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Maman tres chaude, enfants pervers. (21)

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Chapitre 21 : Nouvelle séance photos. Partie 2

J’ai encore les jambes écartées et les deux garçons cherchent tout de suite ma chatte sans se cacher. Regardant de nouveau dans le miroir je vois combien la vue est charnelle, érotique.
Ma chatte rasée et lisse est humide, engageante et palpite légèrement. Je vois même mon jus qui coule le long de mes lèvres entrouvertes, sur la chaise. Bon dieu, qu’est ce que je mouille et ces deux jeunes hommes ont leurs yeux brillant qui fixe ma chatte.
Je m’étire les jambes sans les resserrer et je remarque Mick et Pierrot qui reprennent leurs appareils et qui me regarde comme si ils attendaient ma permission pour reprendre des photos.
Je ne sais pas si je dois les laisser faire et je referme mes jambes. En regardant dans le miroir je vois ma jupe toujours autour de ma taille, mes hanches exposés, mes jambes nues et mon clito sorti de sa gaine protectrice visible pour les garçons. Mes seins gonflés et mes tétons allongés et extrêmement dur d’excitation.
– Je n’en reviens pas que vous avez réussi à me déshabiller, murmurai-je d’un regard gêné d’être ainsi presque nue devant eux.
Pierrot a un sourire innocent sur son visage et Mick regarde ses pieds.
– C’est ce que vous deux aviez envie depuis longtemps ? Me voir comme ça ?
Le sourire de Pierrot s’élargit.
– Oui, tout le temps, à chaque fois qu’on vous voit. Vous êtes si belle, si sexy. Dit-il avec confiance.
« Tout le temps ! Il veut me voir nue, pour lui, tout le temps ! » Pensais-je.
– Tout le temps ? Murmurais-je. Pourtant ce n’est pas tellement raisonnable pour moi de me montrer comme ça devant vous.
Mes mains sont toujours ligotées, mes seins tendus par l’excitation mais mes jambes étroitement ensemble. Ce qui n’empêche d’ailleurs pas de voir le haut de ma fente humide entre mes cuisses fermées.
– Kate, rien ici n’est déraisonnable, déclare Mick.
– Vous êtes un modèle et nous… nous sommes des artistes. Combien de tableaux classiques sur la beauté de la femme n’auraient jamais été créés si des modèles comme vous ne s’exposeraient pas ? Renoir n’a-t-il pas demandé à ses modèles de se déshabiller ?
– Donc… tout ce que je fais c’est de poser pour des artistes…
– Exactement Kate ! Vous êtes belle et ravissante comme modèle, très talentueuse. Nous sommes tous deux très chanceux de vous avoir ici. Vous devez réaliser que l’art n’a pas de limite. La plupart du temps certains cherchent la photo choc ! Kate, soyons différents!
Dit Mick d’une voix passionnée.
Whaoo, il m’a presque convaincue… presque. Je remarque que Pierrot a toujours un œil sur mes seins et lui et Mick essayent encore de voir entre mes cuisses.
– Alors considérons que c’est le cas ici,
Murmurai-je, surprise moi-même d’autoriser ainsi la poursuite de cette séance photos.
– Laisser vous aller quoi qu’il arrive. Faite ce qui vous semble naturel et nous on prend de belles et magnifiques photo.
Je les regarde tourmentée. Mon coté maman et mon coté salope s’entre-chocs. En attendant Pierrot a pris son appareil et se prépare à prendre des photos. Il prend une photo de face et bien que mes jambes soient serrées ils sont capables de prendre des photos érotiques de moi, mes seins bien exposés et mes tétons érigés et si durs. Mick se dirigea vers moi et prend en gros plan mes seins nus.

Mon maquillage me fait ressembler à quelqu’un d’autre… personne ne me reconnaîtra. Mes jambes s’écartent un peu. C’est plus fort que moi et je les écarte un peu plus.
Mick pointe déjà son appareil entre mes jambes. Encore une fois mes jambes s’éloignent l’une de l’autre et les deux garçons me regardent excités en se rendant compte que je suis prête à leur en montrer plus. Dans le miroir je me vois inclinée en arrière avec mes jambes suffisamment écartées, pour leur montrer toute la longueur de ma fente humide.
