Chapitre 49- De la boite à la Pink Lady
Quand Ambre arriva pour venir chercher Slutty, celle-ci couinait de plus en plus son plaisir par tous les pores de sa peau, en se tortillant maintenant d’elle-même sur la barre qui l’empalait, depuis que Sonia l’avait redescendue.
Tous ses sens étaient exacerbés par le cocktail, tandis que la crème annale avait outrageusement accentué les sensations qu’elle ressentait dans son anus dilaté par son énorme plug gonflable ,dont les picots dansaient en excitant les parois de son intimité.
Elle semblait avoir complètement oubliée ce que subissaient ses testicules.
« Qu’est ce que vous avez fait avec ces minables couilles de cette chienne, les Jumelles ! « Soupira la préceptrice, en voyant les testicules annelées de Slutty, qui étaient maintenant de la taille d’une boule de pétanque, et continuait de grossir, inexorablement .
Elle ouvrit la porte de la malle-boite .
» – MMMMMMMPPHHH!! ‘PI’IE ,MA’AME !!! A’ETEZ !!! S’I OU’ PLAI !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Supplia la pauvre Slutty, pour qu’on la libère de son supplice physique et cérébral, ne pouvant contrôler son agitation sur la barre qui l’empalait, comme en attestait son corps était en nage et ses yeux révulsés de plaisir.
« C’est la Directrice qui a voulu cela, ma chérie ! Elle a dit dans les 8 à 10 centimètres de diamètre pour pouvoir bien les bloquer, et que cette chienne découvre la joie du humbler ! »
Rigola Sofia, ayant de nouveau abandonner ses élèves, cette fois à des « modèles » vivants, qui devaient les noter et donner leur appréciations.
« Avec des petits paquets comme ceux- la, elle devra drôlement tortiller du cul pour marcher, la « Pink Lady » ! »
Se mit a rire Ambre, en tournant la malle-boite face à la glace, pour que Slutty découvre, ce dont parlaient ses tortionnaires entre elles.
» – MMMMMMMPPHHH!! ‘ON ‘IEU !!! NANNNN!! AHHHHH !!! QU’ES ‘E QUE ‘OUS M’A’EZ ‘AIT !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Hurla la pauvre Slutty, bavant abondamment sur ses seins meurtries par les pinces grelots, tandis que de grosses larmes se mettaient à couler le long de ses joues, en voyant dans la glace le reflet de ses testicules annelées devenues énormes comme des boules de pétanque, par l’injection saline qui touchait à sa fin.
«Pour faire de toi une jolie « Pink Lady » qui doit plaire à la Directrice ! Voila pourquoi, petite chienne ! »
Répondit Sonia à la chienne soumise, qui malgré ses pleurs spasmodiques, continuait de s’agiter sur le gode à picots qui vibrait en elle, tandis que es jambes écartées par la barre d’entrave, en équilibre depuis quelque temps sur ses ballets-boots commençaient de trembler de fatigue, et de désarroi à la vue de ce que lui reflétait la grande glace de la salle de cours.
« – MMMMMMMPPHHH!! A’ETEZ !!! MA’AME !!! AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Cria la soumise, étouffée par son bâillon gonflable, qui comblait sa bouche, quand Sonia lui retira les aiguilles de ses testicules.
« Regarde moi comment s’excite encore cette petite salope après une heure de gode ! Ta crème a l’air d’être d’une excellente efficacité ! »
Dit Sofia à sa sœur, en enfonçant un peu plus profondément la barre dans le cul dégoulinant de liquide séminal.
» – MMMMMMMPPHHH!! ‘PI’IE ,MA’AME !!! ‘E ‘OUS EN P’IE !!!MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina Slutty, en sentant le gode s’introduire encore plus profond, tandis que les picots malaxaient l’intérieur de son anus dilaté et suintant de plaisir.
