C’était il y a quelques années, je venais seule de Toulouse et devais faire un détour par un village des Pyrénées rejoindre mon ami. Je m’étais arrêtée quelques instants dans un petit bar pour boire un café, évidemment il n’y avait que des hommes assez âgés et d’un style, disons plutôt « rustique », alors que moi je fais plutôt adolescente libérée. Aussi mon entrée fit sensation !
Je dégustai mon café, tout en sentant les regards appuyés sur moi et, comme je suis assez aguicheuse… je croisai et décroisai mes jambes, ma robe étant relativement courte. J’avoue que je commençais à être légèrement excitée, mais il fallait que je parte car la nuit n’allait pas tarder à tomber. Je me levai pour payer et me dirigeai vers la sortie en balançant mes fesses ; j’adore…
Une fois dans ma voiture, je consultai le plan de la région, car il me fallait emprunter des petites routes. Entre-temps, un groupe sortit du café et se dirigea vers moi, plus exactement vers le fourgon auprès duquel j’étais garée. Ils étaient trois, le plus âgé (certainement le patron) était trapu et très poilu ; l’autre, un grand arabe typé et costaud, et le troisième pratiquement un nain ! Je n’avais pas fait attention à l’intérieur du café, il devait être assis !
Lorsqu’ils arrivèrent à ma hauteur, j’en profitai pour leur montrer où j’allais et demander l’état de la route. Ils regardèrent un peu le plan… mais beaucoup ma personne ; il est vrai qu’assise dans ma voiture, les cuisses légèrement ouvertes, ma robe à la lisière de mon string, mon corsage entrouvert…
Le plus vieux me répondit que la route était étroite, montait beaucoup, et qu’à cette heure-ci, il n’y avait pas grand monde. Je les remerciai avec mon plus beau sourire et démarrai.
J’étais excitée, mais il fallait que je me concentre afin de ne pas manquer la bifurcation de la petite route. Dans mon rétro, je vis le fourgon démarrer lui aussi. Au bout d’un moment, la nuit commençant à tomber, j’allumai mes phares, le fourgon en fit autant ; il n’y avait pratiquement pas de circulation, et je n’étais pas encore sur la petite route ! Je ne roulais pas très vite et j’avais l’impression que les phares du fourgon se rapprochaient.
Au bout de quelques kilomètres, je suis arrivée à l’embranchement, mettant mon clignotant et, tournant lentement, j’aperçus aussi le clignotant du fourgon ! La route était vraiment étroite et je devais rouler très lentement ; en plus effectivement elle montait beaucoup !
Le fourgon était maintenant juste derrière moi et ses phares m’éclairaient. C’est à ce moment que ma voiture a commencé à avoir des à-coups, elle s’étouffait, puis repartait (cela me l’avait déjà fait quelques jours avant, on m’avait dit qu’il devait y avoir des saletés dans le carburant) ça faisait comme des hoquets de plus en plus nombreux, et dans une montée particulièrement ardue, je calai.
Le fourgon était collé derrière moi, j’étais à la fois excitée et paniquée. J’entendis les portières alors que j’essayais de redémarrer sans succès, le trapu est venu de mon côté et l’arabe et le nain côté passager, la nuit était douce et claire, mes vitres étaient baissées, et la vue que je donnais devait les faire pas mal fantasmer, ma robe était remontée pendant le trajet et mon string était bien visible…
Ça sentait l’essence. Je leur expliquai mes ennuis, je voulus essayer de démarrer à nouveau, mais celui à ma gauche me dit d’attendre, en posant sa main velue sur mon bras nu, ce qui me fit frissonner. Il me dit d’ouvrir le capot, mais je ne savais pas ; il ouvrit alors la portière, le plafonnier s’alluma, augmentant la vision érotique de ma position sous les regards exorbités des hommes.
