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Le début d’une autre vie

Le début d’une autre vie



Voilà, j’y ai pris goût, goût à ces moments que nous pourrions qualifier de débauche, de baise ou de tout autre terme symbolisant un acte sexuel hors d’une normalisation que la société entend.
Depuis cette rencontre, je n’arrête pas d’y penser. J’entends souvent dire, le peu d’amie que j’ai, que les hommes ne pensent qu’à ça. Il n’y a pas qu’eux. L’été 2014 a été une explosion de sexe, et l’année 2015 celle de la révélation. Je n’avais plus qu’une chose en tête, voir des hommes jouir, mes narines ne respiraient que l’odeur du sperme, cette odeur vinaigrée de sexe, bref… chaque instant était un prétexte au sexe. Je me suis installée sur plusieurs sites que nous qualifierons de coquin mais qui en réalité ne sont que des refuges à hommes seuls, dispos la semaine, absents le week-end et pensant que notre agenda doit être le leur. Quelques couples sont harcelés mais sont-ils réels… ?

Ainsi je voguais, je voyageais, et maintenant libérée. Laxou.

J’avais une réunion interprofessionnelle à Laxou en semaine et pour l’occasion, je prenais une auto de mon entreprise afin de m’y rendre. La réunion étant à Laxou, le responsable logistique me demandait si je pouvais la déposer dans un garage dans cette même ville. Aucun problème pour moi. Le soir, mon petit cerveau tourbillonnait. Mon corps bouillait, seule à cette réunion, avec une auto du boulot, j’étais incognito. Et sur Nancy ! La douche fut longue ce soir là, et la nuit agitée. 5h, les yeux écarquillés, mes tétons me font mal. Oui, je suis excitée.
Je me lève, boit mon café et prépare mes affaires… Chemisier et jupe en jean, point à la ligne. 7h je pars, sur la nationale qui me mène à Nancy, je relève ma jupe, ce qui n’est pas pour déplaire à mon frifri. Un appel de phare et je réponds par un coucou dans le rétro.
J’arrive au garage et me présente au nom de mon entreprise. Oui, bien sûr, bonjour Madame, installez-vous. Pédigrée de l’auto, carte grise, et hop, si vous pouviez la rentrer au box 5. Bien, je l’avance sur un portique métallique et un jeune technicien vient m’ouvrir la porte. Oups… et il ne sait plus où ranger ses yeux… et le sang lui monte au visage. Mon petit minou imberbe ne demanderait qu’à être caressé, mais… ces doigts pleins de cambouis. Otons ces pensées, j’ai 5mn de marche. Je remonte vers le McDo et traverse ce pont, je regarde les voitures passer en dessous et mon imagination reprend le dessus. Je m’arrête quelques instants. Un coup de klaxon. Vite, vite, 7h50, j’ai rendez-vous à 8h00. J’entre dans la salle de réunion, plusieurs collègues d’autres sites sont là, salut, bonjour, bla, bla, bla, oh tu es jolie, rayonnante, ça à l’air d’aller, gna gna gna… La réunion débute, et je surfe sur mon téléphone. Quelques messages hasardeurs et me voici dans l’idée de me rendre dans une zone à proximité pour midi, histoire de matter, car nous savons que ce lieu est propice aux mateurs et exhibs… La réunion est longue.

