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Elodie : J’ai pris goût à me mas

Elodie : J’ai pris goût à me mas



« Je m’appelle Elodie, j’ai une petite trentaine, et je veux vous faire partager quelques-unes unes de mes expériences…L’histoire qui suit m’est arrivée il y a quelques années maintenant. J’avais 23 ans, et j’habitais à cette époque à Dijon, où mon compagnon de l’époque travaillait.

J’étais quant à moi étudiante à la fac. Nous vivions dans un beau deux-pièces, situé dans une résidence neuve en périphérie de la ville. L’entreprise dans lequel mon ami était employé, à la suite d’un rachat ou d’une fusion, je ne me souviens plus trop, a dû licencier, et il a fait partie de la charrette. Travaillant depuis peu de temps, les allocations chômage ont rapidement décliné, et il ne retrouvait toujours pas de travail. Les fonds du ménage ont commencé à diminuer dangereusement. Ce qui nous coûtait le plus cher, évidemment, c’était le loyer de notre appartement. On a commencé par prendre du retard dans les mensualités, puis par ne plus pouvoir payer du tout.

La propriétaire était une belle femme d’une cinquantaine d’années, grande, blonde, très hautaine lorsque nous passions lui déposer l’argent du loyer chaque mois. Au bout de la première quinzaine de retard dans le paiement, elle a commencé par nous téléphoner, nous menaçant d’entamer une procédure d’expulsion si nous ne reprenions pas les paiements. Après quelques manœuvres dilatoires, je finis par lui avouer que notre situation financière ne nous permettait plus de la payer en ce moment, la suppliant de nous concéder quelques délais de paiement. Je m’attendais à un refus pur et simple, assorti d’une visite d’huissier. A ma grande surprise, la propriétaire sembla comprendre ma démarche, et me convoqua chez elle le lendemain soir pour discuter de tout cela. Je lui dis que je viendrais seule, mon ami devant rentrer tard d’un entretien d’embauche qui devait s’avérer infructueux comme tous les précédents. Elle me répondit d’une voix sèche qu’elle me convoquait moi toute seule, et qu’elle ne voulait pas voir mon compagnon.

