Sans vraiment trop savoir pourquoi ni vraiment envisager que j’aurais pu y rencontrer quelqu’un, certainement poussé par une rage de couilles temporaire couplé au fait que ma femme ne me considérait plus d’un point de vue sexuel, j’avais fini par m’inscrire sur ce site.
J’y avais rencontré des femmes la plupart jolies mais uniquement en chat.
Jusqu’à ce soir-là.
Ma femme était partie en voyage d’affaire et me sentant seul dans la maison j’avais décidé d’égayer un peu l’atmosphère en lançant quelques vidéos porno bien croustillantes quand, entre un râle et une éjac féminine, une sonnerie se fit entendre sur les enceintes de l’ordi.
Intrigué j’allais voir, c’était elle, Suzie.
Je l’avais déjà repérée, mais jamais osé l’approcher, une rousse délicieuse de corpluence moyenne, aux seins fermes d’un blanc fantomatique, elle débordait de féminité mais avait surtout ce soir-là envie de discuter, chose pour laquelle nous n’avions pas forcément eu beaucoup de temps avant ni d’occasions.
Nous discutions de tout, de rien, de nos vies, nos frustrations, nos envies, ce qu’elle aimait dans le sexe, comment elle jouissait et, de fil en aiguille, la conversation passant bien, je me décidais à l’inviter dîner chez moi, après tout on n’était qu’en début de soirée et au pire elle refusait et nous serions certainement restés scotchés à nos claviers à bavarder toute la soirée.
La réponse ne vint pas tout de suite, c’est au bout de quelques secondes seulement que je vis s’afficher un « Pourquoi pas? Qu’est-ce que j’amène? »,
« rien lui répondis-je, seulement toi et ta bonne humeur. disons d’ici 1h30? Ça me laissera le temps de préparer un apéro et une bouffe digne de ce nom 😉 »
Le rendez-vous était pris, d’un coup je réalisais la chance que j’avais qu’une créature aussi délicieuse daigne passer la soirée avec moi.
Je m’affairais, pas de temps à perdre, quelques courses à la superette du coin, une bonne Clairette pour l’apéro et un petit Cabernet pour accompagner la quiche au saumon que j’avais prévu de faire.
Je venais à peine de terminer les préparatifs que j’entendais une voiture se garer dans l’allée du jardin de la maison.
Je bondis jusqu’à la porte et l’ouvrit avant même qu’elle ne sonne.
Elle marchait dans le froid avec un sourire radieux qui aurait fait fondre le gel à 2m alentours. Elle était vêtue d’un grand manteau kaki sombre qui contrastait avec les cheveux roux en cascade et sa peau si pâle.
Elle arriva devant moi, je la fis entrer rapidement tout sourire également et fermait la porte derrière elle.
« Salut, je devine que tu as trouvé facilement » dis-je.
Elle me tendit une bouteille de cidre alors que nous nous faisions la bise.
Son visage était magnifique, une forme ovale, un petit nez mutin, des lèvres légèrement charnues, des cheveux de cuivre, des petites rides de sourire au coin des yeux et ses yeux… Hétérochromiques et magnifiques, un dosage parfait entre le gris, l’ambre, le vert et le bleu.
Incompréhensible pour moi qu’elle soit célibataire. Le genre de bolide qu’on est fier à vie d’avoir à ses côtés et pour soi.
Ce soir sa présence était pour moi, joyeuse, magnifique presque intimidante.
Elle avait mis une robe de soirée assez courte en lin de couleur vert bouteille affichant un large décolleté, des bas satinés opaques noirs et un paire de bottines à léger talon arrivant à mi cheville et retombant sur ses chevilles.
Elle aurait pu faire un cosplay d’Elfe sexy qu’il n’y aurait pas eu grand chose à modifier.
Je l’amenais au salon et lui proposais de s’asseoir sur le canapé d’angle.
Je sentais des suées monter en moi. J’avais une bombe dans mon salon et j’avais probablement perdu à cet instant tous mes talents de démineur.