Le nain fit le tour de ma voiture à toute vitesse et plongea pratiquement entre mes cuisses afin de trouver la manette d’ouverture du capot. J’ai dû ouvrir mes cuisses pour le laisser passer dessous, sous le regard vicieux du vieux qui se passa la langue sur ses lèvres en voyant ma fente bien soulignée par le string. L’arabe ouvrit l’autre portière et regarda la scène, avant de s’asseoir après avoir enlevé mon plan et mon sac. Je me tournai pour mettre le tout sur la banquette arrière, et dans le mouvement mon corsage s‘ouvrit davantage. J’étais encore prisonnière de ma ceinture de sécurité, et je ne pouvais remettre de l’ordre dans mes vêtements, ce dont je n’avais aucune envie, et bien au contraire cette situation me plaisait beaucoup.
Le nain avait trouvé depuis longtemps la manette d’ouverture du capot, mais ne sortait pas de dessous pour autant, il est vrai que ses yeux étaient à 20 cm de mon entrecuisse, ses yeux lui sortaient de la tête et je vis qu’il bandait. Il n’était pas le seul ; l’arabe et le trapu avaient chacun une belle bosse qui déformait leur pantalon.
Ce doit être le gicleur, dit le vieux, il suffit de souffler dedans (j’avoue avoir pensé à d’autres gicleurs, mais il ne fallait pas souffler dans ceux-là). Il envoya le nain chercher des outils, puis après avoir dévissé et soufflé, il le remit, puis me dit de redémarrer. Avant que je tourne la clé de contact, l’arabe posa sa main sur la mienne et me dit d’appuyer à peine sur l’accélérateur pour ne pas noyer le moteur, disant cela sa main se glissa sous ma cuisse, sans doute pour éviter que j’appuie trop !
La voiture démarra, mais cafouilla encore un peu, le vieux me conseilla de ne pas rester au milieu de la route, il passait personne mais bon… un peu plus loin, il y avait un petit terrain tranquille où il pourrait finir la réparation, je n’étais pas dupe, mais j’avais passablement envie de faire des bêtises !
Nous reprîmes la route, l’arabe à côté de moi (sa main sur ma cuisse), les autres suivant avec le fourgon.
L’arabe s’était rapproché de moi et me caressait de plus en plus haut, il passa sa main sous mes cheveux et m’embrassa dans le cou, me faisant frissonner, puis sa main arrivée en haut de ma cuisse emprisonna ma chatte. Je poussai un petit cri et me mordis les lèvres. Les phares du fourgon devaient éclairer la scène, et les deux autres devaient bander comme des ânes, comme mon arabe. J’avançai ma main pour me rendre compte, et je rencontrai un pieu énorme et dur, dur… J’avais énormément envie de sucer.
Il m’indiqua un petit chemin, il fallait connaître car ce n’était pas évident. En cahotant nous arrivâmes à un petit endroit entouré d’arbres et de broussailles, le fourgon sur nos talons, j’éteignis les phares et coupai le moteur.
L’arabe allait de mes seins à ma chatte, puis chercha ma bouche et m’embrassa voracement, je lui rendis son baiser et nos langues se mêlèrent, juste au moment où arrivèrent les deux autres. La portière s’ouvrit, les grosses mains velues se posèrent sur mes seins, mon ventre, m’écartèrent les cuisses, le nain reprit sa position du départ entre mes cuisses ! J’avais encore ma ceinture de sécurité ! L’arabe me l’enleva, et avec le vieux me déboutonnèrent complètement mon corsage, passant leurs mains à l’intérieur sur mes seins nus. Je sentis des petites mains écarter doucement mais fermement mes cuisses et une langue chaude et humide me lécha l’entrecuisse à travers mon string, je me cabrai en gémissant. Le vieux tétait goulûment mon sein gauche, jouait avec la pointe durcie et dressée, l’arabe fouillait ma bouche, mon bras enroulé autour de son cou. Le nain avait maintenant écarté mon string, il me léchait, jouait avec mon clito, puis sa langue pénétrait à l’intérieur comme une petite bite. Que c’était bon !
