Le lendemain, Beatrice vint à la maison vers 14h, pour prendre le café, puis ensuite rentrer chez elle avec Fabrice. Elle posa des questions, pour savoir si le week end s’était bien passé, pour je proposais à Fabrice d’aller à la piscine.
– Pas longtemps alors, fit Beatrice.
– Pourquoi ? demanda ma mère. Nous pourrions très bien y aller tous ensemble. Il y a peu de monde en ce moment, et il fait tellement beau.
– Je veux bien, mais je n’ai pas de maillot, fit Beatrice.
– Attends, je pense que je peux t’en prêter un.
Ma mère s’absenta un moment, puis revint, en proposant à Beatrice d’essayer un maillot qu’elle avait laissé sur son lit. Beatrice fit la moue, puis, après avoir bu son café, et voyant que nous trois étions desireux d’aller nous baigner, se dirigea vers la chambre de ma mère. Elle ferma la porte derrière elle.
– J’ai envi d’aller voir, pas toi ? dis-je à Fabrice.
Ce dernier rougit et se trouva mal à l’aise.
– Depeche toi, c’est une occasion rare de voir ses seins et sa chatte, ajoutais-je.
Ma mère nous regardait sans rien dire.
Je me levais, et fit signe à Fabrice de me suivre, ce qu’il fit. Sans un bruit, nous avancions dans le couloir, jusqu’à arriver à la porte fermée. Je collais mon oeil à la serrure, et pus voir Beatrice en train de retirer son soutien gorge, dégageant une généreuse poitrine, aussi généreuse que celle de ma mère. Elle portait de la lingerie chic, certainement assez couteuse, noire, avec plein de motifs brodés et des transparences. Elle retira sa culotte noire, et pivota un peu sur elle-même, laissant voir une toison particulièrement fournie. Je me poussais un peu, et laissais la place à Fabrice. Ce dernier s’approcha et je vis son regard être totalement absorbé par ce qu’il voyait. Il resta silencieux pendant quelques instants, puis se redressa et me fit signe de nous en aller. Sans un bruit, nous sommes retournés au salon, et peu après, nous avons entendu la porte s’ouvrir, et Béatrice nous rejoint, en maillot bleu marine.
– Ca va, il me va, dit elle simplement. J’ai laissé mes affaires sur le bord du lit.
– Oui très bien, fit ma mère, vous n’avez qu’à descendre à la cuisine, le temps que je me change et que mon fils débarrasse la table. On est là dans dix minutes.
Béatrice hocha la tête, et Fabrice prit quelques serviettes, ainsi que les clés pour accéder au pool house. Dès qu’ils furent sortis, je me rendis dans la chambre, et alla voir les vetements de Béatrice. Il n’y avait que des marques. Son chemisier était un Hermès, ce qui m’impressionna. Je le mis sur le coté, pour mettre en évidence son soutien gorge et sa culotte, qu’elle avait mis en dessous de la pile. C’était vraiment de la jolie lingerie fine de qualité. J’ouvrais la culotte, et pus voir une belle trainée blanche au milieu.
– Viens voir maman.
Ma mère, qui m’avait suivi, s’approcha un peu, regarda l’interieur de la culotte. Je la portais à mon nez, puis au sien. Ca sentait fort la chatte. Je fis passer ma langue dans la trainée blanche. Puis j’invitais ma mère à en faire de même. Doucement, je la vis passer sa langue dans la culotte de son amie.
– Enfile cette culotte maman, j’ai envi de te branler dedans.
– Ca va se voir… murmura t-elle.
– Non, ne t’inquiete pas, j’ai mon idée.
– Tu es sur…?
– Maman, je n’ai pas pu te toucher hier à cause de la présence de Fabrice, j’en peux plus là, enfile la culotte de Beatrice…
Ma mère retira sa robe, en me regardant, enlevant ensuite sa culotte (elle n’avait pas de soutien gorge), puis elle attrappa la culotte de Beatrice, et l’enfila doucement. Elle lui allait parfaitement. On voyait divinement sa chatte au travers. Je posais mes doigts dessus, et me mit à frotter un peu. Ma mère ferma les yeux. Je frottais la culotte de Beatrice contre sa chatte. J’imaginais les traces de cette dernière collées contre la chatte de ma mère.
