Le soir comme convenu, je me rends chez Carla. Je suis impatiente de me retrouver avec elle mais me demande ce qu’elle voulait dire quand elle me parlait de surprise. Pour les circonstances, je suis en robe moulante courte et décolleté.
Je respire un bon coup et frappe à la porte. Quand Carla m’ouvre, je suis fébrile et dis timidement un petit bonsoir.
Je sens une sorte de regard de dominateur. Quand j’arrive dans le salon, je ne suis pas seule. Christian, mon mari et des inconnus sont là. Les regards posés sur moi sont oppressant. Carla veut me mettre à l’aise.
« Michèle, je te sens crispée. Pourtant c’est toi qui a souhaité venir à cette soirée. Ce soir tu va être l’invité principale. Tu sera notre chose. Si tu veux tout arrêté du dis « rouge ». C’est le seul mot qui me fera stopper ton traitement. Tu es partante ?»
« Heu,,,, Je ne sais trop ? Je pensais passer la soirée avec toi ? »
« He bien tu es avec moi ! Alors es-tu prête à nous obéir en tout ? »
J’hésite vraiment. Mais le fait que mon mari et Christian soient présent me rassure.
« Bien… Heu Ok mais je dis « ouge » si ça va trop loin. Je te fais confiance. »
Elle me sourit satisfaite et m’explique :
« Pour commencer, nous voulons nous rendre compte si tu veux réellement te soumettre. Mets-toi nue et à quatre pattes va embrasser l’entrejambe des hommes présent en leurs disant que tu est une chienne à leurs dispositions »
Tête baissée, je me déshabille et me met à quatre pattes. Je fait le tour des mâle en embrassant leurs entrejambes et en leurs disant :
« Je suis votre chienne à votre disposition ! »
L’humiliation me met une boule au ventre mais je mouille comme jamais.
Mon mari me dit :
« Bien , je suis satisfait de ce que je vois. Je remarque que tu es obéissante. »Un des invité félicite mon mari.
« Elle a de très belles mamelles avec de longs tétons. Très bien pour y mettre des pinces. »
Christian m’ordonne :
« Caresse toi lentement tout en nous regardant. C’a t’excite ma cochonne , je vois que tu es toute mouillée. »
Je les regarde et malgré la honte, je me masturbe devant eux. Je me caresse lentement. Carla prend son smartphone et immortalise le moment. Mon clito est déjà tout dur et mes lèvres intime perlent de cyprine difficilement contenue. Je suis excitée et le plaisir naissant, je ne me préoccupe plus de ce qui se passe autour de moi. Je suis déjà à la limite de la jouissance.
Carla interrompt ma jouissance en me lançant :
« Bon ! Ca suffit ! On dirait une chienne en chaleur ! »
A contre cœur et frustrée, j’arrête ma masturbation alors que j’étais à deux doigts de jouir. J’en pleurerais tant j’avais envie de jouir. Elle continue en disant :
« Avec l’accord de Christian et ton mari, nous allons parfaire ton éducation de soumise Michèle ! Nous allons te dresser et t’apprendre à souffrir pour le plaisir des hommes. Nous allons faire de toi une soumise docile toujours prête à s’offrir à qui voudra t’utiliser et servir d’objet de plaisir pour faire honneur à ton mari et à Christian. »
J’écoute sans mot dire. Je suis si excité que j’accepte tout de ce que Carla me raconte.
« Allonge toi sur la table ! »
Au lieux de me mettre sur le dos, je me mets à plat ventre. Ainsi placée, mes fesses sont offertes et je commence par me faire sévèrement fessée pour ne pas avoir compris que s’était sur le dos qu’on voulait que je sois. Ensuite on, m’attache sur le dos. Je me retrouve totalement offerte et sans défense. Je ne bronche pas et serre les dents. Puis c’est Alain qui ouvre le bal et commence à me rougir les fesses au martinet en augmentant la force des coups progressivement. Il passe l’ustensile à Christian qui amplifie les coups pour m’entendre crier. N’y tenant plus, je me mets à crier à chaque coup ce qui ravit l’assistance. Mes fesses prennent une jolie couleur vermillon.
Christian arrête de me fouetter et on propose à un des spectateurs de venir tester mon degré d’excitation en plongeant ses doigt dans mon vagin. Il constate que je dégouline de cyprine et fouille de mon coquillage pour me faire gémir de plus bel. Un autre se lève et décide de s’attaquer à ma rosette. Il stimule ma zone anale et pénètre l’anneau étroit de deux doigts. Je me crispe mais le laisse faire. Comment pourrait-il en être autrement d’ailleurs.
Pendant que ces deux inconnus fouille mon intimité, doucement, Carla parcours mon corps avec les lanières du martinet. Je ferme les yeux. Les lanières glissent sur mon seins gauche. Elle joue avec moi. Elle m’embrasse dans le cou, me faisant un magnifique suçon que j’aurais du mal à cacher pour me rendre au travail. Ma respiration se fait rapide. Elle se met à durcir ses caresses en malaxant mes seins. Elle pince mes tétons, les tortilles, les étires, alors que je suis fouillée par ces mains masculines devant les yeux de mon mari et de Christian. Je cris à la morsure des pinces qui écrasent mes tétons dressés.
Les mecs bandent comme des fous. Je résiste à la douleur et à cet orgasme insidieu et honteux qui monte en moi.
J’en entends un qui dit :
« Pour une débutante, elle a de l’endurance. »
Les coups pleuvent à nouveau aux endroits les plus intime et sensibles. J’ai une fierté mal placé et ne veux pas dire le mot fatidique « ROUGE ».
On arrête de me fouetter et c’est la curée. Les queues m’enfilent par tout les trous. Un des inconnus me met sa queue dure comme du bois au fond de la gorge et me baise la bouche, pendant que deux autres me prennent la chatte et le cul. Le quatrième tente de rentrer sa bite dans mon vagin déjà pris. Je suis dans un autre monde. Carla elle ne reste pas inactive et balance les photos avec son smartphone sur le net en commentant le spectacle.
Celui qui me baise la bouche éjacule au fond de ma gorge et j’avale avec gourmandise. Les autres suivent rapidement. Carla maintenant s’occupe de moi et me fait jouir en me broutant le minou et en se délectant du sperme qui coule de mon cul et de ma chatte béante. Je hurle tant dans mon orgasme est violent et je m’en évanouie. On me détache. Je suis dans un état second . Je me tourne vers Alain et Christian avec un sourire béat pour dire :
« C’était merveilleux. Malgré cette v******e et les douleurs à la limite du supportable, je n’ai jamais autant joui. »
Quand Alain me raccompagne à la maison, avant de me coucher, je regarde mes messages pour m’apercevoir stupéfaite que je me retrouve avec des centaines de folowers suit aux photos de mes ébats.
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