Je suis en route pour chez toi, où tu m’attends pour le souper. Je bouillonne d’impatience à l’idée de te révéler la surprise que je te réserve. Si je t’ai demandé de ne rien prévoir ce week-end, c’est qu’il y a bien une raison.
Je te chauffe déjà un peu par message pour que la tension soit à son comble au moment où je déciderai de t’annoncer cela. Je sens déjà mon string devenir tout humide rien qu’en y pensant.
Je sonne à ta porte, et à peine m’as-tu ouvert que je remarque ta queue tendue sous ton short. Un frisson me parcourt, allant de ma nuque à mon entrejambe. Tu m’embrasses avec passion tout en me plaquant contre le mur. Je gémis de désir, mais te repousse. C’est le moment de l’annonce.
Je t’emmène près du canapé et te pousse pour que tu te retrouves assis. Je me positionne sur toi, pour bien sentir ton membre dur contre mon sexe. Je t’embrasse encore un peu, puis te glisse à l’oreille que, demain, on part pour le Donjon du Léman. Ta queue subit un léger spasme à l’entente du nom, mais tu me regardes d’un air dubitatif. Je te passe mon téléphone et tu y découvres une page airbnb ouverte, avec des photos d’un très beau donjon BDSM, à deux pas de chez nous. Tu me regardes d’un air empli de désir, mais quelque peu choqué, et me demandes si je l’ai vraiment réservé. La réponse est oui, et on part demain en début de journée. Tu m’embrasses sauvagement, me soulèves et me déposes sur le canapé. Tu m’arraches mon jeans et mon string, tu te dévêtis rapidement, puis glisses un doigt en moi. Tu vois que je suis trempée et décides donc de me pénétrer sans plus de préliminaires. Nous sommes tous les deux tellement excités que nous jouissons en quelques minutes.
Nous décidons tout de même d’aller manger, puis préparons nos affaires pour ce week-end qui s’annonce être intense. J’ai déjà pris avec moi toutes mes tenues afin que tous tes désirs puissent être des ordres. Je glisse bien sûr les boîtes de viagra dans le sac, car ce serait dommage de manquer d’énergie dans un tel endroit.
Nous allons nous coucher, en faisant bien sûr l’amour avant, mais de façon un peu plus sensuelle cette fois. Il nous faut garder des forces pour ce qui nous attend demain.
Le réveil sonne de bonne heure, et pour une fois, nous ne flânons pas un moment au lit. Nous sommes tous deux très impatients et excités, cela se voit à ton érection. Nous ne pouvons pas nous empêcher de faire l’amour très rapidement sous la douche.
Après 2 heures de trajet dans un habitacle empli de tension sexuelle, nous arrivons enfin à destination. De l’extérieur, l’appartement à l’air tout à fait banal, et tu as encore de la peine à croire que je t’emmène réellement dans un donjon.
Nous sortons de la voiture et le propriétaire nous attend. Il nous tend les clés, puis nous demande si nous souhaiterions une petite visite guidée. Il a l’air de voir sur nos visages que nous sommes novices et plutôt stressés. Bien sûr, nous acceptons. L’expérience ne pourra qu’être mieux si nous savons comment utiliser tout le matériel à notre disposition.
Nous entrons et nous trouvons directement face à une croix contre le mur. La visite guidée commence d’ailleurs par cette installation. Il nous explique rapidement comment utiliser les attaches, puis passe à la cage qui se trouve juste à côté. Tellement de choses sont dites en si peu de temps, et je suis bien trop émoustillée pour comprendre les explications. Chaise de gynécologue, différentes balançoires dont une avec un plug intégré, encore une cage, un trône, un lit protégé par une bâche et un gode posé sur la table de nuit, et même une barre suspendue au plafond. Dans la même pièce, il y a des installations plus reposantes, comme un canapé et une baignoire. Mais mes yeux ne peuvent s’empêcher de dévier vers la cage. Qu’est-ce que j’ai envie d’y être enfermée, que tu puisses me torturer à travers les barreaux à grands coups de queue.
Le propriétaire me sort de mes pensées lubriques lorsqu’il ouvre l’armoire, remplie de vibros, plugs, fouets et sextoys en tout genre. Il nous assure que tout est minutieusement désinfecté, puis nous souhaite un bon séjour dans son antre et s’en va.
