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L’inconnu du parc de la Boverie

L’inconnu du parc de la Boverie



Nous n’habitons pas très loin d’un parc bien connu de tous les liégeois, le parc de la Boverie.
Un bel endroit du bord de Meuse, avec une volière et une petite plaine de jeux pour les enfants. Le lieu est également prétexte à de petites balades, surtout l’été où de nombreux couples et quantité de familles viennent s’y détendre.

Nous étions au printemps, le temps magnifique avait incité de nombreuses mères de famille a y amener leurs enfants pour qu’ils s’y amusent et profitent de leur après-midi de congé (c’était un mercredi). Jeunes mariés (2 ans), nous n’avions pas encore de descendance et ma chérie se languissait de devenir maman.
C’est munie d’un livre qu’elle c’était rendue à cet endroit dans l’idée de se détendre, mais également de regarder les bambins courir et jouer.
Elle y est restée près de 2 heures puis est revenue chez nous.
Etant en repos toute la semaine, le lendemain elle décida d’y retourner pour poursuivre sa lecture à l’ombre d’un arbre très feuillu.
Si le mercredi elle c’était habillée d’un short et une blouse pour rester décente vu la population qu’elle savait y trouver, le jeudi elle se fit plus coquette. Attention, elle n’avait pas spécialement d’idées derrière la tête, mais comme elle apprécie les regards c’est un automatisme chez elle que d’être sexy. Donc sa tenue se composait de baskets, jupe courte moulante et tee-shirt. Comme à son habitude, pas de soutien-gorge et uniquement un string en guise de dessous.
Elle était là, allongée sur le ventre et son livre en main quand s’approcha un homme qui promenait son chien (un bichon si nos souvenirs sont bons).
Il s’arrêta à sa hauteur et la salua d’un « bonjour mademoiselle ».
Elle redressa la tête et lui répondit aimablement avant de se replonger dans sa lecture.
Mais le promeneur ne sembla pas avoir envie de partir et s’assit près d’elle en engageant la conversation.
Elle se retourna puis s’assit à son tour. Ils étaient tous 2 dans l’herbe et le chien courait dans tous les sens.
La conversation s’engagea sur le beau soleil présent en ce printemps, de l’été qu’on annonçait sec et chaud. Puis son interlocuteur lui révéla qu’il l’avait aperçue le jour d’avant près de la plaine de jeux, que son joli visage l’avait attiré et qu’il était resté un long moment à l’observer.
Tout en devisant il s’attardait plus sur les jambes de ma chérie que sur ses yeux, elle se rendit vite compte que vu sa position il avait même droit à une vue très indiscrète.
Mais il en faut plus que ça pour gêner ma coquine ou la mettre mal à l’aise, et elle a continué à parler avec lui sans complexe.

Le chien s’étant éloigné et risquant de tomber dans le petit étang proche, l’homme s’est relevé pour le rappeler.
Ensuite il s’est assis à nouveau, mais (et ce ne fut pas innocent) cette fois juste à la droite de ma chérie, à même pas 25 centimètres d’elle.
Et ses propos prirent une direction plus coquine.
Il lui avoua que ce n’était pas uniquement son visage qui l’avait séduit, mais qu’elle avait de magnifiques jambes et que le petit short d’hier les mettaient fort en valeur.
–  » Tout autant que votre jupe aujourd’hui  » ajouta-t-il.
Elle le remercia du compliment, allant jusqu’à lui répondre que beaucoup d’hommes le lui disaient.
–  » Vous devriez faire attention, le soleil risque de vous brûler la peau et il serait dommage de les abîmer « .
–  » D’ailleurs je suis sûr qu’elles sont brûlantes  » continua-t-il.
Et joignant le geste à la parole il déposa dessus une main qui se voulait inquiète.

Si elle avait encore une incertitude, la main de l’inconnu la conforta dans ce qu’elle pensait avoir bien compris.
 » Ce type a plus envie de toucher que de parler  » pensa-t-elle.
Et amusée elle entra dans son jeu.

Elle: –  » J’ai mis de la crème solaire pour me protéger, mais c’est vrai que vu la longueur de ma jupe mes cuisses risquent de bien rougir « .
Lui: –  » Et cela serait navrant car ce pourrait même être douloureux « .

Il avait toujours sa main sur elle mais, certainement encouragé par la non-réaction de ma coquine, maintenant elle se faisait caressante.
Ma chérie se fit espiègle et décida de le tester.

Elle: –  » Vous venez souvent ici avec votre chien ? Votre femme ne vous accompagne pas ? « 

Au mot « femme » l’homme se raidit un peu et cessa la caresse, mais il n’enleva pas sa main.