J’arrivais à la porte de son superbe hôtel particulier, situé dans les beaux quartiers de la ville. Une très jeune femme rousse vêtue d’une robe noire et d’un tablier blanc m’ouvrit la porte et me fit entrer dans un petit salon. Elle m’invita à attendre sa maîtresse quelques instants. Au bout d’une bonne demi-heure, la propriétaire fit son entrée : – Bonsoir Mademoiselle. Alors il semble que vous ayez quelques ennuis de trésorerie en ce moment, et vous aimeriez que je vous consente des délais de paiement, dit-elle sèchement ; – Oui, comme je vous l’ai dit hier au téléphone, mon compagnon… – Oui, ne répétez pas votre histoire, petite sotte, me coupa-t-elle brusquement. J’ai compris. Sachez que je ne donne jamais de délais de paiement, c’est une affaire de principe ! Tous les espoirs que je caressais depuis hier s’évanouirent brusquement, et le spectre de l’huissier me hanta à nouveau. – Mais Madame, au téléphone, hier, j’avais compris que vous accepteriez de… – Vous n’avez rien compris, ma petite ! Je n’ai jamais dit que je vous donnerai des délais supplémentaires, parfaitement inutiles au demeurant puisqu’à leur expiration, vous ne serez pas davantage capable de ma payer que maintenant. Mais je vous propose un marché. – Quoi donc ? répondis- je en reprenant espoir. – Je vous propose de racheter votre dette, à votre rythme, en fonction de vos possibilités. – Mais avec quoi Madame ? Nous n’avons vraiment plus un sou, je vous jure ! – Qui parle d’argent ? Je vous propose un autre mode de paiement. Une sorte de paiement en nature, dit- elle en souriant légèrement. – Un paiement en nature ? Vous voulez dire une sorte de travail qu’on devrait faire pour vous ? – Pas On, Vous seule, au moins pour l’instant. Et ce n’est pas vraiment du travail. Disons plutôt du …spectacle… – Du spectacle ? Je ne vous suis pas trop, Madame. Quel genre ? Je n’y connais rien, en plus. – C’est ça ou l’expulsion, à vous de choisir, trancha-t -elle brusquement. – Je n’ai pas le choix, lui répondis-je. Mais je préférerais comprendre ce dont il s’agit. – Vous allez comprendre, me dit-elle. Suivez-moi !
Elle me fit passer dans un autre salon, plus grand, doté de nombreux miroirs. Je remarquai des estampes japonaises plutôt osées sur les murs. Elle s’assit sur un sofa en me demandant de rester debout. – Je vous propose de rembourser votre dette en payant de votre personne, si je puis dire, reprit-elle en me regardant en souriant. Vous me devez pour le mois dernier 2500 F, et pour ce mois-ci la même chose, soit 5000 F à ce jour, n’est-ce pas ? – Oui Madame, c’est ça. – Vous ne me laissez pas indifférente sur le plan physique, mon enfant. Aussi vous proposé-je de me rembourser en me laissant user et abuser de vous, dans le respect de certaines limites, bien évidemment. Nous ne ferons que ce que vous accepterez, et nous nous entendrons avant sur le montant en jeu. – Euh, je suis perdue, dis- je sans comprendre où elle voulait en venir. Concrètement, cela veut dire quoi ? – On va commencer par un exemple concret, en effet. Mettons que j’ai très envie, en ce moment, de vous voir en dessous. Et que je suis prête à payer pour ça 300 F. Soit vous acceptez que je vous voie en dessous, et je retire 300 F des 5000 F de votre dette, soit vous refusez et je me vois contrainte de vous expulser. – Me voir en dessous ! Mais c’est pas un peu bizarre, votre jeu ? Et puis j’ai pas trop le choix, si c’est ça ou l’expulsion… – En effet. Mais je suis ravie de constater que vous avez compris le jeu. Alors, vous jouez ou pas ? – Euh…Maintenant ? là devant vous ? – Absolument, répondit-elle. Timidement, je commençais à dégrafer mon chemisier, dévoilant mon soutien-gorge en dentelle blanche assez ajourée. Mes aréoles sombres se dessinaient à travers la soie légère, sous le regard de la propriétaire. Une fois le chemisier ôté, je dégrafai ma jupe, qui tomba à mes pieds en découvrant ma petite culotte assortie au soutif. Je sentais le regard sur le triangle sombre de ma toison pubienne, bien visible à travers le tissu. Pendant les quelques minutes que durait ce déshabillage, la femme me fixait souvent dans les yeux, guettant mes réactions.

De mon côté, je sentais ma gêne augmenter, prenant conscience qu’elle ne s’arrêterait sans doute pas à ces 300 F. Je restais debout devant elle, n’ayant plus sur moi que mes dessous et mes mocassins à talons. – Euh, comme ça Madame ? Cela vous convient ? lui demandais-je. Je peux me rhabiller ? – Pas encore ! Disons que c’est un bon début… Tout à fait prometteur, en fait… tournez-vous ? Là c’est bien, oui… On ne va pas s’arrêter en si bon chemin… Allez, pour 700 F de plus, vous allez vous mettre toute nue, et me laisser vous regarder ! Cela vous fera une remise d’un cinquième de votre dette… Très vite ! – Me mettre complètement nue ? répondis-je en rougissant. Mais Madame, je n’ai pas l’habitude… C’est très gênant. – Je comprends parfaitement votre gène, et je vous paye aussi pour ça, dit-elle en souriant largement. Mais c’est ça ou l’huissier, ma fille ! Son ton était sans réplique, et je n’avais d’autre choix que de m’exécuter. Les yeux baissés, je dégrafais mon soutien-gorge, dévoilant lentement mes seins à ses regards. Puis, après une seconde d’hésitation, je fis glisser ma culotte à terre, restant debout devant elle, vêtue juste de mes chaussures. Je résistais très fort à l’envie de cacher mes seins et mon sexe de mes mains, mais me forçais à garder les bras le long du corps. Son regard allait de mes yeux à mon corps, avec toujours son léger sourire accroché au coin des lèvres. Je n’osais pas bouger. Au bout d’un temps qui me parut extrêmement long, elle reprit la parole : – Je ne m’étais pas trompée : vous n’êtes pas mal du tout… J’aime beaucoup ce contraste entre la finesse de vos attaches, votre côté longiligne, et vos seins déjà lourds… Vous faites du combien ? Un bon 85b, non ? Et j’aime aussi beaucoup leur forme en poire, bien ronds… Prenez les dans vos mains, soulevez les légèrement, s’il vous plait ! J’obéis et pris mes seins dans mes mains en coupe, les soulevant un peu.  » Euh, comme ça Madame ? – Oui très bien… Et votre carnation très claire contraste très joliment avec vos yeux bleus, très jolis chez une brune… Tournez vous, que je voies aussi le côté pile ! Je me retournai, sentant son regard sur mes fesses rebondies.  » Très joli cul aussi, ma belle…Et j’adore aussi deviner le galbe de tes seins en regardant ton dos… Tu sais, comme dans ces pubs pour la lingerie Aubade…  » Je notais qu’elle venait de me tutoyer, ce qui m’inquiéta davantage. Mais je n’osais rien dire, attentive à lui obéir pour justifier mes remises de dette. Les nombreux miroirs me renvoyaient mon image sous différents angles. Elle m’ordonna ensuite de me remettre de face :  » Voyons maintenant ta chatte… Tu t’épiles le maillot, apparemment… C’est bien, je n’aime pas les buissons trop denses… Mets tes mains sur ta tête et écarte tes jambes, que je te voie mieux ! « . J’obéis malgré ma gène d’être ainsi examinée.  » Bien, très mignonne ta petite chatte… Ecarte plus tes cuisses, je veux voir ta fente s’ouvrir davantage ! Oui, comme ça… c’est bien !  » Mains sur la tête, bien cambrée, je lui obéissais malgré ma honte, et offrait ma chatte à ses regards avides.

