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Ma femme Sophie se libère (suite 3)

Ma femme Sophie se libère (suite 3)



Ma femme Sophie se libère (partie 4)

Mon réveil au matin est enveloppé d’une délicieuse chaleur. Je n’ai pas besoin d’ouvrir les yeux pour savoir ce qu’il se passe. La douceur qui entoure mon érection matinale m’est offerte par la bouche de ma femme. Je la sens me faire de légers va-et-vient tout en enroulant sa langue autour de mon gland. Je savoure un moment en silence cette caresse puis je décide d’enfin me manifester. Je m’empare du drap que je tire sur le côté dévoilant Sophie plongée sur ma verge. Sans arrêter ce qu’elle fait, elle tourne ses yeux vers moi et me sourit avec sa bouche déformée.
— Voilà le genre de réveil que j’affectionne. Tout en douceur.
Je renfonce ma tête dans mon oreiller et je ferme les yeux, laissant Sophie libre de me faire tout ce qu’elle veut. Ma femme joue littéralement avec ma bite, elle me donne l’impression de vouloir essayer toutes les idées qui lui passent par la tête. Elle frotte la pointe de sa langue sur l’extrémité de mon urètre, la fait glisser sur toute la longueur de ma bite. Elle me fait comme des suçons sur le gland, sur le corps de mon pénis. Elle joue avec mes bourses, les aspire à l’intérieur de sa bouche. Je me suis couché avec une nouvelle femme et celle-ci ne s’est pas envolée à mon réveil. Je passe mon temps à pousser de petits gémissements tant ce qu’elle me fait est délicieux.
Je perds la notion du temps sous cette fellation d’anthologie. Quand je sens que mon sperme est en train de monter, je ne suis pas certain de savoir si ce qu’elle m’a fait m’a transformé en éjaculateur précoce ou pas. En vérité, je m’en moque tellement j’aime ça. Je sens la bouche de Sophie se refermer autour de mon gland et descendre avec une infinie lenteur. Elle m’avale en entier et reste figée, ses lèvres contre mon pubis. Les tressautements de mon pénis sont la preuve que je vais jouir et elle ne peut l’ignorer, mais elle reste ainsi à attendre. Elle veut me boire. Décidément, elle semble y avoir pris goût. Je compte bien ne pas la décevoir. Je me relâche complètement et laisse mon foutre remonter le long de ma queue.
— AAAAHHHH !
Je sens chacune de mes éjaculations venir s’écraser au fond de la bouche de Sophie qui aspire goulûment tout ce que je lui envoie. Ma bite tressaute, mais plus rien ne sort, pourtant Sophie tient à s’en assurer. Pendant près d’une minute, elle continue de me pomper avec énergie. Quand enfin je sens ses lèvres remonter le long de ma verge, j’ouvre les yeux. Sophie se redresse, son visage est écarlate tant elle a manqué d’air dans cette position. Pourtant, pour rien au monde elle n’aurait voulu rater une goutte de mon sperme.
— Merci, mon chéri, voilà le genre de réveil que j’aime pour ma part.
Je souris à ma femme et me saisis de sa main. Je l’attire vers moi, la serre contre mon torse et je l’embrasse avec passion. Le goût de mon sperme dans sa bouche est presque imperceptible tant j’ai joui profondément et elle m’a avalé avec empressement. Mes mains se mettent à parcourir son corps s’attardant régulièrement sur ses fesses ou sur ses seins. Je me mets à déposer des baisers dans son cou, à la humer. Elle dégage une odeur a****le, la preuve de la nuit de luxure que nous venons de passer.
— Tu sens bon.
— Je sens le fauve, tout comme toi.
— Tu as une odeur de chatte en chaleur.
Sophie me regarde en souriant avant de se pencher sur mes lèvres et m’embrasser avec fougue.
Alors que je sens ma queue qui recommence à se dresser lentement, Sophie roule dans notre lit et s’engouffre dans la salle de bains. Quelques secondes plus tard, j’entends l’eau de la douche couler.
— J’espère que la nuit que nous venons de passer ne t’a pas fait oublier que nous déjeunons chez mes parents ce midi avant de ramener Théo chez lui.
— Non, je n’ai pas oublié.
« Mais ça ne va pas m’empêcher de profiter de toi encore toute la matinée. » Je me redresse dans le lit et mes yeux se posent sur mon réveil sur la table de chevet. J’écarquille les yeux en voyant l’heure. Dix heures trente. Bon sang, je n’aurais jamais cru qu’il était si tard. Entre le temps de nous préparer, la route pour aller chez mes beaux-parents, je réalise que ma matinée de débauche vient de s’envoler.
Je me lève et tire les rideaux. Je reste un moment ébloui par cette luminosité qui me prouve que mon réveil n’est pas détraqué. Je regarde un moment notre jardin. Mon attention est attirée vers ce coin d’herbe où j’avais pris pour la seconde fois de la soirée la bouche de Sophie. Enfin, moi et le voyeur que je lui ai fait imaginer.
Repenser à tout ça à l’effet de parachever mon érection. Ce n’est pas possible, je ne peux pas rester comme ça, il faut que je baise ma femme. Je marche d’un pas décidé vers la salle de bains où je découvre Sophie dans la cabine de douche en train de se savonner. Sans hésiter un instant, je vais la rejoindre.
