J’habite une petite ville de l’ex-RDA en Allemagne et la vie y est très calme. Nous sommes mariés depuis une bonne quinzaine d’années, sans enfants, et une certaine lassitude sexuelle s’est installée entre nous. Nous avons cependant de gros besoins sexuels l’un et l’autre et nous adorons jouir ensemble tous les jours quand ce n’est pas plusieurs fois par jour. Le seul moyen que nous avons trouvé pour le faire c’est de nous masturber, chacun pour soi ou ensemble.
Ma femme, Erika, a pris l’habitude de se branler dès qu’elle rentre du travail pour faire tomber la tension de la journée et il lui arrive de rentrer du travail avec des amies et alors elles le font ensemble avant que chacune rentre chez elle pour se consacrer à sa vie familiale. Elles font cela, comme d’autres prennent le thé avec de petits gâteaux. Comme ses copines ne souhaitent pas qu’un homme, moi en l’occurrence, participe, à leurs ébats sexuels, j’ai dû mettre en place un système de caméras dans le séjour où elles se masturbent. Elles le font sur le canapé et j’ai pu placer deux petites caméras qui me permettent d’avoir des plans larges et des plans plus proches. Comment je sais où elles se branlent ? Simple, j’ai retrouvé de la mouille sur le canapé et il y avait des traces en trois endroits, signe qu’elles avaient été trois à se branler la chatte.
Ma femme est au courant que je les enregistre mais elle ne l’a pas dit à ses copines pour ne pas les mettre mal à l’aise. Quand je rentre de mon travail, je visionne ce que mes caméras ont enregistré comme d’autres relèvent leurs filets. Bien sûr, je me branle en les voyant jouir, les unes après les autres et parfois le spectacle est tellement bandant que je me répands en longs jets de sperme. Quand on se retrouve, Erika et moi après que je me sois branlé, on se fait un gros câlin et en général je la félicite pour avoir bien joui et pour la manière dont ses copines ont joui, elles aussi. Je commente surtout la manière dont elles se sont enfoncés leurs godes ou leurs doigts dans la chatte et en combien de temps elles sont arrivés à atteindre l’orgasme. En fait, quand l’une d’entre elles commence à jouir, les autres ne mettent pas plus d’une minute ou deux à jouir également. J’adore aussi voir leurs expressions quand elles ont joui, elles sont heureuses, elles s’étirent, s’embrassent, je vois leurs mains s’égarer sur leurs seins ou sur leurs chattes. Ma femme me tend ses lèvres en me disant « Et toi ? Ça t’a fait jouir de nous voir ? Tu viens d’envoyer tes jets de sperme ? Tu m’en a gardé j’espère ! ». En lui rendant son baiser et en enfonçant ma langue profondément dans sa bouche, je lui réponds : « Oh, oui ! Je viens de jouir et j’ai adoré, vous êtes trop belles, les unes et les autres ! ». Bien entendu, quand je vois ses copines de masturbation, je n’ai aucun regard ou geste déplacé qui pourrait laisser penser que je suis au courant des petits secrets qu’elles partagent avec ma femme.
Il faut que je vous décrive un peu ma femme. Elle est blonde et très blanche de peau. Elle est un peu grosse, elle a un cul magnifique, des fesses grosses au milieu desquelles se niche son splendide trou du cul, d’un rose soutenu et que j’adore titiller avec ma langue, mes doigts et bien sûr ma bite. Ses seins sont gros, deux beaux melons ornés d’une large aréole avec leurs pointes assez grosses que j’adore sucer. J’adore aussi nicher ma bite entre ses gros seins et y faire des va et vient. Ce que j’aime encore plus c’est déverser mon sperme chaud sur ses seins et voir Erika se maculer les seins avec.
Le soir, on se retrouve dans notre chambre pour nous masturber ensemble. J’utilise tout son attirail de godes pour les lui enfoncer tantôt dans la chatte, tantôt dans son cul et tantôt, à la fois dans sa chatte et dans son cul. Elle mouille, la salope, comme une fontaine et je ramasse sa mouille dans mes mains pour en mettre dans son trou du cul, pour m’en enduire ma bite pendant que je me branle en la masturbant. On finit généralement en apothéose l’un et l’autre en jouissant comme des bêtes, elle atteignant l’orgasme en serrant ses cuisses sur le gode enfilé bien profond dans sa chatte et moi en éjaculant, soit sur son gros cul soit sur ses gros nichons, soit enfin, mais c’est plus rare, sur son visage.