A ce moment, la jeune soubrette qui m’avait ouvert la porte entra, et me découvrir dans cette posture… Ma gêne augmenta encore, car elle était visiblement plus jeune que moi, sans doute pas plus de dix-huit ans. Cela sembla amuser ma propriétaire, qui l’invita à rester avec elle pour profiter du spectacle : – Assies- toi, Annette. Tu ne trouves pas qu’elle est appétissante, notre jeune amie ? lui dit- elle. Elle a de beaux seins, pas comme toi qui es plate comme une limande. – Oui madame, ses seins sont bien plus gros que les miens en effet. – J’ai envie d’en savoir davantage sur toi, me dit-elle. Tu vis avec un homme, ai -je cru comprendre… – Oui Madame, répondis- je. – Vous faites l’amour souvent ? – Euh, oui Madame, enfin normalement, une fois par semaine en moyenne. – Et tu le trompes ? occasionnellement ? souvent ? – Oh non Madame, jamais ! – Et entre vos séances de baise du samedi soir, reprit- elle méprisante, tu fais comment ? Tu te masturbes j’imagine ? J’hésitais avant de répondre, encore plus gênée de la présence de la soubrette pendant cet interrogatoire. Celle- ci me détaillait, l’air très absorbée. – Euh, oui Madame, je me caresse parfois, répondis je, les yeux baissés. – Combien de fois par semaine ? reprit -elle, impitoyable. – Ça dépend… plusieurs fois par semaine, parfois plusieurs fois par jour, avouai- je enfin. – Tiens donc, intéressant, dit- elle songeuse… Tu aimes ça, donc, ma belle… Elle se leva et s’approcha de moi. Passant derrière moi, elle me fit me cambrer davantage, mes bras levés mettant ma poitrine en valeur. Elle commença délicatement à effleurer du bout des doigts mes pointes de seins, déclenchant chez moi des frémissements malgré mes efforts pour demeurer impassible.  » Tes tétons me semblent apprécier les caresses, murmura t elle en souriant. J’aime leur longueur… Je veux les voir tous durs… Ils seraient parfaits pour des pinces, je pense « . Insistant davantage, elle continua jusqu’à ce qu’ils soient bien dressés, me faisant gémir à plusieurs reprises. Annette lui apporta deux pinces chromées reliées entre elles par une chaînette, qu’elle me montra longuement en souriant.  » Je te propose 200 F par pince, qu’en dis- tu ? me demanda t elle. – Je… je ne sais pas trop, Madame, je n’ai jamais essayé, répondis- je – Allons, ne me raconte pas d’histoires, dit-elle plus durement. Une fille comme toi, qui se tripote aussi souvent, et dont les seins sont visiblement si sensibles… Tu as sûrement essayé de te mettre ne fût-ce que des pinces à linge, pour essayer… Avoue ! – Je… oui peut-être une ou deux fois, finis- je par avouer en baissant les yeux… Mais ça fait longtemps… – Alors, d’accord pour réessayer ? Je suis sûre que tu vas aimer… Et puis cela te réduit ta dette ! Je finis par accepter.

