caresse ou embrasse mes seins et suce ou torture mes tétons.
Il me défonce pendant indifférent à mes gémissements et au bout d’un moment se soulage dans mon vagin.

Je me dégage de sous lui et prends l’initiative des ébats.
J’embrasse son torse puis son ventre tout en caressant et malaxant ses bourses et sa queue bien gluante de sperme.
Après une masturbation le membre qui avait perdu de sa vigueur grossit de nouveau, je le suce tout en faisant bouger ma langue.
Puis je me mets à califourchon sur lui et enfonce sa queue dans mon ventre.
Après avoir fait bouger mon corps pour faire aller et venir la queue en moi je change d’orifice et l’introduis dans mon anus.
Tout en gémissant, une fois bien empalée je recommence à faire monter et descendre mon corps pendant que mon homme s’en prend à mes seins, mes tétons ou mon clitoris.
Je ne peux pas empêcher le plaisir de monter dans mon ventre, je finis par jouir et dois rester immobile un instant pour que le feu se calme un peu en moi.
La queue toujours enfoncée dans mon anus je recommence à bouger.

Mon amant me repousse et je me retrouve à quatre pattes la tête dans les draps.
Il se met à genoux derrière moi et me sodomise pendant un bon moment tout en masturbant violemment mon clitoris.
Le plaisir qui n’a pas quitté mon corps revient vite à son maximum.
Je râle et pousse des cris.
Secouée par des spasmes je jouis encore envoyant des jets de cyprine sur sa main qui martyrise mon bouton.
Il ne s’arrête pas là et continue à masturber mon clitoris tout en me sodomisant.
Il cesse de temps en temps de donner des coups de reins pour ne pas éjaculer préférant me faire jouir plusieurs fois avant de se soulager dans mon fondement.
Fatiguée je finis par m’endormir et c’est Lucas qui me réveille pour me ramener chez mes parents car nous ne devons aménager ensemble que le samedi suivant.

Le temps a passé cela fait maintenant deux ans que je vis avec Lucas.
Me trouvant bien avec lui je ne jugeais pas nécessaire d’officialiser notre situation mais j’ai accepté avec joie d’épouser l’amour de ma vie quand il me l’a demandé officiellement.
Je dois dire que nos parents ont bien poussé à la roue.

Pour l’occasion Luc et moi sommes contents de revoir les montagnards: sa soeur Aline et Franck son mari.
Sacha son frère et Johanna sa compagne qui résident toujours en bord de mer sont aussi de la partie.
Ils sont tous venus passer une semaine avec nous.
Pour l’enterrement de ma vie de jeune fille je passe la soirée et une partie de la nuit en boîte avec mes deux meilleures amies Marion et Sandra ainsi qu’avec Aline et Johanna.

Après des jours de préparatifs arrive le jour de notre mariage.
Nos parents ont vu les choses en grand et ma mère, très fière de marier sa fille, n’a pas les choses à moitié quand au prix de ma robe blanche avec ses broderies, ses perles, sa coupe princesse et son décolleté bateau.
C’est dans une belle limousine louée pour l’occasion que je me rends à la mairie puis à l’église, puisque il a fallu en passer par là à cause des parents.
Pendant et après la cérémonie civile puis religieuse j’ai du mal à contenir mon émotion et cela se répercute entre mes cuisses.

C’est pendant le vin d’honneur quand je trinque et parle un peu avec Johanna que les yeux qui brillent et le visage épanoui elle m’annonce une grande nouvelle:
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Je l’étreins et l’embrasse.
Puis mon côté blagueur reprends le dessus.
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Lucas mon mari qui a remarqué qu’il se passait quelque chose s’approche de nous, Johanna lui répète ce qu’elle m’a dit.
<<ça c'est une excellente nouvelle, depuis le temps que j'espérais que vous franchissiez le pas et si en plus je deviens tonton quoi rêver de mieux>>.
Il l’étreint, la soulève lui faisant quitter le sol et l’embrasse sur les joues.

Pendant le repas, bien que je sois heureuse d’être en compagnie de nos familles et de nos invités, au bout d’un moment je n’ai qu’une hâte c’est de me retrouver seule avec mon mari.
Après l’ouverture de bal pendant laquelle je danse collée contre mon mari et en le fixant souvent amoureusement, je danse beaucoup et pas seulement avec lui car je suis évidemment ensuite je suis très sollicitée.
J’accorde une des premières danses à mon père puis à mon beau père pendant que Lucas en fait autant avec sa mère et la mienne.
Ensuite pendant que les invités sont occupés à manger la pièce montée et à boire du champagne on me tend une enveloppe que j’ouvre sans tarder et la c’est une grande surprise.
Je reste la bouche ouverte, stupéfaite et incapable de parler n’y croyant pas avant de montrer à Lucas ce qu’elle contient.
C’est un séjour touristique de deux semaines pour deux dans les Antilles Françaises combinant Guadeloupe et Martinique, départ le lendemain après-midi et c’est offert par nos familles.
Je suis comme folle, les larmes aux yeux j’embrasse ceux et celles qui ont participé.