Je reprenais le dessus et cassait mon air niais de contemplation béate:
« Tu veux qu’on ouvre le cidre ou tu préfères une clairette pour l’apéro? »
« Ha, plutôt une Clairette ».
Je débouchais la bouteille et la servait, la discussion allait bon train, nous parlions de son célibat choisi pour « satisfaire toutes ses envies librement » et du fait que ma femme ne me touchait plus depuis 4 ans. Ce faisant, elle avait retiré ses bottines, dévoilant des pieds fins parfaitement élancés dans ces collants qui lui faisaient des jambes si parfaites.
Elle avait posé un pied sur le rebord du canapé, montant un de ses genoux jusqu’au menton, lui donnant l’attitude de quelqu’un complètement à l’aise mais dévoilant surtout le haut de sa jambe, bien plus que ne le laissais normalement voir sa robe.
Soudain avec un sourire coquin elle inclina la tête et me chuchota comme si quelqu’un d’autre pouvait nous entendre:
« Pour tout t’avouer, ce soir je n’ai pas mis de culotte »
Le top départ inespéré et presque inattendu était donné, une femme sublime m’invitait à la posséder.
Je posais mon verre, maintenant il fallait lui laisser un excellent souvenir et ne pas se montrer intimidé, moi le légendaire dernier, le plus timide de tous, il fallait que pour une fois je ne laisse rien paraître.
Je me rapprochais d’elle et passais mon bras droit autour de ses épaules « Quelle délicate attention » répondis-je incapable de sortir le moindre trait d’esprit.
D’esprit d’ailleurs je n’en avais plus, mon sexe aurait pû hurler que c’était inadmissible de cohabiter avec couilles gauche et droite dans un espace aussi exigü que mon boxer, autant empiler 3 personnes ad-vitam dans une chambre de bonne à Paris.
Heureusement pour moi, il ne sait pas parler.
Elle aussi se rapprocha légèrement de moi et sa main droite se posa délicatement à mi cuisse. Ce contact m’électrisa et si mes sous-vêtements n’avaient pas été neufs, le service 3 pièces aurait craqué les parois de sa prison.
Ma main libre alla lui caresser le visage et amener sa bouche à la rencontre de la mienne, je sentais sa respiration qui s’accélérait ce qui en sens me rassura, au final elle devait être dans le même état que moi.
Le contact de nos lèvres fut doux, petit à petit nos langues sortirent et vinrent se découvrir l’une et l’autre, se titillant, s’entortillant langoureusement. Elle avait un goût délicieux, un léger parfum sucré de pomme-cannelle, un souffle chaud et agréable.À partir de cet instant je pense que l’un comme l’autre avions perdu la notion du temps, la magie opérait, la parenthèse s’installait, celle qui protège du fait d’être pris, celle qui vous rassure en vous disant que tout ira bien jusqu’au bout, celle qui vous détend totalement.
Ma main sur son visage glissa lentement dans l’échancrure de son décolleté, s’apercevant que décidément cette étourdie avait même oublié son soutien-gorge puisque j’atteignais sans entrave ses seins, ni petits, ni trop gros, parfaits pour ma main et mon pouce prenait la relève sur ses tétons. Ses baisers se firent plus longs plus passionnés à mesure que je jouais avec cette zone érogène et, comprenant que je m’arrêterai pas en si bon chemin, sa main vint lentement, telle un longue caresse, à la rencontre de l’énorme bosse au niveau de mon entrejambes.
D’une main experte elle défit les boutons de mon pantalon et commença tendrement à me branler à travers le boxer, la sensation était divine, elle avait des doigts d’experte et mon sexe que je pensais ne pas pouvoir être plus gros semblait prendre un malin plaisir à me prouver le contraire, je ne pus m’empêcher de lâcher un gémissement, tout dans cette femme irradiait le sexe parfait et j’étais son jouet.