Les yeux de Pierrot sont écarquillés, et je vois une bosse qui commence à se développer dans son pantalon. Mick assis devant moi prend des photos. Tout à coup, Pierrot s’assied juste à côté de Mick…juste en face de moi. J’ai tellement envie d’étirer mes jambes que sans vraiment m’en rendre compte, je lève mes deux pieds et j’en place un sur l’épaule de Mick et l’autre sur Pierrot de telle façon que les deux jeunots se retrouve entre mes jambes.
Leurs yeux exorbités ne quittent plus mon entrecuisse ! Ils prennent photos après photos. Sous tous les angles possibles, ma chatte bâillant et humide est prise en photo.
Après un certain temps Mick se déplace un peu sur le côté, et Pierrot fait la même chose et ils ont de ce fait écartés mes jambes au maximum. Je me sens complètement à leur merci, mes seins me font presque mal sous cette excitation érotique et pour une raison étrange, je voudrais…je souhaite qu’un de ces garçons tende la main et tourne mon téton de ses doigts… oh Dieu… pince mes deux tétons jusqu’à ce que je ressente de la douleur !
Pierrot attrapé mon pied et le glisse vers l’avant en pliant ma jambe au niveau du genou et remis mon pied sur son épaule. Je suis complètement excitée. Mon Dieu, si Mick fait la même chose !
Les Yeux de Mick s’illuminent et il remonte mon autre jambe pour la plier et faire de même. Je suis tellement ouverte que j’ai bien peur de leur montrer mon cul et mon petit trou du cul ! Je sens que ma chatte s’ouvre encore plus et regardant dans le miroir je vois mes lèvres qui dégoulinent, mon trou grand ouvert montrant mes entrailles roses, et juste en dessous, je peux voir furtivement mon trou du cul.
Je ressemble maintenant à une star du porno en pleine séance photo ! Le pire c’est que je me sens bien.
– Kate ! Tu es très chaude ! Putain qu’est ce que tu mouille ! T’es unique !
– Merci mon chou.
– Kate, je peux mettre votre chemisier au dessus de vos seins ? demande soudainement Pierrot.
– Quoi ! Non ! Laisse-le en bas, dis Mick.
– Laisse-moi faire, dit Pierrot, je sais ce que je fais.
Je les regarde et hausse les épaules.
– Bien sûr, faite ce que vous voulez.
Merde ! J’ai dis cela sans réfléchir et j’espère que les garçons n’ont pas fait attention au double sens dans mes paroles.
Pierrot s’approche et se retrouve entre mes jambes, glisse un doigt sous chacun de mes seins sous le tissu de mon chemisier pour le remonter lentement sur mes seins. Ses doigts pressent mes seins en glissant le long jusqu’à ce qu’il passe au dessus.
Je vois qu’il est en transe en faisant cela mais il reprend son appareil pour de nouvelles photos.
– Kate, maintenant mettez votre tête sur le côté et regarder le sol.
Son contact « accidentel » m’a surpris et excité.
– Maintenant, soulevez vos pieds et pliez vos genoux.
– Maintenant, appuyez vos genoux sur vos seins.
J’avale ma salive mais j’obéis.
– Ooohh, ouiii. Siffle Mick réalisant enfin où Pierrot veut en venir.
Moi aussi je ne réalise que trop. Avec mon maquillage c’est une pose vraiment chaude. Une pose des plus pornographiques.
– Kate, tu peux reposer tes pieds.
Je suis heureuse de le faire car je commençais à fatiguer. Je ne peux croire que ce gamin de dix-huit ans m’a fait faire ça ! Pourquoi suis-je si facile… si docile…si salope ?
Il se rapproche de moi entre mes jambes grandes ouvertes, me regarde et lentement glisse ses doigts sous le bord supérieur de mon top. Je sens ses doigts froids toucher mes seins et je dois résister pour ne pas gémir. Pierrot déplace mon chemisier mais se faisant ses doigts caressent mes aréoles grumeleuse et frottent mes tétons durs.