Elle approcha la mâchoire d’acier de la pince de mon téton gauche, en me regardant dans les yeux. Puis elle laissa la pince se refermer sur ma chair, ce qui généra instantanément dans mon esprit une explosion de douleur. Elle me fixait, ses yeux dans les miens, comme si elle voulait absorber ces ondes palpitantes de douleur qui irradiaient de mon sein, pour s’étendre à tout mon corps. Au bout de quelques minutes qui me parurent une éternité, l’intensité de la douleur se calma enfin. – Alors, cela te rappelle des sensations ? me demanda-t- elle ? – Oh Madame, je ne me souvenais pas que cela faisait aussi mal, répondis- je. – Mais tu apprendras que la douleur peut aussi être une source de plaisir décuplée, répliqua-t-elle sentencieusement. Elle fit subir à mon sein droit le même traitement. Une fois la douleur calmée, je regardais les pinces qui ornaient désormais mes tétons, et la chaînette pendante qui barrait mon ventre. Les pinces étaient assez légères, mais Annette m’informa qu’on pouvait y fixer des poids si on le désirait. La douleur était maintenant moins forte, mais plus diffuse. Au moment où je commençais à récupérer un peu, la propriétaire tira brusquement sur la chaînette, réveillant ainsi la voracité des pinces ; je me retrouvais inondée de douleur, ne pouvant réprimer un cri. – Tout est toujours une question de dosage, dit- -elle en souriant. Un peu de douleur, mais pas trop… J’ai tiré sur la chaîne juste pour te donner une idée de ce que ça serait avec les poids ; mais rassure toi, nous n’allons pas en mettre aujourd’hui. – Oh merci Madame, répondis- je docilement. Ca fait vraiment trop mal. – En revanche, je te verrai bien avec un collier de chien… Annette s’approcha et me passa autour du cou un large collier de cuir noir, décoré de clous en acier, et pourvu d’une attache destinée à la laisse. Puis elle me fit me mettre à quatre pattes à ses pieds, et attacha une laisse au collier. – Regarde-toi dans les miroirs, me dit la propriétaire… Tu ne te trouves pas charmante, comme ça ? Je regardais et y découvris mon image, nue, à quatre pattes aux pieds de la soubrette, mes seins pendant sous mon torse, les pointes entravées par les pinces, la chaînette traînant par terre. Curieusement, cette vision humiliante contribua à augmenter une excitation déjà latente du fait des pinces qui me labouraient les tétons… Je sentis mon sexe s’humidifier, et je pris peur à l’idée que les deux femmes ne s’aperçoivent de mon trouble. Annette, tirant sur la laisse, me fit marcher à quatre pattes devant sa maîtresse qui appréciait visiblement le spectacle. De temps à autre, la chaînette traînant sur le sol se prenait dans une boucle du tapis, tirant alors sur les pinces, irradiant de douleur à nouveau mes seins. Au bout de quelques minutes de ce manège, la propriétaire me fit me cambrer davantage, et écarter les cuisses en lui présentant ma croupe tendue. – Hmm, je te trouve très sexy, comme ça ma petite chienne, me dit-elle doucement. Je vois tes fesses, ta raie bien dessinée marquée par ton petit trou bien plissé… Juste dessous, ta fente bien nette, enserrée par tes cuisses… Et devant, tes seins lourds ballottant au rythme de ta marche… Magnifique tableau, vraiment ! Elle te plait, Annette ? – Oui Madame, beaucoup… J’aimerais tant que vous me laissiez m’occuper d’elle… Elle me fait très envie ! – Hmm… Oui pourquoi pas? répondit sa maîtresse, songeuse. Installe-toi dans ce fauteuil, Élodie, m’ordonna-t-elle.