Sophie se retourne et me sourit en me découvrant.
— Tu es venu m’aider à me laver ?
Elle se retourne et m’offre son dos en me tendant le savon. Je me blottis contre elle. Elle tourne légèrement la tête quand elle sent ma verge glisser sur le sillon de ses fesses pour finir dressée entre nos deux corps.
— Encore ? Je suis désolé, mais tu vas devoir rester sur ta faim cette fois-ci, nous n’avons vraiment pas le temps.
Je ne l’écoute pas et me mets à me frotter contre elle.
— Patrick, tu n’es pas sérieux.
— Et je m’en fiche.
Je la force à se cambrer légèrement et sans la moindre préparation je présente mon pénis à l’entrée de sa chatte. En une seule poussée puissante, je la pénètre en entier. Je ne suis pas le seul à être excité tant elle est humide et je m’enfonce facilement en elle.
— HUMMM. Non… Patrick… Nous allons… être en retard.
Elle a du mal à parler tant je la prends énergiquement.
— Non… il… ne… faut… pas.
Je me dégage de sa chatte et la retourne. Je me saisis de sa jambe droite que je passe autour de ma taille avant de l’embrocher une fois de plus d’un coup puissant ce qui la fait pousser un nouveau cri.
— Alors, lave-moi.
Sophie me regarde avec des yeux pétillants de désir. Elle entreprend alors de me laver. Elle me savonne comme elle peut tandis que je la prends comme un marteau-piqueur. Moi aussi je compte l’aider à arriver à l’heure en la baisant rapidement. J’ai pourtant la bonne surprise de constater que mon érection dure. Ce n’est guère surprenant après tout ce que j’ai déjà demandé à mes bourses.
Sophie a fini de nous savonner tous les deux alors que je suis encore en train de la limer comme un fou. Je nous place sous le jet pour nous rincer et évacuer toute la transpiration de cette nouvelle baise.
Sophie est haletante.
— Patrick… Jouis… je t’en prie… jouis.
— J’essaie salope !
Je la fais se retourner, la plaque contre la vitre de la douche et me mets à la pénétrer comme un dément dans l’espoir de me finir. Une main dans son dos, j’appuie pour écraser ses seins sur la cabine de douche, de l’autre je tire sur ses hanches pour la faire se cambrer. Prise dans cette position, je vois ses fesses rebondir à chacun de mes coups de reins. Un cul que je décide de fesser ce qui fait pousser à Sophie un petit cri aigu qui m’excite. Je fouette à plusieurs reprises son cul qui se met à rougir. Les petits cris qu’elle pousse font monter mon éjaculation. Je pose mes mains sur ses hanches, mords son cou, et me lance dans une ultime chevauchée qui fait vibrer toute la douche. Enfin, je sens mon sperme monter et je me fige au fond de sa chatte.
— PUTAINNNN !
— OUIIIIII !
J’envoie plusieurs giclées de sperme. Je suis moi-même surpris de parvenir à éjaculer autant, même si une fois mes jets terminés, j’ai mal aux couilles et au pénis. Je me désaccouple de Sophie qui reste plaquée contre la vitre. Je la laisse savourer son orgasme et je sors de la salle de bains.
Je m’habille rapidement d’un short et d’une chemise blanche puis je descends à la cuisine. Mon dernier repas est loin maintenant et toutes ces baises m’ont mis sur les rotules, j’ai bien besoin d’un petit remontant. Je me mets à grignoter des petits biscuits en souriant. Je ne peux m’empêcher de revoir ce que nous avons fait sur la table à manger, sur la table basse, sur le guéridon. Alors que je revisite nos lieux de baise, je vais ramasser la pile de vêtements jetés au pied de la porte, récupérant au passage mes papiers et les clefs de voiture. Je continue à faire un peu de rangement tout en surveillant l’heure. Notre douche sexuelle partagée ne nous a pas fait prendre de retard, je suis fier de moi.
Sophie finit par me rejoindre. Elle est revêtue d’une robe à fleurs rouges et a attaché ses cheveux en queue-de-cheval.
— Je suis prête, m’annonce-t-elle.
Je la fixe un long moment avant de la rejoindre pour me tenir devant elle. Je veux vérifier ce que je suspecte. Sophie est surprise par mes mains que je pose sur ses seins que je me mets à masser consciencieusement. Comme je le pensais, ceux-ci sont libres sous sa robe. Je décide d’effectuer un second contrôle et découvre ses fesses recouvertes d’une fine culotte.
— Tu ne pensais tout de même pas sérieusement que j’irais chez mes parents avec les fesses à l’air ? dit-elle en me souriant.
— J’aurais bien aimé.
Sophie rit de ma réflexion avant de poser ses lèvres sur les miennes. Ce baiser est furtif et elle se dirige vers la porte d’entrée. Au moment de passer devant le guéridon, elle se retourne et me regarde en faisant glisser sa main dessus tout en se léchant ses lèvres. Je crois que j’ai oublié ma véritable femme au restaurant, ce n’est pas possible.
Alors que je la rejoins à notre voiture, je me dis qu’il faut que je trouve quelque chose pour remercier mes beaux-parents. S’il n’avait pas accepté de garder notre fils, jamais ma vie ne se serait transformée ainsi.