Entre mes gémissements de plus en plus appuyés, je parvins à articuler :
— J’ai envie de sucer…
Aussitôt deux belles queues jaillirent… Le vieux, de par sa position à l’extérieur du véhicule, fut plus rapide, sa queue était bien dure et épaisse, entourée de poils, il était très velu. Il mit sa main sur ma nuque et m’attira dessus, mes lèvres l’effleurèrent, puis ma langue tournoya autour de son gland congestionné, avant de l’emboucher complètement ; il se projeta en avant en gémissant. L’arabe avait sorti la sienne, grosse, longue et dure ; il se redressa et me la présenta, ma main la caressa doucement un moment, puis je la pris dans ma bouche et je la suçais lentement, tout en branlant l’autre et j’alternais… j’étais dans un état… et je ne tardais pas à jouir bruyamment sous les coups de langue diaboliques du nain…
Celui-ci ne tarda pas à se débraguetter pour profiter lui aussi de ma bouche, sa queue, ma foi, était grosse et longue, celle d’un homme bien monté, mais elle était bien mise en valeur du fait de sa petite taille. Du fait de notre position dans la voiture, je ne pouvais le sucer, j’avançai donc la main pour la lui caresser. Je le masturbais ainsi pendant que je suçais les deux autres.
Puis ils me proposèrent de sortir. Le nain me prit par la main et m’entraîna vers l’arrière du fourgon, monta, s’assit sur une sorte de malle et posa son pantalon. Les deux autres firent de même, je repris doucement sa queue dans ma main, le branlant doucement. Je passai ma langue sur mes lèvres, puis lentement, avec un sourire gourmand, ma tête descendit et ma bouche l’engloutit… j’ai ralenti la cadence pour qu’il ne jouisse pas trop vite, car il gigotait et râlait de plaisir.
Les deux autres me caressaient les fesses et les seins, ils remontèrent ma robe et descendirent mon string, me fouillant la chatte et le cul, l’arabe m’enfonça deux doigts dans la chatte et le vieux un dans le cul. Ils avaient eux aussi ôté leurs pantalons et de temps en temps, j’attrapais leurs queues tendues…
Puis je me suis retrouvée complètement nue, eux aussi, je les ai à nouveau sucés tous les trois… Puis le vieux a voulu me baiser en premier, pendant que je continuais à sucer les deux autres. Il me pilonnait comme une bête ; avec tous ses poils on aurait dit King Kong ; puis l’arabe m’a bien défoncée lui aussi. Ce vicieux s’enfonçait bien au fond de moi, puis se retirait presque complètement, restant immobile, m’obligeant à lever mes fesses pour aller me baiser moi-même en m’empalant sur sa grosse queue bien dure, et enfin le nain m’a prise en me malaxant et tétant les seins. J’ai eu une multitude d’orgasmes…
L’arabe a ensuite voulu me sodomiser, je me suis couchée sur le vieux velu, pendant que l’arabe me prenait en levrette, il a fait quelques va-et-vient dans ma chatte, puis s’est retiré et a visé plus haut. J’étais tellement mouillée que c’est rentré tout seul ! Il m’a enculée un petit moment comme ça, puis le vieux a pris la place vacante dans ma chatte. J’adore me faire prendre en double comme cela, et le nain n’avait plus qu’une place à prendre dans ma bouche…
Ma jouissance a été phénoménale, le plaisir intense, et mes cris… Lorsqu’ils se sont répandus en moi, le nain a joui énormément en criant, son sperme chaud n’arrêtait pas de couler dans ma gorge, je ne pus tout avaler et le reste coula hors de ma bouche, sur mon menton, mon cou… L’arabe s’est répandu en longs jets dans mon cul en hurlant dans sa langue. Enfin le plus vieux a giclé abondamment au fond de ma chatte en gueulant des insanités.
Après avoir repris nos esprits, ils m’ont fait promettre de repasser dans le coin, et ils m’emmèneraient dans une ferme chez un ami…
Le plus vieux m‘a donné ses coordonnées, et je crois que je vais visiter cette ferme…
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