Il est 19h.J’ai une réunion d’affaires à 20km. de chez nous ;il y a seulement 1/2h que tu es rentrée,normalement,je serai de retour vers 22h, les forces de groupe durent 3h. au minimum ,voir car on fait un petit repas entre nous. A mi chemin,un message sur mon portable-réunion annulée,reportée-je fais demi tour,arrive à la maison au bout d’une bonne 1/2h heure de route;au parking,une camionnette genre j-7,garée à ma place,dont le n°du département de la plaqque minéralogique ne me dis rien;je me dis seulement-tiens une visite !- je fais le tour de la maison pour me garer derrière ton camion ,je me rend à la maison par le jardin et entre par la buanderie. Dans le couloir,des chaussures n’appartenant à aucun de nous .La lumière de la salle,claire et je n’y trouve personne -curieux! me pensai-je – alors je me déchausse en bas de l’escalier,en catimini je gravi les marches deux par deux ,évitant de les faire craquées ;sur le palier,je stop mon élan.Derrière la porte ded notre chambre à peine close,la lampe de chevet allumée ; par l’entre bâillement d’où je ne distingue rien,mais perçois des soupirs et comme des petits râles.Mes battements de coeurs cognent si fort,ne pouvant les contenir,je compris que tu n’es pas seule ; j’entre-ouvre un peu plus la porte faisant attention à ne pas alerter ma présence .Sur le lit,coté chevet ,assis totalement nu ,un homme assez grand et fort ,la peau cuivrée,les muscles saillant .Ta figure plongée entre ses cuisses, dans ta bouche,sa bite que tu suces avidement tout en la tenant entre pouce et indexe ,lui pelotant les couilles .Vous ne pouvez pas m’entendre,ses grognements de plaisir et les bruits de sucions l’en empêchent .Comme vous ne me remarquez pas ,je reste figé là à vous mater ;il a la tête renversée en arrière, les yeux clos,savourant cette magistrale fellation .Tes lèvres baguent le gland énorme dans ta bouche gourmande,tu le suces avidement, sa longue et grosse queue engloutie à demi,va et vient,enduite de ta salive pendant qu’il te caresse le dos et la nuque . Tu es à croupe-ton entre ses jambes,fesses hautement levées et tendues ,en string noir ; à ce tableau,je bande,ma bite hors du pantalon,je me masturbe avec l’envie de participer,de t’enfiler en levrette .Avec un râle bruyant,il jouit,éjacule à grands jets sur ta poitrine,le foutre épais,bien blanc s’étale copieusement.
Tu as remis sa queue dans la bouche en la comprimant à pleine main ,le gland perle encore des restes de sperme,tu continues à le lècher et à le sucer en te mettant à califourchon sur lui en tête à queue,tes fesses toujours à ma vue,il t’écarte le string,ses larges mains plaquées sur ta croupe,les malaxent pendant qu’il te bouffe la chatte. Toujours en érection dans ta bouche,de temps en temps il t’excite le clitoris et introduit ses doigts aux grosses phalanges,dans la vulve enflée de jouissance.Tu glousses de plaisir la bouche pleine du paquet de sa bite.
Collé à la porte entre-ouverte ,les couilles en feu,ne cessant pas de me branler,des noeuds à la gorge,le coeur serré,j’envie ton « copain »,il a ton âge,il est fort et beau,trés viril,d’une grande endurance.
Merde! il est quand même dans mon lit entrain de te lutiner .
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