Ce ne fut pas les suppliques de Slutty, qui fit que Sofia retira enfin la barre-gode de l’anus dilaté de la soumise, mais plutôt le fait que Ambre venait de refermer le couvercle de la malle-boite sur ses yeux larmoyants et suppliants de la soumise, tout en montrant la pendule qui marquait une heure déjà bien avancée, et qu’elle devait emmener la soumise au chenil.
D’un air dépité, les Jumelles décrochèrent la boite de Slutty du palan, la regardant ensuite partir derrière sa préceptrice .
Ses grosses testicules ayant presque avalées son clito bagué revenu à un état totalement léthargique, et qui l’obligeait à marcher d’une façon bizarre et comique, tout en la faisant couiner à chaque pas.
Regardant l’heure, Géraldine débarrassé de ses entraves, retira ses ballets-boots, et s’avança vers le dressing .
Elle était bien décidé de profiter de cette opportunité, qui s’offrait à elle pour porter des délicieux vêtements, et mettre en valeur son nouveau corps, que lui reflétait la glace du dressing et qu’elle adorait de plus en plus.
De ses ongles longs impeccablement manucurés, malgré son dur week-end subi, au bout de ses mamelons annelés, qu’elle se mettait à caresser, tandis que son autre main se glissait sur son entre-jambe au clito bagué, mais qui resta totalement inerte malgré la douceur de la caresse.
Un peu dépité, la coquine secrétaire entreprit de jouer avec son plug, se mettant à le faire vibrer à de différentes fréquences, mais sans aucune envie de le dégonfler, tellement le fait d’être perpétuellement comblée lui était devenue indispensable.
« – MMMmmmmmm ! Haaaannnnn !MMMmmmmmm ! »
Soupira doucement la secrétaire, son esprit encore sous l’emprise du cocktail développait plein de pensées plus excitantes les unes que les autres qui la faisait se tortiller lascivement devant la glace, malgré le peu d’espoir de se voir jouir de son clito inerte, mais peu lui en importait, elle était de plus en plus heureuse d’être une soumise, si ce n’était le fait que sa Maîtresse lui manquait.
« Te caresser ne faisait pas partie des choses en retard, petite Géraldine ! As tu déjà oublié ce dont profites ma chatte en ce moment !»
Résonna la voix de Maîtresse Xaviera, à l’intérieur de la chambre et du bureau de sa nouvelle secrétaire .
« Non Maîtresse ! Pardon Maîtresse ! «
Répondit doucement la soumise, prise en flagrant délit, tout en secouant la tête négativement, et croyant être entendu, elle baissa les yeux vers le sol, et se recroquevillant sur elle-même comme si la Directrice était à ses cotés, tout en revoyant la dernière image qu’elle avait de la pauvre Kitty.
« C’est mon premier et dernier avertissement à ce sujet ! Où je réglerai le problème avec ta Maîtresse ! Alors habilles-toi , petite sotte ! Et pour la peine tu mettras un gag-ball !»
Gronda la voix de la Directrice, pleine de menaces non feintes.
« Oui, Maîtresse ! »
Acquiesça la soumise, dans un signe de tête, en se jurant bien de ne plus jamais recommencer, craignant déjà que son incartade arrive aux oreilles de sa Maîtresse.
Pour se changer les idées, Géraldine ouvrit le placard sur la garde robe à disposition pour son service secrétaire, et commença à faire son choix.
Celui des chaussures fut le moins simple, elles lui plaisaient toutes, mais Géraldine arrêta son choix sur une paire de hautes plates formes de cuir vernis noir avec des talons de 20 cm.
Elle commença par gainer ses jambes, par des bas de latex transparents et légèrement fumés, où se dessinait une couture, après les avoir fixé à un discret porte-jarretelle, puis elle se glissa dans une étroite jupe crayon de latex rose, qui descendait jusque sous le genou, et où était découpé un petit cœur au niveau des fesses, elle était également munie d’un corset intégré, qu’elle sera au maximum. Pour le haut, Géraldine se trouva un petit chemisier du même latex que ses bas, et l’enfila en le nouant devant, il ne cachait rien de sa jolie poitrine annelée. Pour finir, elle trouva une cagoule de latex rose assorti à sa jupe, qui descendait sur le cou, qui possédait une longue queue de cheval noire, qui frôlait le cœur de ses fesses, d’où s’échappait le cordon de son plug gonflable.
