Les jeux d’exhibition en voiture
À l’entrée de l’autoroute de Namur, les étudiants de l’ULB sont nombreux à faire du stop. Pierre avait donc envie de jouer.
Il me dit que nous allions essayer de trouver un stoppeur, le charger et que quand nous roulerions, je devrais me découvrir et me caresser. L’idée me semblait folle mais en réfléchissant bien, un gars assis derrière ne voit pas ce que fait la passagère devant lui.
On y va. On en trouve un. Il monte, Pierre commence à discuter avec lui, j’ouvre mon chemisier, je trousse la jupe et ainsi seins et sexe sont visibles de partout. On roule, je me caresse comme demandé et je jouis finalement excitée de le faire avec quelqu’un derrière moi qui ne remarque rien.
On le dépose. Toute fière, je demande à Pierre s’il a aimé. Il fait la moue. Il aurait voulu me voir complètement nue sans aucun moyen de me cacher en cas d’urgence. Je lui fais remarquer que quand il descend, le passager me verra. Il me répond que ce n’est que quelques secondes et que c’est bien.
Quelques jours plus tard, on recommence. J’ai trouvé une robe avec des bretelles tenues par des boutons devant, elle-même entièrement boutonnée. Il est facile de l’ôter discrètement. Pierre demande en plus que je la range dans un sac à mes pieds, sac qu’il donnera au passager arrière. Nue, je le resterai sans pouvoir me couvrir.
On trouve notre client très tôt, Boulevard Général Jacques. Pierre me fait signe d’y aller. Je me retrouve strictement nue avant même d’arriver à l’autoroute et la circulation est dense. Boulevard du Triomphe on est à l’arrêt. Les piétons sont nombreux. Pierre donne le sac à l’étudiant.
Enfin sur l’autoroute. Je me caresse comme prévu, je jouis, comme prévu, on le dépose comme prévu, il ouvre des yeux ronds en fermant la portière, comme prévu.
On recommence, une fois, deux fois, trois fois,…
Pierre s’amuse en plus à frôler les camions et rester près d’eux. Il prend son temps pour tout.
Je commence malgré tout à me sentir à l’aise.
C’est mon tort. La fois suivante, Pierre me dit qu’il veut que je monte à l’arrière quand le passager monte !!! Ça c’est rude.
Je suis censée me mettre dans le coin de la portière mais de mettre ma jambe pliée sur la banquette pour être bien ouverte. On y va, le gars monte devant, je suis à l’arrière priant qu’il ne se retourne pas, la chatte béante et mes doigts dedans. Ça se passe bien sauf que quand il descend, il a le temps de me mater à l’aise. Heureusement Pierre m’a fait revenir devant plus loi.
On recommence, une fois, deux fois, trois fois…
La fois suivante, au moment de s’arrêter, j’ai une panique, je suis certaine d’avoir déjà vu le garçon. Pierre me dit de rester devant. On le prend à bord, c’est bien vrai, Il est déjà venu avec nous. On arrive à Bierges. Pierre sort de l’autoroute et dit qu’il va faire le plein. M…. .
On s’arrête à la pompe, il sort. Du côté droit on est bien protégé des regards, à gauche pas. Le garçon se penche en avant. Il a une vue parfaite sur ma nudité. Il me demande si je fais ça souvent. Je dois bien avouer que oui. Je me dis que les caméras de la station doivent en plus enregistrer la scène. Pierre est passé au magasin de la pompe. Manifestement, il veut nous laisser seuls. Pierre revient, il a compris que je suis découverte.
On redémarre. Comme si tout était normal. Arrivé à Thorembais, on dépose notre passager. Pierre lui donne le numéro de téléphone s’il voulait que l’on se revoie…
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