C’est un de ces soirs, après que nous ayons particulièrement joui que je lui ai suggéré que j’aimerais bien la branler et la voir jouir devant les quelques copains que j’ai avec lesquels j’ai pris l’habitude de me branler les samedis après-midis pendant qu’on regarde des films pornos. Elle a hésité, en me disant que ça ne se faisait pas mais j’ai emporté son adhésion en lui disant que je lui banderai les yeux de sorte qu’elle ne soit pas gênée en voyant des bites, grosses et moins grosses autour d’elle et qu’elle puisse se consacrer pleinement à sa jouissance. Je lui ai dit aussi que je filmerai en cachette la scène pour qu’elle puisse la mater tout à son aise en se branlant encore.
Le samedi suivant, j’invite donc mes amis chez moi. Ils sont trois, deux sont bien montés, le troisième a une toute petite bite mais il la manipule bien et parvient à de belles éjaculations. Ma femme est installée dans le salon, je lui ai bandé les yeux comme convenu et elle est assise sur le canapé quand il arrivent. Elle a déjà commencé à se tripoter la chatte, les cuisses largement écartées. Sa chatte dégorge déjà de mouille. Ses gros seins pendant de part et d’autre sur les côtés de sa poitrine et la scène est bandante. Je m’approche d’elle, je l’embrasse profondément dans la bouche, nos langues se mêlent pendant que ma main se pose sur sa chatte. J’y mets deux doigts et je commence à la branler. Elle gémit doucement. Avec le pouce, je lui masse le clitoris qui est déjà décapuchonné. J’ai mis trois doigts dans son con et je fais des va et vient. Mes trois copains ont sorti leur queues et ils s’approchent pour profiter davantage du spectacle. Ils sont silencieux et ont entend seulement le bruissement de leurs mains qui s’activent sur leurs bites. Ma femme, Erika, manifeste de plus en plus son plaisir et commence à crier son plaisir sous mes doigts. Je lui demande doucement : « Je te mets, un gode, le gros, celui que tu aimes bien ? ». En un souffle, elle me répond : « Oui, vas-y, enfonce le moi bien profond ! ». Je prends le gode. Avec la mouille que j’ai sur mes doigts, je lubrifie le gode et j’en introduis le gland dans sa chatte. C’est un peu serré au début mais après un petit effort, il s’enfonce facilement. Je fais aller et venir le gode qui a la couleur d’une bite dans sa chatte et spectacle fait monter le plaisir de tout le monde, celui de mes trois amis, qui astiquent leurs bites de plus en plus vite, celui d’Erika qui commence à hurler son plaisir et le mien : j’ai descendu mon pantalon, mon slip et je tiens ma bite dans mon autre main. Je bande comme un taureau et je sais qu’il ne faudrait pas beaucoup pour que mon sperme vienne atteindre les cuisses ou les nichons de ma femme.
Je me retiens car je sais qu’Erika a besoin et qu’elle peut jouir et montrer qu’elle sait jouir beaucoup plus que cela. Sans rien dire, je prends un autre gode, plus petit et après avoir pris de la mouille de sa chatte, j’en enduis son trou du cul et dans la foulée, j’y introduis le gode. Je manipule les deux godes en cadence. Sympa, ma femme s’empare de ma bite et me branle sur ses seins. Je suis aux anges. Mes trois copains ont leur yeux exorbités : voir comme ça une femme jouir sous leurs yeux met leurs bites en feu. Comme je leur ai imposé le silence, ils se déplacent sans bruit pour voir davantage les trous de ma femme qui sont remplis par les godes. Soudain, elle est saisie par un orgasme et se met à serrer les cuisses et à enserrer les godes. Elle feule plus qu’elle ne hurle sa jouissance. Je comprends qu’il lui faut du sperme pour qu’elle jouisse davantage. Je saisis alors ma bite de mes deux mains et en trois va et vient, je suis prêt à lâcher mes jets blanchâtres sur ses nichons et je déverse mon jus sur ses seins. Les uns après les autres, mes copains déversent leur sperme, le premier le fait sur ses cuisses, le second le fait sur son ventre et le troisième, celui dont la bite est plus petite, il se contente de ses pieds. Ma femme, Erika, est encore entrain de profiter de son violent orgasme. J’en profite pour faire signe à mes copains de quitter rapidement notre salle de séjour, ce qu’ils font toujours en silence.
Lorsque qu’Erika retrouve ses esprits, elle me regarde et me fait un grand sourire. « Qu’est-ce que tu m’as fait jouir, mon cochon ! Et à tes copains ? Ça leur a plu ? J’imagine que oui avec tout leur sperme que j’ai reçu !!! Il faudra qu’on recommence !!! ». Je lui fais signe que oui de la tête et je lui ajoute : « En attendant, on va se remettre un petit coup de branlette en voyant ce que j’ai filmé !!! »
Ce texte est librement traduit et adapté d’un récit lu sur la page d’un membre allemand de Xhamster
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