Je reprenais petit à petit mes esprits et je me relevais un peu, m’appuyant sur mes coudes. Je n’avais pas vu que Cathy avait maintenant la tête entre les jambes très écartées de Fabienne et qu’elle lui mangeait la chatte en la fouillant avec les doigts.
Je n’ai jamais été attirée par les femmes et je n’ai jamais éprouvé l’envie d’une quelconque relation sexuelle avec, mais les gémissements de Fabienne et les soubresauts de son ventre on fait venir en moi une sensation indéfinissable dans le bas de mon ventre encore en feu. J’avais du mal à détourner le regard du spectacle qui se jouait à moins d’un mètre de moi.
Michel, quant à lui, s’était installé, accroupi, derrière Cathy et sa main aller et venir au milieu de la croupe cambrée. On pouvait entendre les gémissements étouffés pour la chatte de Fabienne lorsque Michel accélérait son mouvement. Régis s’était allongé à coté de Fabienne. Il lui suçait les seins et les malaxait avec les mains. Il faisait rouler les bouts tendus entre les doigts. La main libre de Cathy branlait sa bite. De temps en temps, sa bouche délaissait la chatte de Fabienne pour donner des coups de langues sur le gland tendu de son mari, elle le pompait un peu avant de revenir lécher l’entre-jambe de Fabienne.
Franck était assis à coté de moi et profitait également de la scène du regard. Son sexe était dressé, tendu, il le branlait lentement. Il se rendit compte que je l’observais, me lança un sourire et vint se mettre à genoux devant mon visage. J’étais toujours appuyée sur mes coudes. Il dirigea sa bite vers ma bouche et colla son gland sur mes lèvres. J’ai commencé à jouer avec la langue sur son gland puis à l’avaler doucement. Au même moment, j’entendis Fabienne pousser un long gémissement. Elle tenait fermement la tête de Cathy entre ses cuisses. Elle cambrait les reins et on voyait son ventre se contracter au rythme de son orgasme. Elle avait encore des soubresauts quand Cathy partie à son tour. Michel avait accéléré le rythme de son va et vient.
Je suçais doucement le gland de Franck tout en regardant ce qui se passait devant moi. Les filles s’étaient maintenant allongées pour récupérer leur esprit et souffler un peu. J’avais replié mes jambes pour leur laisser un peu de place et j’offrais ainsi bien en vue ma chatte bien humide. Alors que je levais les yeux pour regarder Franck, Fabienne se glissa entre mes jambes. Instinctivement je resserrais mes genoux. Je n’avais jamais imaginé me laisser caresser par une femme mais Franck qui sentit ma crispation posa sa main sur mon genoux et doucement exerça une pression comme pour l’écarter. Je ne quittais plus des yeux le visage de Franck, comme si je ne voulais pas voir cette bouche féminine se collait à ma chatte. Sa langue parcourue ma fente de bas en haut, puis ensuite je ressentie les doigts qui écartaient mes lèvres jusqu’à découvrir mon clito déjà bien gonflé. J’avais encore de la braise dans le bas ventre et quand la langue vint titiller mon bouton alors que 2 doigts étaient entrain d’explorer l’entrée de mon vagin, le feu reprit de plus belle. Le plaisir fut telle que pour ne pas crier, j’avalais la queue de Franck jusqu’à que son gland tape dans ma gorge.
J’étais maintenant relâchée et j’écartais au maximum mes jambes. Fabienne m’aspirait le clito, enfonçait et faisait tourner ses doigts dans mon vagin. A chaque montée de plaisir, j’avalais Franck jusqu’à la garde. Je ne l’avais toujours pas quitté des yeux, si bien que je n’ai pas tout de suite vu qui caressait et léchait mes seins. J’ai arrêté de pomper Franck quand j’ai senti que j’allais jouir. J’ai seulement réalisé à ce moment que Cathy me caressait également.
Quand j’ai explosé, je n’ai pas pu m’empêcher de crier. Je n’avais jamais eu un orgasme aussi violent. Je crois même avoir perdu connaissance quelques secondes et il m’a fallu 2 ou 3 minutes pour redescendre sur terre. J’étais étendue, reprenant petit à petit mes esprits. Je cherchais Franck du regard. Il était allongé un peu plus loin près de Régis. Fabienne et Cathy étaient penchées sur leurs bites. Elles passaient de l’une à l’autre régulièrement. Michel était assis à coté de moi. Il contemplait la scène tout en se masturbant lentement. Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai glissé jusqu’à lui et j’ai empoigné son membre pour le branler puis je me suis mise à genoux entre ses jambes avant de me pencher et de me mettre à le sucer. Je pouvais ainsi mieux enfoncer sa queue dans ma gorge.
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