Lui: –  » Je viens presque tous les jours, seul avec mon chien « .

Il ne dit mot sur le fait d’avoir une femme ou non, alors ma chérie continua sur sa lancée:

Elle: –  » Et si votre femme arrivait maintenant et vous voyait la main sur moi, que dirait-elle ? « 

Là il lui fallait bien répondre sur le sujet et il avoua être marié mais que sa femme ne venait jamais au parc.
Et comme de bien entendu (tous le même baratin), ils ne s’entendaient plus et restaient ensemble pour la famille.
Mais certainement apeuré par le discours de ma chérie il avait ôté sa main et ses mots étaient plus tremblants.

Elle: –  » Je vous taquine, n’ayez pas peur  » dit-elle en lui souriant.

Il la regarda intensément, semblant chercher dans son regard si elle se moquait de lui ou pas.
Alors, pour le rassurer complètement, elle amena sa jambe contre la sienne.

Elle: –  » Vous pouvez continuer à me caresser, c’est fort agréable et nous sommes seuls « .

Effectivement, les personnes les plus proches se trouvaient à 30 ou 40 mètres et l’immense arbre les dissimulait presque entièrement.
Il ne se fit pas prier et recommença ses caresses. Mais très vite sa main remonta sous les quelques centimètres de la jupe et prirent contact avec le string qu’il écarta pour titiller les lèvres déjà bien humides.
Ma coquine jeta un oeil tout autour d’elle et, voyant leur presque solitude, s’étendit dans l’herbe en prenant soin de laisser ses jambes quelque peu écartées. Elle ferma les yeux et apprécia le moment.
Il jouait avec son clitoris, puis insinua un doigt qui se fit masturbateur. Emportée par le plaisir et excitée par la situation elle écarta ses jambes de plus en plus. Le coquin joint un second doigt au premier et ses mouvements prirent de la vitesse, ce qui provoqua un petit orgasme à ma coquine qui ne pu retenir un cri.
L’homme prit peur d’être remarqué et retira ses doigts de l’antre chaude.
Ma chérie reprit doucement ses esprits puis se redressa. Elle dévisagea son « sextoy humain » et le remercia de ce doux moment.

Elle: –  » J’ai vraiment aimé la manière dont vous m’avez gâtée, je voudrais vous rendre la pareille « .
Lui: –  » Nous pourrions nous revoir, ça me ferait plaisir « .

Elle lui proposa le lendemain si c’était possible pour lui, même heure même endroit.

Elle: –  » Et nous pourrions essayer de trouver un coin plus discret « .
Lui: –  » Je suis à la retraite depuis quelques mois, je dispose de toutes mes journées. Il faut juste que je m’arrange mais il n’y aura aucun problème « .
Elle (toujours espiègle): –  » Oui, tu trouveras un prétexte pour ta femme « .
Il sourit et avoua que oui.

Le lendemain, quand elle arriva au parc, il était déjà là, seul sans son chien.
Directement il lui fit un petit bisou sur la bouche, comme si ils étaient amants depuis toujours. Mais en attente depuis près de 24 heures, ma coquine ne s’en contenta pas et lui roula une pelle d’enfer.
Après ce suave baiser, il lui annonça que le matin il avait réservé une chambre dans un hôtel bien connu des liégeois « le Vérone ».
Le connaissant et sachant qu’il s’agit d’un endroit très bien tenu, ma chérie accepta de l’y accompagner.

Une fois dans la chambre et la demoiselle de la réception ayant apporté la bouteille de champagne, ils allèrent tour à tour se rafraîchir dans la salle d’eau. Ma chérie en premier, l’homme en second.
Quand il la rejoignit elle était allongée et nue sur le lit. Lui aussi était nu, juste un drap l’entourant au niveau de la ceinture.
Elle le regarda et le trouva à son goût. Il faut reconnaître qu’elle aime que ses amants soient « spéciaux ». C’est à dire que ses critères sont du genre: pas jeunes et avec de l’embonpoint. C’est sa petite déviance à elle.