Géraldine maquilla les paupières d’ombres foncées, et choisi de maquiller sa bouche d’un rouge à lèvres foncé, assorti à son vernis sombre qui ornait ses longs ongles.
Après avoir glissé un large gag-ball rose assorti à sa tenue, au cœur de ses lèvres gourmandes, Géraldine se cercla le cou du collier de métal muni de la barre d’entrave, et glissa ses poignets dans les bracelets prévus et alluma l’écran de l’ordinateur.
Il afficha un sigle » fermeture des entraves » avec un bouton en dessous à cliquer avec la souris.
Comme elle put, Géraldine attrapa la souris sur le bureau, et cliqua sur le bouton, qui fit résonner un claquement dans les entraves, attestant de leur fermeture définitive.
L’écran afficha « Ouverture des entraves pour 20 heures «
Géraldine commença ensuite de ramasser les papiers tachés de café, pour les retaper, tout en pensant que cela n’allait pas être une mince affaire, et qu’elle avait 3 heures devant elle, avant de devoir aller chercher Slutty au chenil.
Maître Laurent ouvrit la malle-boite, faisant de nouveau face à la pauvre Slutty, en secouant les pinces munies des lourds grelots décoratifs et musicaux, avant de les décrocher brusquement, pour ensuite se mettre à malaxer les sensibles mamelons annelés avec insistance.
» – MMMMMMMPPHHH!!! AAARRRGHHH !!! ME’CI MAI’RE !!! I’IE !!! A’ETEZ !!!MMMMMMMPPHHH !!! »
Supplia la soumise, dont ses jambes tremblaient, sous l’intensité de la douleur, qui était devenu de plus en plus insoutenables depuis que la formatrice les avait enduit du restant de crème stimulante.
« Arrête de geindre, petite chienne, ou je m’occuperais sévèrement de toi ! Mais rassures-toi, bientôt tu couineras, j’ai un petit truc de ma conception à te faire tester! «
Dit Maître Laurent, avec un sourire pervers, dégageant le torse de Slutty de sa malle- boite.
Sous la menace du Maître du chenil, Slutty se mit à pleurnicher doucement, le laissant la démunir de ses ballets boots, avant de l’emmener vers la table qui l’attendait, prévue pour l’habiller dans sa tenue de « Pink Lady « .
Après lui avoir enfiler des ballets boots roses d’au moins deux pointures trop petites, où ses pieds se retrouvèrent recroquevillés à l’intérieur, Maitre Laurent lui replia les jambes sur elles-mêmes avec du large et solide scotch, et s’occupa ensuite de ses bras, en les lui bloquant pliés également, allant jusqu’à lui scotcher les mains sur les épaules.
Cette position de contrainte obligerait ainsi la chienne soumise de se déplacer sur ses genoux et ses coudes, il lui enfila ensuite la catsuit de chienne de latex rose, munie de « pattes » au bout renforcé aux niveaux des genoux et des coudes, et pourvu d’une ouverture était faite au niveau de son entrejambe, où Maître Laurent glissait sans ménagement une par une les grosses testicules de Slutty, tout en souriant à la vue du minuscule clito rendu tout flasque, et ridiculement petit par rapport aux testicules devenues énormes par le traitement qu’elles avaient subi.
Une fois, la catsuit de la chienne Slutty enfilée, Maître Laurent la retourna sur ses quatre pattes, et lui serra au maximum le corset de latex qui équipait sa catsuit, réduisant ainsi considérablement la taille de Slutty .