Elle me désigna un large fauteuil où m’asseoir, ce que je fis avec plaisir. Mais elle m’ordonna de passer mes jambes de chaque coté des accoudoirs, ce qui me força à ouvrir largement ma chatte à leurs regards. – Tiens donc, on dirait que ce traitement te réussit, ricana la propriétaire en découvrant l’humidité de mon entrecuisse… Alors tu aime ça, être traitée comme la petite chienne que tu es ? – Oh Madame… J’ai honte, bafouillais- je en réponse… Je ne sais pas ce qui me prend… – Bien, je vais t’aider… reprit -elle. Pour la phase suivante, je te propose, disons 600 F… ce qui fera au total 2000 F de moins sur ta facture. C’est d’accord ? Je ne me sentais pas en position de contester son autorité, aussi acquiesçais- je en hochant la tête. Elle fit signe à la soubrette, qui m’attacha les poignets dans le dos à l’aide d’une cordelette, avant de lier mes cuisses ouvertes à chaque accoudoir, me maintenant dans cette posture quasiment gynécologique. – C’est un jeu : Annette va maintenant commencer à te masturber. Tu verras, elle fait cela vraiment très bien. Mais elle s’arrêtera avant de te faire jouir, pour ensuite recommencer, et ainsi de suite… Je suis sûre que tu vas adorer… – Euh Madame… Je dois aussi garder les pinces ? – Mais oui bien sûr… Tu dois commencer à t’y faire maintenant… Et puis je trouve qu’elles te vont très bien… Tu sais qu’on peut aussi les fixer sur les lèvres ou le clitoris, me répondit- elle en riant. – Oh non par pitié, lui dis- je, vraiment effrayée – Alors sois sage et laisse- toi faire ! Annette s’accroupit entre mes cuisses ouvertes, et commença effectivement à me caresser, alternant ses doigts et sa langue. Elle jouait avec mes grandes lèvres, titillant ensuite mon clitoris, enfonçant lentement ses doigts à l’intérieur de mon vagin, revenant ensuite à mon bouton… Obéissant à une suggestion de sa patronne, elle me fit basculer encore plus le bassin pour ouvrir plus largement mes fesses, et commença à me titiller, puis à me lécher le petit trou. Sentant sa langue forcer mon anus, pendant que ses doigts s’activaient sur mon sexe m’arracha des gémissements de plaisir. Elle était vraiment experte, et je ne tardais pas à sentir le plaisir monter dans mes reins, malgré le caractère humiliant de ma situation. Les miroirs me renvoyaient mon image, pinces aux seins, cuisses largement ouvertes, offrant ma chatte ouverte et mon anus à tous les regards.