– Ça ira comme ça, dit-il en retirant ses doigts.
Je me regarde dans le miroir et je vois entre mes cuisses une trainée de cyprine qui pend, de mes lèvres légèrement séparés de ma chatte dégoulinante. Mick le voit aussi et les deux garçons prennent immédiatement des photos de moi dans cet état. Je suis sûre que personne ne pourra me reconnaître sur ces photos avec la quantité de maquillage que j’ai sur la figure, mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est quand même dangereux.
Ils prennent photos sur photos dans des positions les plus pornographiques possibles.
« Je ne peux pas continuer ! Je ne dois pas ! C’est si mal ! Quelle salope je suis. »
Mais je les laisse continuer !
Je baisse mes yeux et je vois mon clito sorti de sa cachette entre mes lèvres de chatte, à peine visibles par moi mais surement plus pour eux.
« Non, non, non, et non, pourquoi je fais cela ? Je suis complètement dépravée. Une fieffée salope et une exhibitionniste. »
Mon esprit pense cela mais je m’entends dire d’une voix tremblante.
– Comme ça ? C’est bon,
Pierrot ne me répond pas tout de suite tellement fasciné par ma chatte dégoulinante.
– Oui, bien… soulève un peu ta jambe…Ouiiiiii.
Si ça continue comme ça je vais presque jouir tellement la pression sexuelle est forte et si choquante devant ce que je leur permets de photographier.
Cela doit se voir sur mon visage car ils prennent des photos sous tous les angles et avec des gros plans. Je sens même les yeux de ses deux petits pervers regarder mon cul comme s’ils voulaient voir mon petit trou plissé. C’est sale mais tellement excitant !
Je regarde mes seins lourd se balancer au rythme de ma respiration saccadée, mes tétons qui pointent comme jamais et ma chatte qui dégouline de jus sur la chaise. Je vois tout ça dans la glace mon cul étant au bord de la chaise, ma chatte renversée et mon cul humide.
-Mon Dieu les garçons, je ne peux croire que vous prenez des photos de moi comme ça. Vous êtes quand même de petits salauds…
Ils me regardent tous les deux.
– Veux-tu que nous arrêtons Kate ? Il suffit de le dire et nous arrêtons tout de suite. Dit Mick.
Oui, je devrais arrêter ! Je suis une femme mariée, une mère, ce sont les amis de mon fils et je connais leur maman… Dieu, je suis assez vieille pour être leur maman ! Je dois arrêter ! Mais la salope que je suis dans ces moments là, dit.
– Non…murmurai-je. Pas encore.
Je jurerais que sous mon maquillage mon visage est devenu complètement rouge. Pourquoi je n’ai pas dis stop ! Je suis une chienne! Oooh, une salope soumise, une « soum » comme ils disent, impuissante et ligotée !
Je commence à gémir et je sens mon jus d’amour couler encore plus vite sur la chaise en dessous.
Et bien sûr Pierrot fait des gros plans de la mare en dessus de mon cul.
– Kate, peux-tu maintenir tes pieds vers le haut comme ça, avec tes jambes écartées ? me demande-t-il.
– Je ne sais pas, je vais essayer,
– Mick, mets-toi derrière moi pour prendre tes photos. Je vais me coucher par terre.
Je suis surprise de la vivacité de Pierrot et de son esprit pervers. Je garde mes pieds en l’air pendant que Pierrot se met à plat ventre et Mick juste derrière. Leurs appareils font quelques jolies photos explicites de moi, mais je veux plus…Je veux être plus dégueulasse. Je lève mes jambes aussi hautes que possible, les genoux sur ma poitrine et je me laisse glisser en avant. Je leur colle carrément mon cul sur leur figure ! Je leur montre tout ! Y compris mon trou du cul.
Ils restent figés et ne pense même plus à prendre des photos. Dans ma tête je me traite de
salope, mais je garde mes jambes vers le haut pour qu’ils profitent de cette scène érotique si pervertie et pornographique. Je pense que la seule raison pourquoi je l’ai fait, c’est que je porte ce maquillage qui me fait ressembler à quelqu’un d’autre. Après une longue minute, je suis obligée de redescendre mes jambes car mes muscles me font mal. Mick et Pierrot ont l’air très déçu.
