J’étais dans un état second, sur un nuage, dans du coton, juste une envie de flotter, de rester là sur ce transat.
Elle déposa un baiser sur mes lèvres et s’étendit sur le ventre sur son transat en me disant que c’était à mon tour de la masser. Je me plaçais sur le côté, sa peau était douce, souple, après la nuque, les membres supérieurs, le dos et les hanches, mes mains se posèrent sur ses fesses, c’était la première fois que mes mains touchait un cul et quel cul, il était divinement proportionné, deux lobes majestueux à la peau également douce et qui roulait très malléable sous mes doigts, Tante Annie roucoulait, manifestement satisfaite du traitement puis mes mains passèrent à l’intérieur des cuisses, je sentis son bassin se lever légèrement, et descendirent sur les jambes et les pieds.
Mon sexe était de nouveau dressé, elle le vit quand elle se retourna sur le dos, c’est beau la jeunesse me dit-elle, mon regard se porta sur sa poitrine et sa toison entretenue brune, sa main caressa mes couilles puis ma queue, mon érection durcit un peu plus.
Après le haut du buste, je posais mes mains sur sa poitrine, un sein dans chaque main, ils étaient doux comme du velours, lourds en forme de poire, les tétons légèrement dressés, qui se durcirent quand j’entrepris sous les conseils de ma marraine de les caresser d’abords puis de les peloter et à sa demande de pincer ses tétons.
_ C’est bon continu, pince plus fort, tu peux les sucer aussi, les mordre, pareil pour les seins.
Sa main ne restait pas inactive, de la caresse passait à la branlette, douce, lente, les miennes descendirent sur le ventre puis encore à l’intérieur des cuisses, passant sur les aines, Annie sursauta.
_ Place toi à mes pieds, ce sera plus confortable pour toi.
Tandis que je me déplaçais, elle changea de position, ces fesses pratiquement au bord du transat, elle replia ses jambes sur sa poitrine.
_ Je suppose que c’est la première fois que tu vois un sexe de femme d’aussi près.
Je lui répondis par l’affirmative.
Elle écarta les lèvres de sa chatte.
_ Tu vois moi aussi je suis excitée, je mouille, délicatement passe un doigt entre les lèvres, vers le petit bouton placé plus haut, caresse le lentement.
J’écoutais et m’appliquais au mieux
._ C’est parfait, tu te débrouille très bien, c’est bon tes caresses, maintenant la même chose avec ta langue. Titille mon clito doucement, tu peux aussi l’aspirer
Ce que je fis, ce qui fis sortir son bouton d’amour de son capuchon, je m’enhardi en mettent un doigt à l’intérieur de sa chatte, qui suintait puis mouillait complètement. Je bandait tellement que ma queue me faisait mal, j’avais envie de me branler.
_ C’est divin, viens je vais te sucer.
Elle est sublime ta bite dit-elle et pris tout entier mon membre dans sa bouche, après quelques vas et viens elle ouvrit grand la bouche libérant un flot de salive sur ma bitte. Annie me demanda de me replacer à ses pieds.
_ Fais coulisser ta queue sur ma chatte et entre la doucement , là où tu avais ton doigt.
J’enfonçais mon membre dans cette grotte tant rêvée, jusqu’au couille.
_ Je la sens bien, fais des va et viens
Je fis des allers retours lentement, trop au goût de ma tante.
_ Accélère et donne des coups de reins plus francs.
Ce que je fis mais qui eu pour résultat de me faire jouir dans la chatte d’Annie.
_ Ton sperme coule à flot en moi, je le sens. Tu as aimé.
_ Bien sur que j’ai aimé tata et toi?
_ Oui j’ai aimé, même si je n’ai pas jouie mais ce n’est que partie remise, tu as été un bon élève, tu as du potentiel, ta queue est divinement bonne, j’ai ressenti de bonnes sensations. Tu n’es plus puceau. Viens me faire un baiser.
Je me relevais, ma queue avait retrouvé sa taille normale, me mis à genoux et me penchais pour la bise, elle pris mon visage dans ses mains, posa ses lèvres sur les miennes, sentant sa langue caresser les miennes j’ouvris instinctivement ma bouche, nos langues se rejoignirent pour un baiser langoureux, suave, mouillé.
Ainsi débuta ma vie sexuelle.
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