Je décidais de ne pas la laisser ainsi, lâchais sa poitrine et posais ma main sur sa jambe, remontant le long de ses collants sous sa robe jusqu’à la hanche, à son tour un léger gémissement se fit entendre, ce qui me rassura, elle savait aussi « recevoir » ma main contourna la forme de sa cuisse et mon pouce arriva en haut de sa fente, je sentais que ce contact la rendait folle à travers son collant aussi à mon tour je commençais à délicatement la masturber, tout en douceur.
Je sentais la moiteur augmenter entre ses jambes quand elle décida de mettre ses bras autour de mon cou et poser sa tête sur mon épaule, elle se cambrait, son bassin faisait des allées et venues qu’elle ne maîtrisait pas.
Elle allait jouir.
Elle resserra les jambes, emprisonnant mon pouce et finit par lâcher un long gémissement étouffé dans mon cou, j’en profitais pour appuyer à peine plus afin de faire durer le plaisir sentant les muscles de son bas ventre secoués de spasmes, elle jouissait sans retenue, m’enserrant dans ses bras dont je ne soupçonnais pas la force.
Petit à petit ses jambes se desserrèrent, ses bras se relâchaient et sa tête se fit plus lourde sur mon épaule.
« Je suis également très sensible comme tu as pu t’en rendre compte » soufflât-elle.
« Viens, allons à l’étage, on y sera plus confortable pour ce que j’envisage de te faire subir » lui répondis-je avec un sourire franc.
Je l’accompagnais jusqu’à l’escalier, la laissais passer devant et alors que nous montions, ses jambes parfaites à hauteur de mes yeux déclenchaient en moi des pulsions de sexe brutal. Je m’imaginais l’attrapant à quatre pattes dans les marches remontant sa robe, arrachant son collant et la fourrant fermement en levrette ou encore lui aspirant le clito et la doigtant jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse d’orgasme.
Mais la soirée était placée sous le signe de la douceur et je n’en fit rien, je l’amenais à la chambre, l’allongeais sur le lit, défis les boutons de ma chemise et finis d’enlever mon pantalon alors qu’elle soulevait sa robe pour la retirer.
Elle était là, presque nue devant moi, sa peau si parfaite, un peu échevelée, pas encore totalement
remise de l’orgasme d’il y a quelques instants, belle, attirante,j’avais envie de me fondre en elle.
« Viens par ici toi, va falloir que tu paies pour ce que tu m’as fait » dit-elle avec un sourire en coin qui e disait long sur ce que j’allais « subir »
« Voyez-vous ça! » répondis-je ne m’approchant.
Elle se mit à genoux sur le bord du lit, m’attira à elle en m’agrippant par les fesses et entreprit de libérer ma verge de sa prison de tissu.
Cette dernière ne se fit pas prier et remonta dure, puissante, fière et conquérante alors que le boxer n’était même pas encore arrivé à mes chevilles.
« Ho, tu m’as menti, je croyais qu’elle devait être banale, elle est dans une très bonne moyenne. Et large, comme je les aime, tu permets que j’y goûte un peu? » dit-elle avec des petits yeux rieurs.
Je n’eus pas le temps de répondre qu’une de ses mains me caressait les bourses tandis que l’autre évaluait la taille de l’engin en me branlant lentement. Puis elle déposa quelques baisers aux creux de l’aine avant de faire remonter sa langue langoureusement le long de mon chibre pour enfin le mettre en bouche.
Elle savait y faire, tantôt aspirant, tantôt jouant avec la collerette du gland jouant avec le rythme afin que ses caresses buccales aient un effet maximal. La sensation était exquise, j’avais chaud, je sentais l’orgasme commencer à monter en moi, pas un orgasme violent non, un orgasme d’une douceur terrible et libérée, bien plus puissant que ceux qu’on atteint habituellement, je sentais que mes jambes commençaient à avoir du mal à supporter mon poids, ma respiration s’accélérait et je laissais échapper des gémissements involontaires mais Ô combien révélateurs de sa technique parfaite.
Je ne voulais pas jouir maintenant non.