* On devrait en rester là car Eric et Gina ne vont sûrement pas tarder à revenir. Dis-je en les regardant.
– Bien sûr Kate, déclaré Mick et les deux garçons me détache rapidement mes mains.

Je me lève pour m’étirer et je remarque que ma jupe est retombée et cache maintenant ma chatte et mon cul. Mick et Pierrot sont très déçus et je lis dans leurs pensées. Ils restent assis sur le sol et me retournant je mets mes mains sur le dossier de la chaise et je me penche en écartant les jambes. Je me dis que ça ferait une bonne pose et tournant ma tête je les regarde par-dessus mon épaule, avec un regard envoûtant. Les appareils de Mick et de Pierrot réapparaissent tout de suite et Pierrot, après quelques photos, me dit enfin.
– Kate, puis-je remonter votre jupe ?
– Bien sûr, c’est vous le patron.
Ma réponse l’excite et déglutissant il se glisse derrière moi. Dans le miroir je vois qu’il glisse ses mains sous ma jupe et pressant ses doigts sur mes fesses il remonte ma jupe jusqu’à ce que mon cul soit à moitié visible. Moi, j’ai un frisson secret au toucher de ses mains.
– Voila, maintenant marche vers nous.
Et par terre, les jeunots prennent toutes les photos qu’ils veulent de mon entrecuisse et de ma chatte excitée en feu.
– Kate ! T’es cuisses sont exceptionnellement belles, maintenant regarde l’appareil.
Je fixe Pierrot sur le sol pratiquement sous moi. Il est si près de moi pour prendre des photos de ma chatte et de mon cul, que j’ai envie d’arracher mes vêtements et de leur dire de me baiser ! Je suis en chaleur, ma chatte réclame quelque chose pour la calmer. J’ai besoin de jouir.
J’hésite un instant…presque prête à les supplier, mais je me rappelle qu’Eric ne va pas tarder à revenir et qu’il pourrait nous surprendre en train de baiser.
– OK, les garçons. Le pense qu’il est grand temps de s’arrêter.
Mick se lève suivi de Pierrot. Je les regarde un moment et je vois qu’ils sont en émois mais heureux de leur séance photos « particulière ».
Pierrot à une belle érection dans son pantalon et celle de Mick n’a rien à lui envier et ils essayent de la cacher en tournant leurs corps de côté. Je me demande quelle taille fait leurs bites en ce moment.
– Mick…Pierrot… ces photos sont très explicites. Bien que mon maquillage cache mon visage, Eric ou quelqu’un de ma famille pourrait me reconnaître. Je ne veux absolument pas que mon fils me voit comme ça,
Je leur parle étant debout en face d’eux, les seins nus et jetant un œil dans le miroir, je vois ma chatte aux lèvres encore dégoulinante et mon clito est à peine caché par le bas de ma jupe.
Je garde mes jambes légèrement écartées me donnant du plaisir à me voir ainsi et d’être une belle salope.
– Je vous ai laissé prendre ces photos, mais vous comprendrez que vous ne pouvez rien en faire, elles sont trop explicites et compromettantes.
Mick se gratte la tête en me regardant. Je vois qu’il cherche désespérément un moyen de me parler pour que je les laisse utiliser les photos.
– Kate…personne ne vous reconnaîtra, s’il vous plait…
– Il n’en ait pas question, Mick.
– Ok, elles sont certainement trop osées pour notre site web, dit lentement Mick en essayant de penser à quelque chose qui me ferait changer d’avis.
– Sans aucun doute trop explicites pour notre site web, mais nous pouvons créer un site spécialement pour Kate…
Dit Pierrot en souriant avec toujours une belle bosse dans son pantalon mais qu’il n’essaye plus de cacher.
– Mon propre site web ? Vous êtes fous !
– Non, non, écoutez-moi. Nous n’utiliserons pas votre nom, nous vous donnerons un… un nom de scène, je ne sais pas, quelque chose comme… Chaude Geisha. Nous construiront le site selon vos désirs et avec les photos que nous avons pris aujourd’hui, Ce serait un site à tendance pornographique mais juste dédié à vous Kate. A votre beauté et à votre sensualité.