Les heures passent avec les musiques, les couleurs changeantes des éclairages, les danses sans parler des jeux.
Comme un présage c’est Sacha qui hérite de la jarretière ce qui me fait dire à Johanna sa compagne:
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Arrive le moment où je n’en peux plus et profitant d’un moment où je me retrouve seule avec mon mari je lui suggère de prendre discrètement la poudre d’escampette.
Ce n’est pas le plus facile à faire car on nous accapare sans cesse.
Lucas s’éclipse avant moi, bien que pendant les trajets nous étions passagers il avait pris la précaution de garer sa voiture dans une rue proche de la salle.
Avec la complicité de Johanna et prétextant un besoin naturel j’emprunte le couloir qui mène aux toilettes et je bifurque vers la cuisine et je sors par la porte de celle-ci avant de rejoindre mon homme qui s’est rapproché de la salle avec son véhicule dont le moteur tourne.
Je monte à l’arrière car c’est plus facile d’y caser ma robe encombrante puis Luc démarre sans que je cherche à savoir où il m’emmène.

Quand il stoppe et m’aide à descendre de la voiture je n’en crois pas mes yeux.
Je suis stupéfaite de voir que l’on va passer notre nuit de noce dans une cabane perchée dans les arbres.
Le pire c’est qu’on y accède par une passerelle qui n’est pas rigide.
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Il me prends dans ses bras et me soulève puis emprunte la passerelle en bois et corde qui bouge sous ses pieds.
Je ne suis pas rassurée tout le temps que dure la montée mais heureusement pendant que nous montons Lucas ne me lâche pas.
Mes pieds ne touchent le plancher de la cabane qu’une fois à l’intérieur et après qu’il m’aie embrassée en y mettant beaucoup de fougue.

Mon mari s’escrime sur ma robe pour la faire descendre à mes pieds puis fait glisser mon string le long de mes jambes avant de me soulever et me dégager des vêtements.
Il m’embrasse partout en commençant par le visage puis le poitrine, sa bouche descend sur mon ventre puis mes cuisses pour finir sur mon sexe.
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Il me jette sur un truc en bois qui sert de lit puis se déshabille.
Ensuite ce n’est plus que plaisir avec deux êtres follement épris l’un de l’autre et terriblement excités après cette journée.
Tout le registre y passe, d’abord nos ébats sont nerveux puis un peu plus apaisés et chacun cherche à donner du plaisir à l’autre.
Même si nous sommes dans la nature, avec le traitement que mon homme m’inflige je suis vraiment très bruyante, ne contrôlant pas mes gémissements, ni mes râles ou cris.
Il ne doit plus y avoir d’écureuils ou d’oiseaux dans les parages.

Cela fait peu de temps que nous sommes endormis quand des bruits et des cris nous réveillent.
Ce sont les invités qui ont passé toute la nuit à faire la fête qui viennent nous chercher.
Heureusement il y a plusieurs cabanes assez distantes les unes des autres et ils ne trouvent pas tout de suite celle où nous sommes.
Bien vaseux car nous manquons de sommeil, nous nous habillons en hâte.
Escortés, c’est le retour à la salle où un buffet campagnard est dressé sur des tables.
Au bout d’un moment un invité, ami de Lucas, s’approche de nous.
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Autant dire que nous ne chaumons pas et remplissons des valises à la hâte sans savoir trop quoi prendre.

Nous disons au revoir à tout le monde et montons à l’arrière de la limousine qui nous conduit à l’aéroport.
Pour moi le rêve commence après les formalités d’embarquement.
Déjà monter dans un avion pour la première fois ça me fait quelque chose.
Même si au début nous dormons pendant un bon moment éliminant un peu de la fatigue accumulée, le voyage dans les airs est long.
Je me rappelle aujourd’hui de ce séjour paradisiaque, des visites et excursions en Martinique, Guadeloupe mais aussi Marie Galante.
Voulant en voir un maximum cela n’a pas été de tout repos et du coup au niveau sexe il n’y a pas eu de longs ébats torrides mais nous avions le temps de nous ratt****r après notre retour en métropole.
Cela restera comme un excellent souvenir dans ma mémoire et un très bon début pour notre vie de couple marié, je ne pouvais pas rêver mieux comme voyage de noces.

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