– Mets- lui le plug, Annette, dit sa maîtresse. Annette saisit un gros plug anal, assez épais et court, et me le montra en souriant, avant de m’obliger à le lécher. Elle s’amusa quelques instants à le faire aller et venir dans ma bouche, tout en me disant de l’imaginer en place entre mes fesses. – Non, il est trop gros, je vous en prie, ça va me faire mal, tentais-je d’argumenter dès qu’Annette l’eut sorti de ma bouche – Mais non, tu vas voir comme il va rentrer facilement, répondit Annette. Elle en posa doucement l’extrémité sur mon anus trempé de mes propres secrétions. Elle appuya lentement, mais fortement, le plug sur ma rosette, que je sentis s’ouvrir d’un coup pour avaler le gode. Annette m’avait bien dilatée de ses doigts, et je ne ressentis presque pas de douleur, juste une impression profonde de pénétration. Le plug se mit en place tout seul, maintenant cette impression de profonde pénétration de façon permanente. C’était bizarre… J’avais déjà connu quelques expériences anales, que je n’avais jamais trouvées enthousiasmantes. Le monsieur avait souvent du mal à rentrer, ce qui me faisait aussi très mal. Il allait et venait brutalement en moi, avant de se retirer souvent aussi brusquement, ce qui faisait aussi mal que l’introduction. Là, avec le plug, rien de tel, ni douleur d’entrée, ni sortie, juste une sensation persistante et stable d’être pénétrée, prise, au plus profond de moi. Rapidement Annette recommença à me masturber, se concentrant désormais uniquement sur mon sexe offert. Je ne crois pas avoir jamais été caressée comme ça. Mes sensations anales s’ajoutaient en les décuplant à celle qu’Annette déclenchait en manipulant mon sexe. Elle suçait mon clitoris, tout en me pénétrant de deux ou trois doigts. Mais la petite garce savait m’amener au bord de la jouissance, haletante, pour s’arrêter juste avant que j’atteigne l’orgasme, m’abandonner chaque fois plus frustrée pour recommencer ensuite. Ce petit jeu semblait plaire au plus haut point à sa maîtresse. A chaque fois, mon plaisir montait plus vite, mais les caresses d’Annette s’arrêtaient aussi chaque fois plus tôt, et mes gémissements de plaisir se transformaient en cris de frustration. – Alors, tu aime ce petit jeu, ma chère Élodie ? me demanda ma propriétaire après de longues minutes passées à nous observer. – Je… je n’en peux plus Madame, lui répondis- je haletante… Je vous en prie laissez- moi jouir enfin… j’ai trop envie ! – Hmm… J’aime te voir ainsi, enfin délivrée de tes inhibitions, obnubilée par ton désir. Je te proposerai bien de te finir avec tes doigts, mais tes poignets attachés dans le dos ne te seraient pas d’une grande utilité. Je vais dire à Annette de te détacher les jambes, ce qui te permettra de bouger, mais tu garderas les poignets dans le dos. Tu devras te finir devant nous comme ça, comme tu pourras !

Annette obéit et je me redressais immédiatement, cherchant comment éteindre le feu qui brûlait tout mon bas-ventre. J’avisais une table basse dont les pieds étaient constitués de sortes de colonnes en bois ouvragé. Toute honte bue, je m’accroupis sur un des coins de la table, écartant largement mes cuisses de façon à pouvoir me frotter la chatte contre cette colonne de bois. Le contact du bois sculpté de nombreux motifs floraux sur mon clitoris gonflé m’arracha des gémissements de plaisir, et je commençais des va-et- vient, tout en luttant pour ne pas perdre l’équilibre. Mes mains dans le dos rendaient la tâche plus difficile, mais je parvenais tout de même à me frotter sur la colonne trempée de mon suc, en maintenant un bon rythme qui me ramena rapidement au bord de l’orgasme. Les miroirs me renvoyaient l’image d’une femelle entravée, se frottant frénétiquement le sexe sur un morceau de bois. Je sentais les regards des deux femmes sur moi, me ravalant au rang de chienne en rut prête à tout pour jouir enfin. Paradoxalement, cette honte me permit d’atteindre un orgasme exceptionnel, j’ai eu littéralement l’impression d’une explosion au moment où je jouis, et je m’entendis hurler comme je ne l’avais jamais fait auparavant. Je m’écroulais ensuite sur le sol, trempée, épuisée mais enfin comblée.

– Eh bien, on dirait que c’était une question de vie ou de mort, reprit la propriétaire après quelques minutes…Pour un orgasme, c’en était un… C’était la première fois que tu faisais ça comme ça, attachée et en public ? – Euh… oui Madame, répondis- en reprenant mon souffle avec peine, étendue sur le dos, les cuisses ouvertes, trempées. – Cela me semble ouvrir de nouveaux horizons, tu ne trouves pas ? C’est mieux que tes séances de baise du samedi soir, non ? Annette me détacha les poignets, ôta les pinces ce qui me fit hurler, et me donna un peignoir dans lequel je m’enveloppais. La tension retombant, un sentiment de honte me submergea, consciente de m’être donnée en spectacle au-delà de toute mesure. – Tu peux te rhabiller, reprit la propriétaire en souriant. Je crois que c’est assez pour une première prise de contact. Tu ne me dois plus que 3000 F ce mois- ci. Je te téléphonerai pour la prochaine fois. Nous passerons à des choses plus sérieuses… rajouta-t-elle en souriant de façon énigmatique. Elle sortit du salon, où Annette m’aida à me rhabiller, avant de me conduire vers la sortie ; j’étais trop sonnée pour parler, et Annette ne me dit pas un mot.
Elodie »

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