Mon propre SITE porno?!?!
– Sacré Pierrot, Tu sais que tu as de bonnes idées parfois. Dit Mick en lui tapant sur l’épaule.
– Attendez une minute…
Mais je ne peux continuer car le téléphone sonne.
-Allo… Oui…. Mick écoute puis il dit
– Ok, mais faites vite, nous vous attendons depuis un long moment !
– Eric et Gina seront ici dans dix minutes, dit-il en balayant de ses yeux mon corps de la tête aux pieds avec une pose sur ma chatte humide.

– Dix minutes ! Oh mon Dieu, je dois m’habiller. Pierrot, venez avec moi, tu m’aideras. Mick, remet tout en ordre ici et pas un mot de ce que j’ai fait à n’importe qui, et cela inclut Eric et Gina. Et cacher bien ces photos et ne faite rien sur ce site web qui me serait dédié, nous devons en discuter tout d’abord.
J’aboie mes ordres et saisissant la main de Pierrot je cours vers la chambre à coucher et je verrouille la porte par précaution.

Dans la chambre je me dirige vers le lit et enlève mon haut et ma jupe. Je suis complètement nue devant Pierrot et je m’assieds sur le lit en lui tendant une jambe.
– Vite, Pierrot, aide moi à retirer ces foutue chaussures.
Je ne sais pas pourquoi j’ai choisi Pierrot. Il à l’air sûr de lui-même, et d’une certaine façon il me rappelle Adam du club de striptease. Il a toujours cette fichue bosse dans son pantalon !
– Vous voulez dire que vous ne possédez pas une paire de genre de chaussure ? Et il se met à rire.
Je le regarde et j’éclate de rire aussi. Saisissant cette occasion j’écarte mes jambes un peu plus en lui montrant toute la longueur de ma fente humide. Immédiatement ses yeux se verrouillent sur à ma chatte et il se lèche ses lèvres d’une telle façon que je pense qu’il a envie de gouter.
– On ne peut presque pas marcher avec ce genre de chaussure.
Pierrot arrive quand même à lever sa tête pour me dire
– Avec un peu de pratique on y arrive…
Et ses yeux reviennent immédiatement sur ma chatte exposée. Ca m’excite et je frissonne de plaisir.
– Bien sûr, et je devrais rester nue tout le temps que je les porte et les cuisses ouvertes comme je suis en ce moment…
Il me regarde, puis lentement, ses yeux descendent sur mes seins, vers le bas de mon ventre, jusqu’à ce qu’ils atteignent ma chatte. Là, il ne bouge plus et je suis étonné comment mon corps réagit à ses yeux ! J’ai l’impression que ses yeux ont des mains et qu’elle commence doucement à caresser mon corps.
– Je ne me lasserais jamais de vous regarder, Kate. Vous êtes si belle.
Huuuummmm…Je commence à aimer de plus en plus.
– Tu es gentil, merci… mais tu devrais retirer mon autre chaussure maintenant, murmurai-je en lui donnant un sourire chaleureux.
Sans quitter ma chatte des yeux il retire la chaussure et je me relève devant lui, ma chatte à quelques centimètres de son visage car il est toujours à genoux, et je pose mes mains au-dessus de ma tête. Je sais que je l’excite comme une pute devant son client mais j’ai encore envie de l’émoustiller un peu plus.
Pierrot, le nez en avant respire le parfum que dégage ma chatte en chaleur et je vois sa langue sortir et mouiller ses lèvres.
– Pierrot, Peux-tu m’aider pour retirer mon maquillage ?
Il ne bouge pas mais lentement relève sa tête pour se concentrer sur mon visage.
– Bien sûr Kate, tout ce que vous voulez…
Je me retourne sur place en laissant mes jambes écartées et je me penche pour att****r mon chemisier. En faisant ça je lui colle pour ainsi dire mon cul sur sa figure. J’adore me montrer et j’aime sa Facon de me regarder comme une déesse inaccessible.
– Oh mon Dieu, Kate, que je voudrais avoir mon appareil photo maintenant ! S’exclame-t-il.
