Je venais de faire une mission de deux mois en Afrique de l’ouest avec un collègue et il devait y rester encore plusieurs semaines. Il m’avait dit de passer saluer sa femme de sa part lors de l’escale de quarante huit heures que j’avais à Paris avant de démarrer une nouvelle mission, en Afrique centrale cette fois. Il m’avait dit d’un air qui en disait long sur ses rapports avec sa femme : « Apporte lui une bonne bouteille, tu verras, elle appréciera ! ». Je lui téléphone donc et elle m’invite à déjeuner le lendemain. Elle me dit : « Ça ne sera pas de la grande cuisine, je n’aurai pas beaucoup de temps pour préparer. ». Je lui réponds : « Ce n’est pas bien grave. J’apporterai une bouteille de blanc pour faire passer. » et nous partons d’un éclat de rire.
Le lendemain j’arrive vers midi. Elle m’accueille avec un large sourire. Je la détaille un peu. Elle a de beaux yeux, un nez fin, une belle bouche aux lèvres rouges et charnues. Elle est à peine moins grande que moi. Elle approche de la cinquantaine. Ses gros seins sont enserrés dans un chemisier blanc qui laisse voir par transparence son soutien gorge en dentelle noire. Ses fesses sont mises en valeur par sa jupe qui souligne sa taille. Elle lui arrive à mi-cuisse qui elles, sont assez charnues. Je lui donne la bouteille de vin que j’ai apportée. Elle me fait remarquer qu’elle n’est pas fraîche et me dit : « Rassurez-vous, j’en ai déjà une au frigo ». Elle va dans la cuisine et revient avec.
On s’assoit au salon, la bouteille en face de nous, deux verres et on commence à discuter. Elle me demande des nouvelles de la mission que j’ai faite avec son mari. Nous buvons déjà pas mal et la conversation s’anime. On passe au tutoiement et rapidement nous en sommes à la seconde bouteille de blanc, celle que j’ai apportée et qui est bien fraîche maintenant. Nous voilà au dessert et nous repassons au salon pour le café. La tenue de mon hôtesse est un peu plus débraillée : le chemisier est déjà largement déboutonnée et ses seins apparaissent largement dans son décolleté. Quand elle s’assoit, sa jupe remonte largement sur ses cuisses et s’arrête au niveau de son slip, noir, comme son soutien-gorge. La conversation s’égare sur le fait de savoir comment on fait pour se soulager sexuellement quand on est en mission.
Je lui dis alors, mais normalement elle devrait le savoir, qu’il y a ce qu’on appelle « l’amour qui passe » dans les hôtels africains, les prostituées qui viennent s’offrir pour quelques billets. Elle fait mine de s’étonner et je la vois qu’elle se trémousse un peu plus sur ses fesses. Visiblement, elle veut que je lui dise autre chose. Je le lui dis alors : « Il nous arrive de nous branler quand on ne veut pas avoir affaire aux prostituées. ». « Vous vous branlez ? » me répond-elle d’un air mi étonné mi intéressé. Je lui explique alors qu’aujourd’hui qu’avec Internet on accède à des sites de cul assez facilement et qu’on peut se branler agréablement en regardant des vidéos pornos. Elle fait alors l’étonnée en me disant : « Mais avec leurs corps splendides, les Africaines sont très bandantes ». Je lui réponds qu’avec le SIDA, il faut faire très attention et que le meilleur moyen c’est de se branler. Elle me demande : « Et quels sites regardes-tu ? ».
Sans hésiter, je lui réponds : « Xhamsters » et je m’empresse de lui ajouter : « Si tu veux, je te montre ». C’est sans doute le vin qui m’a un peu désinhibé et qui m’a conduit à lui parler ainsi. En même temps, elle aussi s’est relâchée et ses nichons sont pratiquement sortis de son soutien-gorge et je vois bien maintenant son slip sous lequel je commence à voir apparaître de la mouille qui commence à sourdre. Elle se lève et va chercher son ordinateur portable qui est en veille et qui s’allume rapidement. Je ne mets pas longtemps et me connecter sur Xhamsters et la page de garde apparaît. C’est alors un festival de bites et de chattes sous nos yeux. Je lui dis que j’ai un compte et que son mari en a un aussi. On va alors mater sur nos comptes où de belles bites, plus bandées les unes que les autres, des mecs qui se branlent et de femmes qui se font lécher la chatte apparaissent. Elle va même jusqu’à reconnaître la bite de son mari sur une vidéo d’un gars qui se branle et qui lâche sa purée bien crémeuse.