– Branle toi maman, dis-je en m’éloignant un peu.
Je fis un pas sur le coté, baissa mon pantalon et mon slip, et attrappa le soutien gorge de Beatrice. Je le plaçais autour de ma queue, et me mis à me branler avec. Ma mère s’asseya sur le bord du lit, et se carressa face à moi. Elle avait écarté la culotte sur le coté, et se touchait le clitoris avec insistance. Je m’approchais de ma mère en me branlant, toujours à l’aide du soutien gorge :
– Putain maman, tu m’excites trop.
Je me mis à me branler plus fort, juste face à ma mère. Cette dernière me regarda accélerer la cadence, et en fit de même sur son clitoris. Elle écarta les cuisses en grand. Je plaçais ma queue sur sa vulve et me laissais glisser à l’interieur, tout en m’allongeant avec ma mère sur le lit. Je sentais ses seins contre ma poitrine. Elle poussa un petit soupir quand je me mis à commencer à aller et venir dans sa chatte. Je savais qu’on n’avait pas beaucoup de temps, alors je me suis de suite à taper fort, bien à fond, et ma mère se mit à pousser des râles à chaque fois que je tapais en elle. Sa chatte était toute trempée, je glissais dedans avec aisance. Je crachais mon sperme au bout de quelques minutes, bien au fond d’elle. Ma mère m’enlassa et murmura : « oh non, pas déjà ».
– Maman, ils nous attendent à la piscine, il faut se dépecher. Par contre, regarde…
Je sortais ma queue de sa fente, et remit la culotte de Beatrice en place. Je me levais, et pris la main de ma mère pour qu’elle en fasse autant. Je l’enlassais. Elle m’embrassa sur la bouche.
– Suce moi le gland, il y a un peu de sperme dessus…
Ma mère s’agenouilla devant moi, et c’est surtout ça que je voulais qu’elle fasse. Agenouillée, les cuisses bien écartées, j’imaginais mon sperme couler de sa chatte, directement dans la culotte de Beatrice. Elle me donna des coups de langue sur le gland, très doux. Puis je la refis se lever, je lui carressais un peu la culotte, et lui descendit à mi-cuisses. Le résultat dépassait mes attentes. L’interieur de la culotte était enduit de sperme étalé, directement sorti de sa vulve. Ca s’étalait du devant de la culotte, jusqu’à l’arrière. Le pubis de ma mère était également recouvert de foutre, les poils étaient collés entre eux.
Ma mère retira la culotte, que je récuperais. Je lui fis signe de ne pas se rincer, et d’enfiler immédiatement un maillot. Elle un choisir un noir. De mon coté, je remettais les affaires de Beatrice comme elles étaient, la culotte en dessous des affaires.
On rejoignit Fabrice et Beatrice peu après, une dizaine de minutes avait suffit pour faire notre affaire. Beatrice et ma mère discuterent ensemble en bronzant, tandis que je fis quelques longueurs de piscine avec Fabrice. Je fis quelques allusions au corps de sa mère, mais Fabrice était géné d’en parler en sa présence, même si evidemment, elle ne pouvait pas nous entendre.
Après une heure environ, je lui demandais :
– Dis, ça te dérangerait de monter à l’appartement, et récuperer des pistolets à eau, ils sont dans le placard de l’entrée, on pourrait faire une farce à nos mères.
Fabrice, qui était blagueur, accepta, et je lui confiais les clés, en disant à nos mères qu’il montait un moment, sans préciser la raison exacte evidemment, mais qu’il redescendrait rapidement. Il mit en fait un bon quart d’heure à revenir, presque vingt minutes, et je dis à plusieurs reprises, à haute voix, que je trouvais qu’il mettait longtemps. Ma mère en fit la remarque également une fois. Puis Béatrice, en dernier, fit :
– Mais il ne t’a pas dit ce qu’il allait faire ?
– Non, je ne sais pas, il m’a dit qu’il voulait monter et qu’il n’en aura pas pour longtemps.
Beatrice haussa les épaules, un peu étonnée.