Je tourne ma tête sur le côté et le regarde. Il est si près de mon cul…
– Pourquoi ?
J’ai très envie qu’il me le dise.
– Ton cul… Dieu me pardonne mais je me damnerais pour lui !
– Vraiment, tu aimes mon cul ?
– Oooh, ouiiiii.
– Souhaites-tu le voir encore mieux ?
Mon Dieu, qu’est ce que je peux être salope ! Ses yeux me regardent et brillent de plaisir
– Oui… murmure-t-il.
Rien que de penser à ce que je vais faire, j’ai des frissons dans mon bas-ventre. Jambes écartées, je plie un peu mes genoux en me penchant sur le lit, et me soutenant d’une main, je lui présente mon cul en arquant mon dos. Regardant en arrière je peu voir son visage s’illuminer dans une expression d’émerveillement et d’excitation que je ne lui ai pas encore vue.
– Tu aime… Pierrot…
Il ne relève pas sa tête tellement fasciné par mon cul que je lui offre.
– Ou…Ouiiiii…
– Tu veux en voir encore plus, petit cochon ?
Cette fois il relève sa tête pour la secouer de bas en haut et ses joues sont devenues complètement rouge. J’hésite quelque secondes avant de me décider car j’ai toujours ce dilemme ; un coté épouse et mère de famille, et l’autre moi, salope confirmée. C’est la salope qui remporte la partie.
Sans me détourner de lui, j’att**** mes fesses de mes deux mains. Je sais que ma chatte est de nouveau dégoulinante d’excitation tellement je suis en chaleur en jouant à la salope devant l’ami de mon fils. Je tire doucement mes fesses de chaque coté et j’expose, petit à petit, mon trou du cul palpitant à Pierrot.
– OOOoohhh, Putain ! Chuchote-t-il

Je baisse mes yeux pour voir dans son entrejambes une formidable érection et la forme d’une très longue bite ! Dieu, quelle taille fait-elle ?
– Ça te plait mon grand ?
– Oooh putain…ouiii !
– Pierrot… aimerais-tu en voir plus ?
Je vois sa bite palpiter à travers le tissu.
– Oui, oui, Kate, encore…montre-moi ! S’il te plait.
Il n’a pas besoin de mendier, en cet instant le lui montrerai tout ce qu’il veut. Je me penche un peu plus en pliant mes genoux et baissant légèrement mes doigts tout en continuant d’écarter mes fesses, j’att**** le bord des lèvres de ma chatte et je les écarte aussi. Il a maintenant sous ses yeux mon trou du cul qui s’entrouvre et ma chatte ouverte qui ruisselle de jus.
– Oh mon Dieu, Kate, c’est tellement beau, je…je…
Je mouille comme jamais, folle d’excitation et je voudrais qu’il me prenne, là, tout de suite. Qu’il me baise comme une chienne lubrique et dans n’importe quel trou qu’il veut !
Soudain, on entend frapper fort à la porte et nous sursautons tous les deux. Je me retourne rapidement en cognant ma chatte dans visage de Pierrot, qui lutte pour rester sur ses genoux. Le résultat c’est que l’on perd notre équilibre et que je tombe sur le lit avec Pierrot sur moi qui essayait de me retenir. Je sens tout de suite la longue bite dans son pantalon qui se plaque sur ma fente. Je crie,
– Oui !
– Ils sont presque là, dépêchez-vous.
C’est la voix étouffée de Mick derrière la porte.
– Nous sommes presque prêts !
C’est quand je sens les mains de Pierrot sur ma poitrine que je me rends compte qu’il n’a pas bougé. Une autre révélation, c’est que mes jambes écartées sont maintenant autour de Pierrot. Comment ais-je pu faire ça ?
– Pierrot… lâche-moi, il faut y aller maintenant.
Il ne bouge pas et je sens ses doigts qui glissent sur mes tétons.
– Pierrot, sois gentil, je dois me lever, s’il te plaît, laisse moi.