11h45, je récupère mon auto, je ne revois pas le technicien mais les regards derrière la vitre en disent long. Je souris. Je file, une petite salade rapide et me voici garée dans cette zone de jeux. Je marche et découvre le site. Certains coins sont déserts, d’autres remplis d’enfants, il y a un club de tennis, quelques hangars occupés, d’autres non. Et des voies sans issues. Des sentiers entretenus et propres, quelques joggeurs. Benoîtement, je n’ai pas uriné de la matinée, et je décide de soulager ma vessie derrière un de ces hangar, près d’un chemin sans issue et à l’abri des regards directs. Je relève ma jupe et le jet translucide me soulage. Le coin est sympa, je m’essuie sommairement, et mes deux doigts jouent… je suis excitée, mon minou est trempé d’un mélange subtil de mouille et d’urine. Je redescend ma jupe, juste ce qu’il faut pour sentir un léger courant d’air qui caresse ma chatte.
Je marche ainsi, je croise un coureur, pas intéressé, plus par son chrono. Je sors d’un petit bois et j’aperçois un gros type, l’archétype du mec de bureau, chemise et jean foncé, en train de se soulager, juste en face de moi, je l’observe et m’en approche, qui ne tente rien n’a rien. Son sexe n’a rien d’exceptionnel, mais je ferais tout pour jouer avec, il me voit, il regarde à droite, à gauche, sa chemise rouge déteint sur son visage, je relève ma jupe et très rapidement, il range son attirail et s’enfuit. Je suis dépitée… les hommes ne sont pas si cochons. Je m’assieds sur un banc au soleil et ouvre mes jambes, adviendra ce qu’il adviendra. Un couple certainement illégitime vient s’enlacer à 50m de moi mais rien de plus. Je suis déçue.
Je reprends mon auto car le travail m’attends. Mais je sais que mon petit derrière n’attendra pas. Un SMS à un bon ami. On boit un café ?
Pas de réponse…
La route est longue.
Je retourne à mes papiers. Le petit oiseau chante :
« oui 17h00 ? Bar-le-Duc ? »
« Oui »
16h45, je quitte mon bureau. Un tour aux toilettes. Je fais sauter un bouton.
« Cafétéria Casino »
Intéressant, parking couvert à étage, je me dépêche. Je repère son auto, elle est vide. Je sors de mon auto, IL est là, derrière un pilier, il m’observe, je lui souris, il me souris, les papillons arrivent. Nous nous embrassons. Ca va ? Oui me répond-t-il. Il me met la main sous la jupe et il me dit « toi ça va aussi ». Je me courbe, j’acquiesce. 3 doigts viennent d’entrer, je suis trempée, je vais jouir. 4 doigts, et mon cri résonne dans le parking, ça coule et ça coule, mes abdos sont serrés, mes cuisses tremblent.
« ça va mieux ? »
Je n’ose lui répondre, le sol est mouillé, cela me coule le long des cuisses, mes chaussures font squich squich…
« allons boire ce café ». Toujours impassible. Nous entrons dans la cafétéria, j’ai l’impression de me faire dévisager, mes jambes sont luisantes, ma bouche est sèche, mon sexe est ouvert, j’ai envie… 2 cafés gourmands, nous nous asseyons, il passe sa main sous la table, il me fouille à nouveau. Je bois mon café. Nous discutons de tout, de rien, je lui explique ma matinée, il comprend mieux mon état. Il se lève, retire nos plateaux et se rend aux toilettes. Je suis seule là. Si je me lève, il va y avoir une auréole visible sur ma jupe. Je ne sais que faire.
Je me lève d’un coup, traverse la salle et me rend aux toilettes. La porte des hommes est ouverte, j’y jette un œil et je comprends. Je suis attendue. Il est de 3/4 au dessus des sanisettes, le sexe veineux, il m’attend. Ce coup-ci, c’est moi qui l’observe. Ma jupe a effectivement une auréole, je la vois dans la glace. Nous entendons du bruit. Je m’engouffre dans les toilettes. Nous monopolisons les toilettes handicapés. Il ouvre mon chemisier, me pétrit les seins. Il relève ma jupe, m’installe sur le WC et me dévore le minou. Je jouis à nouveau. Il m’empale sur son sexe dressé, oh que c’est bon. Cela ne dure pas longtemps mais c’est intense, il se vide en moi et je le nettoie. Mon minou recrache sa semence. Nous nous embrassons. Nous nous quittons, je rentre à la maison.

Je prends ma douche, quel pied… J’adore.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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