Après trois quarts d’heure de route, nous voilà arrivés. Tout juste garés, nous sommes accueillis par Marie, la mère de Sophie qui tient dans ses bras notre petit Théo. Son visage s’illumine à la vue de sa mère qui descend de la voiture. Sophie se précipite vers lui et le prend dans ses bras. Elle couvre sa tête brune de baisers avant de se tourner vers sa mère et lui faire la bise.
— Bonjour maman. Théo a été sage.
— Un vrai petit ange. Bonjour Patrick.
J’embrasse à mon tour ma belle-mère. Après avoir raconté sommairement comment Théo s’était comporté, Marie nous invite à aller sur la terrasse. Sophie s’étonne de l’absence de son père.
— Pierre est passé ce matin. Tu les connais ces deux-là, dès qu’ils sont ensemble, ils se mettent à parler chasse et plus rien ne compte. Ils sont partis en forêt il y a une petite heure pour contrôler l’état de leur cabanon en me laissant seul avec Théo.
— Je suis désolé.
— Oh ! Tu n’as pas à l’être, ce n’est pas parce qu’il était là qu’il m’a aidé à m’en occuper. Et j’ai envie de dire tant mieux. Mais assez parlé de ton père, avez-vous passé une bonne soirée ? Je dirais que oui en te voyant.
La réflexion de sa mère fait monter le rouge aux joues à Sophie.
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Parce que ça fait bien longtemps que je ne t’avais pas vue si rayonnante. Depuis la naissance du petit, je dirais.
Sophie se détend un peu.
— Oui, c’est vrai, notre petite sortie au restaurant a été forte agréable.
— Cela faisait trop longtemps que vous n’avez pas fait quelque chose rien que vous deux. Tu dois te rappeler, Sophie, que même si tu es devenue une mère, tu restes aussi une femme.
— Je n’arrête pas de lui répéter, mais je crois que grâce à vous elle a enfin fini par m’entendre.
Je pose ma main dans le dos de ma femme et le caresse tendrement. Vendredi encore un tel geste aurait fait s’adosser Sophie contre le dossier de la chaise pour me forcer à m’arrêter, pour que je ne montre pas expansif en public, et surtout pas devant sa mère, mais en ce dimanche midi, Sophie ne fait rien et profite de ce que je lui fais.
Ainsi tous réunis, nous passons un agréable repas. Marie nous a mitonné de délicieux plats que Sophie et moi savourons avec délice. Enfin, nos estomacs sont pleins, enfin, nous pouvons récupérer de nos excès de débauche.
Alors que nous savourons une glace faite maison, Marie fait une offre qui me ravit.
— Vous savez, il ne faut pas que vous hésitiez à nous confier Théo. C’est un plaisir de m’occuper de mon petit-fils. Ce n’est pas toujours drôle ici depuis que ton père est à la retraite. Le petit m’aide à me distraire.
Je voudrais bondir sur l’occasion, lui montrer mon enthousiasme, lui dire que c’est une excellente idée, que je souhaite pouvoir revivre de nouveaux moments aussi intenses et libres avec Sophie, mais je me contente de porter mon regard vers ma femme. Je veux être certain qu’elle a vraiment commencé sa transformation et que maintenant qu’elle a retrouvé notre fils, elle ne va pas faire machine arrière.
Je ne peux pas me retenir d’afficher un large sourire quand j’entends sa réponse.
— Si ça ne te dérange vraiment pas, je serais heureuse de pouvoir nous retrouver de nouveau en amoureux avec Patrick.
— Alors c’est décidé, samedi prochain, vous me ramenez Théo.

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