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Mes jeux secrets avec les vieux

Mes jeux secrets avec les vieux



J’ai tardé à comprendre pour quelle raison j’éprouvais de l’attirance pour les hommes âgés. C’est ma mère qui m’a livré une piste précieuse, le jour où elle m’expliqua qu’elle avait eu une relation avec son grand-père, de ses onze ans jusqu’à la mort du vieil homme survenue quand elle avait vingt-deux ans. Je n’avais pourtant pas attendu d’être informée de cette histoire pour aimer coucher avec des vieux. Et c’est une psychologue qui me donna une autre piste importante, un peu plus tard, quand elle me parla de la transmission inconsciente des traumatismes de générations en générations. Cependant, ma mère fut claire sur ce point : sa relation avec son grand-père n’avait rien eu de traumatisant, bien au contraire selon elle. Elle avait même beaucoup souffert de sa disparition.
En connaissance de tout cela, je n’ai pas pour autant cessé de fréquenter des hommes âgés. J’ai aujourd’hui vingt-huit ans, et ma première relation sexuelle avec un vieux remonte à l’année de mes onze ans. J’ignore avec combien d’hommes de soixante ou soixante-dix ans j’ai couché entre temps. Je n’ai jamais compté.

Internet est pratique quand on est une jeune femme et qu’on a ce genre d’attirance. Il suffit de s’inscrire sur des sites de rencontres et d’attendre des sollicitations. Et j’aime autant vous dire que j’ai l’embarras du choix. Mais je ne réponds à aucun homme âgé de moins de cinquante-cinq ans.
Ma dernière expérience date de la semaine écoulée, avec un homme de soixante-et-onze ans, divorcé, qui vit à cinq minutes de chez moi à pieds. Nous avons dialogué pendant quelques soirs ensemble avant que j’accepte une invitation à dîner chez lui. Il s’appelle Paul et nous avons prévu de nous revoir sans tarder. Paul ne voit aucun inconvénient à ce que je couche avec d’autres hommes âgés en parallèle. Il trouve même cela plutôt excitant.

Mon premier vieux avait commencé par des attouchements prudents. Il s’appelait André. C’était un prof de maths à la retraite qui me donnait des cours chez lui chaque samedi matin. J’aimais qu’il me fasse des caresses. Je le lui disais. Dans les cheveux, le long des bras, dans la nuque. J’aimais aussi les bisous qu’il me faisait, sur le front, sur les joues, puis sur la bouche, avec la langue.
Par la suite, j’ai terriblement aimé qu’il suce mes minuscules seins et enfouisse ses vieux doigts dans ma culotte pour me masturber. La nudité n’a pas beaucoup tardé. Elle s’accompagna de fellations, de longs cunnilingus, puis de relations sexuelles dans le lit d’André.
Je me sentais rassurée, nue contre lui. Il était bienveillant et plutôt doux avec moi, même s’il arrivait qu’il me glisse des injures à l’oreille pendant qu’il me pénétrait. André fut également le premier vieux à éjaculer sur ma langue et au fond de ma bouche.

Me mettre toute nue devant un vieux m’a toujours procuré des sensations inouïes, sans doute parce que je sais que ce n’est pas bien de faire ça, que ce n’est pas bien raisonnable, ni très naturel.
Me faire toucher est une chose, mais rien n’égale le plaisir que j’éprouve en dégrafant mon soutien-gorge sous les yeux d’un homme âgé, sinon peut-être le fait de baisser ensuite ma culotte pour lui montrer mon cul ou ma chatte, ces gestes qui signifient qu’il dispose de moi à sa guise.
Les doigts d’un vieux à la jonction de mes cuisses ou de mes fesses me font immédiatement mouiller. Sa langue aussi, à n’importe quel endroit de mon corps, mais avec une préférence pour mon anus, j’ignore pourquoi.