Fabrice revint un peu embêté. Ca se voyait sur son visage que quelque chose n’allait pas. Il n’avait pas trouvé les pistolets à eau, pourtant il avait cherché, il était déçu.
Normal qu’il n’ait pas trouvé, il n’y en avais pas.
Tout ce que tout le monde avait remarqué, c’était son absence.
On resta encore une bonne heure à nous détendre, puis nous sommes remontés tous les quatre à l’appartement. Nos mères sont parties dans la chambre, et Fabrice s’est changé dans les toilettes. En attendant mon tour, je me suis approché de la chambre de ma mère, pour regarder à travers la serrure. Ma mère était à la salle de bain et se douchait. Beatrice était nue, et avait sa culotte à la main. La bouche entreouverte, le regard fixe, elle ne lachait pas sa culotte des yeux.
Ma mère sortit de la salle de bain, et sursauta en voyant Beatrice nue.
– Ohh pardon ! fit-elle, je pensais que tu étais déjà changée.
– Non, non, là ca ne risque pas… regarde comment j’ai retrouvé…
Elle présenta avec honte sa culotte.
– C’est Fabrice… fit Beatrice. Il a fait ca quand il est monté tout à l’heure.
– Tu es sure ??
– Evidemment, tu étais avec ton fils avant de descendre, et il est resté avec nous tout le temps. Ca ne peut etre que Fabrice, quand il est monté seul…
– Attends, je vais te préter une culotte.
– Merci, je suis désolée, je te la rendrai…
– Ne t’inquiete pas…
– Je me doutais qu’il avait déjà fait ce genre de chose. Discretement. Mais, là, pourquoi a t-il fait ça ?
– Je ne sais pas quoi te dire…
– Tu réagirais comment à ma place ? Je dois le punir, je ne vois pas d’autre possibilité. C’est inadmissible.
– Question bete, mais tu as deja fait son education ? sexuelle je veux dire. Tu lui as parlé de ces choses là ? Comment on fait, … bref…
– Il sait assez de chose grace à la télé !
– Ben… justement… c’est à la télé qu’il a du voir ces choses là… et l’amour, le sexe, ce n’est pas ça. Il faudrait que tu lui en parles, mais avec douceur. Que tu acheves ton education de mere par un petit geste intime avec lui.
– Tu entends quoi par là ?
– C’est très personnel. Enfin, j’ai eu ma petite experience aussi, quand j’ai du parler de tout ça à mon fils, mais ça ne regarde que lui et moi.
– S’il te plait, ça m’aiderait que tu me dises.
– Et bien, ça lui a fait beaucoup de bien que je lui en parle. Il m’a dit qu’il regardait beaucoup de pornos sur internet, et je lui ai expliqué que le sexe devait etre quelque chose de beaucoup plus joli que ça, que ça devait etre un moment doux, de sensualité, de complicité. Je lui ai demandé de me faire confiance, et je l’ai masturbé, tout doucement…
– hein ??? wow wow wow ! tu as fait quoi ??? tu es sa mère !!
– c’est pour ca que je ne voulais pas t’en parler, mais tu as insisté. Ca a été mon plus beau moment de complicité avec mon fils. Il était d’abord très refermé et intimidé, et puis il s’est ouvert à moi doucement, il m’a fait confiance, il a eu une erection et je l’ai masturbé. Doucement. Et puis à la fin il était blotti contre moi, et j’y suis allé fort, et il a joui.
– …
– On n’en a plus reparlé, mais il ne regarde plus de porno, et il a une vie seine… Quand il a des questions, il me les pose ouvertement . Il ne fait rien en cachette, ou dans mon dos.
Beatrice saisit la culotte que ma mère lui tendait. Elle l’enfila, et s’habilla sans dire un mot.
Quand ils partirent, Beatrice ne dit pas un mot à Fabrice, mais elle le regarda avec séverité. Ce dernier ne comprenait pas trop. Elle enlassa ma mère au moment de sortir, et lui murmura : « merci pour tes conseils ».
Je les regardai tous deux prendre l’ascenseur. Fabrice baissa la tête quand sa mère lui dit d’avancer.
Je me retrouvais seul avec ma mère. Le week end se terminait.
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