Il laissa choir la serviette et elle découvrit un sexe d’une bonne taille, promesse de plaisirs.
Il servit 2 coupes de champagne et lui en présenta une. Elle se redressa et ils burent le divin breuvage tout en mêlant paroles et caresses.
Plongeant un doigt dans sa coupe, il enduisit les tétons de ma chérie du liquide pétillant puis les lécha. Elle déposa sa coupe et reprit sa position allongée. Le vieux coquin versa un peu de champagne sur le ventre de ma chérie, ainsi que sur son sexe, avant de venir laper le tout avec une langue gourmande.
Le contact de la langue avec son clitoris la fit frissonner, non pas de froid mais de plaisir.
2 doigts s’incrustèrent en elle et la branlaient dans le même temps qu’il mordillait son clito.
La petite douleur ressentie mêlée à la masturbation l’amena vite à un premier orgasme dont il s’aperçut et qui le poussa à utiliser quelques mots crus du genre: « tu aimes ça petite cochonne – tu es une vilaine pute – … »
Il enleva ses doigts et voulu la pénétrer, mais elle l’en dissuada et se dégagea de lui pour prendre position afin de procéder à une fellation.
Elle ne voulait pas que ça aille trop vite et souhaitait également goûter son braquemart. Elle le suça, le lécha, lui rendit même la pareille en mordillant son gland.
Il lui demanda pour continuer en 69 et elle se mit tête-bêche sur lui. Ils se faisaient des plaisirs buccaux, elle mouillant comme une fontaine.
Puis elle sentit un doigt s’engager dans son petit trou. Utilisant la mouille de ma chérie il n’eut aucune difficulté à y pénétrer.
Elle était au comble du bonheur, une langue dans son abricot et un doigt fureteur dans son anus tandis qu’elle suçait un membre bien raide.
Au bout d’un moment elle n’y tint plus et supplia le vieux de la sodomiser. Il essaya de mettre un préservatif mais n’y arriva pas.
L’assurant que il n’avait de rapports qu’avec sa femme et que cela faisait des mois qu’il ne l’avait plus « honorée »,sic, elle accepta qu’il procède sans protection. Il faut dire qu’elle n’en pouvait plus, qu’il lui fallait quelque chose dans son entrée de service !
Elle prit la bonne position et, avec d’infinies précautions, il s’inséra en elle.
Des mouvements lents dont l’intensité augmenta très rapidement et il ne put se retenir.
Il attendit d’être bien vidé avant de se dégager de ce lieu qui l’enserrait avec tellement de chaleur, il s’y sentait bien.
Allongés côte à côte ils discutèrent un long moment qui leur servit à récupérer. Le vieil homme la questionna sur sa vie de couple et elle lui révéla notre candaulisme. Jadis il avait connu un couple tel que le nôtre, mais c’était il y avait bien longtemps.
Pour sa part il n’avait jamais prêté sa femme, mais il supposait (certaines choses le lui avaient laissé le croire) qu’elle l’avait trompé quelques fois.

Les caresses de ma chérie, alors qu’ils parlaient, eurent tôt fait de lui rendre sa vigueur. S’apercevant que la raideur s’accentuait elle l’aida par un véritable massage de son gland. Elle adorait tenir un gland entre ses doigts humides et lui prodiguer de lentes caresses.
Lui l’embrassait tout en pelotant ses seins dont il pinçait les tétons avec rudesse. Il avait compris qu’elle appréciait la douleur et il ne se privait pas. La retournant il se mit en besogne pour une fessée. De petits claques qui devinrent de plus en plus fortes, seulement interrompues par des caresses. Puis il s’allongea sur le lit et elle vint se placer à califourchon sur lui et s’empala d’un coup sec.
Cette fois ce fut elle qui fit le travail et, grâce à de beaux mouvements de bassin, leur permit à tous 2 de connaître à nouveau le plaisir.
Et tandis qu’elle le chevauchait elle lui demanda de ne pas éjaculer en elle, de la prévenir lorsque son miel chaud voudrait jaillir afin qu’elle puisse le récolter dans sa bouche et l’avaler. C’est son péché mignon suprême, se délecter du sperme de ses partenaires, moi y compris.
Quand le moment crucial arriva, et qu’il le lui dit, elle se dégagea et se rua sur le distributeur. La giclée ne fut pas bien forte, il faut dire que l’homme n’avait plus vingt ans. Mais elle en eut suffisamment pour en déceler la saveur et la tiédeur. Doucement, délicatement, elle laissa le liquide s’écouler au fond de sa gorge.

Ma salope (dit avec tendresse) était maintenant repue et heureuse, elle savait que je l’attendait chez nous pour entendre son récit et que cela se terminerait par une soirée torride.
Ce fut le cas !!

Je ne sais si les responsables lisent les histoires publiées sur le site, mais si c’est le cas nous aimerions qu’ils ajoutent la catégorie « candaulisme ». C’est dans ce genre que nous nous retrouvons.

Merci à nos lecteurs et lectrices qui ont la gentillesse de voter pour nous et/ou de déposer de gentils commentaires.
Et n’oubliez pas que si vous êtes un homme de plus de 60 ans (sans limite maximum) ou une femme entre 19 et 30 ans, résidez en Belgique et plus particulièrement en province de Liège, nous sommes intéressés de recevoir un message de votre part.

Bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

A propos de l'auteur

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