Je sens ses doigts rejoindre mes tétons et il les pince doucement. Avant que je puisse dire quoi que ce soit il les pince plus fort en tirant dessus. La douleur provoque une décharge électrique dans le bas de mon corps et surtout dans ma chatte, et involontairement, je creuse mon dos pour me plaquer plus fortement sur la bosse de son pantalon en gémissant.
– AAaaaarrrrgggrreee.
La bite toute dure dans son pantalon s’enfonce plus dans ma chatte ouverte qui serait prête à l’accueillir. Je sens même qu’elle s’ouvre un peu plus sous la pression et ça me rend encore plus folle de désir.
Ma main trouve son chemin vers le bas et commence à chercher sa bite dans son pantalon pour la sortir… pour qu’elle me baise…pour que je l’utilise comme j’en ai envie, mais… mais il retire ses mains de mes seins et se lève.
Je reste là, le regardant avec mes jambes écartées, cuisses ouvertes… ma chatte dégoulinante qui attend sa bite, et il se lève !
– Kate, on n’a pas le temps ! Il faut se dépêcher !
Ses paroles me sorte de ma transe sexuelle, et en me levant lentement, je remarque que son entrejambes présente une grande tache humide qu’il a récolté en s’enfonçant dans ma chatte trempée. Je suis un peu en colère contre lui pour ne pas avoir fini ce qu’il a commencé, mais je comprends pourquoi il s’est arrêté.
– Tu ferais mieux de t’occuper de ça,
Lui dis-je en pointant du doigt la bosse qui déforme son pantalon, avant de filer dans la salle de bain.
Je ferme la porte derrière moi et je m’appuie sur le dessus du lavabo, à peine capable de me soutenir. Mon Dieu, j’étais si près de me faire baiser par ce garçon ! Avec un peu plus de temps j’aurai attrapé sa bite et je me la serai mise en moi ! Je me lave rapidement et je me refais une beauté afin que nul ne remarque quoi que ce soit, même pas Gina.
Je sorts dans la chambre, Pierrot a disparu. Je me rhabille correctement et je me dirige vers le salon.
Eric et Gina sont déjà là et Gina est en train de se déshabiller et je suis surprise qu’elle le fasse devant tout le monde, mais je me rends vite compte qu’elle porte son nouveau bikini sur elle.
– J’espère que vous aimez mon nouveau maillot car Eric a mit du temps pour ce décider !
Eric me regarde et fronce ses sourcils.
– Désolé de vous avoir fait attendre.
– Pas de problème. Quel genre de bikini avez-vous choisi ?
– Kate, vous allez adorer, je l’ai choisi en pensant à vous, dit Gina en faisant glisser son pantalon.
Son pantalon est tellement serré, qu’elle prend soin de ne pas baisser son bikini avec et enfin nous apercevons son mini bikini jaune. Il couvre tout juste sa chatte et il s’arrête 1 cm au dessus de son clitoris. Le tissu est plaqué sur ses lèvres de chatte et on voit parfaitement leur volume et leur délimitation.
– Whaou, c’est mignon…
Gina sourit et me donne un clin d’œil complice.
– Ok, Gina, prenez place.

Pendant une heure et demie, les garçons travail rigoureusement en professionnels de la photo et photographient Gina dans de multiples positions jusqu’à ce que la pauvre fille soit épuisée. Tout au long de la séance Mick et Pierrot me regarde avec enthousiasme, mais ne disent pas un mot au sujet de ce que nous faisions plus tôt.
Je pense aux photos qu’ils ont prisent et l’idée de mon propre site web… mon propre site web, porno et secret. Autant que c’est dangereux, l’idée me réjouit et me donne même des frissons en regardant Gina se faire prendre en photos. Je vais prendre mon temps pour réfléchir et voir les photos avant de me décider sur l’idée de ce site porno. La prise de photos se termine et si les garçons étaient excités en les prenant, ils ne l’étaient pas autant que lorsqu’ils me photographient en tenue plus que légère.
Il est temps de rentrer à la maison mais avant je dis discrètement à Pierrot et Mick que je veux voir les photos d’abord et qu’ils doivent rien faire sans mon approbation. Je leur dit que je les contacterais dès que j’aurais pris une décision.
A suivre
Phantome.

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