Il m’est plusieurs fois arrivé de rencontrer des vieux qui ne parvenaient plus vraiment à bander, ce qui ne les empêchaient pas d’éprouver du plaisir à me tripoter, à m’embrasser et à me lécher.
Quelques-fois, je me suis enfoncée des bites plus ou moins molles entre les cuisses, en les guidant correctement. Quelques-fois aussi, des vieux qui bandaient mou sont parvenus à éjaculer, à force que je les laisse me toucher et que je les excite avec mes gestes ou mes paroles.

Je me souviens d’une expérience très touchante avec un homme qui devait avoir soixante-dix ans. Il n’avait jamais eu le plaisir de partager de moments complices avec sa propre fille, ni avec ses petites-filles par la suite. Toutes lui avaient tourné le dos et, en communiquant avec moi par Internet, il se réjouissait à l’idée de pouvoir prendre dans ses bras une fille de mon âge. J’avais alors seize ans, et j’avais accepté de jouer le rôle de la petite-fille de cet homme, pour lui faire plaisir.
Seulement voilà, j’ai tardé à me rendre compte qu’il n’avait pas d’idées perverses derrière la tête. Son seul souhait consistait à passer du temps avec moi, chez lui ou ailleurs. A marcher avec sa « petite-fille » dans des jardins publics ou dans la campagne, ou en l’invitant au restaurant et en lui faisant des cadeaux. Alors quelle ne fut pas sa surprise le jour où j’ai approché ma bouche de la sienne, pour l’embrasser. Je me souviens du mouvement de recul qu’il a eu, et de l’étonnement dans ses yeux.
Il a dû me dire quelque-chose comme :
« Mais qu’est-ce que tu fais, ma petite chérie ? »
Et j’ai dû lui répondre :
« J’avais envie de t’embrasser comme ça, mon papi. »
L’étonnement passé, il m’a laissée l’embrasser à nouveau, car j’avais mes propres envies, tandis que celles de ce monsieur m’avaient échappé. Ce qui n’empêcha pas pour autant qu’on aille un peu plus loin dans nos gestes ce jour-là : d’autres baisers avec la langue, puis des caresses. Mes mains dans l’ouverture de la chemise de ce vieux monsieur que j’aimais beaucoup, puis les siennes qui ont fini par se glisser sous mon t-shirt, jusqu’à mes seins qui étaient nus sous le tissu.
Et ainsi de suite, jusqu’à ce que me mette toute nue devant lui, sous ses yeux stupéfaits, au bord de cet étang isolé où nous avons eu une relation sexuelle ensuite. Il n’en revenait pas, je me souviens.
Un peu plus tard, tandis qu’on se rhabillait, il m’a dit :
« L’envie de m’avait pas effleuré l’esprit avant toi, ma petite chérie. »

Je me souviens aussi d’un vieux qui s’appelait Claude, avec qui j’avais déjà couché plusieurs fois le jour où il m’a demandé si j’acceptais qu’il me présente un ami à lui. J’étais à peine majeure. J’avais déjà cessé de compter le nombre d’hommes âgés qui m’avaient sautée. J’ai accepté la proposition de Claude et, quelques jours plus tard, je me suis retrouvée à quatre pattes dans un canapé, à poil, à sucer la queue d’un vieux pendant qu’un autre me défonçait la chatte, sans préservatif. Nous avions bu un champagne hors de prix ce soir-là, en écoutant de la musique classique.