« Si tu continues de la sorte je ne me donne pas longtemps avant de venir »
D’un air satisfait elle retira sa bouche, s’essuya les lèvres avec la langue et s’allongea, féline, sur la couette.
« Bien que tu n’aies pas mis de culotte, ce collant est toujours là ».
J’entrepris de le faire rouler jusqu’à ses chevilles tout en embrassant ses jambes puis ma bouche remonta vers sa vulve gonflée. À la faible lueur de la lampe de chevet je pouvais voir qu’elle luisait, elle dégoulinait de désir, elle sentait le sexe, la luxure, l’invitation à la débauche et ma bouche ne se fit pas prier pour embrasser ces
autres lèvres, puis ma langue commença sa découverte de terrain, repérant les endroits plus sensibles que d’autres allant parfois s’insérer entre ses lèvres puis remontant, tournant autour de son clito, restant un peu à titiller les bords, ressentant les mouvements de son bassin, les changements de goût, interprétant sa respiration, cherchant à tout connaître de son plaisir et jouant avec pour le ralentir, l’accélérer, mais surtout la désorienter.
La tête entre ses jambes, mes mains vinrent à la rencontre de ses bras que je fis aligner le long de son corps qui ondulait de bien-être puis, coinçant ses poignet entre mes coudes et ses hanches mes mains partirent à la conquête de sa poitrine dont les tétons étaient durcis et éhontément dressés. J’empoignais délicatement sa douce poitrine et commençait à malaxer ses seins tout en excitant les pointes.
« Ooooh oui, comme ça! force-moi à jouir » murmura-t’elle.
« Tes désirs sont des ordres » pensais-je alors que je sentais les ondulations de son bassin s’accentuer, elle semblait parcourue de vagues, elle se cambrait de plus en plus. Le goût de son clito avait changé, je savais qu’elle était proche de l’orgasme et je l’accompagnait en rythme, lentement, je voulais qu’il soit dévastateur, ses lèvres laissaient échapper un bruit de clapotis, elle ruisselait, en levant les yeux je ne voyais plus que son ventre et ses seins devenus énormes qui cachaient sa tête complètement basculée en arrière, j’entendais sa respiration devenir gémissement, ses gémissements devenir plus nets, ses bras coincés le long de son corps se débattaient sans conviction, elle semblait plus lutter contre le temps que mettait l’orgasme à arriver que contre le blocage que je lui faisait subir, son corps entier maintenant tressaillait, ses gémissements finirent par s’unir en une longue plainte tandis que son bassin décollait du lit, ma bouche toujours affairée. Enfin ses mains
s’agrippèrent à la couette et ma bouche fermement collée à sa chatte, la langue tournoyant doucement autour de son bouton d’amour eurent raison de la dernière barrière qui céda en un long cri de jouissance, sûrement le plus beau que j’aie entendu depuis longtemps, un cri franc, non réfléchi et primal que je fis perdurer longtemps en continuant délicatement ma besogne. Elle réussit enfin à articuler « Là là là!.. Ça viieent… »
Je sentis alors les lèvres de sa vulve se contracter et dans un bruit humide une giclée de cyprine m’arrosa la figure, si je n’étais pas redescendu un peu dans mon excitation, concentré sur le plaisir que je lui procurais, j’aurais pu moi aussi jouir sur place en un instant, quelle récompense je venais de décrocher!
il fut suivit rapidement de 3 autres jets moins puissants et afin de ne pas l’incommoder je décidais de ralentir le rythme.
J’étais trempé mais heureux de mon effet, elle était trempée et tout son corps secoué de spasmes.
Je défis mon emprise la mis sous la couette encore tremblante, vint me glisser derrière elle et la pris fermement dans mes bras la plaquant contre mon corps, la calmant, l’aidant à redescendre. Elle sentait la jouissance, pas cette odeur de sueur non, son corps entier sentait l’orgasme et ma queue coincée entre mon ventre et la raie de ses fesses semblait en être consciente elle aussi. Puis elle poussa un long soupir.