Elle n’en peut plus et sa main est maintenant entre ses cuisses. Toute retenue de sa part est envolée, son slip est écarté sur le côté et un de ses doigts est déjà profondément enfoncé dans son con qui est déjà débordant de mouille. Elle commence à jouir, sa tête est rejetée en arrière et des gémissements sortent de sa gorge. Un de ses nichons sont maintenant à l’air et elle le malaxe. Je la regarde et je ne sais pas quelle conduite adopter, c’est quand même la femme d’un collègue et j’hésite à aller plus loin. En même temps, je bande comme un âne et ma bite est à l’étroit dans mon pantalon. C’est elle qui me sort de mes scrupules en me disant : « Ta bite ! Sors la, je veux te voir te branler !!! Je ne me le fais pas répéter et voilà ma bite dehors. Je la tiens bien en main et je fais des mouvements qui me transportent. De voir la femme de mon collègue, Fabienne, entrain de manipuler sa chatte, son clito et ses nichons alternativement et de manière frénétique augmente encore mon plaisir
Je m’approche, je me baisse et je dirige ma bouche vers son con et je me mets à le lécher, toute langue dehors tendue vers ses grandes lèvres en m’enivrant de l’odeur qui se dégage de sa moule. Je fais des incursions vers son clito où je me « bats » avec son doigt qui le caresse avec agilité. Je continue à me branler pour mon plus grand plaisir.
Tout d’un coup, la sonnette nous sort de ce plaisir qui est entrain de monter. On s’arrête, interrogation du regard vers Fabienne : « Tu attends quelqu’un ? ». Le retour à la réalité est dur pour elle et sa réponse vient : « J’ai dit à ma voisine qui est en master de géographie de venir prendre le café avec nous pour que tu lui parles de ton métier. ». Fabienne baisse sa jupe (son slip est encore visible sur le fauteuil où elle était…) et va ouvrir la porte. J’ai à peine le temps (et j’ai beaucoup de mal) pour rentrer ma bite dans mon pantalon et mon accueillons la voisine, Christelle, une grande blonde, vingt trois ans, très mince, petits seins mais beau cul bien cambré et bouche pulpeuse. Elles se font la bise et je remarque que leurs bouches sont alors très proches (tiens, bizarre…) et que chacune a les mains baladeuses sur les fesses de l’autre.
Fabienne fait les présentations et nous rejoignons le salon où on commence à discuter. Quelques mots sur le métier de consultant, l’intérêt, comment on débute dans la cette carrière. Je vois que Christelle a du mal à me suivre dans mes propos. Je me rends alors compte qu’elle voit l’écran de l’ordinateur qui est sur la page web qu’on regardait Fabienne et moi avant qu’elle commence à se branler. Sur cette page, il y a une série de bites et de chattes et sur écran plus large, il y a une fille qui lèche la chatte d’une autre. Fabienne a l’air absente, les jambes écartées. Soudain Christelle qui se rend compte qu’elle nous a interrompus alors qu’on se préparait à baiser fait part de son désir de partir pour nous laisser. Fabienne lui dit alors : « Ma petite Christelle, les choses sont allées plus vite que je le pensais et j’ai eu envie de commencer à ma branler avant que tu arrives comme on en avait parlé. Je suis d’ailleurs toute mouillée et j’ai envie que tu viennes me faire jouir. Vite, s’il te plaît !!!! ».
Je comprends alors comment Fabienne prend son pied pendant que son mari gagne sa vie en Afrique et je me dis qu’elle a bien raison car je sais que lui ne se prive guère aussi. Christelle minaude un peu après les paroles de Fabienne et lui dit : « Quand même pas devant Monsieur !!! ». Fabienne lui répond : « Ne t’en fais pas pour Monsieur, comme tu dis, il y a cinq minutes, il avait sa bite en main entrain de se branler pendant qu’il me suçait mon gros clito comme j’aimerais que tu viennes me le sucer, toi, maintenant. ». Sur ce, Fabienne va s’allonger sur le tapis, les cuisses largement ouvertes, sa chatte rasée bien en vue. En un instant et en deux ou trois déhanchements, Christelle fait tomber son jeans et se trouve les fesses en l’air, des fesses très blanches de blonde, la bouche sur la chatte et le clito de Fabienne.