Mon corps tremble de désir, j’ai l’impression que mes jambes vont lâcher. Je suis tellement mouillée qu’une tache est visible à travers mon jeans. Tu me sautes dessus, m’embrasses et me pousses sur le canapé. Tu as dû remarquer que j’étais à deux doigts de m’écrouler. Tu me déshabilles, en fais de même, puis me soulèves dans tes bras. Tu me plaques contre la croix et m’attaches. Je me sens extrêmement soumise, réalisant que je vais être à ta merci pendant plusieurs heures.
Tu commences à me lécher, et je jouis
en quelques secondes à peine. Tu ne t’arrêtes pas, même alors que je suis secouée de spasmes violents. Tu insères même tes doigts, 3 directement, et me provoques un second orgasme instantanément. Tu continues, encore et encore, et pour la première fois, je t’éjacule dessus. Je jouis tellement fort, sans plus m’arrêter. Tes doigts s’enfoncent de plus en plus profondément et de plus en plus vite, tu alternes entre lécher et aspirer mon clitoris, ma mouille dégouline sur ton visage. Tu pousses des grognements bestiaux, comme si tout ça devenait une torture pour toi également. Tu dois être tellement dur que ce doit devenir douloureux.
J’ouvre les yeux, et je suis à nouveau dans tes bras. Tu m’informes que je me suis évanouie sur la croix après le 6e orgasme. Me sentant faible, je pensais que tu allais me poser sur le lit pour pouvoir reprendre mes esprits, mais tu me déposes devant la cage et m’ordonnes d’y entrer. Je t’obéis, mais j’ai encore du mal à contrôler mon corps, et tu dois me donner un coup de fouet pour que j’arrive à bouger mes jambes et à pénétrer dans ce si petit espace. Tu refermes la cage à clé et me lances un regard si intense que je sens l’excitation remonter en moi. Tu glisses ton pénis, si long et si large, à travers les barreaux et m’ordonnes de te sucer.
Du sperme constelle déjà ton gland, tout sucré, et je l’avale avec avidité. Je te suce le plus profondément que les murs de la cage me le permettent, j’ai envie de te faire exploser en moi.
Je m’arrête quelques secondes pour m’occuper de tes couilles en te branlant. Ta respiration s’accélère, je sens ta jouissance monter, alors je reprends ta délicieuse queue entre mes lèvres, que je presse fort autour de toi. Je sens la cyprine qui me relie au sol, j’ai un besoin intense de jouir encore, mais pour l’instant, c’est à ton tour.
Un râle rauque émane du fond de ta gorge lorsqu’enfin tu viens. Ton orgasme dure si longtemps, le sperme se met à couler sur mon menton. Quand tes spasmes se sont calmés, tes jambes tremblent toujours. Tu t’assieds face à moi pendant que j’avale ta semence, et voir mon visage souillé à l’air de t’exciter à nouveau, bien que tu paraisses exténuer.
Tu fais mine de me libérer enfin de ma prison, mais lorsque je me dirige vers la porte, tu m’ordonnes de me coucher sur le dos et de ne plus bouger. Tu t’affaires encore une fois avec tes doigts et ta langue, et je jouis immédiatement.
Tu proposes, ou plutôt imposes une douche, pour qu’on puisse reprendre des forces. Puis ensuite, tu me tends une pilule de viagra, et tu en prends également une pour toi. Je sens que je vais me faire défoncer la chatte, et cette pensée rend mon clitoris douloureux. La pastille n’a pas encore fait effet, mais j’ai déjà tellement envie, tellement besoin de te sentir en moi.
Tu me prends la main et m’emmènes devant la balançoire. Celle qui possède un plus bien sûr. Tu me soulèves pour que je m’assoie dessus, après l’avoir enduit de lubrifiant. Je pousse un gémissement, partagée entre la douleur de la pénétration anale, l’excitation et le plaisir. Tu m’embrasses tendrement, et je suis étonnée de la façon dont tu arrives à entremêler la v******e et la tendresse. Tu sais exactement comment me procurer du plaisir, et je t’aime tellement pour ça, et pour tout le reste.