« Salaud, tu m’avais caché ça aussi »
« Quoi donc? »
« Que tu parviendrais à me faire jouir de cette façon, normalement je ne peux atteindre ce stade que quand je me touche, mais c’était divin, merci »
« C’est moi qui te remercie d’être aussi franche, tu es comme ton corps, tu ne mens pas »
Puis sa voix se fit plus coquine « En parlant de corps, je sens que le tiens a du mal à mentir aussi » dit-elle en commençant à bouger ses fesses de bas en haut massant ma queue coincée.
Mon bras sous sa tête alla empoigner un de ses seins, ma bouche s’approcha de son oreille et tout en lui mordillant le lobe je lui lâchais dans un souffle « il ne ment pas, j’ai envie de toi,maintenant ». Alors que ses tétons s’étaient déjà redurcis mon autre main descendit vers son bas ventre à la rencontre de sa vulve, écarta
délicatement ses lèvres et commença à s’occuper du son clitoris, il était gonflé, entre deux doigts et sans le presser je pouvais le branler tedrement. Sa respiration s’était à nouveau accélérée.
« Tu vas finir par m’exténuer, viens, là maintenant, je veux ta bite dans ma chatte »
C’était cru et inattendu, mon sexe est alors devenu encore plus dur, plus large.
Elle remonta ses fesses jusqu’à mon ventre en se cambrant pour que ma queue puisse glisser entre ses jambes, elle était brûlante et trempée, la sensation de mon gland touchant l’entrée de sa caverne de volupté était indescriptible.
Je savourais cet instant et puis d’un geste ferme mais non brutal ma verge trouva son chemin entre ses chairs, je ne faisais qu’un avec son désir, elle, avec sa féminité, je jouissais de chaque sensation de chaleur que je sentais tout le long de mon sexe, de son vagin qui me massait sur toute la longueur et que je lui rendait bien, elle gémissait de plaisir son clito continuait de gonfler entre mes doigts, je sentais ce fourreau emprisonner mon sexe fermement lorsqu’il se contractait sous mes attouchements. c’était comme si son vagin avait toujours désiré mon sexe et faisait tout pour lui rendre au centuple le bien que je pouvais lui faire.
Puis nos mouvement s’accélérèrent également, ses contractions se faisaient de plus en plus fréquentes, toujours accompagnées ce bruit tellement excitant de clapotis, mes mains se crispaient sur ses seins, cette fois c’est moi qui était en difficulté, cette magnifique créature savait onduler. J’allais jouir, je sentais la boule d’orgasme se préparer au creux de mes reins, grossir encore et encore, devenir de moins en moins contrôlable.
« À ce rythme je ne vais pas tenir longtemps! » haletais-je
« Pas grave, depuis que tu es en moi j’ai déjà jouit deux fois alors détends-toi et fais-toi plaisir »
« Merci »
Je l’enserrais de nouveau dans mes bras.
Je ne retenais plus rien, mon sexe gonfla encore un peu, elle le senti et son étuve brûlante se contracta, ma cadence accéléra encore je n’en pouvais plus quand enfin je l’entendis gémir et la sentis dégouliner de cyprine à nouveau ma « boule » d’orgasme déferla en moi telle une vague puissante, je me répandais en elle en long jets d’une douceur infinie, j’oubliais le temps, perdu dans un orgasme d’un intensité telle que j’en avais rarement connu.
Enfin nos mouvements cessèrent. Nous reprîmes notre respiration. Elle se tourna vers moi et, encore emboîtés m’embrassa.
« Restons un peu comme ça encore, c’est si bon dit-elle, j’ai adoré te sentir te répandre en moi, c’était puissant.
Et après je commence à avoir faim, nous mangerons avant de remettre le couvert! »
Je ris, effectivement, j’étais mort de faim aussi. La parenthèse venait de se fermer mais nous savions que nous pourrions la rouvrir facilement si l’envie nous prenait, nous étions compatibles « cul ».
La suite peut-être un jour ou ce sera une autre histoire si vous l’avez appréciée, qui sait?…
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