J’ai sorti à nouveau ma bite qui bande à ce tableau et me dirige vers la chatte de Christelle et son cul qui sont offerts à ma vue. Après quelques coup de langue, Christelle commence à mouiller, une mouille claire, un peu acide mais abondante à souhait. Ma langue s’égare vers sa rondelle, d’un rose plus soutenu que le reste de sa peu et d’une régularité parfaite. Ma langue la force par moment au point que l’envie me prend de lui mettre un doigt… qu’elle ne refuse pas. A la suite, j’en profite pour en faire pénétrer un autre dans sa chatte, tout en continuant à la lécher. Fabienne qui se livre à la langue experte de Christelle y va de gémissements de plus en plus forts. Délaissant le cul de Christelle, je me déplace toujours bite en main vers les nichons de Fabienne qui sont sortis entièrement du soutien-gorge et qui bougent dans tous les sens. Je m’en empare, les malaxe et en suce les bouts. Leur chair est douce et je me régale. Ayant ma bite à portée de main, Fabienne la prend et commence à me la branler. Elle l’attire vers sa bouche et enferme mon gland entre ses lèvres pulpeuses pour en faire un anneau exquis. Puis elle me dit : « Ta bite, dans ma chatte ! ».
Je ne me le fais pas répéter et Christelle me laisse une place qui ressemble à un vrai brasier tellement la mouille de Fabienne, mélangée à la salive de Christelle sont abondantes. Je commence mes va et vient, ma bite étant massée littéralement par les parois de la connasse de Fabienne. Je sens que son orgasme est proche. Christelle a placé sa chatte sur la bouche de Fabienne qui la lèche. Elle s’arrête soudain, se fige, m’enserre entre ses cuisses et part dans son orgasme. Ma main branle son clito pour augmenter son plaisir. Je sors de sa chatte, je n’ai pas joui mais un flot de mouille blanchâtre sort de son con. Je me précipite pour lécher ce flot de mouille : elle m’enserre la tête entre ses cuisses, elle continue à jouir !!!
Fabienne reprend ses esprits et se tourne vers Christelle pour lui dire avec un clin d’œil: « C’était génial, sa bite est douce, presque aussi bonne que la bite qu’on a l’habitude de se partager ». Je comprends qu’elles ont l’habitude de se partager un gode… Et Fabienne ajoute : « Si tu veux, tu peux l’essayer ». Elle parle de moi. Christelle lui répond : « D’accord, mais c’est toi qui me le demande ! ». Je fais donc le tour de Fabienne pour me placer derrière Christelle qui a toujours sa chatte à hauteur de la bouche de Fabienne. La préparation que j’avais déjà faite produit toujours ses effets et la chatte de Christelle coule de mouille. J’y mets ma bite qui glisse parfaitement. Sa connasse est, bizarrement, assez large, sans doute les godes qu’elle a l’habitude de s’enfiler (ou de se faire enfiler par Fabienne…) mais sublimement délicieuse. Je bourre la chatte de Christelle et les parois se resserrent et me malaxent la bite. Je sens par moment la langue de Fabienne sur mes couillent et sur ma bite quand je la ressort du con de la jeune voisine. Christelle gémit de plus en plus fort et je sens que sa jouissance est proche. Je sors alors ma bite et je la sens qui prend le chemin de la bouche de Fabienne. J’y déverse mon foutre abondant et épais. Elle garde ma bite dans sa bouche, je dirais même qu’elle l’aspire. C’est délicieux !!!
On reprend nos esprits, on se rhabille et cette fois-ci, j’arrive à avoir une vraie discussion avec Christelle sur le métier de consultant international ! Il est temps pour moi de parti. Je laisse Christelle et Fabienne et je leur promet de passer les voir à ma prochaine venue à Paris lorsque je serai entre deux missions.
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