Acte troisième: Mon Maître me tire par la laisse et me dirige vers la salle spéciale BDSM qui comporte une crois de Saint-André. Mon cœur s’affole, je vais être attachée et ne pourrai pas m’échapper. Que va faire de moi mon Maître. Il me plaque dos au mur. « Écarte les les bras, au dessus de ta tête! » Je lui obéis avec appréhension. Il commence à m’attacher la main droite dans une sangle de cuir, puis la main gauche. « On passe aux jambes, écarte moi ça! » J’écarte mes jambes gainées de bas, il m’attache les chevilles l’une après l’autre. Je me retrouve attachée, écartelée, sans possibilité de fuite. Je tremble un peu, mais je me sens délicieusement soumise et pute. « Je t’enlève ta petite culotte! » Il baisse autant que possible ma petite culotte de dentelle le plus bas qu’il peut, mon sexe commence à grossir, mais je bande mou, trop angoissée pour durcir du clitoris.
3Je reviens tout à l’heure! » Il ouvre la porte de la salle, la laisse entrouverte et s’en va, me laissant seule, à la merci de tous les mâles présents dans le club… Au bout de quelques instant, il revient avec un jeune homme, grand, bien foutu, au sexe déjà bien raide, et au calibre intéressant! « Allez, sois pas timide, fais en ce que tu veux, elle s’appelle Laurence et est à ton entière disposition! » « Je peux la sucer, son clito est tout mignon! » « Pas de problème, fais moi jouir cette salope!!! »
Le jeune homme se penche, me glisse une capote avec difficulté sur mon clito encore mou, et commence à me pomper délicieusement. Je me me met à pousser des petits cris de femelle, je couine et je halète, les ondes de plaisir me traversent. Pendant ce temps, Maître me titille le bout des seins, me les mordille, puis de plus en plus fort, me les pince, les malaxe, les tire. Je pousse de petits cris de jouissance et de douleur mêlés, mon sexe se gorge de sève. « Tu vas jouir ma salope? Vas-y, lâche toi, remplis la capote de ton jus! » « Désolé, Maître, je ne peux pas jouir! » « Et bien comme punition, tu vas t’occuper de monsieur, et tu as intérêt à t’appliquer! »
Il me détache, le jeune homme s’allonge sur le dos, enfile une capote. Mon Maître me fais agenouiller, puis je prend le sexe dans ma bouche, je le suce avec tendresse, la langue le long des couilles, attaquant la raie des fesses. Je pompe de plus en plus vite. « Allez, vas y salope, pompe, et mieux que ça! » Pendant 10 bonnes minutes, je m’active, aspirant, léchant, suçant, pointant ma langue. Pas de résultat cependant.
« Allez, on arrête, on va maintenant passer aux choses sérieuses, vraiment sérieuses! Attendant moi, je vais chercher un peu de matériel! »
Acte quatrième: Mon Maître revient au bout de quelques instants, ce qui m’a permis de me relâcher un peu après ces longues minutes de fellation. Je vois mon Maître revenir avec des liens, des petites cordelettes en nylons de couleur blanche. Je sens que ça va être ma fête! « Allez, on descend en bas!, plus vite! » il me dirige vers la salle à glory hole. « Allonges toi sur le ventre! » Je m’exécute, je frémis d’inquiétude et cependant je me sens partir complétement. Pour ceux qui pratiquent la soumission, vous devez connaître ce moment merveilleux de lâcher prise, pendant lequel vous abdiquez toute volonté pure, toute votre attention est axée vers la douleur et le plaisir mêlés à venir, tout tendu vers la satisfaction de votre Dominateur. Le corps tremble, on se sent angoissé, mais complètement libre et excité! C’est sublime!
Je m’allonge sur le ventre. Il me prends les poignets, les rabat dans mon dos, les croise. Il prend un lien (enfin je suppose, je ne vois rien, la tête enfouie dans le matelas), il commence à me lier les poignets dans le dos. Puis il enlève ma culotte complètement et la pose sur mon dos. Il m’attache ensuite mes chevilles ensemble. Je ne peux plus écarter ni bras, ni jambes. Mais ce n’est pas suffisant. Il prend un autre lien et relie entre eux mains et pieds: je suis entièrement entravée, à la merci de toutes les humiliations et les mauvais traitements. Il saisi mes couilles sans ménagement et commence à les malaxer, la douleur est intense, mais supportable. Il commence alors à enrouler un lien entre mes couilles et mon clito, fais un tour, puis deux et ainsi de suite jusqu’au moment où mes couilles sont séparées de 5 bons centimètres de mon clito, les rendant sensibles et douloureuses.
« Allez-y, servez vous, Laurence est pour vous! » lance-t-il à la cantonade. Un homme s »approche, s’agenouille, et commence à tirer sur le lien de mes couilles, provoquant une douleur croissante, puis forte et violente! Pendant 5 minute, il va alterner pression et relâchement, tension et caresse, me faisant passer par tous les états de plaisir.
Suite de cette expérience réelle très bientôt. Merci pour vos commentaires, cela me motive pour vous faire partager cette superbe expérience.
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