Mais je ne chasse pas que sur Internet. Il m’arrive de me faire aborder quand je sors me promener. Dans la rue, c’est assez rare. C’est beaucoup plus fréquent dans les jardins publics, notamment en pleine semaine. Les enfants sont à l’école et leurs parents travaillent, ce qui laisse toute la place aux retraités. C’est là que je chasse. Surtout aux beaux jours.
J’aime étudier mes tenues avant d’aller me promener de cette façon. J’en essaye plusieurs, devant ma glace, avant de me décider. J’emmène un livre avec moi et je choisis un parc où m’asseoir seule pour bouquiner. J’aime porter des robes légères à ces occasions. J’en possède toute une collection. Des robes, des jupes courtes, des chemisiers semi-transparents, parfois des mini-shorts et des petits débardeurs moulants, sans soutif. Quelques-fois, il m’est arrivé de ne pas mettre de culotte.
En général, je me fais vite repérer, mais les vieux tardent à s’approcher. Ils passent une fois non loin de moi, en me regardant, puis ils s’éloignent. Ils reviennent, ils repartent. Je les intrigue. Ils passent encore, m’adressent des regards insistants, voire des sourires, et dans ce cas je leur réponds.
Certains s’avancent alors vers moi et me saluent poliment. J’accepte qu’ils s’assieds à mes côtés et nous discutons, de choses et d’autres, l’air de rien. Au bout d’un moment, ils me complimentent sur ma tenue. Les choses se passent souvent de cette façon. Sur ma tenue ou sur mon visage. Sur ma jolie peau et sur mes jolies cuisses.
Le plus souvent, l’histoire se poursuit dans un lit, mais il m’est arrivé quelques-fois de sucer des vieux dans les bosquets d’un parc, et même de me faire prendre à poil dans les sanitaires, debout dans une cabine de chiottes.

J’étais en classe de première le jour où un vieux s’est approché de moi dans un jardin public situé tout près du lycée. Il s’est arrêté à deux mètres du banc où j’étais assise et m’a saluée. On a parlé pendant quelques minutes, puis il a fini par m’expliquer pour quelle raison il venait dans ce parc. Il me l’a dit sans scrupule, sans filtre, en ces termes :
« J’aime que des filles jeunes me regardent me masturber. Je ne leur demande rien d’autre que ça. Je me masturbe en les regardant, en leur parlant à voix haute si elles acceptent, puis j’éjacule devant elle et je m’en vais. »
C’était son truc.
Nous en avons parlé pendant quelques minutes, puis je lui ai dit que j’étais d’accord pour le suivre jusqu’à un endroit discret, à l’abri des regards. Sur place, je me suis assise dans l’herbe et le vieux a sorti sa queue. Il s’est mis à se branler et j’ai accepté qu’il me parle. Qu’il fasse des allusions à mes seins qui pointaient sous le tissu de ma robe, à mes jambes magnifiques, ou seulement à mes yeux et au dessin de ma bouche.
Il fut assez surpris à un moment donné que je relève ma robe pour lui montrer ma culotte, puis pour ouvrir mes cuisses et me masturber par-dessus le tissu. Encore plus surpris que je finisse par enlever la robe, la culotte, et que je me couche sur le dos, dans l’herbe, les cuisses écartées.
Quelques secondes plus tard, en me pénétrant sans préservatif, il me confia que c’était la première fois que cela arrivait. Des filles jeunes s’étaient laissées regarder par ce vieux monsieur, parfois, mais jamais aucune n’était allée jusque-là. Quand je lui répondis que j’avais une forte attirance pour les hommes âgés, il s’est retiré de ma chatte et a éjaculé violemment sur mon ventre. Une giclée atteignit même mon sein gauche.

Mais l’heure tourne, je le regrette. J’ai rendez-vous dans trente minutes avec un prénommé Jean-Charles, un voisin de mes parents. Il est veuf et plutôt sympathique comme homme. Un ancien policier, âgé de soixante-quatorze ans. J’ai fait sa connaissance le week-end dernier, lors d’un repas où mon père l’avait invité parce qu’il lui avait rendu je ne sais plus quel service.
Peu après le dessert, pour débarrasser la table, je me suis levée et penchée en avant, de sorte à ce que Jean-Charles voit mes seins nus dans l’échancrure de mon chemisier. Un peu plus tard, il est venu discuter avec moi dans le jardin où je m’étais installée pour bouquiner. Mes parents étaient en train de faire la vaisselle, et Jean-Charles, qui avait bien bu au cours du repas, a fini par s’aventurer à me complimenter sur ma jolie petite robe de printemps.
Je lui ai répondu en souriant :
« Merci. Vous êtes vraiment gentil. »

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