» – MMMMMMMPPHHH!!! ‘EST ‘ROP ‘ERRE MAI’RE !!! S’I OU’ PLAI !!!‘!!!MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina la Chienne, suffoquant presque sous l’étroitesse de son corset, tandis que le Maître du chenil lui passait un harnais sous le ventre pour la stabiliser sur la table, et lui éviter toute chute.
« Respire doucement…..Tu vas t’y habituer….Je te retire ton gag-ball, pas un mot ou tu auras affaire à moi, petite chienne….Compris ! «
Dit le Maître du chenil, en fixant au passage de lourds grelots de strass à chacun des anneaux des mamelons de Slutty, dont les jolis seins sortaient par les orifices prévus dans la catsuit.
La future « Pink Lady » soupira, en acquiesçant de la tête, tandis que Maître Laurent lui retirait son gag-ball, pour immédiatement le lui remplacer par un très large ring-gag de métal, mais qui avait la particularité de posséder un pas de vis à l’intérieur.
Il couvrit ensuite la tête de Slutty d’une cagoule ouverte possédant des oreilles tombantes de fourrure rose , et commença de maquiller le visage de la chienne caniche.
Après les avoir agrémentées de très longs faux cils roses, dont chaque cil était orné d’un strass, ses yeux furent maquillées d’un dégradé d’ombres à paupières rose du foncé et plus clair, tandis que sa bouche écartelée reçue qu’en à elle un rouge à lèvres rose glossy, et ses joues furent rehaussées par un épais fard à joue assorti.
Le Maître du chenil prit ensuite une sorte de petite boite circulaire grillagé ressemblant à un couvercle de conserve, équipé d’un trou plat en son milieu, et dont le pas de vis correspondait à celui du ring-gag qui écartelait la mâchoire de Slutty.
Il retira le piercing de langue de la chienne, et visa ensuite la minuscule boite sur le ring-gag, ordonnant à la chienne de passer sa langue dans le trou de la boite.
Slutty s’exécuta à contre cœur, dans l’angoisse de la punition promise en cas de refus, laissant ainsi Maître Laurent lui bloquer sa langue étirée à l’extérieur de la boite avec un piercing anneau, auquel il accrocha un lourd grelot de strass aimanté, identique à ceux de ses mamelons.
« On a presque fini, petite chienne….Tu auras bien mérité ta balade avec la personne qui viendra te chercher ! »
Dit le Maître du chenil, sur un ton ironique, sachant pertinemment que c’était son amie Géraldine, la nouvelle pouliche du haras, mais aussi la nouvelle secrétaire de la Directrice qui devait venir la chercher.
Il fixa un gros anneau nasal de strass au nez de la chienne, avant de lui mettre un large collier de maintien latex rose assorti à sa tenue, où était gravé son nom en lettres de strass.
Maître Laurent prit ensuite une sorte d’étau de métal couvert de strass d’une forme bizarre, que Slutty ne connaissait pas, et passa derrière la chienne .
« Ceci est un humbler, petite chienne….Qui va te mettre tes « petites » choses inutiles en valeur ! »
Dit le Maître du chenil, en refermant l’étau sur le scrotum de la pauvre Slutty, qui essayait de comprendre ce que voulait dire Maître Laurent .
« -AHOUAHOU !!!WOUF !!! WUF WUF !!! AHOUAHOU !!! »
Couina la « Pink Lady », quand Maître Laurent lui étira ses couilles gonflées par l’injection saline, faisant faire un quart de tour à l’étau avant de le bloquer aux pattes de la chienne, faisant ainsi ressortir les testicules sous le postérieur de la chienne, où la découpe dans la catsuit formait un cœur.
Slutty fut également surprise, mais surtout affolée par le son qui venait de sortir de sa bouche entravée.
« Tu vois que tu couines, petite chienne ! Tu aimes mon modulateur ?»
Dit le Maître du chenil, sur un ton ironique, tout en fixant à chaque anneau des testicules gonflées un lourd grelot de strass.