Tu me pénètres d’un premier coup de reins violent, car tu sais pertinemment que je suis déjà trempée. Tu as beaucoup de peine à manier la balançoire, et c’est si frustrant pour moi. Je te lance un « défoncez-moi Maître, s’il vous plait ». Tu t’arrêtes brusquement et t’éloignes, me laissant sur la balançoire pour aller chercher la cravache. Tu tapes en me rappelant que je n’ai pas d’ordre à te donner. Je ne peux ouvrir la bouche que pour prononcer le code d’alerte, ou pour dire « Merci Maître » et « Oui Maître ». Je rétorque donc un « Oui Maître » et tes coups s’arrêtent. Tu te diriges vers le petit matériel, et reviens avec le vibromasseur rabbit. Tu l’enfonces en moi, et enclenches directement les modes les plus violents.
Je jouis en me contractant tellement fort que le rabbit est expulsé de mon vagin. J’éjacule encore une fois sur toi. Ça a l’air de terriblement t’exciter. Tu vas chercher une Magic Wand et la pose sur mon clitoris pendant que tu me doigtes. À chaque fois que tu sens que je vais venir, tu retires tes doigts et te fais asperger de ma mouille. Tu aimes ça, tu te lèches les lèvres et les doigts pour récupérer tout l’élixir que tu peux. Puis tu réalises que tu bandes beaucoup trop fort et que tu as besoin de me prendre au plus vite. Tu me retires d’un coup de la balançoire, et j’éjacule encore une fois.
Tu me poses sur le lit en levrette et insères en moi ta queue qui est devenue encore plus longue et large que d’habitude. Je hurle déjà de plaisir. Tu as une vue imprenable sur mon anus qui est encore tout ouvert suite à mon petit tour de balançoire, et tu n’as qu’à tendre la main pour t’emparer du plug, celui qui a plus ou moins le même diamètre que ta bite. Tu le glisses dans ta bouche pour le lubrifier avant de le glisser en moi. Il rentre facilement, et tu sens ses contours sur ta queue, à travers la fine paroi séparant mon anus de mon vagin. Tu gémis pendant que mes cris de plaisirs redoublent, tu me pénètres de plus en plus vite, de plus en plus fort. Sentir le plug caresser ton gland à chaque va-et-vient te fais frissonner, tu as l’impression que tu vas perdre pied, et tu jouis en poussant un « oh mon dieu » bien trop fort. Je lâche un petit rire alors que je suis encore secouée de spasmes. Heureusement que pour l’instant, tu n’as plus assez de force pour me fesser, mais je sens que tu vas te venger plus tard.
Tu m’ordonnes d’aller m’asseoir sur la chaise de gynécologue, et dès que tu as repris un peu de force, tu viens m’y rejoindre. Tu fixes mes chevilles dans les attaches prévues pour et en fais de même pour mes poignets. Depuis qu’on est arrivé dans cet antre, la cyprine n’a pas cessé de couler de mon corps, ne serait-ce qu’une seconde.
Une fois que je ne peux plus bouger, tu m’embrasses, puis vas t’asseoir en face de moi. Un sourire maléfique anime ton visage, et tu lances une vidéo porno sur ton smartphone et commences à te branler. Tu me lances de temps à autre un regard furtif.
J’entends à ta respiration que tu t’approches de la délivrance. Tu te lèves et décides de venir jouir sur mon visage. Ton sourire devient encore plus maléfique, et je ne sais pas trop comment réagir.
Tu reprends la Magic Wand et la pose sur mon clitoris. Tu l’enclenches sur le mode de vibration le plus faible, et à chaque fois que tu remarques que je vais jouir, tu l’enlèves. Tu continues ce petit jeu une dizaine de fois, et quand tu es à nouveau en érection, tu me laisses jouir. Sans prévenir, tu t’insères ensuite dans mon anus qui est si bien préparé que je ne ressens aucune douleur, mais beaucoup de plaisir et de frissons. Tu glisses le rabbit dans mon vagin, l’allumes et commences des va-et-vient assez tranquillement.
Il y a trop de sensations pour moi, je ne comprends plus ce que je ressens, ce que tu fais, ou encore ce que tu dis. Je jouis, encore et encore, et je m’évanouis, puis je me réveille en jouissant, et j’ai l’impression que ça n’en finit plus. Au bout de ce qui m’a paru une éternité, tu déverses ta semence en moi, puis t’écroules sur mon corps attaché à la table.
Je crois que nous nous endormons un moment.
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