« -AHOUAHOU !!! WUAH !!! WHAF!!! AHOUAHOU !!! »
Aboya la chienne, en secouant négativement la tête, croyant que ses testicules allaient s’arracher à chaque mouvement, alors qu’elle voyait Maître Laurent prendre un plug de chasteté de métal orné d’un pompom rose, accompagné de plusieurs branchements, ainsi que des ornements de pattes.
Maître Laurent fixa les ornements, et enfonça ensuite profondément le plug dans le cœur du postérieur de la chienne, qui couina de douleur quand il l’écarta au maximum dans son intimité, avant de le cadenasser.
Jugeant la « Pink Lady » enfin prête, Maître Laurent descendit la chienne au sol à l’aide du palan, et attacha une laisse de strass à un anneau fixé au sol qui se trouvait devant une grande glace, la raccordant à l’anneau nasal de la « Pink Lady, dont les yeux lourdement maquillés et papillonnants s’embuèrent de larmes, quand il raccorda ensuite les câbles de branchement à son plug de métal qui écartelait son anus, faisant pareil pour le humbler de métal, les reliant ensuite à un minuscule boîtier, qu’il fixa au corset de la chienne, et actionna la télécommande.
« -AHOUAHOU !!!AAOOUU !!! WUF WUF !!! AHOUAHOU !!! »
Couina la « Pink Lady », sous la douleur de l’électricité qui irradia dans ses énormes testicules distendues, tandis que celle de son plug lui faisait tortiller son postérieur, et qui faisait comiquement bouger son pompon rose.
« C’est en mode 30 secondes pour 5 minutes de repos, à tout de suite, petite chienne ! »
Dit Maître Laurent, en abandonnant la chienne caniche, qui retrouvait son calme, partant s’occuper de la chatte de la Directrice, qui avait presque « épuisée » ses chiennes, pour l’installer sur un palan .
« -AHOUAHOU !!!WHOUF !!! WUF WUF !!! AHOUAHOU !!! »
Aboya doucement Slutty, en regardant le Maître du chenil partir, et qui se « contemplait » dans la glace, dans un inaudible couinement réclamant de l’aide, en pensant à Géraldine.
Géraldine regarda l’heure, il lui restait 30 minutes pour passer au bureau de la Directrice, et pour aller au chenil .
Elle appuya une dernière fois pour imprimer les dernières feuilles des dossiers tachés maintenant propres, remerciant Maude d’avoir installé un logiciel de traitement d’image, qui lui avait permis de nettoyer les feuilles après les avoir scanner et ainsi gagner un temps précieux sur les 4 dossiers, ce qu’apprécierait sûrement la Directrice, qui les attendait pour les faire signer aux soumises, où figurait celui de Maura, dont Géraldine avait aperçu le prénom.
Elle retira les feuilles de l’imprimante, en les prenant du bout de sa longue main manucurée, entravée par la barre qui lui écartait les bras, et sortit de son bureau pour se diriger vers celui de la Directrice, en tortillant instinctivement ses fesses étroitement gainées de leur jupe, d’où s’échappait le gode gonflable qui la faisait vibrer de plaisir.
Deux surveillantes la croisèrent, en souriant à la vue agréable que leur offrait Géraldine avec son chemisier fumé, mais au latex si transparent qu’il ne cachait rien de sa poitrine annelée, et sa démarche lascive et gourmande.
Elle frappa à la porte de la Directrice, et attendit.
« Entrez ! »
Dit la voix de Maîtresse Xaviera, après quelques instants.
Géraldine ouvrit la porte de sa main « libre », se glissant de biais pour passer la porte avec sa barre.
« Qu’est ce que me veux, ma nouvelle secrétaire ? »
Interrogeât Maîtresse Xaviera, en fronçant les sourcils avec un regard noir, tapotant sa cendre sur la langue de sa soumise-cendrier gémissante, qui servait à présent aussi de porte-café.
« – Mmmpphhh….Est ‘ini ‘es con’rats, Mai’esse….Mmmpphhh… ”
Répondit la secrétaire, en montrant sa main qui tenait les contrats, baissant les yeux comme si elle se sentait coupable d’avoir et aussi rapide.
« Déjà ? J’espère pour toi qu’il n’y a pas de fautes ! Approche ! »
Ordonna la Directrice à Géraldine, en posant sa cigarette sur la langue de la pauvre Maude, et la laissant finir de se consumer sur celle-ci, en la bloquant avec l’anneau qui maintenait la langue de sa soumise-cendrier étirée, pour ne pas qu’elle tombe au fond de la gorge de la soumise.
» – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!… ”
Hurla la pauvre Maude, sous la brûlure de la cigarette qui se consumait maintenant sur sa langue, que les traitements subis depuis le début de la journée avait rendue de plus en plus sensible, Maîtresse Xaviera ayant alterné cigarettes et cafés brûlants sur la langue de sa soumise-cendrier à sa disposition .
Géraldine s’approcha en tendant les contrats à la Directrice du bout de ses longs doigts manucurés, qui les prit et les relus rapidement.
La Soumise-Secrétaire attendit le verdict avec impatience et crainte, craignant d’avoir oublier ne serait ce qu’un tout petit morceau de tache avec le logiciel.
« Voila qui me semble parfait ! Je comprends mieux, pourquoi cette gourde est à cette place, et non toi, petite Géraldine !»
Dit Maîtresse Xaviera, en prenant une gorgée de café du bout des lèvres, tout en appuyant son talon dans les parties génitales de sa soumise-cendrier.
» – Mmmpphh…Me’ci, Mai’resse ! Mmmpphh… ”
Répondit Géraldine, qui commençait de tourner les talons, prête à partir pour aller chercher son amie Slutty au chenil .
« Un choix vestimentaire très judicieux, petite Sissy ! J’espère qu’il est toujours gonflé au maximum pour combler ton joli petit cul !»
Dit la Directrice, en retenant sa soumise par le câble du plug, qui vibrait dans l’intimité de celle-ci, tandis que l’autre main de la Directrice se mettait à caresser la jupe de latex qui enserrai sa secrétaire.
« Mmmpphhh ! Me’ci Mai’resse ! Haaaannnnn ! Naaan , Mai’resse ! Mmmpphhh ! »
Soupira doucement la secrétaire, qui avait bien senti le plug se dégonfler au fur et à mesure qu’elle travaillait sur l’ordinateur, mais dans l’impossibilité total d’y remédier.
Elle abandonna totalement ses fesses à ses mains qui se faisait si câlines, et qui prenaient tant la chose à cœur.
« C’est bien ce qui me semblait ! »
Gronda gentiment Maîtresse Xaviera, en dégonflant le plug, pour le regonfler aussitôt au maximum, tout en accélérant la vibration à son maximum.
« Mmmpphhh ! Haaaannnnn ! Me’ci Mai’resse ! Haaaannnnn ! Mmmpphhh ! »
Geignit de plaisir la soumise, quand son intimité retrouva toute son occupation, en se tortillant lascivement sous la main de la Directrice comme pour en avoir plus.
« Va donc plutôt me chercher ma « Pink Lady » qui va me tenir compagnie pour la journée, petite coquine ! «
Dit Maîtresse Xaviera, en claquant une fessée sur la jupe de latex, tout en s’emparant de son téléphone portable .
« Mmmpphhh ! Uuuiii Mai’resse ! Mmmpphhh ! »
Gémit doucement la secrétaire, en baisant ses yeux déçus d’être forcée de partir après tant de prémisses au plaisir.
Dans un mouvement plein de langueur, Elle passa la porte sous le regard amusé de la Directrice, qui la regardait avec un fort désir qui s’accumulait sous sa jupe de latex .
C’est ainsi que Géraldine, la nouvelle secrétaire de Maîtresse Xaviera s’en alla chercher Slutty au chenil, dans une petite démarche chaloupée, où ses bras entravés par leur barre d’écartement faisait balancier ,et où ses petites fesses étaient bercées par la vibration de son plug.
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